International
Jour de chaos à Washington: des pro-Trump envahissent le Capitole
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Scènes inimaginables à Washington: des partisans de Donald Trump ont envahi pendant plusieurs heures mercredi le Capitole, temple de la démocratie américaine. Ils ont interrompu la session qui devait confirmer la victoire de Joe Biden.
Après une coupure de plusieurs heures, le Congrès a repris en soirée le processus de certification de la victoire du démocrate, en rejetant, au Sénat puis à la Chambre des représentants, les objections d'élus républicains visant les résultats de la présidentielle dans l'Etat de l'Arizona.
M. Biden avait dénoncé, un peu plus tôt depuis le Delaware, un climat d'"insurrection".
Les images de l'intérieur du majestueux bâtiment situé au coeur de la capitale fédérale américaine marqueront l'Histoire: élus portant des masques à gaz, agents de la police en civil arme au poing.
Elles resteront à jamais associées à la fin de mandat tumultueux de Donald Trump, qui refuse d'accepter sa défaite depuis deux mois et souffle sur les braises de la division en brandissant des théories du complot.
Femme blessée mortellement
Des militaires de la Garde nationale ont été envoyés à Washington pour rétablir le calme après plusieurs heures d'extrême tension. Un couvre-feu est entré en vigueur en fin d'après-midi dans la ville, où l'état d'urgence sera prolongé durant deux semaines.
Au milieu de la confusion, une femme a été mortellement blessée dans le Capitole par un tir de la police de Washington. Cette résidente du sud de la Californie s'appelait Ashli Babbitt et était une ardente partisane du président Donald Trump.
Lors d'une allocution au ton grave, Joe Biden, qui s'installera à la Maison Blanche le 20 janvier, a dénoncé une attaque "sans précédent" contre la démocratie américaine.
Il a appelé Donald Trump à s'exprimer "immédiatement" à la télévision pour réclamer "la fin du siège" du Capitole et de cette "insurrection".
"Je vous aime"
En guise d'allocution solennelle, le président américain s'est contenté de quelques tweets et d'une brève vidéo dans laquelle a demandé à ses partisans de se tenir à l'écart de la violence et de "rentrer chez eux". "Je vous aime (...) Je comprends votre douleur", a-t-il cependant ajouté, évoquant une nouvelle fois une élection "volée".
La vidéo a été retirée peu après par Facebook qui a jugé qu'elle "contribuait aux risques de violence". Le réseau social a par la même occasion décidé de bloquer le président américain pendant 24 heures. De son côté, Twitter a également supprimé la vidéo, a bloqué le compte @realDonaldTrump pour douze heures et l'a menacé de suspension permanente, des mesures sans précédent.
Le seul de ses prédécesseurs républicains encore en vie, George W. Bush, a dénoncé des scènes de chaos dignes d'une "république bananière". Pour Barack Obama, ces violences sont "un moment de déshonneur et de honte" pour l'Amérique.
"Scènes honteuses"
Ces images ont suscité l'indignation à travers le monde. Berlin a appelé les pro-Trump à "cesser de piétiner la démocratie". Londres dénonce des "scènes honteuses". Le président français Emmanuel Macron a appelé à ne rien céder face à "la violence de quelques-uns" contre les démocraties.
Intervention remarquée: le chef de l'Otan Jens Stoltenberg a dénoncé des "scènes choquantes", martelant que le résultat de cette élection démocratique devait être "respecté".
Ignorant le chaos au Congrès, le Dow Jones a terminé sur un nouveau record.
Selon la US Capitol Historical Society, c'est la première fois que le Capitole a été envahi depuis que le bâtiment avait été incendié par les troupes britanniques en 1814.
Dans un geste extraordinaire qui restera probablement dans les livres d'histoire, Donald Trump avait choisi de défier le Congrès en réunissant des dizaines de milliers de ses supporteurs à Washington.
"Nous n'abandonnerons jamais"
A cette occasion, il s'en est pris avec une extrême virulence à son propre camp. Les ténors républicains sont "faibles" et "pathétiques", a-t-il lancé à des dizaines de milliers de partisans.
"Nous n'abandonnerons jamais. Nous ne concèderons jamais" la défaite, a-t-il martelé, mettant la pression sur son vice-président Mike Pence pour qu'il "fasse ce qu'il faut".
Avant que les débats ne sombrent dans la confusion, Mike Pence avait bien commencé à présider la session conjointe de la Chambre des représentants et du Sénat qui doit officialiser le vote de 306 grands électeurs en faveur de Joe Biden contre 232 pour Donald Trump.
