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Culture

Les Journées européennes des métiers d'art ont retrouvé leur public

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Les JEMA ont permis à une cinquantaine de professionnels reconnus et en devenir de présenter leurs savoir-faire et de partager leur expérience à 2000 personnes (archive). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Environ 2000 personnes ont participé aux 7e Journées européennes des métiers d'art (JEMA) qui se sont déroulées ce week-end dans le canton de Vaud. La manifestation, gratuite, a retrouvé son public après deux années blanches dues au Covid.

Les JEMA signent un "joli retour" en terre vaudoise, s'est félicité dimanche par communiqué le Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC). "Elles ont permis à une cinquantaine de professionnels reconnus et en devenir de présenter leurs savoir-faire et de partager leur expérience", a-t-il souligné.

L'offre se voulait foisonnante avec trente ateliers répartis dans tout le canton, deux lieux d'accueil à Lausanne (Maison Gaudard – ancien mudac) et à Château-d'Oex (collège Henchoz), six ateliers d'éveil aux métiers d'art pour les enfants de 6 à 12 ans ainsi que la participation de la filière Céramique du Centre d'enseignement professionnel de Vevey (CEPV).

Les ateliers pour les enfants ont été largement fréquentés. Les bambins pouvaient se mettre dans la peau d'une décoratrice de théâtre, d'un découpeur sur papier ou d'une encadreuse en réalisant une création originale, ces métiers pouvant s'entendre au masculin comme au féminin

"Au-delà des rencontres et des multiples occasions de découverte et de transmission qu'elles offrent", les JEMA "sont aussi l'occasion de découvrir une partie vive du tissu économique vaudois, celui que constituent les artisanes et artisans entrepreneurs", écrit le DFJC. "On y pense peu, mais les artisans d'art sont en effet des acteurs importants de la durabilité, eux qui produisent avec soin, réparent et restaurent dans le respect du passé."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Découverte à Gaza de quatre tombes vieilles de 2000 ans

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A Gaza, de nouvelles tombes ont été mises à jour dans un cimetière romain datant de la période entre le premier siècle avant JC et le IIe siècle après JC. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Quatre tombes romaines vieilles de 2000 ans ont été découvertes dans le nord de la bande de Gaza, a indiqué samedi à l'AFP un archéologue palestinien, permettant ainsi la reconstitution du premier cimetière romain complet dans ce territoire palestinien.

"Avec la découverte de ces quatre tombes, le nombre total de tombes dans ce cimetière romain, datant de la période entre le premier siècle avant JC et le IIe siècle après JC, s'élève désormais à 134", a déclaré Fadel Al-Otol, en déplorant un manque de moyens financiers pour poursuivre les travaux.

Il s'agit, selon lui, de "la première nécropole romaine complète" mise au jour à Gaza.

"Des fragments de poterie et des pièces métalliques utilisées dans les rituels funéraires" ont également été découverts, a-t-il ajouté.

Le cimetière abrite notamment des tombes à la structure pyramidale. A l'intérieur, une équipe de techniciens travaillant sous la direction de M. Al-Otol s'attelle aux opérations de restauration avec des outils rudimentaires.

"Deux cercueils en plomb, l'un orné de grappes de raisin et l'autre de dauphins nageant dans l'eau ont été récemment découverts sur le site", note l'archéologue palestinien.

Le financement des travaux de fouilles et de restauration provient du Fonds pour la protection de la culture du British Council.

La bande de Gaza, territoire exigu et pauvre, est bordé par Israël, l'Egypte et la Méditerranée. Contrôlé par le mouvement islamiste palestinien Hama, il est soumis à un blocus israélien depuis plus de 15 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le théâtre La Grange présente son festival et sa saison 2023-2024

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Le théâtre la Grange de Dorigny dévoilé mardi le programme de son festival Fictions futures, demains réels, et du restant de son année artistique 2023-2024 (image d'illustration) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le théâtre La Grange, situé sur le campus de l'Université de Lausanne (UNIL), a dévoilé le programme de son festival "Fictions futures demains réels" qui débutera mercredi. Tables rondes, vernissages et rencontres sont au programme, alors que le reste de la saison 2023-2024 prévoit une vingtaine d'autres événements.

L'année artistique de La Grange débutera sur trois semaines d'un "festival transdisciplinaire qui propose une réflexion sur les mutations sociétales à venir en partant des enjeux d'aujourd’hui", ont indiqué les organisateurs.

