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Culture

Mort de l'actrice Charlbi Dean, de la Palme d'or "Sans filtre"

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L'actrice et mannequin sud-africain Charlbi Dean, personnage du film "Sans filtre", Palme d'or à Cannes cette année, est morte lundi à New York à l'âge de 32 ans. (archives) (© KEYSTONE/AP/DANIEL COLE)

L'actrice et mannequin sud-africain Charlbi Dean, personnage du film "Sans filtre", Palme d'or à Cannes cette année, est morte lundi à New York à l'âge de 32 ans, a annoncé une porte-parole en confirmant des informations de la presse spécialisée.

"C'est épouvantable", a répondu à l'AFP par courriel une représentante de l'actrice en ajoutant "confirmer les informations de TMZ", le média américain de référence sur les célébrités.

D'après ce site et le média Deadline, Charlbi Dean est décédée "de manière soudaine" lundi dans un hôpital de New York.

Aucune information n'était disponible sur les causes de son décès, notamment sur une éventuelle maladie contre laquelle elle aurait lutté.

Dans le film "Sans filtre" ("Triangle of Sadness" en anglais) du Suédois Ruben Östlund, Charlbi Dean incarne Yaya, top model et influenceuse, obsédée par son image et sa carrière, qui se voit offrir une croisière de luxe avec son petit ami lui aussi mannequin.

Cinq ans après "The Square", Ruben Östlund avait raflé en mai une deuxième Palme d'or au 75e Festival de Cannes avec cette satire jouissive des super-riches et du luxe, jugé comme le film le plus divertissant de la compétition cannoise.

D'après la presse spécialisée, Charlbi Dean Kriek est née le 5 février 1990 au Cap, en Afrique du Sud, et avait débuté le mannequinat à l'âge de six ans, puis une carrière sur les écrans à partir de 20 ans avec deux premiers films sud-africains: "Spud" en 2010 et la suite "Spud 2" en 2013, avec John Cleese notamment. On l'a vue également en 2017 dans un film d'horreur américain, "Don't Sleep", et, l'année suivante dans "Interview avec Dieu" ("An Interview with God").

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Salman Rushdie témoigne au procès de son assaillant présumé

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L'auteur des "Versets sataniques" Salman Rushdie a commencé mardi à témoigner lors du procès aux Etats-Unis de son assaillant présumé (archives). (© KEYSTONE/AP/Ebrahim Noroozi)

L'auteur des "Versets sataniques" Salman Rushdie a commencé mardi à témoigner lors du procès dans le nord des Etats-Unis de son assaillant. Il a raconté avoir "hurlé" de douleur lorsque son agresseur lui a asséné un coup de couteau à l'oeil, dont il a perdu l'usage.

Le procès de Hadi Matar, un Américano-libanais qui a grandi aux Etats-Unis et qui est accusé d'avoir tenté de le tuer à l'été 2022, s'est ouvert lundi à Mayville, dans l'Etat de New York, près de la frontière avec le Canada.

L'auteur américano-britannique a commencé à témoigner mardi. Après avoir prêté serment, l'écrivain, qui porte une paire de lunettes dont un verre est teinté, a raconté devant les jurés son agression au couteau.

La veille, l'accusation avait décrit comment Hadi Matar avait fait irruption pour larder Salman Rushdie de coups de couteaux en pleine conférence sur la protection de la liberté des écrivains, devant environ un millier de personnes.

Hadi Matar "a plongé son couteau avec force, efficacité et rapidité", avait décrit le procureur Jason Schmidt. "Il a frappé la tête, le cou, l'abdomen et le haut de la cuisse". Grièvement blessé sur tout le corps, hospitalisé pendant des semaines, l'écrivain avait perdu l'usage de son oeil droit.

Lundi, l'accusé était entré dans le tribunal en lançant les mots "Palestine libre".

Le procès doit durer environ deux semaines.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Ferdinand Hodler à nouveau à l'honneur au Musée d'art de Pully

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Organisée conjointement avec le Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel, l'exposition "Hodler, un modèle pour l'art suisse" à Pully résulte d'une collaboration étroite avec l'Institut Ferdinand Hodler. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Fort du succès de l'exposition "Hodler et le Léman en 2018", le Musée d'art de Pully (VD) aborde une nouvelle fois l'oeuvre du peintre suisse. Pour la première fois, la manière dont Ferdinand Hodler est perçu par la scène artistique suisse de l'époque est explorée.

Organisée conjointement avec le Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel, l'exposition "Hodler, un modèle pour l'art suisse" résulte d'une collaboration étroite avec l'Institut Ferdinand Hodler, ont indiqué mardi les responsables du musée pulliéran. A voir du 14 février au 25 mai. Elle sera ensuite reprise plus tard au musée neuchâtelois, du 22 juin au 12 octobre 2025.

Au début du 20e siècle, la figure de Ferdinand Hodler (1853-1918) était incontournable. Le peintre jouissait alors d'une reconnaissance dépassant largement les frontières nationales et côtoyait des artistes comme Gustav Klimt et Auguste Rodin.

"La puissance de son oeuvre et sa personnalité imposante ont fait de lui une figure tutélaire de l'art suisse, à tel point qu'à sa mort en 1918, les critiques n'ont pas hésité à affirmer que sans Hodler il n'y aurait pas d'art suisse", ont rappelé les organisateurs de l'exposition.