Selon la Constitution, son rôle, essentiellement protocolaire, consiste à "ouvrir" les certificats envoyés par chacun des 50 Etats pour transmettre les votes de leurs grands électeurs.
"Trop c'est trop"
Certains élus républicains avaient émis des objections aux résultats de l'élection dans certains Etats, mais plusieurs d'entre eux ont indiqué, après les incidents violents, qu'ils ne s'associaient plus à la démarche. Le chef des républicains au Sénat, Mitch McConnell, a martelé à la reprise que le Congrès ne se laisserait pas "intimider".
Le sénateur républicain Lindsey Graham, un proche allié de Donald Trump, a de son côté annoncé qu'il cessait d'emboîter le pas du président. "Ne comptez plus sur moi. Trop c'est trop", a-t-il dit.
Et, selon certains médias américains, des ministres du milliardaire républicain ont discuté de la possibilité d'invoquer le 25ème amendement de la Constitution, qui autorise le vice-président et une majorité du cabinet à déclarer le président "inapte" à exercer ses fonctions.
Le Sénat désormais démocrate
Ces violents incidents sont intervenus au lendemain de deux élections partielles en Géorgie remportées par les démocrates qui ont repris le contrôle du Sénat aux républicains.
Le candidat démocrate Raphael Warnock a battu la sénatrice républicaine Kelly Loeffler et est entré dans l'histoire en devenant le premier sénateur noir élu dans cet Etat du Sud traditionnellement conservateur.
Et Jon Ossoff a remporté la deuxième sénatoriale cruciale en Géorgie, selon les projections des médias annoncées mercredi après-midi.
Les démocrates auront 50 sièges au Sénat, comme les républicains. Mais comme le prévoit la Constitution, la future vice-présidente Kamala Harris aura le pouvoir de départager les votes, et donc de faire pencher la balance du côté démocrate.
International
Le gouvernement du Bénin dit avoir déjoué un coup d'Etat
Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué une tentative de coup d'Etat visant à renverser le président Patrice Talon, lequel a assuré que la situation était "totalement sous contrôle".
Le bloc ouest-africain de la Cedeao va envoyer un soutien militaire au gouvernement béninois.
Cette tentative de putsch intervient à quelques mois du départ de la présidence de Patrice Talon, après deux mandats à la tête de ce petit pays d'Afrique de l'Ouest à la croissance robuste mais miné par des violences djihadistes dans sa partie nord.
L'Afrique de l'Ouest est particulièrement secouée par l'instabilité politique depuis le début de la décennie avec des coups d'Etat au Mali, au Burkina Faso et au Niger - deux voisins du Bénin -, ainsi qu'en Guinée et plus récemment, fin novembre, en Guinée-Bissau.
Dimanche matin, après des tirs près de la présidence, des militaires avaient fait irruption à la télévision nationale pour annoncer la destitution du président Talon, invoquant pêle-mêle la "dégradation de la situation sécuritaire" ou la remise en cause des "libertés fondamentales".
Quelques heures plus tard, le ministre béninois de l'Intérieur, Alassane Seidou, est apparu à son tour à la télévision nationale pour assurer que le coup avait été déjoué.
C'est ce qu'a confirmé Patrice Talon dans une courte adresse à la Nation dimanche soir, affirmant que la situation était "totalement sous contrôle" et que la "sécurité et l'ordre public seront maintenus partout sur le territoire national".
"Cette forfaiture ne restera pas impunie", a-t-il ajouté, après avoir félicité les militaires de la garde républicaine à son arrivée au palais présidentiel.
La France, ancienne puissance coloniale, a condamné dimanche soir la tentative de coup d'Etat et a appelé ses ressortissants "à la plus grande prudence et notamment à rester confinés", en raison d'"un contexte à cette heure encore volatil".
Après une journée où la plupart des habitants ont vaqué à leurs occupations à Cotonou, la capitale économique s'est vidée un peu plus tôt que d'habitude dans la soirée, selon un journaliste de l'AFP.
Plusieurs barrages militaires étaient déployés dans la zone de la présidence et du camp militaire voisin de Guézo.
"Ce soir, on va essayer de rentrer plus tôt. On ne sait pas qui est à la base de ce coup d'Etat", a expliqué à l'AFP Michelle Eudoxie, une coiffeuse de 50 ans.
"Ce matin j'ai commencé à entendre les sons des balles. J'ai quitté le quartier pour aller ailleurs parce que j'ai eu peur", dit de son côté Nabil Sacca, un vendeur d'essence qui se trouvait près du palais présidentiel dans la matinée.
Déploiement de troupes ouest-africaines
Selon des sources militaires à l'AFP, une douzaine de soldats ont été arrêtés. Parmi eux figurent certains auteurs de la tentative de putsch, a indiqué une source sécuritaire sans préciser si le meneur des mutins, le lieutenant-colonel Pascal Tigri figurait parmi eux.
