International
Deux Palestiniens tués en Cisjordanie
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Deux Palestiniens ont été tués lundi par les forces israéliennes près de Ramallah, dans le centre de la Cisjordanie occupée, théâtre des violences les plus meurtrières en près de sept ans selon les données de l'ONU et de l'AFP.
Les deux Palestiniens, soupçonnés par l'armée israélienne d'avoir tenté de mener une attaque à la voiture bélier, ont été tués "par balles" par des soldats près du camp de réfugiés de Jalazoun, situé juste à la sortie de Ramallah.
Selon l'agence de presse officielle palestinienne Wafa, il s'agit de Bassel Basbous, 19 ans, et de Khaled Anbar, 21 ans. Un troisième, Raafat Habash, 19 ans, a été grièvement blessé.
La mère de Khaled Anbar a affirmé à l'AFP que son fils avait été "exécuté" par les soldats.
"Ils auraient pu les arrêter, pourquoi leur tirer dessus ?", a-t-elle déclaré, assurant que son fils et ses camarades n'avaient pas l'intention de commettre une attaque.
Une équipe de l'AFP a vu des manifestants incendier des pneus et bloquer une route sur place après l'annonce de ces décès.
L'armée israélienne a indiqué avoir ouvert le feu et "neutralisé deux suspects" ayant "tenté" de mener une attaque à la voiture bélier contre des soldats à Jalazoun, après l'arrestation sur place "d'un individu soupçonné d'activité terroriste".
A la suite du décès de ces deux Palestiniens, un appel à la grève générale a été lancé à Ramallah, des groupes de jeunes patrouillant dans les rues insistant pour que tous les commerces ferment pour la journée, selon un journaliste de l'AFP sur place.
L'armée israélienne a multiplié les opérations en Cisjordanie occupée dans la foulée d'une vague d'attaques anti-israéliennes ayant fait 20 morts depuis la mi-mars. Ces opérations, émaillées de heurts avec la population et concentrées dans les secteurs de Jénine et Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie, ont aussi fait des dizaines de morts côté palestinien, dont des membres de groupes armés.
Depuis sept ans
Le bureau de coordination de l'aide humanitaires de l'ONU (Ocha) chiffrait au 20 septembre dernier à 84 le nombre de Palestiniens de Cisjordanie tués depuis le début de l'année par les forces israéliennes.
Depuis cette date, dix autres Palestiniens ont été tués par les forces israéliennes en Cisjordanie occupée selon un décompte de l'AFP.
Ce bilan est le plus élevé depuis une vague de violences fin 2015 - début 2016 en Cisjordanie occupée.
Dimanche, le contrôleur de l'Etat israélien, Matanyahu Englman, a averti que la logistique et la chaîne d'approvisionnement de l'armée ne pouvaient pas suivre le rythme des opérations en cours en Cisjordanie occupée.
"L'armée israélienne mène une opération importante en Cisjordanie et il doit être compris que cette opération pourrait durer encore longtemps", a-t-il estimé, disant que ces recommandations, visant à "améliorer l'infrastructure logistique pour les soldats combattants et les réservistes" exigeaient une réponse "immédiate" des autorités.
Dimanche, deux attaques à l'arme à feu, près de la ville de Naplouse, ont fait deux blessés légers israéliens, un automobiliste et un soldat israélien.
Cette recrudescence des violences en Cisjordanie intervient alors qu'Israël se prépare à de nouvelles élections nationales, le 1er novembre, et sur fond de tensions internes dans les Territoires palestiniens, où de nombreux jeunes accusent l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas de ne pas s'opposer aux opérations des forces israéliennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Zelensky espère que l'aide à Kiev ne sera pas réduite
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit espérer que la série de frappes menées par Israël et l'Iran l'un contre l'autre n'aboutira pas à une diminution de l'aide occidentale à l'Ukraine pour faire face à l'invasion russe.
"Nous aimerions que l'aide à l'Ukraine ne diminue pas pour cette raison. La dernière fois, cela a été un facteur qui a ralenti l'aide à l'Ukraine", a indiqué M. Zelensky lors d'une conférence de presse menée vendredi mais diffusée samedi.
