Économie
Boris Johnson exhorte unionistes et républicains à s'entendre
Boris Johnson a exhorté lundi, sans résultat tangible, unionistes et républicains en Irlande du Nord à s'entendre. Il s'agit de mettre fin à la paralysie politique provoquée par les contrôles post-Brexit, sur fond de tensions avec l'UE.
Dix jours après la victoire historique des républicains du Sinn Fein aux élections locales, le Premier ministre britannique a rencontré au château d'Hillsborough, en périphérie de Belfast, les responsables des formations politiques de cette province britannique.
Son objectif était les convaincre de "retourner au travail" pour régler les problèmes quotidiens de la population, les institutions nord-irlandaises étant à l'arrêt.
Les unionistes du DUP ont en effet refusé de participer à l'exécutif local, pourtant censé être partagé en vertu de l'accord de paix de 1998 qui a mis fin à trois décennies de conflit sanglant. Et ils ont bloqué le fonctionnement l'Assemblée d'Irlande du Nord en ne rendant pas possible pour le moment l'élection de son président.
Frontière douanière
Les unionistes, viscéralement attachés à l'union avec la Grande-Bretagne, entendent ainsi protester contre le protocole nord-irlandais, l'accord signé entre Londres et Bruxelles pour répondre à la délicate question de la frontière entre l'Irlande du Nord britannique et la République d'Irlande européenne après le Brexit. Ce texte crée une frontière douanière de fait avec la Grande-Bretagne, en mer d'Irlande, et menace selon eux la place de cette province au sein du Royaume-Uni.
Évoquant ce protocole, Boris Johnson a expliqué à la télévision que le gouvernement ne "voulait pas le supprimer" car "nous pensons qu'il peut être réparé". Il a ajouté que les responsables des cinq partis qu'il a rencontrés chacun à leur tour lundi jugeaient "aussi" qu'il avait "besoin d'être réformé".
Après avoir discuté avec Boris Johnson, hué à son arrivée par 200 manifestants, la présidente du Sinn Fein, Mary Lou McDonald, a décrit une rencontre "assez difficile" qui n'a pas apporté de "réponses claires".
De son côté, le chef du DUP, Jeffrey Donaldson a réclamé des "actes" et non des "mots" : "je veux voir le gouvernement promulguer une loi qui apportera la solution dont nous avons besoin".
La cheffe de la diplomatie Liz Truss doit présenter mardi le "raisonnement" du gouvernement au parlement, a fait savoir Downing Street, qui insiste sur la nécessité de "progresser urgemment".
La presse britannique évoque un possible projet de loi permettant au gouvernement de suspendre unilatéralement certaines parties du protocole en invoquant son article 16. Son adoption prendrait des semaines et ouvrirait la voie à une longue période de crise entre l'UE et Londres mais aussi en Irlande du Nord.
Lundi, Boris Johnson a déclaré qu'il "aimerait" que les tensions se résolvent "de manière consensuelle avec nos amis et partenaires" de l'UE. Mais il a ajouté que le Royaume-Uni avait besoin de "l'assurance" d'une "solution législative en même temps".
Protéger l'accord de paix
Invoquant les tensions politiques en Irlande du Nord et des perturbations dans les échanges commerciaux, le gouvernement britannique veut renégocier en profondeur le protocole avec l'Union européenne, qui se dit seulement prête à des aménagements.
Londres agite la menace d'actions unilatérales pour outrepasser cet accord. Une telle position est inacceptable pour l'UE, qui reproche à Boris Johnson de revenir sur un traité signé en connaissance de cause, quitte à violer le droit international, et menace de sévères représailles commerciales.
"J'espère que la position de l'UE changera", a écrit Boris Johnson dans une tribune parue dans le Belfast Telegraph, sans quoi "il sera nécessaire d'agir" pour protéger l'accord de paix du Vendredi Saint de 1998.
Les institutions nord-irlandaises avaient déjà connu trois ans de paralysie, sur fond de scandale financier, avant qu'un accord ne permette le rétablissement de leur fonctionnement en janvier 2020.
A son arrivée à une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE à Bruxelles, le chef de la diplomatie irlandaise Simon Coveney a mis en garde contre "des mesures unilatérales ou des menaces de mesures unilatérales" qui violeraient le droit international.
De tels actes sont "la dernière chose dont l'Europe a besoin alors que nous travaillons si bien ensemble face à l'agression russe" en Ukraine, a-t-il ajouté, soulignant que le protocole nord-irlandais et l'accord de libre-échange conclu entre Londres et Bruxelles sont "liés".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La Fed relève son taux, entre inflation et turbulences bancaires
La banque centrale américaine (Fed) a relevé mercredi son taux d'un quart de point de pourcentage, en recherche d'équilibre entre sa lutte contre l'inflation et les turbulences sur le secteur bancaire qui, a-t-elle averti, risquent de "peser" sur l'économie.
