International
Steve Bannon veut passer "à l'offensive" après son inculpation
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/11/linculpation-de-steve-bannon-est-selon-la-commission-un-message-clair-sur-les-risques-encourus-pour-tous-ceux-qui-refuseraient-de-cooperer-avec-les-elus-1000x600.jpg&description=Steve Bannon veut passer "à l'offensive" après son inculpation', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Steve Bannon, proche de Donald Trump, a promis de passer à l'"offensive" contre le pouvoir après avoir comparu devant un tribunal dans le cadre de son inculpation pour "entrave aux prérogatives d'enquête du Congrès" sur l'attaque contre le Capitole le 6 janvier.
"Nous passons à l'offensive, nous sommes fatigués de jouer la défense", a-t-il lancé lundi à la presse après sa comparution, accusant le président démocrate Joe Biden d'avoir directement ordonné les poursuites. "Ce pays s'est bâti sur la liberté d'expression", a-t-il ajouté, promettant "l'enfer" aux responsables démocrates.
"Tenez-vous prêts", a-t-il répété, reprenant une phrase polémique de Donald Trump pendant la campagne, quand l'ex-président avait appelé le groupuscule d'extrême droite Proud Boys à se "tenir prêt".
Refus de témoigner
L'ancien conseiller de 67 ans est poursuivi pour avoir refusé de témoigner et de transmettre des documents à la commission spéciale de la Chambre des représentants qui enquête sur le rôle de l'ancien président républicain dans l'assaut de ses partisans sur le temple de la démocratie américaine.
Il a été présenté à la juge fédérale Robin Meriweather qui lui a signifié les charges pesant contre lui, avant d'être remis en liberté. Il doit comparaître de nouveau jeudi devant un autre juge. Il encourt entre 30 jours et un an de prison pour chaque chef d'inculpation.
"Du bruit"
Inculpé vendredi, il s'était présenté lundi matin devant les locaux du FBI pour être formellement arrêté. "Nous combattons le régime Biden tous les jours", a-t-il déclaré à la presse à son arrivée, affirmant que "tout ceci, c'est du bruit".
Malgré sa convocation devant les élus à la mi-octobre, Steve Bannon ne s'était pas présenté en invoquant le droit des présidents à garder certains documents et discussions confidentiels.
Conseiller discret mais très influent, il avait joué un rôle crucial dans l'élection de Donald Trump en donnant un virage résolument populiste à la campagne du milliardaire républicain en 2016, avant d'être poussé vers la sortie l'année suivante.
"Cellule de crise"
Il n'exerçait aucune fonction officielle le 6 janvier, mais la commission d'enquête le soupçonne d'avoir parlé de la manifestation avec le président dans les jours précédents. Il faisait notamment partie de la "cellule de crise" dirigée par des conseillers de Donald Trump depuis un hôtel de Washington.
Son témoignage doit permettre aux élus de comprendre ce que faisait Donald Trump avant et pendant l'assaut. L'inculpation de M. Bannon est selon la commission "un message clair" sur les risques encourus par tous ceux qui refuseraient de coopérer avec elle.
Le temps compte
Le temps compte pour cette commission, contrôlée par les démocrates et qui pourrait être démantelée si les républicains remportent les élections de mi-mandat en novembre 2022.
La commission, qui a déjà entendu plus de 150 témoins, a lancé la semaine dernière de nouvelles assignations contre des proches du milliardaire républicain, dont son ancienne porte-parole à la Maison Blanche Kayleigh McEnany ou son conseiller Stephen Miller.
Un autre proche de Donald Trump, son ancien chef de cabinet Mark Meadows, a également snobé vendredi une citation à comparaître, après qu'un juge a suspendu jusqu'au 30 novembre la transmission de documents internes de la Maison Blanche à la commission.
Publication autorisée
Les documents en question comprennent notamment les dossiers d'anciens proches conseillers de Donald Trump ainsi que le journal quotidien de la Maison Blanche - un compte-rendu de ses activités, déplacements, briefings et appels téléphoniques.
Mais pour la commission d'enquête, le président Biden a autorisé la publication des documents et M. Meadows est dans l'obligation de témoigner au risque d'être lui aussi inculpé d'entrave aux prérogatives d'enquête du Congrès.
Le 6 janvier, des milliers de partisans de Donald Trump s'étaient rassemblés à Washington au moment où le Congrès certifiait la victoire de Joe Biden.
L'ancien magnat de l'immobilier s'était adressé à la foule, martelant, sans fondement, que l'élection lui avait été "volée". Plusieurs centaines de manifestants s'étaient ensuite lancés à l'assaut du Congrès, semant le chaos et la violence jusque dans l'hémicycle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Côte d'Ivoire: le parti au pouvoir obtient plus de 77% des sièges
Le parti au pouvoir en Côte d'Ivoire a remporté plus de 77% des sièges aux élections législatives de samedi. Il consolide un peu plus son hégémonie, deux mois après la réélection d'Alassane Ouattara pour un quatrième mandat.
Ces chiffres proviennent des résultats annoncés lundi par la Commission électorale indépendante (CEI).
Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) remporte 197 des 255 sièges, soit 34 de plus que dans l'Assemblée sortante. La participation s'est élevée à 35,04%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Oberstdorf: Suisses en retrait, Domen Prevc survole le concours
Gregor Deschwanden a été le meilleur Suisse lors du premier concours de la Tournée des 4 tremplins. A Obertsdorf, le Lucernois s'est classé 22e. La victoire a souri au favori slovène Domen Prevc.
Deschwanden, qui semble en reprise après un récent passage difficile, a effectué deux sauts presque identiques, à 127 et 128 m. Sandro Hauswirth (25e) s'est également qualifié pour la finale du top 30. Il s'est posé à 125 et 123 m.
