International
Moscou annonce la prise d'une ville-clé, frappes sur Sloviansk
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A la veille de la conférence de Lugano sur l'Ukraine, la Russie a affirmé dimanche avoir conquis Lyssytchansk et contrôler toute la région de Lougansk, avancée potentiellement clé dans la bataille du Donbass. Plus à l'ouest, des frappes ont fait six morts à Sloviansk.
Les forces russes et leurs alliés séparatistes ont pris "le contrôle complet de Lyssytchansk et d'autres villes proches", a annoncé un communiqué officiel cité par les agences de presse russes. Selon ce texte, le ministre de la Défense "Sergueï Choïgou a informé [Vladimir] Poutine de la libération de la république populaire de Lougansk", l'une des deux entités séparatistes, avec celle de Donetsk, combattant depuis 2014 pour faire sécession de l'Ukraine.
L'AFP n'était pas en mesure de vérifier ces informations sur le terrain. Si elle était confirmée, la prise de Lyssytchansk permettrait à Moscou de progresser dans son plan de conquête de l'intégralité du Donbass, région de l'est de l'Ukraine largement russophone et en partie contrôlée par les séparatistes depuis 2014.
Tirs meurtriers sur Sloviansk
Les forces russes pourraient alors avancer vers les villes de Sloviansk et Kramatorsk, plus à l'ouest. Des frappes russes ont touché plusieurs quartiers de Sloviansk, selon le maire de cette ville d'environ 100'000 habitants avant la guerre, Vadim Liakh, qui a fait état dimanche de "six morts et 15 blessés".
"Des tirs au lance-roquettes multiple sur Sloviansk, les plus importants depuis longtemps. Il y a quinze incendies", a ajouté M. Liakh dans une vidéo publiée sur Facebook. Une porte-parole de la région de Donetsk a réitéré l'appel des autorités aux habitants pour qu'ils quittent la région, alors que la ligne de front n'est plus qu'à quelques kilomètres de Sloviansk.
"La ville est en feu"
Dimanche matin, le gouverneur de la région de Lougansk, Serguiï Gaïdaï, avait laissé entendre que les forces ukrainiennes perdaient rapidement du terrain face aux assaillants à Lyssytchansk, qui comptait elle aussi 100'000 habitants avant le début de la guerre.
"La ville est en feu [...] les occupants ont jeté probablement toutes leurs forces sur Lyssytchansk" qu'ils attaquent avec "une méthode d'une brutalité inouïe", avait-il dit, évoquant un assaut beaucoup plus violent que sur la ville jumelle de Severodonetsk, tombée fin juin.
Néanmoins, dans un rapport publié dimanche, l'Institut pour l'étude de la guerre (ISW), basé à Washington, estime que les forces ukrainiennes "ont probablement procédé à un retrait délibéré de Lyssytchansk, entraînant la prise de la ville par la Russie".
Dès samedi, le représentant de l'armée séparatiste de Lougansk, Andreï Marotchko, avait publié sur Telegram une vidéo censée montrer la mairie de Lyssytchansk conquise par les forces russes.
Missiles ukrainiens abattus
L'armée russe a également affirmé avoir abattu dimanche à l'aube "trois missiles (ukrainiens) Totchka-U à sous-munitions" lancés contre la ville de Belgorod, proche de la frontière avec l'Ukraine. Un responsable local avait auparavant annoncé la mort d'au moins quatre personnes après des explosions.
Depuis l'invasion russe de l'Ukraine, le 24 février, Moscou a accusé Kiev à plusieurs reprises d'avoir frappé le sol russe, en particulier dans la région de Belgorod.
Siversk, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Lyssytchansk, pourrait être la prochaine bataille. Les forces ukrainiennes semblent vouloir s'appuyer sur une ligne de défense entre cette ville et Bakhmout, afin de protéger Sloviansk et Kramatorsk, deux villes à haute valeur symbolique.
Bombardements plus forts
Siversk a été pilonnée dans la nuit, ont raconté dimanche à l'AFP des habitants et un responsable local. "C'était intense et ça tirait de tous les côtés", a indiqué à l'AFP une femme réfugiée dans une cave d'immeuble.
