International
Irlande du nord: les indépendantistes promettent "une nouvelle ère"
Devançant les unionistes au pouvoir depuis des décennies, le parti nationaliste Sinn Fein, partisan d'une réunification de l'Irlande, a remporté samedi une victoire historique en Irlande du Nord. Elle marque une "nouvelle ère", malgré le risque de paralysie politique.
Cette victoire permet au Sinn Fein, ex-vitrine politique du groupe paramilitaire Armée républicaine irlandaise (IRA), de nommer une Première ministre locale, pour la première fois en cent ans d'histoire d'une province sous tension avec le Brexit.
Alors que touche à sa fin le long dépouillement des bulletins de vote déposés jeudi dans les urnes pour désigner les 90 élus de l'Assemblée locale, des résultats presque définitifs donnent plusieurs sièges d'avance au Sinn Fein face à son rival unioniste DUP, fidèle à la couronne britannique.
Dépasser les divisions
Saluant "un moment très important de changement" avec l'entrée dans "une nouvelle ère", la dirigeante du Sinn Fein en Irlande du Nord, Michelle O'Neill, 45 ans, a promis de dépasser les divisions. "J'offrirai un leadership inclusif, qui célèbre la diversité, qui garantit les droits et l'égalité pour ceux qui ont été exclus, discriminés ou ignorés dans le passé".
A Belfast, le décompte donne jusqu'ici au Sinn Fein 27 des 88 sièges déclarés, contre 24 pour le DUP. Il a aussi obtenu le plus de votes de première préférence (29% contre 21,3%).
Plut tôt dans la journée, le DUP avait déjà reconnu via son chef Jeffrey Donaldson que le Sinn Fein était sur le point de devenir le nouveau parti dominant à l'Assemblée.
Pourparlers difficiles
Le gouvernement doit être dirigé conjointement par nationalistes et unionistes en vertu de l'accord de paix de 1998.
Mais les pourparlers pour la formation d'un gouvernement s'annoncent difficiles et le risque de paralysie plane, les unionistes refusant de rejoindre un gouvernement tant que resteront en place les contrôles douaniers post-Brexit, qui menacent selon eux l'intégrité du Royaume-Uni.
"Je veux un gouvernement en Irlande du Nord, mais il doit être basé sur des fondations stables", a insisté M. Donaldson, déplorant que le protocole nord-irlandais négocié par Londres et l'UE porte "atteinte à l'économie" de la province et à sa "stabilité politique".
"Des mois" de négociations
Un autre ténor du parti, Edwin Poots, a prévenu que des négociations prendraient "des semaines, avec un peu de chance, ou même des mois", alors que le ministre britannique chargé de la province, Brandon Lewis, est attendu prochainement à Belfast.
"Les gens ont parlé et notre travail est maintenant de faire acte de présence. J'attends des autres qu'ils fassent de même", a dit Michelle O'Neill.
Elle a appelé à un "débat sain" sur l'avenir de l'Irlande du Nord, estimant que le nouvel exécutif devait s'attaquer en priorité à l'envolée du coût de la vie, après une campagne durant laquelle elle a insisté sur les questions sociales et sociétales plutôt que constitutionnelles.
Dans un communiqué, Brandon Lewis a appelé toutes les parties à constituer "dès que possible" un exécutif "totalement fonctionnel". Le Premier ministre irlandais, Michael Martin, a souligné qu'il revenait à "tous les partis politiques et les élus" de "servir les intérêts de tous les habitants d'Irlande du Nord".
Marquée par trois décennies de troubles sanglants entre unionistes et républicains, puis l'agitation causée par le Brexit, l'Irlande du Nord avait replongé dans l'incertitude en février, avec la démission du Premier ministre unioniste Paul Givan, mécontent de la situation post-Brexit. Cela avait entraîné automatiquement le départ de la vice-Première ministre Michelle O'Neill.