Du 27 septembre au 14 octobre, le théâtre y réunira artistes, scientifiques et étudiants, pour "donner à voir et à entendre différentes visions du monde de demain".

Après le festival suivront diverses représentations théâtrales, comme celle de La Belle et la Bête par Jeanne Föhn et Ludovic Chazaud ou encore Médée Superstar de la Compagnie Les Bernardes.

L'annuel festival des cultures universitaires (Fécule) de la Grange – "véritable tourbillon de propositions multidisciplinaires" – tiendra sa 17e édition du 29 avril au 5 mai.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les Colombiens rendent un dernier hommage à Fernando Botero

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Le corps de Fernando Botero restera jusqu'à dimanche accessible aux hommages du public, au coeur du centre historique de Bogota. (© KEYSTONE/EPA/MAURICIO DUENAS CASTANEDA)

Des centaines de Colombiens ont commencé vendredi à rendre un dernier hommage à l'artiste Fernando Botero, décédé le 15 septembre, défilant devant sa dépouille à Bogota. Une semaine de cérémonies commémoratives est prévue dans sa patrie natale.

Arrivé jeudi soir de Monaco, où le peintre et sculpteur est décédé à l'âge de 91 ans, le cercueil recouvert du drapeau tricolore colombien est exposé dans une chapelle ardente ouverte au public au siège du Parlement.

Une première cérémonie entamée au son d'une chorale accompagnée d'un orchestre et décorée de dizaines de compositions florales a d'abord été rendue devant députés, sénateurs et membres de la famille. "Nous sommes bouleversés, émus et profondément reconnaissants pour les témoignages d'affection, de reconnaissance et de gratitude à l'égard de mon père", a déclaré sa fille Lina Botero.

Le président du Sénat, Ivan Name, a fait l'éloge de ce "Colombien universel". Botero "a arrêté le monde pendant un moment [...] Il l'a fait avec un pinceau et avec ses mains, lorsqu'il a réussi à peindre un monde différent. Un monde qui reflétait la réalité de son pays, mais qui contenait aussi les clés secrètes de l'esprit humain", a-t-il dit.

Medellin

Une longue file d'anonymes étirée depuis le début de l'après-midi s'est ensuite inclinée devant le cercueil de l'artiste colombien le plus célèbre au monde.

Le corps de l'artiste, célèbre pour ses personnages aux formes voluptueuses, restera jusqu'à dimanche accessible aux hommages du public, au coeur du centre historique de Bogota. Lundi, la dépouille sera transférée à Medellin (nord-ouest), sa ville natale, où plusieurs événements seront organisés avant la crémation du corps.

Ses cendres seront ensuite rapportées en Europe, dans le cimetière du petit village italien de Pietrasanta où il vivait, pour être déposées au côté de son épouse, l'artiste grecque Sophia Vari, décédée en mai.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Les murs reconstitués de Burhan Doğançay exposés au MAH de Genève

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Cette oeuvre intitulée "Make Love, not War" (1975) est exposée au MAH de Genève dans le cadre de l'exposition "Les Murs de Buhran Doğançay". (© Succession de Buhran Doğançay Musée d'art et d'histoire de Genève)

Le Musée d'art et d'histoire (MAH) de Genève présente 55 dessins de la série "Walls of Israel" réalisée par l'artiste turco-américain Burhan Doğançay. Ces oeuvres, à mi-chemin entre la peinture, le dessin et le collage, sont exposées pour la première fois en Suisse.

"Burhan Doğançay (1929-2013) a eu un choc esthétique en observant le pan d'un mur en 1963 à Manhattan", explique Bénédicte de Donker, commissaire de l'exposition "Les Murs de Burhan Doğançay". L'artiste a vu dans ce mur la révélation d'une peinture abstraite. Depuis, il a reconstitué des murs dans son atelier new-yorkais en utilisant des photos, des affiches, des esquisses ou même des morceaux de murs.

Les oeuvres ont été données en 2018 au MAH par Angela Doğançay, la veuve de l'artiste. Elle a choisi Genève, où elle a vécu deux ans, pour son aspect international. Son mari voulait que certaines oeuvres soient conservées dans un endroit où elles seraient préservées, en dehors des circuits commerciaux, a-t-elle expliqué.

mahmah.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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