Selon une source proche du dossier, il est en fuite.
La présidence nigériane a affirmé avoir mené dimanche des frappes à Cotonou à la demande du Bénin pour notamment aider "à déloger les putschistes de la télévision nationale et d'un camp militaire où ils s'étaient regroupés".
"Des forces nigérianes au sol sont actuellement au Bénin", a ajouté Abuja dans son communiqué.
La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cedeao) a de son côté annoncé le "déploiement immédiat" de troupes du Nigeria, de la Sierra Leone, de la Côte d'Ivoire et du Ghana pour soutenir "le gouvernement et l'armée républicaine" du Bénin et "préserver l'ordre constitutionnel".
La Force en attente de la Cedeao a le mandat de garantir la paix et la stabilité de la région. Elle s'est par exemple déployée en Gambie en 2017 lorsque le président sortant Yahya Jammeh refusait de quitter le pouvoir.
Elle avait toutefois finalement renoncé à intervenir en 2023 après le coup d'Etat au Niger.
L'Union africaine (UA) a condamné "fermement et sans équivoque" cette tentative de coup d'Etat.
L'histoire politique du Bénin a été jalonnée de plusieurs coups d'Etat ou tentatives, mais le dernier remonte à 1972.
"Aujourd'hui, c'est comme si je revivais ce que nos parents ont vécu en ce temps-là", raconte Remy Agblo un commerçant.
Patrice Talon, au pouvoir depuis 2016, arrivera en 2026 au terme de son second mandat, le maximum autorisé par la Constitution.
Son dauphin désigné, l'actuel ministre des Finances Romuald Wadagni, fait figure d'ultra-favori pour la présidentielle d'avril 2026, le principal parti d'opposition ayant été écarté de la course.
"Il y a une tension perceptible dans le pays depuis des mois du fait des élections", pointe Anatole Zinsou, informaticien à Cotonou qui déplore "l'exclusion" de certains acteurs des processus électoraux.
S'il est salué pour le développement économique du Bénin, Patrice Talon est régulièrement accusé par ses détracteurs d'avoir opéré un virage autoritaire dans un pays autrefois salué pour le dynamisme de sa démocratie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nigeria: 100 écoliers kidnappés ont été libérés
Cent élèves d'une école catholique de l'ouest du Nigeria, enlevés le 21 novembre par des hommes armés non identifiés, ont été libérés, ont annoncé dimanche une source onusienne et la présidence nigériane. Ils n'ont pas précisé les circonstances de ces libérations.
Les élèves libérés de l'école catholique Saint Mary, à Papiri, dans l'Etat du Niger, "vont être remis demain" lundi à des responsables du gouvernement local, a indiqué la source onusienne, précisant que les élèves étaient arrivés à Abuja.
Cette libération a été confirmée à l'AFP par le porte-parole de la présidence nigériane Sunday Dare.
Au total, 303 élèves et 12 enseignants avaient été emmenés de force du pensionnat Saint Mary, l'un des plus importants kidnappings de masse au Nigeria, pays ravagé par le phénomène. Une cinquantaine d'entre eux avait pu peu après échapper à leurs ravisseurs.
On est sans nouvelle des quelque 165 personnes toujours présumées otages.
"On a prié et attendu leur retour, si c'est vrai alors c'est une nouvelle réconfortante", a réagi Daniel Atori, porte-parole de l'évêque Bulus Yohanna du diocèse de Kontagora dont dépend l'école.
"Toutefois, on ne nous a pas informés officiellement et n'avons reçu aucune notification du gouvernement fédéral", a-t-il ajouté.
Les enlèvements de masse sont fréquents au Nigeria, la plupart perpétrés par des gangs criminels, appelés "bandits", en quête de rançons.
Secteur "structuré et lucratif"
L'un des premiers enlèvements de masse ayant attiré l'attention internationale remonte à 2014 quand les djihadistes de Boko Haram avaient enlevé quelque 300 écolières d'un pensionnat de Chibok, localité de l'Etat de Borno (nord-est). Une décennie plus tard, environ 90 d'entre elles manquent toujours à l'appel.
Et le phénomène des enlèvements en vue d'obtenir une rançon s'est "mué en un secteur structuré à but lucratif" qui a généré environ 1,66 million de dollars entre juillet 2024 et juin 2025, estime un rapport du cabinet de consultants SBM Intelligence, basé à Lagos.
