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Culture

Environ 7000 participants pour le Festival Histoire et Cité

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Le Festival Histoire et Cité a eu lieu à nouveau en présentiel sur plusieurs sites notamment à Genève (archives). (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Le public du Festival Histoire et Cité n'a pas encore retrouvé ses habitudes d'avant la pandémie. Environ 7000 personnes ont assisté de mardi à dimanche à Genève et Lausanne aux conférences ou encore films sur les invisibles, oubliés de l'Histoire, ont affirmé dimanche les organisateurs.

Après une édition annulée en 2020, puis celle entièrement en ligne l'an dernier, cette 7e rencontre était en présentiel. Au total, l'affluence est en recul de plusieurs milliers de personnes par rapport à il y a trois ans.

Mais les organisateurs réunis autour de la Maison de l'histoire de l'Université de Genève sont satisfaits. Des visites guidées ont notamment accompagné les curieux dans les bas-fonds genevois ou sur les traces de la Lausanne médiévale. Ces offres qui demandaient une participation plus active du public ont fait le plein.

Cette édition a montré comment l'Histoire pouvait éclairer le débat et donner une légitimité aux combats menés par les milieux associatifs sur la place des femmes, dans la lutte antiraciste ou sur les questions d'identité et de genre, ajoutent les organisateurs. Le partenariat entre acteurs genevois et lausannois s'est encore étoffé. La 8e édition aura lieu dans un an et portera sur l'alimentation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Une oeuvre d'un robot artiste humanoïde aux enchères à Londres

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Le robot Ai-Da possède des bras bioniques, mais son visage, encadré d'une perruque brune, lui confère une ressemblance troublante avec une femme (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une oeuvre du robot artiste Ai-Da, un humanoïde doté d'une intelligence artificielle, va être mise aux enchères en novembre, une première, a annoncé la maison Sotheby's. Son prix est estimé entre 100'000 et 150'000 livres sterling (112'000 et 170'000 francs).

La peinture, baptisée "A.I God" (dieu de l'IA), est un portrait du mathématicien anglais Alan Turing, considéré comme l'un des pères de l'informatique moderne. Elle fait partie des lots de ces enchères en ligne situées à "l'intersection de l'art et la technologie", qui auront lieu du 31 octobre au 7 novembre.

Le robot Ai-Da, ultraréaliste, est l'un des plus avancés au monde. Il possède des bras bioniques, mais son visage, encadré d'une perruque brune, lui confère une ressemblance troublante avec une femme.

Il a été créé en 2019 par une équipe dirigée par Aidan Meller, galeriste et fondateur d'Ai-Da Robot Studio, avec des spécialistes de l'IA au sein des universités d'Oxford et Birmingham en Angleterre. Son nom s'inspire d'Ada Lovelace, la première codeuse de l'histoire.

Exposé à la biennale de Venise

Ce robot-artiste, qui utilise l'IA pour créer des tableaux ou des sculptures, dispose de caméras dans ses yeux et ses mains bioniques. Il se déplace et s'exprime de manière autonome, sans intervention humaine.

"À travers mes oeuvres d'Alan Turing, je commémore ses réalisations et ses contributions au développement de l'informatique et de l'IA", a déclaré le robot, cité dans un communiqué.

Ce portrait, un visage déstructuré dans des tons sombres, évoque visiblement les craintes d'Alan Turing concernant l'utilisation de cette technologie et "continue d'interroger jusqu'où le pouvoir de l'IA nous mènera", a souligné le créateur d'Ai-Da, Aidan Meller.

Des oeuvres d'Ai-Da ont déjà été exposées à la biennale de Venise, au musée du Design de Londres, aux pyramides de Gizeh ou à l'ONU. Le robot avait donné un discours devant la chambre des Lords en 2022.

D'autres oeuvres interrogeant le rôle de l'intelligence artificielle et la définition de la création artistique seront vendues pendant cette semaine d'enchères en ligne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Théâtre du Jorat: fréquentation en hausse de 30% en 2024

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Ariane Moret, directrice du Théâtre du Jorat, annonce une hausse du nombre de spectacteurs de 30% pour la saison 2024 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Théâtre du Jorat tire un bilan positif de sa saison 2024 qui s'est déroulée du 24 mai au 22 septembre à Mézières (VD). Au cours de cette période, la "Grange sublime" a attiré un total de 12'000 spectateurs pour 15 spectacles, remplissant 70% de ses places. La hausse est de 13% par rapport à l’année précédente.

Au total, le théâtre a présenté quinze productions suisses et européennes. Plusieurs ont été particulièrement acclamées, à l'instar de "20 000 lieues sous les mers" de Christian Hecq et sa complice Valérie Lesort ou d'"Inri", création romande d’André Hahne et d'ADN Dialect, se réjouit l'équipe de la Grange sublime mardi dans un communiqué.

