International
Moscou exclu du Conseil des droits de l'homme, nouvelles sanctions
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La Russie, accusée de "crimes de guerre" en Ukraine, a subi un revers à l'ONU jeudi. Elle a été exclue du Conseil des droits de l'homme. Moscou a aussi fait l'objet d'un embargo de l'UE sur son charbon et de nouvelles sanctions du G7 et de Washington.
L'Assemblée générale des Nations unies a voté par 93 voix contre 24 et 58 abstentions la suspension de la Russie de l'instance basée à Genève. Il s'agit de la deuxième suspension dans l'histoire de l'ONU après l'éviction de la Libye en 2011. Le vote, avec 93 voix pour, a toutefois été moins massif qu'au moment de la condamnation par 141 pays début mars de l'invasion déclenchée par Moscou.
Cette initiative fait suite à la vague d'indignation après la découverte de dizaines de morts dans les zones dont s'est retirée l'armée russe et notamment dans la localité de Boutcha, près de Kiev. L'Ukraine et ses soutiens accusent les troupes russes d'être responsables de ces "crimes de guerre".
La Russie dément toute exaction, dénonçant une "provocation" ukrainienne. Elle a dénoncé un vote "illégal" et averti qu'elle comptait "continuer de défendre ses intérêts par tous les moyens légaux".
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a en revanche exprimé dans un tweet la "reconnaissance" de son pays : "Les criminels de guerre n'ont pas leur place dans les organes de l'ONU visant à protéger les droits de l'homme", a-t-il écrit. Son homologue américain Antony Blinken a assuré que la Russie continuait à commettre des "atrocités" en Ukraine "en ce moment même".
Nouvelles sanctions
L'Union européenne a décidé d'une cinquième salve de sanctions contre Moscou, avec notamment un embargo sur le charbon. C'est la première fois que les Européens frappent le secteur énergétique russe, dont ils sont très dépendants. L'UE importe 45% de son charbon de Russie pour une valeur de 4 milliards d'euros par an. Cet embargo entrera en vigueur début août.
Ce paquet "très substantiel" prévoit également l'interdiction d'exportations vers la Russie, notamment de biens de haut technologie, à hauteur de 10 milliards d'euros, de nouvelles sanctions contre des banques russes, selon la même source. Les représentants des Vingt-Sept ont en outre décidé la fermeture des ports européens aux navires russes.
L'UE est prête parallèlement à débloquer 500 millions d'euros de plus pour financer des armes pour l'Ukraine, a annoncé le président du Conseil européen Charles Michel.
De leur côté les pays du G7 ont annoncé de nouvelles sanctions économiques à l'encontre de la Russie, dont une interdiction de tout nouvel investissement dans des secteurs clefs en réaction à "la poursuite de l'escalade de la guerre" en Ukraine. Et les Etats-Unis ont officiellement révoqué le statut commercial de la Russie et du Bélarus, ouvrant la voie à des droits de douane punitifs.
Corps retirés des décombres
Sur le terrain, 26 corps ont été extraits par les secouristes ukrainiens des décombres de deux immeubles d'habitation bombardés à Borodianka, au nord-ouest de Kiev, a annoncé jeudi la procureure générale d'Ukraine Iryna Venediktova.
C'est "la ville la plus détruite de la région" de la capitale, a-t-elle souligné sur Facebook. "Seule la population civile a été visée", a-t-elle ajouté, alors que le président Volodymyr Zelensky a affirmé que la situation à Borodianka est "bien plus horrible" qu'à Boutcha.
Le secrétaire général adjoint de l'ONU pour les Affaires humanitaires, Martin Griffiths, s'est pour sa part rendu à Boutcha. Il a assuré aux responsables locaux que "le monde est profondément choqué" et que "la prochaine étape" consistera en "une enquête".
Dernière chance pour partir
A Marioupol (sud-est), cité portuaire assiégée et dévastée par l'armée russe depuis fin février, le "nouveau maire" proclamé par les forces pro-russes a annoncé jeudi qu'"environ 5000 personnes" étaient mortes parmi la population civile de cette ville ukrainienne.
"Environ 60 à 70% du parc de logements a été détruit ou partiellement détruit", a ajouté Konstantin Ivachtchenko, nommé à la tête de la ville mercredi par Denis Pouchiline, dirigeant des séparatistes de Donetsk. Les autorités ukrainiennes ont avancé des bilans beaucoup plus lourds.
Mais c'est l'est de l'Ukraine qui fait désormais figure de principal objectif des forces russes, qui ont subi "des pertes militaires importantes", a reconnu jeudi le porte-parole du Kremlin, évoquant "une immense tragédie".
Craignant une offensive contre ces régions, les autorités ont à nouveau appelé la population civile à les quitter. "Les prochains jours sont peut-être la dernière chance pour partir. Toutes les villes libres de la région de Lougansk sont sous le feu ennemi" et les forces russes sont" en train de couper toutes les voies possibles de sortie", a averti le gouverneur Serguiï Gaïdaï.