Une cinquantaine d'artistes

Il est en effet le premier à ne pas avoir quitté son pays pour se former et faire carrière à l'étranger. "Pour tous les artistes de sa génération, comme des suivantes, il a été un modèle ou un repoussoir", expliquent-ils.

L'exposition s'intéresse pour la première fois à la manière dont les artistes de son époque se sont approprié certains préceptes du maître et à la façon dont ils ont cherché à développer leur propre originalité. Elle regroupe ainsi, autour d'une quinzaine d'oeuvres de Ferdinand Hodler, une cinquantaine d'artistes de la première moitié du 20e siècle.

Parmi eux, le public retrouvera à la fois des noms connus, comme Cuno Amiet, Giovanni Giacometti et Félix Vallotton, mais aussi des peintres plus méconnus, voire complètement oubliés, tels Casimir Reymond, Oswald Pilloud ou encore Anna Haller.

Le "Souvenir" de Ramuz

Pour cette exposition au Musée d'art de Pully, une salle est dédiée à la réception de Ferdinand Hodler par l'écrivain vaudois Charles Ferdiannd Ramuz qui vivait dans la maison voisine où se trouve La Muette - Espaces littéraires. En qualité de rédacteur en chef de la revue Aujourd'hui, Ramuz a recueilli des témoignages d'artistes contemporains d'Hodler pour un numéro spécial dédié au peintre, en mai 1931.

L'écrivain vaudois (1878-1947) a notamment écrit un texte sur le peintre suisse, intitulé "Souvenir", qui sera remis à l'honneur.

A noter que pour l'étape neuchâteloise, la même exposition intègrera davantage d'artistes neuchâtelois. Elle présentera notamment Le Falot, un groupe d'artistes opposé à l'esthétique d'Hodler. Elle invitera également trois artistes contemporains (Claudia Comte, Didier Rittener et David Weishaar) à réaliser une intervention artistique en lien avec Hodler.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les biopics se multiplient au cinéma

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Un biopic sur Bob Dylan est sorti en début d'année au cinéma. crédit : AP/Keystone

Charles Aznavour, Bob Dylan, Maria Callas... Trois artistes qui ont un point commun : ils ont tous eu droit dernièrement à leur biopic. Ces films, qui reviennent sur la vie de personnalités publiques, ont le vent en poupe.

C'est une tendance depuis quelques années au cinéma : les biopics se multiplient. Charles Aznavour a été interprété par Tahir Rahim l’année dernière, Timothée Chalamet lui a endossé le rôle de Bob Dylan. C’est Angelina Jolie qui s’est mise dans la peau de Maria Callas. Le film est sorti la semaine dernière. Comment expliquer cette explosion des biopics ? Frédéric Maire, directeur de la Cinémathèque suisse

Frédéric MaireDirecteur de la Cinémathèque suisse

Ces biopics sont-ils d’ailleurs toujours réussis ? 

Frédéric MaireDirecteur de la Cinémathèque suisse

D’autres biopics devraient sortir cette année, notamment des films sur Madonna, Bruce Springsteen ou Michael Jackson.

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Culture

Surtourisme: Venise maintient en 2025 son système d'entrée payante

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En 2024, les touristes à la journée ont dû s'acquitter d'une taxe pour visiter Venise durant 29 jours de grande affluence entre avril et juillet (archives). (© KEYSTONE/EPA ANSA/ANDREA MEROLA)

Venise a confirmé lundi le maintien en 2025 de son système d'entrée payante pour visiter la ville italienne à la journée. Cette taxe a été lancée en 2024 pour lutter contre le surtourisme.

L'an dernier, les touristes à la journée avaient dû s'acquitter d'un ticket d'entrée de cinq euros pour accéder à la Cité des Doges, une première mondiale qui ne concernait cependant que 29 jours de grande affluence entre avril et juillet.

Ce système de réservation avait permis de réduire "légèrement" l'affluence touristique les jours concernés, selon une étude commandée par la mairie.

En 2025, cette période sera étendue à 54 jours à partir du 18 avril. Le tarif sera de 5 euros pour les visiteurs quotidiens réservant au moins quatre jours en avance, mais montera à 10 euros pour les moins prévoyants.

Les habitants et les touristes dormant au moins une nuit sur place resteront exemptés de cette taxe.

L'initiative entend convaincre les touristes de choisir des périodes de moindre fréquentation pour visiter Venise. Le sésame, qui se présente sous forme d'un code QR acquis en ligne, doit être présenté aux principaux points d'entrée de la Sérénissime.

"Décourager le tourisme à la journée"

Le système a pour "objectif de définir un nouveau système de gestion des flux touristiques et de décourager le tourisme à la journée à Venise durant certaines périodes, dans le respect de la fragilité de la ville et de son caractère unique", a expliqué lundi l'adjoint au Tourisme de Venise, Simone Venturini.

Mais pour ses détracteurs, cette taxe est insuffisante pour lutter contre le surtourisme et permet au mieux de renflouer les finances de la ville.

Avec ses célèbres monuments, ses gondoles et ses canaux pittoresques, Venise est l'une des villes les plus visitées au monde. En pic de fréquentation, 100'000 touristes y dorment, en plus de dizaines de milliers de visiteurs journaliers. Un chiffre à comparer aux quelque 50'000 habitants du centre-ville, qui ne cesse de se dépeupler.

Devant les dégâts provoqués par le surtourisme et faute de mesures adaptées pour le juguler, l'Organisation des nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) avait menacé un moment de placer la ville sur la liste du "patrimonial mondial en péril".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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