International
La guerre entre dans Kiev - Crime de guerre majeur à Marioupol (UE)
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/03/des-soldats-ukrainiens-se-recueillent-a-lviv-1000x600.jpg&description=La guerre entre dans Kiev - Crime de guerre majeur à Marioupol (UE)', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La guerre entre dans Kiev: un centre commercial de la capitale ukrainienne a été ravagé par un bombardement russe qui a tué au moins huit personnes, tandis que l'UE a qualifié lundi la dévastation de la ville assiégée de Marioupol de "crime de guerre majeur".
Au 26e jour de l'invasion de l'Ukraine décidée par le président russe Vladimir Poutine, les bombardements se poursuivent sur nombre de villes: Kiev, Kharkiv, Marioupol, Odessa, Mykolaïv...
Le maire de la capitale, Vitali Klitschko, a annoncé un nouveau couvre-feu entre lundi 20h00 (19h00 suisse) et mercredi 07h00. Il a appelé les habitants à porter des masques et ne pas ouvrir les fenêtres, à cause de la pollution causée par les incendies dus aux bombardements.
Les Russes "n'ont pas réalisé d'avancées majeures" dimanche, mais "se préparent à déployer davantage" d'artillerie autour de la capitale, a souligné l'Institute for the study of war (ISW), un think-tank américain.
Selon le ministère de la Défense britannique, l'armée russe, tentant d'encercler Kiev, a "calé" au nord-est de la ville et a été "repoussée par une résistance ukrainienne féroce" au nord-ouest.
Tard dimanche soir, une puissante frappe russe, vraisemblablement un missile, a détruit l'immense centre commercial "Retroville", dans le nord-ouest de Kiev, secouant toute la ville.
Selon Moscou, ce centre commercial était vacant et servait de dépôt d'armements et de munitions. "Une batterie de lance-roquettes multiples ukrainiens et une base de stockage de leurs munitions ont été détruites avec des armes de précision à longue portée dans la nuit du 21 mars dans un centre commercial inopérant", a indiqué le ministère russe de la Défense dans son briefing régulier sur l'offensive en Ukraine.
De l'avis de tous sur le site, c'est l'attaque la plus violente contre Kiev depuis le début de la guerre. D'un immeuble de 10 étages carbonisé, il ne reste que la structure en béton - "les bureaux du centre commercial, heureusement il n'y avait personne", explique un riverain.
Kiev s'est vidée d'au moins la moitié de ses 3,5 millions d'habitants depuis le début de l'invasion.
Marioupol ravagée
Dans la région de Donetsk (est), au moins un civil a été tué et deux blessés à Avdiivka, petite ville industrielle bombardée par l'artillerie et l'aviation russes, selon Pavlo Kyrylenko, chef militaire ukrainien de la région. "Le bombardement se poursuit", a-t-il écrit sur Telegram.
A Marioupol, grande ville portuaire du sud, majoritairement russophone, assiégée et bombardée depuis des semaines par les Russes, 350'000 habitants restent bloqués dans des ruines jonchées de cadavres, manquant de tout.
Moscou avait demandé dimanche aux défenseurs de la ville de "déposer les armes", mais "il n'est pas question de parler de reddition", a rétorqué la vice-première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Corridors humanitaires
Selon Mikhail Mizintsev, directeur du Centre national russe de gestion de la défense, Moscou a ouvert lundi matin "des corridors humanitaires depuis Marioupol vers l'est, et en accord avec la partie ukrainienne, vers l'ouest".
Mais "les occupants continuent à se comporter comme des terroristes", a répliqué Iryna Verechtchouk sur Telegram. "Ils disent qu'ils sont d'accord (pour instaurer un) corridor humanitaire et le matin, ils bombardent le lieu d'évacuation".
Selon les autorités locales, les soldats russes ont transporté de force un millier d'habitants vers la Russie, les privant de leur passeport ukrainien - un possible crime de guerre.