"Le succès du Sinn Fein profite de la faiblesse de l'unionisme (...) Il ne représente pas un changement radical des opinions en Irlande du Nord en faveur de la réunification", analyse pour l'AFP Katy Hayward, politologue à la Queen's University de Belfast.
Elle note aussi une fracturation du vote unioniste et la progression du parti centriste Alliance (17 sièges).
Revers pour Boris Johnson
Ailleurs au Royaume-Uni, où se tenaient jeudi des élections locales, le Parti conservateur du Premier ministre Boris Johnson a essuyé un sévère revers, miné par le "partygate" et l'inflation. Il a perdu des centaines de sièges et une dizaine de conseils au profit des travaillistes et des libéraux-démocrates.
Boris Johnson s'est dit déterminé à rester au pouvoir. Mais ces piètres résultats le fragilisent et poussent des députés de son camp, inquiets pour les législatives de 2024, à s'interroger sur l'opportunité de continuer à le soutenir.
Pour convaincre, Boris Johnson devra offrir "un vrai plan d'action" mardi lors du traditionnel discours du trône où le gouvernement dévoilera ses priorités au Parlement, estime Simon Usherwood, politologue de l'Open University interrogé par l'AFP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
France: manifestations de soutien aux victimes de viol
Impressionnées par "le courage" de Gisèle Pelicot, droguée par son mari puis violée par des dizaines d'hommes jugés à Avignon, des milliers de personnes ont manifesté samedi en France leur soutien aux victimes de violences sexuelles, pour que la honte change de camp.
"On est toutes Gisèle", "violeur on te voit, victime on te croit", "tu n'es pas seule", ont scandé régulièrement plus de mille manifestantes et manifestants réunis à Paris, place de la République.
A Marseille, plusieurs centaines de personnes - plus de 1000 selon les organisateurs -, se sont rassemblées devant le palais de justice accrochant une banderole "Pour que la honte change de camp". A l'autre bout de la France, à Rennes, de 200 à 400 personnes arboraient des pancartes avec le même slogan ou "protège ta fille, éduque ton fils", "Gisèle on t'aime".
L'appel à se rassembler avait été lancé avec une affiche montrant le visage de Gisèle Pelicot, coupe au carré et lunettes rondes, dessiné par la graphiste belge "Aline Dessine" aux 2,5 millions d'abonnés sur Tik Tok.
Car en acceptant que le procès de son mari et des cinquante hommes qu'il avait recrutés sur internet pour la violer alors qu'elle était inconsciente, soit public, cette femme de 71 ans a soulevé une puissante vague de soutien aux victimes de viols et agressions sexuelles.
"Victime extrêmement courageuse"
"Ça lui demande un énorme courage mais c'était fondamental, ça permet de voir les visages de son mari mais aussi de tous les autres, voir que ce n'était pas des marginaux mais des 'bons pères de famille'", souligne Justine Imbert, 34 ans, venue manifester à Marseille avec sa fille de six ans.
"C'était très important qu'elle soit là aussi. Elle est sensibilisée à ça depuis toujours. Ce que fait Gisèle Pelicot, c'est aussi pour changer les choses pour ma fille plus tard", ajoute Justine.
"On est face à une victime qui est extrêmement puissante, extrêmement courageuse, qui montre son visage, qui a refusé le huis clos et qui demande que le monde entier ait les yeux rivés sur cette affaire, donc nous on est là pour la mettre en lumière et pour demander que la justice soit faite", souligne aussi Elsa Labouret, porte-parole d'Osez le féminisme! qui a manifesté à Paris, place de la République.
Fin du tabou
"On espère que cette affaire crée une jurisprudence pour la prise en charge des violences sexistes et sexuelles à l'avenir", ajoute-t-elle.
Car partout, les manifestants ont exprimé le souhait que ces sujets ne soient plus tabous, alors que dans une autre affaire récente, des accusations d'agressions sexuelles longtemps tues visent aussi l'abbé Pierre depuis juillet.