"Depuis une semaine, les bombardements sur la ville ont progressivement augmenté, surtout ces derniers jours avec de l'artillerie lourde", a déclaré à l'AFP le premier adjoint au maire, Rouslan Bondarevskiï, alors que dans les locaux de la mairie, des cartons d'aide humanitaire de la Croix-Rouge étaient distribués dimanche aux habitants.
A Kharkiv, deuxième ville d'Ukraine, dans le nord-est, les habitants ont été réveillés une nouvelle fois à 04h00 du matin "par des attaques de roquettes" russes, selon le gouverneur de la région, Oleg Sinegoubov, qui a également fait état de "tirs" dans la matinée sur plusieurs districts.
A Melitopol, ville occupée par les forces de Moscou, l'armée ukrainienne a "mis hors service" dans la nuit de samedi à dimanche une base militaire russe, selon le maire en exil de la commune. Le chef de l'administration prorusse de la région, Evgueni Balitski, a indiqué que des maisons situées à proximité de la base avaient été endommagées et que des obus étaient "tombés sur le territoire de l'aérodrome", tout en assurant qu'il n'y avait pas de blessés.
"Idée absurde"
Dans un entretien accordé dimanche à la télévision allemande ARD, le chancelier Olaf Scholz a déclaré qu'une "capitulation sans condition" de l'Ukraine, comme l'exige M. Poutine "ou une paix imposée" à l'Ukraine n'étaient "pas acceptable".
"Quand je parle avec Poutine, je lui dis toujours: gardez à l'esprit que les sanctions que nous [l'Union européenne, ndlr] imposons à la Russie actuellement resteront", a-t-il ajouté, "l'idée d'une paix qui serait imposée est absurde, vous devriez plutôt concentrer vos efforts pour parvenir à un règlement juste avec l'Ukraine".
Dans un message vidéo samedi soir, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénombré "2610" villes et villages "sous occupation russe". Mais depuis le début de la guerre, l'armée ukrainienne est "parvenue à en libérer 1027", a-t-il assuré.
Reconstruction discutée à Lugano
"Des centaines ont été complètement détruits par l'armée russe et doivent être totalement reconstruits", a-t-il ajouté. La question de la reconstruction du pays doit être au coeur de la conférence de Lugano lundi et mardi.
"Il est non seulement nécessaire de reconstruire tout ce que les occupants ont détruit, mais aussi de poser de nouvelles fondations pour notre vie, pour une Ukraine, sûre, moderne", a-t-il ajouté. Pour lui, cela doit passer par des "investissements colossaux" et des "réformes".
M. Zelensky ne sera pas physiquement présent au Tessin. Mais son premier ministre Denys Chmygal a atterri dimanche à Agno (TI), où il a été accueilli par le président de la Confédération Ignazio Cassis. Il dirige une délégation officielle de plus de 60 personnes, dont plusieurs ministres. S'ajoutent aussi une quinzaine de parlementaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Un assist mais une défaite pour Fiala
Kevin Fiala et les Los Angeles Kings se sont inclinés 2-1 contre Washington. Le Saint-Gallois a toutefois participé au but d'Anze Kopitar en tant que passeur.
En 20 rencontres, Fiala en est à 15 points (9 buts). Les Capitals avaient avant ça marqué deux buts par Matt Roy et Alex Ovechkin pour son 903e goal en carrière. L'attaquant russe a également battu un record appartenant à Girdie Howe en inscrivant son 442e but dans la même enceinte, à savoir la Capitol One Arena de Washington.
Cette défaite met fin à une série de quatre victoires consécutives des Kings. Los Angeles s'est également préparé à la future retraite de son capitaine slovène Anze Kopitar, seul buteur contre Washington, en offrant un contrat de dix ans valant 85 millions de dollars à son attaquant suédois Adrian Kempe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Colombie: 15 mineurs tués dans des frappes militaires
Les frappes militaires colombiennes contre des guérilléros ont tué 15 mineurs dans le pays depuis octobre, a annoncé lundi le président Gustavo Petro. Ce dernier a été vivement critiqué pour ces opérations ayant tué des adolescents victimes de recrutement forcé.