Ce nouvel appel concerne notamment la ville de Severodonetsk, la plus à l'est tenue par les forces ukrainiennes. La ville est régulièrement pilonnée par les troupes russes et où des journalistes de l'AFP ont vu jeudi des civils évacués par cars, pendant que des explosions retentissaient régulièrement à sa périphérie.
Des armes "maintenant"
Pour se préparer à contrer l'offensive attendue dans le Donbass, Kiev réclame l'aide des Occidentaux. M. Kouleba s'est rendu à Bruxelles pour demander des livraisons immédiates d'armes à ses homologues de l'Alliance atlantique.
"Soit vous nous aidez maintenant (...), soit votre aide arrivera trop tard. Et beaucoup de gens vont mourir, beaucoup de civils vont perdre leur maison, beaucoup de villages vont être détruits si cette aide arrive trop tard", a-t-il martelé devant la presse à l'issue de la réunion.
Et d'assurer que "la bataille pour le Donbass est en cours". "Cela va malheureusement s'aggraver. La bataille pour le Donbass vous rappellera" la "Deuxième Guerre mondiale", avec "des milliers de chars, de véhicules blindés, des avions, de l'artillerie".
Le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg, a de son côté assuré que "les alliés étaient conscients de l'urgence de fournir plus de soutien à l'Ukraine". Il a évoqué un "soutien significatif", tout en estimant "préférable de ne pas se montrer trop précis sur les armements qui seront fournis".
Le volet diplomatique de la crise ne laisse transparaître aucun signe de progrès, au contraire. Moscou a accusé jeudi l'Ukraine d'être revenu sur certaines des propositions qu'il avait faites au cours de pourparlers fin mars à Istanbul et que la Russie avait dit accueillir positivement.
Kiev a immédiatement répliqué, en appelant Moscou à "réduire son degré d'hostilité". M. Kouleba a même accusé son homologue russe Sergueï Lavrov d'être "complice des crimes" commis par l'armée russe en les justifiant.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Emirates commande des Boeing valant 38 milliards de dollars
Le groupe Emirates, propriétaire de la plus grande compagnie aérienne du Moyen-Orient, a annoncé lundi, au premier jour du Salon aéronautique de Dubaï, avoir commandé 65 appareils Boeing 777X pour une valeur de 38 milliards de dollars (30,2 milliards de francs).
Les livraisons devraient commencer à partir du deuxième trimestre 2027 dans le cadre de ce contrat, qui inclut également 130 moteurs GE9X de General Electric.
"C'est un engagement à long terme qui soutient des centaines de milliers d'emplois manufacturiers à haute valeur ajoutée", a commenté le dirigeant d'Emirates, Cheikh Ahmed ben Saeed Al Maktoum, lors d'une conférence de presse.
Emirates, basée à Dubaï, la compagnie aérienne la plus rentable au monde, était déjà le plus important client du Boeing 777.
Elle a maintenant 315 avions gros-porteurs ou long-courriers Boeing en commande. La compagnie a exprimé sa frustration face aux retards répétés de livraisons du 777X, qui avaient déjà été repoussées de 2025 à 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La BCE met en garde contre la bulle technologique liée à l'IA
La flambée des valeurs technologiques et la fragilité de leurs modèles économiques fondés sur l'IA accroissent les risques pour la stabilité financière, a mis en garde lundi un haut responsable de la Banque centrale européenne.
Les géants technologiques américains - Apple, Microsoft, Google, Amazon ou le fabricant de puces Nvidia - sont étroitement surveillés en raison de leurs valorisations élevées et des risques que cela fait peser sur la stabilité des marchés.
Ces marchés financiers restent "vulnérables à des baisses soudaines de cours", alors que l'optimisme qui a suivi les places boursières mondiales après les creux d'avril "a encore fait grimper" le cours des actions de ces groupes déjà élevés, a déclaré le vice-président de l'institut monétaire Luis de Guindos lors d'un congrès bancaire à Francfort.
Au centre de cette hausse, Luis de Guindos a pointé la montée en puissance de "quelques grands groupes technologiques américains", sans citer de noms, dont la valeur boursière et les liens entre eux ne cessent de croître.
Cette concentration expose les marchés boursiers mondiaux à des "risques liés à d'éventuels chocs", dus à des "modèles économiques fondés sur l'IA", qui pourraient défaillir, selon le banquier central.
À cela s'ajoute selon lui un "décalage apparent" entre "l'incertitude" entourant la politique économique mondiale - entre dérapages budgétaires publics et tarifs douaniers - et "la sérénité" affichée par les marchés.
Cela pourrait ouvrir la voie à "des retournements soudains du sentiment" chez les investisseurs.
De tels chocs pourraient mettre sous pression en particulier les acteurs non bancaires du système financier, de surcroît peu régulés : il peut s'agir de fonds d'investissement ouverts, dont la quantité d'actions peut être augmentée quotidiennement au gré des achats par les investisseurs, et des fonds d'investissement alternatifs (hedge funds).