Le procès de Dominique Pelicot et de ses 50 co-accusés des viol de Mazan doit pousser la société et les pouvoirs publics à agir, pour les manifestants.
"Ce procès médiatisé va permettre d'en parler, de réveiller les consciences", espère Martine Ragon, 74 ans, retraitée, manifestant à Marseille pour "dénoncer la culture du viol".
"Quand j'ai lu l'histoire, j'ai eu du dégoût, même du dégoût d'être un homme (...) J'espère qu'il y aura de vraies condamnations, de vrais exemples", dit à l'AFP Stéphane Boufferet, 26 ans, travailleur dans le milieu agricole qui a manifesté avec environ 200 personnes à Clermont-Ferrand aux cris de "Soutien à Gisèle et Caroline" Pelicot.
Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes a réitéré à Paris l'appel des organisations féministes pour une "loi intégrale contre les violences sexistes et sexuelles" qui comprendrait 95 mesures, comme "une enquête systématique sur les mis en cause dès lors qu'une plainte est déposée" ou "former les juges des cours criminelles départementales", a-t-elle énuméré.
Et d'ajouter: "On a estimé qu'il faudrait au moins trois milliards en tout pour agir sur le sujet des violences sexuelles, 3 milliards ce n'est même pas 0,5% du budget de l'Etat, 0,5% du budget de l'état pour avoir la vie sauve".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alinghi fessé deux fois par Britannia
Alinghi a été nettement dominé lors des deux premiers duels des demi-finales de la Coupe Louis Vuitton. Le défi suisse a été mangé par Britannia.
Contrairement aux deux duels du Round Robin, Alinghi a bien manoeuvré lors du départ de la première régate pour prendre l'avantage, mais cela n'a pas suffi. Au final, les Helvètes ont concédé plus de deux minutes.
Le deuxième duel fut en revanche une copie de ceux du Round Robin avec des Helvètes pénalisés pour être sortis du terrain de jeu. Quasiment à l'arrêt, ils ont même failli être disqualifiés, avant de pouvoir reprendre de la vitesse et se hisser sur leurs foils.
Dans ces conditions, les Anglais ont pu contrôler la course avec une facilité déconcertante. Le skipper Arnaud Psarofaghis a paru désabusé lorsque les pénalités sont tombées et que son bateau a cessé de voler.
Alinghi tentera de faire mieux demain dimanche, mais c'est déjà 2-0 dans cette série au meilleur des neuf manches. Le premier à remporter cinq victoires accèdera à la finale de la Coupe Louis Vuitton Cup et rencontrera le vainqueur du duel entre les Italiens de Luna Rossa ou les Américains d'American Magic. Comme les Britanniques, les Italiens ont assumé leur rôle de favori en enlevant les deux premiers duels de la demi-finale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'Ouganda enterre son athlète victime d'un féminicide
Des centaines d'Ougandais et d'athlètes ont rendu samedi un dernier hommage à l'athlète ougandaise Rebecca Cheptegei. Cette dernière a été immolée par le feu par son compagnon début septembre au Kenya, quelques semaines après avoir couru le marathon des J0 de Paris.
La marathonienne de 33 ans avait succombé à ses graves et multiples blessures le 5 septembre après avoir été agressée le 1er septembre par son compagnon kényan au Kenya, où elle vivait et s'entraînait.
Son agresseur, 32 ans, l'avait aspergée d'essence avant de l'immoler. Lui-même gravement brûlé, il est décédé lundi dans un hôpital kényan.
Précédents
Le décès de Rebecca Cheptegei a provoqué une vague internationale d'hommages et d'indignation. Des militants des droits humains ont dénoncé ce nouveau féminicide au Kenya, où deux autres athlètes, Agnes Tirop et Damaris Mutua, ont été tuées et leurs compagnons respectifs accusés des meurtres depuis 2021.