Sous la pression des Etats-Unis qui exigent plus d'actions contre le trafic de drogue, le président de gauche a intensifié son offensive contre les groupes armés avec des bombardements qui ont fait au total au moins 28 morts la semaine dernière.
Le Bureau du Défenseur du peuple colombien avait fait état samedi de la mort de sept mineurs lors de bombardements de l'armée visant une guérilla, dans le département amazonien du Guaviare (sud), le 10 octobre. Une opération qui a conduit le parquet général militaire et policier à annoncer l'ouverture d'une enquête.
Le chef de l'Etat a ensuite signalé lundi cinq autres mineurs décédés: quatre lors d'un bombardement le 1er octobre dans le département de Caqueta (sud) et un autre jeudi à Arauca (nord-est), à la frontière avec le Venezuela. "Tous sont des victimes du recrutement forcé par des criminels qui les ont entraînés dans les hostilités", a écrit M. Petro sur X.
L'autorité médico-légale a enfin assuré que trois autres mineurs avaient trouvé la mort dans un bombardement le 24 août à Guaviare.
La Défenseure du peuple, Iris Marin, a appelé samedi les forces militaires à "prendre toutes les précautions possibles pour protéger les enfants".
Le recrutement forcé d'enfants est l'une des graves violations des droits humains observées en Colombie au cours des six décennies de conflit entre armée, guérillas, paramilitaires et cartels.
Les groupes armés actifs dans le pays enrôlent des jeunes par la force ou la ruse afin de grossir leurs rangs, n'hésitant pas à les envoyer au combat, a souligné Mme Marin lors d'un entretien avec l'AFP en octobre.
Selon la Juridiction spéciale pour la paix créée dans le cadre de l'accord de paix signé en 2016 avec l'ex-guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), les groupes armés enlèvent en moyenne un mineur tous les deux jours depuis la signature de l'accord.
A moins d'un an de la fin de son mandat, le gouvernement de gauche de Gustavo Petro est confronté à l'échec de sa stratégie visant à négocier la paix avec les différents groupes armés du pays, et à la pire crise sécuritaire de la dernière décennie en Colombie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'ONU vote pour une force internationale à Gaza
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté lundi pour le plan de paix de Donald Trump à Gaza, prévoyant en particulier le déploiement d'une force internationale, sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise de la guerre.
Treize membres du Conseil se sont prononcés en faveur du texte, que l'ambassadeur américain aux Nations unies Mike Waltz a qualifié d'"historique et constructif". La Russie et la Chine se sont abstenues.
Soutien suisse
La Suisse s'est réjouie de cette décision et a réaffirmé son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats. "La #Suisse salue l’engagement du Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur de la mise en ½uvre du plan de paix pour #Gaza, à travers l’adoption de la résolution d’aujourd’hui, y compris l’établissement d'une #ForceInternationaledeStabilisation.
Le respect du droit international, l’accès humanitaire et la protection des civils doivent rester au c½ur de tous les efforts sur le terrain. La Suisse réaffirme son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats, seul cadre durable pour la paix", peut-on lire sur le compte X du Département fédéral des affaires étrangères.
Pour Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, son adoption est "une étape importante dans la consolidation du cessez-le-feu" à Gaza, ravagée par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023.
Une résolution qui "endosse" le plan Trump
La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.
Le texte "autorise" aussi une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de la sécurisation des frontières avec Israël et l'Egypte, de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques", de la protection des civils et de la formation d'une police palestinienne. La composition de cette force n'est pas évoquée.
Contrairement aux premières versions, l'éventualité d'un Etat palestinien est mentionnée. Après la réforme de l'Autorité palestinienne, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", dit le texte.La résolution, vue par l'AFP, donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Ce comité doit être présidé par Donald Trump.
Trump content, le Hamas pas du tout
Donald Trump a salué lundi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de cette résolution. Elle entraînera selon lui "davantage de paix dans le monde".
"Cela restera comme l'une des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations Unies", a réagi le président américain sur Truth Social, remerciant les pays siégeant au Conseil de sécurité, y compris la Russie et la Chine, qui se sont abstenues.
Pour sa part, le Hamas a déploré l'adoption d'une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.