Le principal taux directeur de la Fed se situe désormais dans une fourchette de 4,75 à 5,00%, au plus haut niveau depuis 2006, et l'institution prévoit des hausses supplémentaires.
La Fed a par ailleurs averti, dans un communiqué, que la récente crise des banques était "susceptible (...) de peser sur l'activité économique, les embauches et l'inflation". "L'ampleur de ces effets est incertaine", a-t-elle souligné.
Mais l'argent des épargnants est "en sécurité" et le système bancaire reste solide, a assuré en conférence de presse le président de la Fed, Jerome Powell, qui a souligné que l'institution est "résolue à tirer les leçons de l'épisode".
Les responsables de la Fed anticipent majoritairement des hausses supplémentaires du taux dans les mois à venir, mais évoquent plus largement, dans le communiqué, "des actions supplémentaires de raffermissement de la politique", sans mentionner les taux spécifiquement.
Malgré les difficultés, la possibilité d'un atterrissage en douceur de l'économie américaine "existe toujours", a ajouté M. Powell, affirmant que la Fed "tente de trouver" le bon chemin.
Difficile arbitrage
La banque centrale américaine a par ailleurs mis à jour mercredi ses prévisions économiques, dont les dernières avaient été publiées en décembre. Elle anticipe désormais une inflation pour 2023 à 3,6%, contre 3,5% auparavant, et pour 2024 à 2,6%, contre 2,5%.
Les prévisions en termes de croissance du produit intérieur brut (PIB) ont été révisées en légère baisse, à 0,4% contre 0,5% pour 2023, et à 1,2% contre 1,6% pour 2024.
La puissante Fed se trouvait face à un difficile arbitrage: continuer à relever son principal taux directeur pour juguler la forte inflation ou marquer une pause, afin d'éviter d'aggraver les difficultés des banques, les anticipations montrant les hésitations du marché sur le sujet.
Les faillites récemment des banques régionales américaines Silicon Valley Bank (SVB), Signature Bank et Silvergate ont créé une vague d'inquiétudes. Gouvernements, banques centrales et régulateurs sont intervenus en urgence pour tenter de rétablir la confiance, meilleure arme pour éviter une contagion.
"Nous devons renforcer la supervision et la régulation" des banques, a concédé M. Powell, qui a rappelé qu'une enquête des régulateurs est en cours et qui s'est montré favorable à la conduite d'une enquête indépendante.
La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a assuré mercredi, devant une commission du Sénat, que "le système bancaire américain était solide". "Les actions récentes du gouvernement fédéral ont démontré notre engagement résolu à prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de l'épargne des déposants", a-t-elle ajouté.
"Il est important d'être clair: les actionnaires et les créanciers des banques en faillite ne sont pas protégés par le gouvernement. Et aucune perte (...) ne sera supportée par le contribuable", a également souligné la ministre de l'Economie et des Finances de Joe Biden.
Crainte de contagion
Après deux séances de rebond en début de semaine, les Bourses européennes ont évolué mercredi autour de l'équilibre et terminé sur une tendance mitigée. Wall Street était en légère baisse après la début de la conférence de presse du président de la Fed.
Le dollar perdait de son côté plus de 1% face à l'euro, les cambistes interprétant la communication de la Fed comme un signe d'assouplissement.
La Fed a prêté environ 164 milliards de dollars aux banques américaines en quelques jours, afin que tous les clients qui souhaitaient retirer leur argent puissent le faire, ainsi que 142,8 milliards aux deux entités créées par les régulateurs américains pour succéder à SVB et à Signature Bank.
A rebours de la lutte contre l'inflation que mène la Fed, ces prêts ont fait grimper de 297 milliards de dollars son bilan, qu'elle s'efforçait pourtant de réduire depuis juin.
La banque centrale américaine était d'autant plus sous pression que la chute de ces banques a été poussée par les relèvements de ses taux, qui ont grimpé à un rythme inédit depuis le début des années 1980, lors de l'épisode de très forte inflation qu'avaient alors connu les Etats-Unis.
Et son homologue européenne, la BCE, a relevé la semaine dernière ses taux de 0,50 point de pourcentage, en assurant qu'elle ne ferait pas de compromis entre stabilité des prix et stabilité financière.
Au Royaume-Uni, l'inflation a rebondi en février à 10,4% sur un an, tirée par une nouvelle accélération des prix alimentaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Les turbulences financières créent des risques pour l'économie
La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a estimé que les récentes tensions autour du secteur bancaire engendraient de "nouveaux risques" pour l'économie, au moment où l'institut monétaire a encore du "chemin à faire" pour combattre l'inflation.