Samedi matin, des proches de l'athlète ougandaise, des habitants, des responsables officiels, se sont rassemblés pour lui rendre un dernier hommage dans le village de Bukwo où habite sa famille, à quelque 380 kilomètres au nord-est de la capitale Kampala.
La cérémonie pour honorer la mémoire de l'athlète, qui était aussi sergente au sein de l'armée ougandaise, a débuté à 10h00 par un rassemblement de membres de sa famille et de responsables dans une salle de mairie locale.
Son cercueil, couvert du drapeau ougandais, a été salué par des officiers de l'armée, qui ont ensuite transporté la dépouille jusqu'à la salle communale, qui surplombe à perte de vue les collines reculées de l'enfance de la jeune femme.
"Une inspiration"
Rebecca Cheptegei était "une héroïne", a déclaré à l'AFP Bessie Modest Ajilong, représentante locale de la présidence ougandaise, la décrivant comme quelqu'un d'"exceptionnel". "Nous, dirigeants, nous la considérions comme une inspiration", a-t-elle ajouté.
La dépouille de l'athlète a ensuite été transportée de la mairie à un stade, où des centaines de personnes étaient rassemblées pour honorer sa mémoire. Rebecca Cheptegei devait être enterrée au cours de l'après-midi.
De nombreux athlètes ont fait le déplacement jusqu'à cette petite localité pour rendre un dernier hommage à la jeune femme, qui a terminé 44e au marathon des Jeux olympiques de Paris le 11 août.
"Elle a contribué grandement à la promotion de l'athlétisme jusqu'à ses derniers jours", a assuré à l'AFP Alex Malinga, qui l'avait entraînée lorsqu'elle était adolescente. "Cheptegei était une inspiration pour les jeunes générations qui espéraient qu'un jour elles seraient comme elle".
Enfants pas encore informés
Vendredi, les proches de l'athlète au Kenya s'étaient rassemblés pour honorer sa mémoire autour de son cercueil dans la ville d'Eldoret (ouest du Kenya), dans la vallée du Rift - qui est le coeur de l'athlétisme du pays - et près de l'endroit où elle vivait.
Sa dépouille avait ensuite franchi vendredi en fin d'après-midi la frontière entre le Kenya, puissance africaine de l'athlétisme, et l'Ouganda. "Nous sommes extrêmement tristes", avait commenté vendredi Simon Ayeko, l'ex-mari de Rebecca, avec qui elle a eu deux filles.
"En tant que père, cela a été très difficile", a-t-il ajouté, expliquant qu'il n'avait pas encore été en mesure d'annoncer la nouvelle à leurs enfants. "Petit à petit, nous leur dirons la vérité".
Selon la police, l'agresseur de Rebecca s'était introduit et caché chez elle alors qu'elle était à l'église avec ses enfants. La famille de Mme Cheptegei affirme que le couple se disputait la propriété où elle vivait avec sa soeur et ses filles. "Je pense qu'à ce moment-là, leur relation s'était détériorée", a commenté à l'AFP Moses Kipsiro, le beau-frère de Mme Cheptegei.
"Je ne savais pas que quelque chose n'allait pas", a poursuivi M. Kipsiro, originaire de Bukwo et qui s'était entraîné avec Rebecca Cheptegei.
Epidémie de féminicides
Ce meurtre a mis une nouvelle fois en lumière ce que les défenseurs des droits humains qualifient d'épidémie de féminicides au Kenya, pays d'Afrique de l'Est. Selon l'ONU, le pays a signalé 725 cas pour la seule année 2022.
Un rapport publié l'année suivante par le Bureau national des statistiques du Kenya a révélé que la proportion de femmes de 15 à 49 ans ayant subi des violences physiques depuis l'âge de 15 ans était de 34%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une militante américano-turque inhumée en martyre en Turquie
Une jeune militante américano-turque, tuée en Cisjordanie le 6 septembre, a été inhumée en martyre samedi dans l'ouest de la Turquie. Ankara accuse Israël de la mort d'Aysenur Ezgi Eygi.