Le président ukrainien a aussi estimé que le soutien européen à l'Ukraine "ralentit" sans les Etats-Unis. Il a par ailleurs affirmé que l'offensive russe à Soumy a été stoppée et dément toute avancée à Dnipropetrovsk.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Crash du Boeing 787 d'Air India: le bilan passe à 279 morts
Le bilan provisoire de l'accident du Boeing 787 d'Air India, qui s'est écrasé jeudi après son décollage d'Ahmedabad, dans le nord-ouest de l'Inde, à destination de Londres, est passé à 279, a-t-on appris samedi de source policière.
Un total de 279 corps ou morceaux de corps ont été acheminés à l'hôpital de la ville depuis la catastrophe, a indiqué sous couvert d'anonymat cette source à l'AFP.
Le précédent bilan faisait état de 265 victimes, passagers et membres d'équipage de l'avion ou victimes tuées au sol par sa chute.
Le vol 171 d'Air India s'est écrasé jeudi moins d'une minute après son décollage à 13h39 à destination de l'aéroport londonien de Gatwick, selon l'aviation civile indienne.
Appel de détresse
Il avait émis un appel de détresse presque aussitôt après avoir quitté le sol, avant de percuter un quartier résidentiel d'Ahmedabad situé au-delà de l'aéroport, dont une résidence de médecins et d'étudiants d'un hôpital voisin.
Selon l'aviation civile indienne, le Boeing 787 avait embarqué 230 passagers - 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un Canadien - et douze membres d'équipage.
Un seul survivant
Seul un des passagers assis à l'avant de l'appareil a miraculeusement survécu au crash et a pu s'extirper de ses débris, blessé.
Le ministre indien de l'Intérieur Amit Shah a indiqué que le bilan définitif de la catastrophe, l'une des plus meurtrières dans le monde depuis 2000, serait rendu public une fois réalisées toutes les identifications ADN des victimes.
Les enquêteurs ont récupéré vendredi une des deux boîtes noires de l'avion, l'enregistreur des données de vol, et continuaient samedi à fouiller le site pour retrouver la seconde, l'enregistreur des conversations du cockpit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Etats-Unis: au moins 10 morts dans des inondations au Texas
Des inondations provoquées par les fortes pluies qui se sont abattues sur le Texas, au sud des Etats-Unis, ont fait au moins 10 morts, ont indiqué vendredi les autorités. Des pluies diluviennes se sont abattues jeudi matin sur la ville de San Antonio,
Elles ont provoqué des crues soudaines sur les routes qui ont poussé des véhicules dans le lit d'un ruisseau voisin, selon la chaîne de télévision locale KENS5. Selon les autorités municipales, les services d'urgence ont effectué plus de 70 sauvetages dans l'eau depuis le début des crues.
Les pompiers de San Antonio sont à la recherche d'au moins quatre autres victimes potentielles, précise KENS5.
"Nous sommes de tout coeur avec les familles de ceux que nous avons perdus dans les crues soudaines de cette semaine et avec les familles qui continuent à chercher leurs proches", a déclaré vendredi le maire de San Antonio, Ron Nirenberg, dans un message sur le réseau social X.
Le changement climatique provoqué par les émissions de combustibles fossiles d'origine humaine augmente la probabilité, l'intensité et la durée des phénomènes météorologiques extrêmes tels que les pluies torrentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Marines se déploient à Los Angeles, malgré le calme
Des Marines armés dépêchés par Donald Trump à Los Angeles ont commencé leurs opérations. Cela avant une journée de manifestations samedi à travers les USA pour protester contre la politique du septuagénaire, jugée de plus en plus autoritaire par ses opposants.
En treillis, fusil semi-automatique à la main, les membres de ces troupes d'élite d'ordinaire déployées à l'étranger ont pris position vendredi autour d'un immeuble fédéral qui héberge notamment le FBI.
Les passants sont abasourdis car aucune manifestation n'a eu lieu dans le quartier de Westwood, dans l'ouest de Los Angeles. "L'argent des contribuables pourrait servir à autre chose", lance RonNell Weaver à l'AFP. "Est-ce vraiment nécessaire?"