Les turbulences financières liées aux récentes défaillances de plusieurs banques ont engendré de "nouveaux risques à la baisse" pour l'économie, a déclaré mercredi Mme Lagarde lors d'un forum à Francfort.
"Face à des chocs qui s'accumulent et à une géopolitique changeante, le degré d'incertitude devrait rester élevé", a-t-elle ajouté.
Le scénario de l'institution d'un retour de l'inflation vers 2% en 2025, s'il se confirme, montre qu'il y a "du chemin à faire pour contenir les pressions inflationnistes", a souligné la présidente de la Banque centrale européenne (BCE).
La BCE a remonté ses taux d'intérêt à une vitesse inédite, les relevant de 350 points de base depuis juillet, pour tenter de contenir une inflation ayant atteint un pic supérieur à 10% en octobre, dans le sillage de l'invasion russe en Ukraine.
"Toutefois, l'inflation demeure forte et l'incertitude quant à son évolution s'est accentuée", nécessitant d'avoir "une stratégie robuste pour la période à venir", a martelé l'ancienne ministre de l'Economie.
Le pari d'un retour à la stabilité des prix, définie par un taux d'inflation de 2% à moyen terme, est encore loin d'être gagné: les tensions sur les prix "se sont répandues" avec une inflation "sous-jacente", excluant les secteurs de l'énergie et de l'alimentation, qui oscille actuellement "entre 4 et 8%", selon Mme Lagarde.
Il était donc nécessaire de porter les taux à des niveaux "suffisamment restrictifs, afin de freiner la demande", selon elle. Ce processus "ne commence à prendre effet que maintenant", a-t-elle prévenu.
Pour la suite du resserrement des vannes du crédit, la BCE a abandonné ses anticipations et veut se fier aux données du moment quand elle réunira son Conseil des gouverneurs.
"Autrement dit, ex ante, nous ne nous engageons ni à continuer d'augmenter les taux, ni à mettre fin aux hausses", a précisé Mme Lagarde.
Une certitude selon elle: "Il n'y a pas de contradiction entre la stabilité des prix et la stabilité financière".
Chemin "cahoteux"
Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, a également mis en exergue le dilemme auquel sont confrontées les banques centrales, décrivant "un difficile exercice d'équilibre".
"Nous devons naviguer entre le risque de ne pas réagir suffisamment, ce qui pourrait prolonger les effets inflationnistes des chocs, et celui de réagir de manière excessive, ce qui pourrait transformer la volatilité en instabilité", a expliqué au cours du même forum ce responsable, partisan d'une politique monétaire souple.
Il a également souligné la difficulté d'augmenter les taux d'intérêt tout en réduisant les liquidités par le biais d'un "resserrement quantitatif", soulignant qu'il n'y avait pas de précédent permettant d'anticiper les effets combinés de ces deux mesures.
Cela pourrait "rendre l'ajustement de la politique plus cahoteux", a ajouté M. Panetta.
Ce resserrement quantitatif, autre outil anti-inflation de la BCE, consiste à réduire la taille de son bilan gonflé par des années de mesures de soutien à l'économie.
Des crises inattendues, comme celle de la faillite récente de la Silicon Valley Bank aux Etats-Unis", montrent que des changements soudains de politique monétaire peuvent "même donner lieu à de graves tensions financières", a-t-il observé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Garantie publique pour UBS-CS: l'UDC pose ses conditions
Le groupe UDC exige que la garantie publique de 109 milliards de francs accordée pour la "fusion" d'UBS et Credit suisse soit soumise à l'aval du Parlement. Le parti soumet en outre son soutien à trois conditions, dont la prise de mesures pour garantir la concurrence.
"Sans conditions claires, il ne doit pas y avoir des milliards d'argent public pour les grandes banques", exige mercredi l'UDC au terme d'une séance extraordinaire de son groupe parlementaire.
Le Conseil fédéral doit s'engager devant le Parlement, demande l'UDC, à améliorer la réglementation sur le "too big to fail", qui a failli en l'espèce. Si cela ne devait pas être possible, les banques concernées devraient s'engager à vendre leurs activités à l'étranger ou à cesser des pans importants de leurs affaires.
Le Conseil fédéral doit examiner les agissements, la responsabilité et en particulier les bonus des responsables de Credit Suisse (conseil d'administration et direction) et dire comment ceux-ci peuvent être amenés à rendre des comptes et reverser leurs primes injustifiées.
Le groupe UDC ne soutiendra la garantie publique que si ces conditions sont remplies, prévient-il. Il appelle aussi de ses voeux la tenue d'une session extraordinaire des Chambres fédérales sur le sujet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Regards tournés vers la Fed après les turbulences bancaires
Les yeux sont rivés mercredi sur la banque centrale américaine (Fed), qui achève sa réunion et dira si elle relève ses taux, au moment où la confiance semble revenir sur les marchés après deux semaines de turbulences dans le secteur bancaire.