"La résolution impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent, et elle impose un mécanisme visant à atteindre les objectifs" d'Israël, écrit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué, déplorant notamment la mise sur pied d'une force internationale dont "la mission (...) inclut le désarmement" des groupes palestiniens à Gaza.
Un avenir clairement rejeté par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté dimanche le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
L'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté de son côté sur le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza et la "démilitarisation du Hamas".
Objections russes
Pour la France, qui a voté en faveur de cette résolution, elle "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours".
"Nous nous sommes assurés que le texte (...) inclue des éléments importants pour nous, et notamment des références à la perspective d'un État palestinien", a ajouté une source diplomatique.
Louis Charbonneau, de l'ONG Human Rights Watch, a insisté sur le fait que la résolution ne diminue en rien "l'obligation qu'ont Israël et ses alliés de se conformer au droit international humanitaire et aux droits humains".
La Russie, qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur la perspective d'un Etat palestinien, affirmant un "engagement indéfectible" en faveur de la solution à deux Etats.
L'ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a regretté que "le Conseil donne son aval à une initiative américaine sur la base de promesses de Washington, accordant le contrôle total de la bande de Gaza au Comité de la paix".
D'autres Etats membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de l'ISF.
Face à ce qu'ils ont qualifié de "tentatives de semer la discorde", les Etats-Unis avaient redoublé d'efforts ces derniers jours pour obtenir un feu vert.
"Voter contre cette résolution, c'est voter pour un retour à la guerre", a notamment lancé Mike Waltz avant le scrutin.
Les Américains ont également mis en avant le soutien des pays arabes et musulmans (Qatar, Egypte, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Indonésie, Pakistan, Jordanie, Turquie).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Dossier contre l'ex-directeur du FBI potentiellement "compromis"
La procédure pénale contre l'ancien directeur du FBI James Comey, désigné par Donald Trump à son ministère de la Justice comme une cible prioritaire, apparait lundi mal embarquée, après une nouvelle décision d'un juge très sévère pour l'accusation.
Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de se venger de tous ceux qu'il considère comme des ennemis personnels. James Comey, 64 ans, est devenu fin septembre la première de ces personnalités à être inculpée depuis le retour au pouvoir du milliardaire.
Un juge a relevé dans une décision rendue lundi "une série troublante de faux pas dans la conduite des investigations", susceptible selon lui de motiver une annulation de l'inculpation si la défense en faisait la demande.
"Formulations fondamentalement erronées"
En cause, la présentation par Lindsey Halligan, la procureure choisie par Donald Trump, des éléments du dossier au grand jury - commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête.
"Le tribunal a identifié deux déclarations de la procureure au grand jury qui de prime abord apparaissent comme des formulations fondamentalement erronées de la loi qui pourraient compromettre l'intégrité du processus", explique le juge William Fitzpatrick.
La procureure a ainsi notamment laissé entendre au grand jury que James Comey ne pourrait pas se prévaloir du 5e Amendement de la Constitution américaine, autorisant tout justiciable à ne pas témoigner à son propre procès, relève-t-il.
En conséquence, le juge donne satisfaction à la défense, ordonnant à l'accusation de fournir à celle-ci d'ici lundi soir tous les documents présentés au grand jury pour obtenir l'acte d'accusation contre M. Comey.
"Rancune personnelle"
Les avocats de l'ex-directeur du FBI ont introduit une série de recours en annulation des poursuites, faisant notamment valoir qu'elles étaient motivées par la seule "rancune personnelle" de Donald Trump et que la nomination de la procureure était "illégale".
La procureure générale de l'Etat de New York, Letitia James, elle aussi inculpée à la suite de pressions publiques de Donald Trump, a également exercé des recours sur ces mêmes motifs.
Lors d'une audience la semaine dernière, une autre juge s'est montrée très sceptique sur la légalité de la désignation de la procureure, promettant de rendre une décision à ce sujet d'ici Thanksgiving, le 27 novembre.
Après avoir poussé à la démission le procureur du district est de Virginie en charge de ces dossiers, Donald Trump l'avait aussitôt remplacé à ce poste stratégique par Lindsey Halligan, conseillère à la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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