Mme Verechtchouk affirme aussi que "350 enfants vont être emmenés de force en Russie", demandant aux autorités russes "pourquoi".
Crimes de guerre majeur
Marioupol, cible stratégique pour les Russes, constitue un pont terrestre entre leurs forces en Crimée, au sud-ouest, et les territoires qu'ils contrôlent au nord et à l'est.
Selon l'administration militaire de la région de Donetsk, "plus de 80% des infrastructures de la ville sont endommagées ou détruites". La situation humanitaire y est "extrêmement grave", selon l'ONU, avec "une pénurie critique et potentiellement mortelle de nourriture, d'eau et de médicaments".
Pour le chef de la diplomatie de l'UE, Josep Borrell, "ce qui se passe à Marioupol est un crime de guerre majeur. Les bombardements indiscriminés dévastent la ville et tuent tout le monde".
Le ministre ukrainien de la Défense Oleksii Reznikov a salué sur Facebook "les défenseurs héroïques de Marioupol", car "aujourd'hui Marioupol sauve Kiev, Dnipro (centre) et Odessa" (sud) en bloquant les Russes.
Environ 10 millions d'Ukrainiens ont fui leur foyer, dont un tiers environ à l'étranger, principalement en Pologne, selon l'ONU.
L'armée ukrainienne a affirmé lundi que les Russes ont perdu 15'000 soldats, tandis que le président Volodymyr Zelensky annonçait 1300 militaires ukrainiens tués le 12 mars - des chiffres impossibles à vérifier. Des sources du renseignement américain citées par le New York Times avancent plus de 7000 Russes tués.
Moscou fustige Biden
Sur le front diplomatique, le président Zelensky s'est dit "prêt à des négociations" avec le président russe, dans un entretien diffusé par CNN, car "sans négociations, on n'arrêtera pas la guerre". Mais l'Ukraine "ne peut accepter aucun ultimatum de la Russie" pour "arrêter la guerre", a-t-il précisé dans un entretien avec un média.
A Bruxelles, les ministres des Affaires étrangères et de la Défense de l'UE sont réunis pour examiner de nouvelles sanctions contre Moscou, tandis que devant le Conseil des droits de l'homme à Genève, plus de 50 pays, dont la Suisse, s'en sont pris à la situation des droits humains en Russie.
L'UE devrait aussi approuver la constitution d'une force de 5000 combattants et s'engager sur une augmentation de ses dépenses militaires - "une partie de la réponse" au conflit, selon Josep Borrell.
Sur Telegram, le président ukrainien a appelé l'UE à cesser tout commerce avec la Russie, notamment concernant "les ressources énergétiques".
Le Kremlin a de son côté estimé qu'un potentiel embargo européen sur le pétrole russe frapperait "tout le monde".
Les prix du Brent, référence du pétrole en Europe, et du WTI américain ont bondi lundi de plus de 6%, dépassant les 110 dollars le baril.
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, a également appelé lundi la Chine à "jouer un rôle important" pour trouver une "solution politique" au conflit.
Une nouvelle visioconférence a commencé à 16h00 (suisse) entre les dirigeants américain Joe Biden, français Emmanuel Macron, britannique Boris Johnson, allemand Olaf Scholtz et italien Mario Draghi.
La Russie a convoqué lundi l'ambassadeur américain à Moscou et accusé le président Biden d'avoir conduit les relations russo-américaines "au bord de la rupture" par ses déclarations "indignes" visant Vladimir Poutine, qu'il a qualifié de "criminel de guerre.
Cassis à Varsovie avant Biden
M. Biden se rendra vendredi à Varsovie pour y discuter avec son homologue polonais du conflit. La Maison Blanche a précisé que M. Biden irait auparavant en Belgique pour rencontrer des dirigeants de l'Otan, du G7 et de l'UE.
Le président de la Confédération a lui fait le déplacement de Varsovie lundi déjà. Devant les médias accourus en nombre à Varsovie, Ignazio Cassis a expliqué que la Suisse "en tant que pays neutre ne pouvait pas exporter des armes, mais pouvait exporter à peu près tout le reste, à commencer par la générosité et la solidarité".
