International
La présidente du CICR peine à relayer "le niveau de souffrance"
La présidente du CICR Mirjana Spoljaric est en Syrie depuis jeudi soir. Vendredi, après avoir observé les dégâts du séisme à Alep, elle a affirmé qu'il était "difficile" de relayer "le niveau des pertes, de souffrance et de destruction".
"Ce séisme dans une région affectée par la guerre n'est rien de moins qu'une catastrophe", a affirmé la présidente du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). "La population est fatiguée", a-t-elle ajouté.
"La situation humanitaire est encore plus grave aujourd'hui", insiste Mme Spoljaric. Elle a promis que l'organisation fera tout ce qu'elle peut et a demandé un accès sans entrave à toutes les régions affectées, rejoignant les nombreux appels de l'ONU à "ne pas politiser" l'assistance.
La présidente a rendu hommage aux volontaires et aux secouristes. "Leurs efforts continus pour aider les personnes affectées par ce désastre et par l'impact de plusieurs années de conflit sont remarquables", a-t-elle encore dit.
Plusieurs responsables onusiens ont également prévu de se rendre en Syrie et en Turquie. L'émissaire Geir Pedersen a affirmé dès jeudi matin qu'il allait s'envoler pour Damas. De son côté, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus disait dans la soirée être "en route". Ce week-end, il sera suivi par le chef des affaires humanitaires de l'ONU Martin Griffiths, attendu également en Turquie, et par la Haute commissaire adjointe pour les réfugiés Kelly Clements.
Et jeudi, un premier convoi onusien avec une assistance pour environ 5000 personnes a pu franchir la seule voie ouverte entre la Turquie et la Syrie. Un second a franchi la frontière vendredi avec de l'aide là aussi pour des milliers de civils. Les Casques blancs syriens ont déploré une aide qui n'est pas adaptée, selon eux, aux défis du séisme dans le nord-ouest du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La Corée du Sud fait état de 18 morts dans des feux de forêt
La Corée du Sud a annoncé mercredi le décès de 18 personnes dans une série de feux de forêt toujours en cours, qui ont déjà causé des "dommages sans précédent", selon le président par intérim.
Des milliers de pompiers luttent depuis le week-end contre plusieurs incendies dans le sud-est du pays, qui ont ravagé des milliers d'hectares et réduit en cendres un temple bouddhique ancien.
Leur travail est compliqué par un temps sec et un vent fort qui facilitent la propagation des flammes.
Ces incendies ont déjà causé la mort de 18 personnes, a annoncé mercredi un responsable du ministère de la Sécurité à l'AFP, ajoutant que "six personnes ont été grièvement blessées et 13 ont subi des blessures mineures".
Ces feux ont "causé des dommages sans précédent", a affirmé mercredi le président par intérim de la Corée du Sud, Han Duck-soo, ajoutant qu'ils "se développent d'une manière qui dépasse les modèles de prévision existants".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump signe un décret pour réformer le processus électoral
Donald Trump a signé mardi un décret exécutif visant à imposer aux Etats américains des contrôles renforcés sur les listes électorales et à restreindre le vote par correspondance, le républicain s'insurgeant contre un système électoral supposément en sa défaveur.
Des experts ont estimé que le texte représentait un dépassement des prérogatives de l'exécutif et des associations ont déjà promis de le contester devant la justice.
Le président américain n'a jamais reconnu sa défaite à la présidentielle de 2020 face à Joe Biden et a dénoncé sans fondement des fraudes électorales massives, notamment dans le vote par correspondance - une méthode largement utilisée aux Etats-Unis.
"Peut-être que certains pensent que je ne devrais pas me plaindre parce qu'on a gagné de manière écrasante" en novembre dernier, a déclaré Donald Trump au moment de signer le décret à la Maison Blanche.
Le décret prévoit de rendre obligatoire la présentation de preuves de citoyenneté américaine au moment de l'inscription au niveau des Etats sur les listes électorales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Faille de sécurité sur le Yémen: Waltz assume sa "responsabilité"
Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Trump à l'origine de la faille de sécurité concernant les frappes américaines au Yémen, a dit mardi assumer sa "responsabilité" après qu'un journaliste s'est retrouvé dans le groupe Signal qu'il avait créé.