La puissante Fed se trouve face à un difficile arbitrage: continuer à relever son principal taux directeur pour juguler la forte inflation ou marquer une pause, afin d'éviter d'aggraver les difficultés des banques?
"L'expérience de mort imminente qu'a connue le secteur bancaire au cours des deux dernières semaines devrait rendre les responsables de la Fed plus mesurés", relève Steve Englander, économiste pour Standard Chartered et ancien économiste à la Fed.
L'hypothèse d'une hausse modérée, d'un quart de point de pourcentage, soit 25 points de base, l'emporte très largement parmi les acteurs du marché, selon l'évaluation de CME Group.
Les anticipations avaient fait les montagnes russes, passant en quelques jours d'une forte hausse d'un demi-point de pourcentage après des propos du président de la Fed sur l'inflation, à zéro lors du déclenchement de la crise bancaire.
Les faillites des banques régionales américaines Silicon Valley Bank (SVB), Signature Bank et Silvergate ont créé une vague d'inquiétudes. Gouvernements, banques centrales et régulateurs sont intervenus en urgence pour tenter de rétablir la confiance, meilleure arme pour éviter une contagion.
Mais la banque helvétique Credit Suisse, déjà en difficulté depuis des années, en a fait les frais et a été rachetée dimanche en urgence par sa compatriote UBS.
"Restaurer la confiance"
Le calme semble toutefois revenir: après deux séances de rebond en début de semaine, les Bourses européennes évoluent mercredi autour de l'équilibre. Wall Street avait terminé dans le vert mardi, c'est même le secteur bancaire qui avait mené la hausse du marché, et la banque First Republic, sur la sellette, s'était envolée de presque 30%.
Les indices de la Bourse de New York ont prudemment débuté la séance mercredi, restant proches de l'équilibre: le Dow Jones grappillait 0,04%, le Nasdaq, à dominante technologique, cédait 0,14% et le S&P 500 0,07%.
"La pression sur les titres du secteur bancaire semble se relâcher après les actions des régulateurs pour restaurer la confiance", a commenté Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour HFE, qui n'écarte toutefois pas le risque de "crainte de nouvelles faillites et d'un risque de contagion".
La Fed a prêté environ 164 milliards de dollars aux banques américaines en quelques jours afin que tous les clients qui souhaitaient retirer leur argent puissent le faire, ainsi que 142,8 milliards aux deux entités créées par les régulateurs américains pour succéder à SVB et à Signature Bank.
A rebours de la lutte contre l'inflation que mène la Fed, ces prêts ont fait grimper de 297 milliards de dollars son bilan, qu'elle s'efforçait pourtant de réduire depuis juin.
La réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) a débuté mardi matin et a repris mercredi "à 09H00 (13H00 GMT) comme prévu", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la banque centrale.
Elle doit s'achever mercredi à la mi-journée. Un communiqué de presse sera publié à 14H00 (18H00 GMT) puis le président de l'institution Jerome Powell tiendra une conférence de presse à 14H30 (18H30 GMT).
Jerome Powell "reconnaîtra les risques sur le secteur bancaire mais soutiendra que la menace est contenue", anticipe Ian Shepherdson, chef économiste pour Pantheon Macreconomics.
Comme la BCE?
Pour lui cependant, "toute hausse des taux aujourd'hui serait une erreur" car "la Fed a fait assez pour ramener l'inflation à la cible et nous ne pouvons pas être sûrs que les menaces contre le système bancaire sont passées".
D'autant plus que la chute de ces banques a été poussée par les relèvements des taux de la Fed, qui ont grimpé à un rythme inédit depuis le début des années 1980, lors de l'épisode de très forte inflation qu'avaient alors connu les Etats-Unis.
Compris entre 0 et 0,25% il y a encore un an, les taux se trouvent désormais entre 4,50 et 4,75%.
La Fed doit également mettre à jour ses prévisions économiques et ses responsables dire jusqu'à quel niveau ils jugent opportun de faire grimper les taux.
La banque centrale américaine est d'autant plus sous pression que son homologue européenne, la BCE, a relevé jeudi ses taux de 0,50 point de pourcentage, en assurant qu'elle ne ferait pas de compromis entre stabilité des prix et stabilité financière.
Sa présidente Christine Lagarde a réitéré mercredi que les gardiens de l'euro avaient encore "du chemin à faire" pour combattre l'inflation, tout en mettant en garde que les tensions financières "créent de nouveaux risques" pour l'économie.
Au Royaume-Uni, l'inflation a rebondi en février à 10,4% sur un an, tirée par une nouvelle accélération des prix alimentaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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