M. Morawiecki a remercié Ignazio Cassis de sa volonté de "travailler sur de nouveaux paquets de sanctions et d'apporter une aide humanitaire là où la Pologne est en première ligne". "Les comptes bancaires des oligarques russes en Suisse doivent être gelés et leurs avoirs confisqués. J'ai demandé au président (M. Cassis) que la Suisse aborde cette question avec détermination".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie
Les Tchèques et les Slovaques se sont rassemblés par milliers lundi à l'occasion des commémorations de la Révolution de Velours. Ils accusent les dirigeants Andrej Babis et Robert Fico de trahir l'héritage de la transition vers la démocratie.
Le 17 novembre 1989, les communistes tchécoslovaques avaient réprimé une marche pacifique, déclenchant une riposte qui a renversé le régime affidé à Moscou, après quatre décennies de dictature. Cette révolution a restauré la démocratie en Tchécoslovaquie, qui s'est ensuite scindée en République tchèque et en Slovaquie quatre ans plus tard. Puis les deux pays ont intégré l'Union européenne (UE).
Une partie de la population tchèque s'oppose au milliardaire Andrej Babis, arrivé en tête des élections en octobre et qui cherche à monter un gouvernement avec deux partis eurosceptiques.
Le rassemblement dans le centre de Prague avait pour mot d'ordre "La République tchèque n'est pas à vendre", et des banderoles hostiles à M. Babis étaient nombreuses.
"Je ne veux pas perdre la liberté acquise", a déclaré à l'AFP Jachym Prokop, un étudiant de 19 ans, drapeau de l'UE sur ses épaules. Andrej Babis "nous entraîne vers l'Est plutôt que vers l'Ouest", a-t-il ajouté.
"Pacte mafieux"
En 2019, ce même mouvement avait réuni 250'000 personnes contre M. Babis lors de son premier mandat, dans un pays qui compte 10,9 millions d'habitants. Mais il a remporté les élections une seconde fois et cet admirateur du président américain Donald Trump, âgé de 71 ans, s'est allié au parti d'extrême droite SPD. Il a offert à son responsable, Tomio Okamura, poursuivi pour incitation à la haine, la présidence du parlement.
Anciennement communiste, M. Babis est aussi accusé de fraude aux subventions européennes. Il nie tout acte répréhensible, dénonçant une campagne de diffamation.
Selon l'un des organisateurs, Mikulas Minar, son retour au pouvoir émerge donc sur un possible "pacte mafieux", deux inculpés étant à présent en position de s'offrir mutuellement l'immunité contre la justice.
"Cheval de Troie"
En Slovaquie, c'est contre le Premier ministre Robert Fico que se sont mobilisés des dizaines de milliers d'opposants dans plusieurs localités, dont la capitale, Bratislava. "La liberté n'est pas un cadeau mais un droit", ont écrit les manifestants sur des panneaux.
Le dirigeant revenu au pouvoir en 2023 "prend des mesures contraires à la démocratie qui nous ramène avant 1989", estime un organisateur, Marian Kulich.
M. Fico, 61 ans, anciennement communiste lui aussi, exerce son quatrième mandat également grâce au soutien d'un parti d'extrême droite, le SNS. Sur le modèle de la Hongrie voisine, il combat les ONG, remplace les élites culturelles et sape l'indépendance des médias. Il a aussi fait renouer la Slovaquie avec la Russie, malgré l'invasion russe de l'Ukraine, pays qu'il refuse de soutenir.
"En 89, j'étais sur la place luttant contre le communisme et aujourd'hui, j'ai peur que cela ne se répète", a déclaré à l'AFP Lubos Dobsovis, un entrepreneur de 60 ans. "Je veux que nous nous en tenions à notre espace naturel, l'Union européenne", et "je refuse que nous devenions un cheval de Troie pour la Russie".
