International
Joe Biden présente "Commander", son nouveau chien
Une distraction bienvenue pour un président en plein marasme politique: Joe Biden a présenté lundi sur Twitter le nouvel habitant à quatre pattes de la Maison Blanche, un chiot appelé "Commander".
"Bienvenue à la Maison Blanche, Commander", lit-on en légende d'un cliché publié sur le compte Twitter officiel du président américain et montrant un jeune chien, qui semble être un berger allemand, en pleine course, une balle dans la gueule.
Une vidéo du même compte présente au public le "petit nouveau de la famille Biden". On y voit le chien s'avancer vers le président - également "Commander in chief", commandant en chef des forces armées - qui le salue d'un "Hey, mon pote". Joe Biden est aussi filmé lançant une balle ou entrant dans la Maison Blanche avec le chiot en laisse, en compagnie de son épouse Jill.
Le président américain souffre d'une cote de confiance très basse et fait face autant à des blocages politiques qu'à une résurgence du Covid-19.
Deux bergers allemands
Ses services n'ont pas donné immédiatement de précisions sur ce nouveau compagnon, dont l'arrivée déclenchera certainement une forte curiosité dans un pays où les animaux domestiques sont particulièrement aimés et choyés.
Joe et Jill Biden avaient emménagé à la Maison Blanche avec deux chiens, deux bergers allemands. Ils ont annoncé en juin dernier sur Twitter la mort du plus âgé, Champ, à 13 ans.
L'autre chien, Major, est le premier animal présidentiel passé par un refuge. Major, qui a mordu deux employés de la Maison Blanche à quelques semaines d'intervalle, a été envoyé non loin, dans l'Etat du Delaware, fief familial des Biden, entre autres pour suivre des cours de dressage.
Il avait été question au printemps qu'un chat rejoigne le couple présidentiel à la Maison Blanche, mais le projet n'a pas été concrétisé à ce jour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
sécurité renforcée à la frontière mexicaine
Des agents de la police des frontières des Etats-Unis ont installé vendredi des fils barbelés entre la ville américaine d'El Paso (Texas) et sa voisine mexicaine de Ciudad Juarez, a constaté une journaliste de l'AFP.
Les agents des douanes et de la protection des frontières (CBP) ont également réalisé des exercices de sécurité près du pont international reliant les deux villes, a-t-il été observé à trois jours de l'investiture de Donald Trump, qui revient lundi à la Maison Blanche.
Le passage des voitures a été interrompu pendant 40 minutes. "C'est la deuxième fermeture que je vois en une semaine", a remarqué à l'AFP Yadira Martínez, utilisatrice du pont international.
Ciudad Juarez est l'un des points habilités par les Etats-Unis pour que les migrants déposent une demande d'asile à travers l'application CBP One. Ce mécanisme, que Donald Trump a promis d'éliminer, a contribué à réduire le nombre de passages clandestins.
Donald Trump a dit après sa victoire vouloir déclarer l'état d'urgence national pour appliquer son projet d'expulsion en masse de migrants, et qu'il comptait utiliser les forces armées en ce sens.
"La menace numéro 1 pour notre sécurité intérieure, c'est la frontière sud" avec le Mexique, a encore déclaré vendredi Kristi Noem, désignée par Donald Trump pour prendre la tête du ministère américain de la Sécurité intérieure, chargé notamment du contrôle de l'immigration.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: Israël a approuvé l'accord de trêve avec le Hamas
Le gouvernement israélien a approuvé samedi après minuit le plan de trêve avec le Hamas prévoyant la libération d'otages détenus à Gaza contre des prisonniers palestiniens, selon un bref communiqué officiel. "Le plan entrera en vigueur dimanche 19 janvier 2025".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
USA: plafond de la dette atteint, "mesures extraordinaires"
Le ministère américain des Finances va prendre des "mesures extraordinaires" à compter du 21 janvier afin de continuer à faire face à ses obligations concernant ses échéances de dette, a annoncé vendredi la secrétaire d'Etat au Trésor sortante, Janet Yellen.
Dans un courrier adressé aux principaux responsables du Congrès, Mme Yellen indique que le plafond de la dette, actuellement situé légèrement au-dessus de 36'000 milliards de dollars, "n'autorise pas de nouvelle dépense".
Des "mesures extraordinaires" seront donc prises à compter du 21 janvier, le lendemain de l'investiture du président élu Donald Trump. Ces mesures concernent l'arrêt de versements à plusieurs fonds de retraites et de prestations de santé ou d'invalidité des agents publics, des ajustements techniques "qui ne sont pas immédiatement nécessaires au paiement des pensions".
"Les retraités et employés de la fonction publique ne seront pas affectés par ces actions", est-il encore écrit. Ce genre de mesures permet d'éviter de prendre du retard sur le paiement des factures, ce qui pénaliserait les fournisseurs de l'Etat et plus globalement l'économie. Elles ne peuvent être que temporaires, le temps que le Congrès relève ou suspende le plafond de la dette.
Si les parlementaires ne parvenaient pas à se mettre d'accord, les Etats-Unis pourraient se retrouver à terme en situation de défaut de paiement.
La hausse, ou la suspension, du plafond d'endettement est un sujet récurrent dans le pays, avec 78 évolutions depuis 1960 - 49 fois sous un président républicain et 29 fois sous un président démocrate, selon le site internet du département du Trésor.
Un rapport officiel publié vendredi anticipe que la dette publique représentera 118% du PIB des Etats-Unis en 2035, contre 100% en 2025.
Donald Trump, qui doit entrer en fonctions le 20 janvier, a répété vouloir continuer à réduire les impôts tout en sabrant dans les dépenses de l'Etat fédéral. Il assure que les rentrées fiscales issues des droits de douane additionnels qu'il veut mettre en place permettront de rééquilibrer les comptes.
"Les Etats-Unis ne vont pas faire défaut sur leur dette si je suis confirmé" comme nouveau secrétaire au Trésor, a affirmé jeudi devant les sénateurs Scott Bessent, le choix de Donald Trump à ce poste.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Breel Embolo: l'erreur fatale
Breel Embolo traverse un début d’année bien difficile. Remplaçant au coup d’envoi, le Bâlois a précipité la défaite de l’AS Monaco à Montpellier (2-1).
Introduit à la 77e minute, Breel Embolo a perdu dans les pieds du Genevois Becir Omeragic un ballon qui a permis à Montpellier de mener une rupture conclue par le Jordanien Mousa Al-Tamari pour le 2-1.
L’absence du capitaine Denis Zakaria, malade, a bien sûr pesé face à la "lanterne rouge". Sans lui, l’équipe souffre d’un déséquilibre dans ses lignes trop souvent fatal. Trois jours après une élimination en Coupe de France à Reims, cette défaite coûte aux Monégasques leur troisième place au classement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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