Le vétéran Simon Ammann, en lice pour sa 27e tournée, n'est pour sa part pas parvenu à se hisser en finale. Avec un saut de 122 m, il a été battu de peu dans son duel par le Norvégien Halvor Egner Granerud et a fini 34e.
Pour la victoire, Prevc a littéralement écrasé le concours. Il a livré deux énormes sauts à 141,5 et 140 m. Cela lui a permis de devancer de 17,5 points l'Autrichien Daniel Tschofenig. Initialement deuxième ex-aequo, Timi Zajc a été disqualifié pour combinaison non réglementaire. La troisième place est ainsi revenue à l'Allemand Felix Hoffmann.
Le vainqueur du jour a pleinement justifié son statut de favori pour remporter la Tournée, dix ans après son frère aîné Peter.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
10 km classique à Dobbiaco: Nadine Fähndrich 17e
Les Suisses n'ont guère impressionné lors de la 2e étape du Tour de Ski, un 10 km classique à Dobbiaco. Le meilleur résultat a été la 17e place de Nadine Fähndrich.
La Lucernoise, tout comme la Zurichoise Anja Weber (25e), a pris un départ très rapide. A mi-parcours, elles figuraient respectivement au 5e et au 9e rang. Elles ont toutefois perdu beaucoup de temps dans les derniers kilomètres.
La victoire est revenue à la Norvégienne Astrind Slind. Elle a précédé l'Autrichienne Teresa Stadlober et l'Américaine Jessie Diggins, qui reste en tête du général avec 39 secondes d'avance sur Slind. Nadine Fähndrich est 8e à 1'12.
Messieurs largués
Aucun Suisse ne s'est par contre classé dans le top 30 d'une course dominée par les Norvégiens, qui ont monopolisé le podium. Le meilleur résultat des fondeurs suisses est à mettre au compte de Nicola Wigger (48e), qui a concédé 1'38 au vainqueur Mattis Stenshagen. Janik Riebli (63e) est lui aussi resté sous les deux minutes de débours.
La déception est de mise pour Valerio Grond, seulement 83e. Après sa belle performance sur le sprint dimanche (4e), il n'avait "plus assez de puissance dans les bras", comme il l'a expliqué au micro de la SRF.
Deux autres Norvégiens, Johannes Klaebo (2e) et Emil Iversen (3e) sont montés sur le podium derrière Stenshagen, qui a fêté son premier succès en Coupe du monde. Battu, Klaebo réalise quand même une excellente opération en vue du classement général du Tour.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La Finlande va réautoriser la chasse au loup en 2026
La Finlande va réautoriser l'année prochaine la chasse au loup, avec des quotas, afin de gérer sa population croissante. Elle abroge ainsi les mesures de protection en vigueur depuis 1973.
Les modifications apportées à la loi finlandaise sur la chasse permettront la chasse au loup pendant des périodes restreintes, sur la base de quotas régionaux fixés par le ministère finlandais de l'Agriculture et des Forêts.
La période de chasse proposée va du 1er janvier au 10 février 2026, la décision finale sur les dates étant attendue mardi. Auparavant, l'abattage des loups n'était autorisé que lorsqu'un individu représentait un danger ou causait des dommages importants.
Le projet de loi, qui a été facilement adopté par le Parlement finlandais en décembre, pourrait également assouplir les règles strictes relatives à la chasse au lynx et à l'ours, mais la décision finale sera prise ultérieurement. Selon la loi, au moins 65 loups pourraient être abattus au cours de la prochaine saison hivernale, a indiqué le gouvernement finlandais.
Inquiétudes
Selon l'Institut finlandais des ressources naturelles, le pays comptait environ 430 loups en mars, soit une augmentation de 46% par rapport à l'année précédente, la plupart d'entre eux se trouvant dans le sud-ouest du pays.
Les inquiétudes liées aux rencontres avec les loups et au risque qu'ils représentent pour le bétail ont motivé ces changements, qui font suite à la décision prise par l'Union européenne en début d'année de revoir à la baisse le statut de protection du loup, dont l'aire de répartition et le nombre d'individus se sont étendus à l'ensemble du continent.
Les organisations environnementales ont critiqué ce projet de loi, affirmant qu'il risquait d'enfreindre la directive européenne sur les habitats. L'Association finlandaise pour la conservation de la nature estime qu'une population de loups viable devrait compter au moins 525 individus.
Mais le ministère de l'Agriculture et des Forêts du pays a fixé à 273 le nombre de référence pour garantir le statut de conservation du loup. Selon un sondage réalisé en novembre à la demande de deux organisations de défense des animaux, 62% des Finlandais estiment que la chasse au loup ne devrait pas être introduite dans les circonstances actuelles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 2 jours
L'ancien syndic de Lausanne Daniel Brélaz est décédé
-
CultureIl y a 1 jour
Brigitte Bardot est morte à 91 ans
-
SuisseIl y a 2 jours
Un cochon en goguette paralyse le trafic à Coire
-
InternationalIl y a 3 jours
Ukraine: large soutien à Zelensky avant sa rencontre avec Trump
-
SuisseIl y a 2 jours
Deux nouveaux millionnaires au tirage du Swiss Loto
-
InternationalIl y a 2 jours
Les frappes américaines au Nigeria ont visé des groupes jihadistes
-
InternationalIl y a 1 jour
Washington a proposé à Kiev des garanties de sécurité pour 15 ans
-
InternationalIl y a 2 jours
Rast brillante 2e du géant de Semmering, à 0''14 de Scheib