Gabriela Marienkova, une fonctionnaire de 52 ans, a aussi une impression de déjà-vu. "On était déjà dans la rue à l'époque et maintenant, c'est une véritable catastrophe, ce qui se passe ici. Nous nous battons aussi pour nos enfants", a-t-elle dit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Paul McCartney sort un morceau silencieux pour s'opposer à l'IA
Paul McCartney va sortir un morceau silencieux en décembre, à l’occasion de la réédition d’un album lui aussi muet. Des artistes comme Hans Zimmer ou Kate Bush participent pour dénoncer un projet assouplissant le droit d’auteur lié à l’IA.
Le titre de McCartney intitulé "(Bonus Track)", le premier depuis cinq ans, est un enregistrement d'un "studio vide", avec une succession de bruits de bande magnétique et de cliquetis, d'une durée de deux minutes et 45 secondes.
Il sortira à l'occasion de la réédition en vinyle de l'album "Is This What We Want" ("Est-ce bien cela que nous voulons?") le 8 décembre, a annoncé dimanche le collectif du même nom sur son site.
"Ne pas légaliser le pillage musical"
Plus d'un millier d'artistes dont Annie Lennox, Damon Albarn, Jamiroquai ou Max Richter ont collaboré à cet album muet, sorti en février 2025, qui exhorte le gouvernement britannique à "ne pas légaliser le pillage musical au profit des entreprises d'IA".
"L'album comporte des enregistrements réalisés dans des studios et des salles de spectacle vides, illustrant l'impact que les propositions du gouvernement auraient, selon nous, sur les moyens de subsistance des musiciens", affirment-ils. Seulement un millier de copies en vinyle seront éditées, ont-ils ajouté.
L'ex-Beatle de 83 ans
L'ex-Beatle de 83 ans avait déjà, avec 400 artistes dont Elton John, Coldplay ou Dua Lipa, signé une lettre ouverte exhortant le gouvernement à protéger l'industrie musicale britannique.
L'exécutif travailliste défend un projet de loi, a priori présenté en 2026, visant à appliquer une exception à la loi sur le droit d'auteur pour faciliter l'utilisation des contenus créatifs afin d'entraîner des modèles d'IA.
Ces entreprises technologiques n'auraient plus besoin d'obtenir l'autorisation des auteurs ni de les rémunérer, ce qui suscite la colère de l'industrie musicale.
Selon une étude menée auprès d'artistes et de producteurs par l'association UK Music, publiée mercredi dernier, deux sondés sur trois estiment que l'IA constitue une menace à leur carrière.
Plus de neuf sur dix veulent que leur image et leur voix soient protégées, et demandent aussi à être rémunérés par les entreprises d'IA qui utilisent leurs créations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Une galerie du Louvre ferme à cause d'une "fragilité" de l'édifice
Une des galeries du Louvre va être fermée au public "par mesure de précaution". Un audit a révélé la "particulière fragilité" de certaines poutres d’une aile du bâtiment, a annoncé lundi le musée dans un communiqué.
Abritant neuf salles dédiées à la céramique grecque antique, la galerie Campana sera fermée le temps que des "investigations" soient menées "sur la particulière fragilité de certaines poutres portant les planchers du deuxième étage de l'aile sud" du quadrilatère Sully, qui enserre la cour carrée du Louvre. Il s'agit "d'évolutions récentes et imprévisibles", assure le musée.
Contacté par l'AFP, un porte-parole de l'établissement n'a pas pu préciser quand cette décision prendrait effet ni pour combien de temps.
Dans son communiqué, le musée le plus visité au monde précise également que les bureaux situés au 2e étage de cette aile sud et réservés à des agents du musée seront, eux, évacués "au cours des trois prochains jours".
A l'appui de cette décision, le musée invoque les conclusions d'un rapport d'un bureau d'études techniques qui lui a été remis vendredi, et assure avoir "immédiatement lancé une campagne complémentaire d'investigations afin de déterminer les causes de ces évolutions récentes et mener au plus tôt les travaux nécessaires".