Le mois de novembre a connu une vague importante de kidnappings au cours de laquelle plus de 400 Nigérians - des écolières musulmanes, des fidèles d'une Eglise évangélique, des agriculteurs, une mariée et ses demoiselles d'honneur... - ont été enlevés en 15 jours, ébranlant profondément la nation.
Pays le plus peuplé d'Afrique, fort de 230 millions d'habitants, le Nigeria est presque également divisé entre un nord majoritairement musulman et un sud principalement chrétien et est confronté à une situation sécuritaire très dégradée.
A une insurrection djihadiste active depuis 2009 dans le nord-est du pays, sont venues s'ajouter ces dernières années dans le nord-ouest et le centre les attaques, pillages et enlèvements perpétrés par des bandits, aux mobiles plus financiers qu'idéologiques.
Cette vague d'enlèvements de masse est aussi intervenue sur fond de déclarations de Donald Trump sur une prétendue persécution ciblée des chrétiens du Nigeria par des "terroristes islamistes", un phénomène que démentent Abuja et des experts indépendants. Les attaques au Nigeria visent et tuent aussi bien chrétiens que musulmans, souvent sans distinction.
Le président américain, qui a menacé d'y intervenir militairement, a inscrit le Nigeria sur la liste des "Pays particulièrement préoccupants" (CPC) en termes de liberté religieuse, invoquant "une menace existentielle" sur les chrétiens du Nigeria.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Géant de Beaver Creek: Odermatt s'impose pour la 49e fois
Marco Odermatt a remporté le géant de Beaver Creek. Le Nidwaldien est allé chercher dans le Colorado la 49e victoire de sa carrière, la 28e dans sa discipline de prédilection.
Et de 49! Mais alors qu'il possédait 1''31 avant de s'élancer pour son deuxième effort, Odermatt a transpiré pour aller s'imposer pour la première fois en géant sur la Birds of Prey. Mais comme d'habitude, le boss a conservé assez d'essence sur le bas pour l'emporter.
Le skieur d'Hergiswil a devancé de 0''23 l'Italien Alex Vinatzer, qui a signé son premier podium en géant, et de 0''34 le Norvégien Henrik Kristoffersen.
Les quatre autres Suisses sont un peu plus loin. Mitigé, voilà comment on peut désigner le début de saison de Loïc Meillard. Le skieur d'Hérémence semble manquer d'un petit quelque chose pour aller plus vite et avoir la même facilité qu'en fin de saison passée. Il boucle cette course à la 9e place.
Luca Aerni aurait pu signer un meilleur résultat que sa 13e place, sans une erreur lors de son second passage. Le Valaisan a malheureusement perdu trop de temps sur le bas.
Vainqueur l'an dernier, Thomas Tumler n'a pas réédité son exploit. Solide 5e en première manche, le Grison a reculé pour échouer au 14e rang. A noter la très grande densité dans ce géant où le 28e n'est qu'à 1''98 d'Odermatt. Les douze premiers sont dans la même seconde.
Bon résultat pour Lenz Hächler qui est parvenu à marquer ses premiers points en Coupe du monde en finissant 19e.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Justin Trudeau et Katy Perry officialisent leur relation
Justin Trudeau et Katy Perry ont officialisé leur relation sur les réseaux sociaux. L'ancien Premier ministre canadien et la chanteuse américaine avaient fait une première apparition publique il y a quelques semaines sur un tapis rouge parisien.
Dans une série de photos et vidéos postées sur son compte Instagram samedi, sous le commentaire "A Tokyo en tournée, et plus", l'interprète des hits "I kissed a girl" et "California gurls" s'est affichée dans la capitale japonaise avec Justin Trudeau, posant joue contre joue, en train de manger des sushis, et de dos côte à côte dans un musée.
Plus tôt dans la semaine, Justin Trudeau avait lui-même commenté une photo du duo posant aux côtés de l'ancien Premier ministre japonais Fumio Kishida et de sa femme, posté par le dirigeant nippon. "Katy et moi avons été ravis d'avoir l'occasion de nous asseoir à vos côtés", avait-il écrit sur X.
L'ex-dirigeant politique âgé de 53 ans et la chanteuse de 41 ans avaient été remarqués main dans la main fin octobre sur le tapis rouge d'un cabaret parisien.
Justin Trudeau a quitté ses fonctions de Premier ministre en mars, après dix années passées à la tête du Canada. Lui et sa femme Sophie Grégoire, qui ont trois enfants, avaient annoncé leur séparation à l'été 2023. Katy Perry a elle partagé la vie de l'acteur britannique Orlando Bloom et ils sont les parents d'une fille.
En avril, la popstar avait fait partie d'une escapade entièrement féminine dans l'espace à bord de la fusée Blue Origin du multimilliardaire Jeff Bezos.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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