"J'assume mon entière responsabilité. J'ai créé ce groupe", a réagi sur Fox News Mike Waltz lors de sa première interview depuis la révélation de ces faits, suggérant qu'il avait pu avoir le numéro du journaliste enregistré sur son téléphone en pensant que c'était celui de quelqu'un d'autre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Cisjordanie: Israël libère un réalisateur palestinien arrêté
La police israélienne a libéré mardi le Palestinien Hamdan Ballal, coréalisateur du documentaire "No other land" oscarisé cette année. Il avait été arrêté la veille après avoir été selon des militants la cible d'une attaque de colons israéliens en Cisjordanie occupée.
L'armée israélienne avait indiqué plus tôt que trois Palestiniens avaient été appréhendés lundi pour avoir "lancé des pierres" lors d'une "confrontation violente" entre Israéliens et Palestiniens dans le village de Soussia, dans le sud de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.
Un porte-parole de la police avait confirmé à l'AFP la détention de Hamdan Ballal, avant l'annonce mardi de la libération des trois Palestiniens.
"Les trois hommes ont été transférés par l'armée à la police israélienne pour enquête sur des soupçons de jets de pierres, de dégâts matériels et de mise en danger de la sécurité", avant d'être libérés sous caution et interdits de contacter les autres personnes impliquées dans les violences, selon un communiqué de la police.
T-shirt taché de sang
Basel Adra, qui a travaillé avec Hamdan Ballal sur "No Other Land", a publié sur X une photo de ce dernier après sa libération, les yeux fermés et le t-shirt taché de sang.
"Hamdan a été libéré et est actuellement soigné dans un hôpital de Hébron. Il a été battu partout sur son corps par des soldats et des colons", a-t-il écrit, en affirmant que "les soldats avaient gardé ses yeux bandés et ses mains menottées toute la nuit".
Basel Adra avait publié une photo sur X lundi soir montrant le moment où, selon lui, Hamdan Ballal a été placé en garde à vue, "blessé et en train de saigner".
"Attaque de colons"
Lundi, Yuval Abraham, également coréalisateur de "No Other Land", a indiqué que M. Ballal avait été battu par un "groupe de colons". "Un groupe de colons a attaqué la maison de Hamdan Ballal. Alors qu'il était blessé et saignait, des soldats sont entrés dans l'ambulance qu'il avait appelée et l'ont arrêté."
Des militants du Center for jewish Nonviolence, une ONG opposée à l'occupation israélienne, ont affirmé qu'ils avaient été témoins des violences à Soussia.
Violences des colons récurrentes
Jenna, une militante américaine membre de l'ONG qui a refusé de donner son nom pour des raisons de sécurité, a affirmé à l'AFP avoir vu les forces israéliennes emmener Hamdan Ballal et deux autres Palestiniens dans une voiture de police.
Elle a ajouté qu'avant l'arrivée des forces israéliennes, un groupe de "15 à 20 colons" avait attaqué les militants présents sur place ainsi que la maison de M. Ballal à Soussia. "Ce type de violence a lieu régulièrement", selon elle.
Zone militaire
Le village de Soussia est situé près de la région de Massafer Yatta, d'où est originaire Basel Adra et qui a été déclarée zone militaire par Israël.
Après une longue bataille judiciaire, la Cour suprême a donné raison en 2022 à l'armée israélienne, dans une décision ouvrant la voie à l'expulsion des habitants des huit villages installés dans cette région.
Déplacement forcé
Tourné à Massafer Yatta, zone du sud de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé pour Israël depuis 1967, "No other land" suit un jeune Palestinien luttant contre ce que l'ONU qualifie de déplacement forcé des habitants des villages du secteur.
Environ trois millions de Palestiniens vivent en Cisjordanie aux côtés de près d'un demi-million d'Israéliens habitant dans des colonies, toutes illégales au regard du droit international.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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