Ces unités font partie d'un groupe d'environ 700 Marines qui doivent rejoindre 4000 réservistes de la Garde nationale dont Donald Trump a ordonné le déploiement dans la deuxième ville des Etats-Unis, contre l'avis des autorités démocrates locales.
Ils doivent protéger les bâtiments fédéraux. La police locale doit elle gérer les manifestations de protestation contre les raids anti-migrants de la police de l'immigration (ICE) survenus ces derniers jours dans la mégapole, où vit une importante population hispanique.
"Fantasme fou d'un président dictatorial"
Des Marines ont participé vendredi à l'interpellation près d'un immeuble d'une personne, selon une image prise par un photographe de l'AFP, sans qu'il soit immédiatement possible d'en connaître le motif.
Le calme règne par ailleurs dans la ville, où aucune manifestation d'ampleur n'a été rapportée. Face au déploiement des militaires, le gouverneur démocrate de la Californie, Gavin Newsom, a dénoncé le "fantasme fou d'un président dictatorial" et saisi la justice.
Bras de fer judiciaire
En première instance, un juge fédéral a estimé illégal jeudi l'ordre donné par le président de déployer la Garde nationale avant qu'un juge d'appel n'accorde un répit à Donald Trump, en lui laissant provisoirement le contrôle des soldats.
Ce bras de fer judiciaire survient au moment où les opposants à l'administration Trump se réuniront samedi dans tout le pays sous le slogan "No Kings" ("Pas de rois"). Des manifestations sont prévues sur 2000 sites, dont un défilé à Los Angeles où selon les organisateurs sera déployé "un ballon de six mètres à l'effigie d'un Donald Trump portant des couches".
"Ne pas servir de prétexte"
Les manifestations devraient être "encore plus importantes en raison de ce qui s'est passé dans notre ville", a déclaré lors d'une conférence de presse la maire de Los Angeles, Karen Bass.
"Nous appelons les gens à manifester pacifiquement ce week-end" et "à ne pas servir de prétexte pour déployer des troupes dans notre ville", a-t-elle ajouté.
Grande parade militaire
Le même jour, qui est aussi celui de son 79e anniversaire, le président américain présidera à Washington une grande parade militaire destinée à célébrer les 250 ans de l'armée.
"Si je n'avais pas envoyé les militaires à Los Angeles, la ville serait en train de brûler complètement en ce moment", a réaffirmé vendredi le milliardaire républicain, qui a exagéré de manière répétée l'échelle de la violence dans la ville.
Figure centrale de l'opposition démocrate, M. Newsom, 57 ans, est considéré comme un possible candidat démocrate à la présidentielle de 2028.
Manifestations dans d'autres villes
Les tensions à Los Angeles ont éclaté le 6 juin quand des manifestants ont commencé à protester contre des raids musclés menés contre des sans-papiers.
Largement pacifiques, les manifestations ont été marquées par des violences parfois spectaculaires, avec des voitures brûlées, des commerces pillés, des jets de feux d'artifice et une grande voie rapide bloquée.
Les rassemblements se sont étendus ces derniers jours à d'autres villes américaines, dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston.
Les tensions sont montées d'un cran jeudi quand le sénateur démocrate de Californie Alex Padilla a été extirpé sans ménagement, menottes aux poignets, d'une conférence de presse donnée par la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.
Certains secteurs privés de personnel
Donald Trump a promis pendant sa campagne de s'en prendre aux "criminels venus de l'étranger". Mais ses efforts pour lutter contre l'immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d'activité.
Sur le plan économique, il a admis devoir "faire quelque chose" rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés qui font dans une large part tourner l'agriculture et l'hôtellerie.
Au Mexique, d'où sont originaires nombre de sans-papiers présents au Etats-Unis, la présidente Claudia Sheinbaum a expliqué avoir dit à un haut responsable américain qu'elle n'était "pas d'accord sur le fait de recourir à des descentes de police pour arrêter des personnes qui travaillent honnêtement".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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