"Nos efforts pour déployer une palette artistique diversifiée ont porté leurs fruits, avec des initiatives novatrices telles que des lectures d’acteur-trices renommé-es, un atelier d’écriture et des bals qui ont conquis un public enthousiaste", a souligné Ariane Moret, directrice générale et artistique du Théâtre du Jorat, citée dans le communiqué.

Commencés en 2023, les travaux de restauration se poursuivent jusqu'en 2025. Un pavillon chauffé accueillera la buvette dans le jardin. Il est actuellement en construction, tout comme l’annexe qui servira de backstage scénique adapté aux normes actuelles et qui permettra d’accueillir des productions répondant aux exigences contemporaines.

La saison prochaine de ce théâtre d'été entièrement construit en bois débutera en juin 2025. Elle sera suivie d’une inauguration officielle des nouveaux espaces en automne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le poète et autonomiste jurassien Alexandre Voisard n'est plus

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Alexandre Voisard, ici en 1998, est une figure de la Question jurassienne. Membre du Mouvement séparatiste jurassien, puis du Rassemblement jurassien, dès 1947, il est l'auteur du populaire poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir". (© Keystone)

Le poète, écrivain et autonomiste jurassien Alexandre Voisard est décédé mardi à l'âge de 94 ans, a indiqué mardi sa famille. Auteur du poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir", il avait contribué à l’éveil culturel du canton.

Le décès annoncé par le Quotidien jurassien a été confirmé par la famille d'Alexandre Voisard. Résidant en France de longue date, l'écrivain ajoulot était hospitalisé à Porrentruy (JU). Selon son v½u, il sera inhumé à Fontenais, où il a longtemps vécu, d’où il est originaire et citoyen d’honneur, précise sa famille dans un courriel transmis à l'agence Keystone-ATS.

Outre ses activités littéraires et artistiques, Alexandre Voisard était une figure importante de la Question jurassienne.

Membre du Mouvement séparatiste jurassien, puis du Rassemblement jurassien, dès 1947, l'auteur du populaire poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir" deviendra le premier délégué aux affaires culturelles du canton en 1979. Il a aussi été député socialiste au Parlement jurassien de 1979 à 1983.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Pas d'oeuvres spoliées au sein du Musée d'art du Valais

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Le Musée d'art du Valais n'a pas trouvé de traces de spoliation pour l'instant dans ses collections (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Musée du Valais n'a pour l'instant pas trouvé de traces d'oeuvres d'art spoliées dans ses collections. L'institution a mené des recherches sur 125 oeuvres créées avant 1945.

Bénéficiant d'une aide financière de l'Office fédéral de la culture, le Musée d'art du Valais a pu mettre sur pied un projet de recherche de provenance au sein de sa collection. Entre 2023 et 2024, il a clarifié les origines d'une sélection de 125 ½uvres créées avant 1945 et signées par des artistes très recherchés en Suisse et à l'étranger, à l'approche et durant la Seconde Guerre mondiale, comme Félix Valloton, Marguerite Burnat-Provins ou Cuno Amiet.

L'objectif était de déterminer si certaines de ces ½uvres auraient pu être acquises de manière contestable par des acteurs du marché de l'art sous le régime national-socialiste. Les recherches n'ont, à ce stade, pas révélé de traces de spoliation, annonce le canton du Valais dans un communiqué publié mardi.

Dans le détail, la provenance de 31 ½uvres a pu être entièrement retracée; celle de 91 ½uvres n'a pu être que partiellement établie, mais sans qu’il n'y ait d'indice de spoliation.

Enfin, la provenance de trois ½uvres du peintre suisse Caspar Wolf (1735-1787) présente des lacunes qui n'ont pas pu être comblées en raison de changements de propriété durant la guerre, constate le Musée. La recherche demeure toutefois ouverte, notamment pour ces trois toiles du paysagiste alpin. Les recherches ont été menées par Lange & Schmutz, entité spécialisée dans ces questions, sous la direction du musée.

Exposition temporaire

Le rapport final et les résultats de cette recherche sont rendus publics et publiés en ligne sur le site Internet de l'institution. Une exposition temporaire expliquant la démarche sera présentée au Musée du 18 octobre 2024 au 26 janvier 2025.

Des polémiques éclatent régulièrement autour de la provenance des biens culturels détenus par les musées suisses. La collection Gurlitt à Berne ou celle du marchand d'armes Emil Georg Bührle, au Kunsthaus de Zurich, ont notamment fait couler beaucoup d'encre. Ces dernières années, l'attention du public s'est également portée sur les biens culturels confisqués dans un contexte colonial.

A la demande du Parlement, le Conseil fédéral a décidé en 2023 de créer une commission indépendante pour répondre aux questions soulevées par la restitution de patrimoine culturel au passé problématique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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