Le cercueil, recouvert aux couleurs du drapeau turc, a été escorté jusqu'au petit cimetière de Didim, sur la côte égéenne, par une foule de plusieurs centaines de personnes et porté par la police anti-émeute casquée de blanc, réservée aux martyrs tombés au combat.
Dès l'annonce de sa mort, Ankara, qui a ouvert une enquête, avait dénoncé avec force cet "assassinat arbitraire" attribué à l'armée israélienne: le président Recep Tayyip Erdogan a assuré que son pays fera tout "pour que la mort de notre fille, Aysenur Ezgi, ne reste pas impunie".
Samedi, son principal conseiller, Farhettin Altun, a exhorté les Etats-Unis - dont elle était également la ressortissante - à ouvrir une enquête à leur tour sur les conditions de sa mort et à "faire pression sur les autorités israéliennes pour obtenir des réponses et qu'elles rendent intégralement des comptes".
"La communauté internationale doit cesser de regarder ailleurs quand Israël commet des crimes innombrables, un nettoyage ethnique et un génocide", a-t-il accusé sur X.
Gouvernement et opposition ont pris place parmi les proches, dont le ministre des Affaires étrangères, Hakan Fidan, et celui de l'Intérieur, Ali Yerlikyaya, entourés d'une foule scandant à l'arrivée du corps des slogans hostiles à Israël et aux Etats-Unis: "Israël, tueurs" et "Palestine de la rivière à la mer".
"Tir indirect" exclu par les médecins
La jeune femme de 26 ans, récemment diplômée de l'Université de Washington en psychologie et Etudes et Langues du Moyen-Orient, était arrivée à l'âge de dix mois aux Etats-Unis avec sa famille mais revenait fréquemment à Didim, le berceau de la famille, a rapporté un oncle, Ali Tikkim, à l'AFP.
Son corps était arrivé en Turquie vendredi depuis Tel Aviv et aussitôt acheminé à Izmir, troisième ville du pays sur la côte occidentale, où une nouvelle autopsie a confirmé sa mort par "arme à feu", a rapporté la télévision publique TRT.
La TRT a relevé que ces conclusions "correspondent" à celles des trois médecins palestiniens qui écartaient l'hypothèse d'un tir indirect. Ces résultats seront joints au rapport de l'enquête ouverte par le procureur d'Ankara, avait indiqué le ministre de la Justice Yilmaz Tunç.
"Défendre son idéal"
Militante du Mouvement de solidarité internationale (ISM), Aysenur Eygi a été tuée alors qu'elle participait à une manifestation dans le nord de la Cisjordanie occupée, près de Naplouse. L'armée israélienne a jugé "très probable" que des tirs provenant de ses rangs aient tué "indirectement et involontairement" la jeune femme.
"Aysenur a reçu une excellente éducation aux Etats-Unis, elle était mariée, à l'aise financièrement, elle a tout laissé derrière elle pour défendre son idéal" a rappelé vendredi son père éploré, Mehmet Suat Eygi, devant la maison familiale.
M. Eygi s'est félicité de l'ouverture d'une enquête des autorités turques et appelé les Etats-Unis, l'autre pays de sa fille, à faire de même: "J'attends la même chose du gouvernement américain, car Aysenur n'avait que dix mois lorsqu'elle est arrivée aux Etats-Unis", a-t-il fait valoir.
"La seule chose que je demande à l'Etat c'est de réclamer la justice pour ma fille. Que (son) sang soit vengé. Que les responsables soient punis car elle a été délibérément visée", a accusé sa mère, Rabia Birden, citée par l'agence Anadolu.
La Turquie envisage d'émettre des mandats d'arrêt internationaux, en fonction des résultats de son enquête.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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