La galerie Campana est située sur la même aile sud du Louvre où un commando de malfaiteurs a réussi à s'introduire le 19 octobre, dérobant huit joyaux de la Couronne d'une valeur estimée à 88 millions d'euros. Les bijoux restent aujourd'hui introuvables.
Grande vétusté du musée parisien
En janvier 2025, la présidente du Louvre Laurence des Cars, sous pression depuis ce spectaculaire casse, avait alerté le ministère de la Culture de l'état de grande vétusté du musée parisien, évoquant notamment "la multiplication d'avaries dans des espaces parfois très dégradés".
Peu après cette alerte, le président Emmanuel Macron avait annoncé le lancement d'un vaste chantier de rénovation et de modernisation du Louvre, centré notamment sur le quadrilatère Sully. Ces travaux ont été estimés par l'entourage du chef de l'Etat à quelque 800 millions d'euros, un montant revu nettement en hausse dans un récent rapport de la Cour des comptes qui évoque un coût d'au moins 1,15 milliard d'euros.
Après avoir été interrogée par des sénateurs dans la foulée du casse du 19 octobre, Laurence des Cars est entendue mercredi matin par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
L'UE défend sa taxe carbone aux frontières à la COP30
L'heure est venue d'imposer une tarification du carbone la plus large possible, a défendu l'Union européenne lundi à la COP30, une réponse implicite aux attaques de la Chine et d'autres pays contre sa taxe carbone aux frontières.
"La tarification du carbone est une mesure que nous devons mettre en oeuvre avec le plus grand nombre possible, et le plus rapidement possible", a dit Wopke Hoekstra, commissaire européen au climat, à son arrivée à Belem, en Amazonie brésilienne, pour la seconde semaine de la conférence sur le climat de l'ONU.
"Vous connaissez tous la citation de Victor Hugo selon laquelle rien n'est plus puissant qu'une idée dont l'heure est venue. Et c'est quelque chose que nous devons poursuivre", a encore affirmé le dirigeant, faisant semble-t-il allusion à cette citation de l'écrivain: "On résiste à l'invasion des armées; on ne résiste pas à l'invasion des idées".
Le mécanisme environnemental européen qui irrite nombre de pays étrangers s'est invité à la COP30. Pour verdir ses importations, l'UE a lancé en 2023 un "mécanisme d'ajustement carbone" aux frontières (CBAM), en phase de test avant de devenir pleinement opérationnel à partir de 2026.
Cette "taxe carbone" s'appliquera à l'acier, à l'aluminium, au ciment, aux engrais, à l'électricité et à l'hydrogène, des secteurs extrêmement polluants et exposés à une forte concurrence internationale. Elle vise à imposer aux importations un prix du carbone similaire à celui en vigueur en Europe, où les entreprises payent déjà pour polluer.
L'Europe met en avant un mécanisme "vertueux", qui incite le reste du monde à être plus exigeant en matière environnementale. Mais il est perçu par d'autres pays comme une barrière commerciale déguisée. Il est notamment dans le viseur des Etats-Unis et d'autres Etats tels que la Chine, l'Inde et la Bolivie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Champions du monde de la fondue titrés à Tartegnin (VD)
-
SuisseIl y a 11 heures
Le revenu moyen des ménages suisses était de 7186 francs en 2023
-
FootballIl y a 3 jours
La Croatie se qualifie pour le Mondial
-
CultureIl y a 1 jour
Genève: une vingtaine de films palestiniens à l'honneur
-
CultureIl y a 2 jours
Lausanne: 30 ans de migrations dans l'objectif d'un photographe
-
SuisseIl y a 2 jours
Protection de civils: l'ONG CIVIC mise sur la Genève internationale
-
VaudIl y a 8 heures
Vaud aura sa Cité des métiers en 2027
-
FootballIl y a 2 jours
Xhaka: "Ce sera parfait mardi quand nous serons qualifiés"