Ces derniers, fortement endettés, présentent des risques de liquidité qui pourraient "provoquer des ventes forcées et accentuer les tensions sur les marchés", selon M de Guindos.
En octobre, le FMI a averti que les failles du secteur financier non bancaire - désormais responsable de près de la moitié des actifs mondiaux - pourraient rapidement se transmettre aux banques et amplifier une crise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Macron reçoit Zelensky en vue d'un accord d'armement "historique"
Volodymyr Zelensky a signé lundi avec Emmanuel Macron à Paris une "déclaration d'intention" qu'il a qualifiée d'"historique". L'Ukraine veut se procurer cent avions de combat français Rafale et des systèmes de défense aérienne.
Cet accord "s'inscrit dans un autre espace de temps" par rapport aux cessions d'armement décidées jusqu'ici par les alliés occidentaux de Kiev pour aider les forces ukrainiennes à repousser l'invasion russe lancée en février 2022, a expliqué le président français devant la presse à l'Elysée.
Il s'agit du temps "de la régénération de l'armée ukrainienne dans l'avenir", afin qu'elle soit "en capacité de dissuader toute nouvelle incursion" une fois la paix ou un cessez-le-feu conclu, a-t-il ajouté.
"C'est un accord historique et nous apprécions beaucoup le soutien de la France", a dit à ses côtés Volodymyr Zelensky.
Auparavant, sur la base aérienne 107 de Villacoublay, au sud-ouest de Paris, des industriels avaient présenté les fleurons de l'armement tricolore au dirigeant du pays en guerre, et les deux présidents avaient signé cette "déclaration d'intention qui porte sur la coopération relative à l'acquisition par l'Ukraine d'équipements de défense français" neufs.
Horizon de dix ans
Selon Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky, l'accord se projette sur un horizon d'une dizaine d'années et porte sur de possibles contrats à venir pour l'acquisition de quelque "100 Rafale", avec leurs armements associés, ainsi que huit systèmes de défense aérienne SAMP-T nouvelle génération, en cours de développement.
Sont aussi concernés quatre systèmes de radar, "de nouvelles acquisitions de bombes propulsées (AASM Hammer)", et des drones d'observation, d'attaque ou d'interception, a précisé la présidence française.
Le président ukrainien avait déjà signé le mois dernier une lettre d'intention en vue d'acquérir 100 à 150 avions de chasse suédois Gripen.
Ce changement d'approche permet de planifier le renforcement à long terme de la défense ukrainienne après une éventuelle issue du conflit.
S'agissant des drones et des bombes guidées, Emmanuel Macron a évoqué "des engagements de production d'ici à la fin de l'année et sur les trois années qui viennent". Sur les Rafale, les délais s'annoncent plus longs, en raison des temps de négociation des contrats, de production et de formation des pilotes.
Financement à clarifier
S'agissant du financement, il reste à clarifier mais la France compte avoir recours à la fois à sa propre contribution budgétaire et aux mécanismes européens. Le président français a d'ailleurs relancé la piste de "l'endettement commun" pour que l'Union européenne puisse "continuer d'apporter à l'Ukraine un soutien financier prévisible et stable à long terme" - malgré la résistance allemande.
Cette neuvième visite du dirigeant ukrainien en France depuis le début de la guerre intervient alors que la situation sur le front est compliquée pour son pays, à l'orée de l'hiver.
L'armée russe, plus fournie et mieux équipée, poursuit depuis des mois ses attaques sur le front et gagne lentement du terrain dans certains secteurs, en dépit de lourdes pertes. Dans la nuit de dimanche à lundi, des frappes russes ont tué au moins trois personnes dans la région de Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, selon les autorités locales.
"Force multinationale"
"Tout est prêt pour la paix. La Russie seule s'y refuse", a déclaré Emmanuel Macron, condamnant "l'intensification des frappes contre les infrastructures énergétiques", "preuve supplémentaire de cette agressivité et de ce cynisme".
Le déplacement, après la Grèce dimanche et avant l'Espagne mardi, a lieu aussi au moment où l'Ukraine est ébranlée par un scandale de corruption ayant poussé deux ministres à la démission et forcé Volodymyr Zelensky à prendre des sanctions contre l'un de ses proches.
Le président français s'est borné à cet égard à dire sa "confiance" dans son homologue pour mener les "réformes profondes" requises pour l'adhésion de l'Ukraine à l'UE, "notamment en matière d'État de droit, de transparence, de gouvernance, de lutte contre la corruption".
"Quant à savoir si c'est suffisant (ce qui a été fait pour lutter contre la corruption, ndlr) - non, ce n'est pas suffisant. Nous continuerons les actions correspondantes", a promis de son côté M. Zelensky
Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky se sont aussi rendus au mont Valérien, à l'ouest de Paris, visiter l'état-major de la "force multinationale Ukraine" que Paris et Londres préparent pour qu'elle puisse être déployée dans le cadre d'un éventuel accord de cessez-le-feu et des "garanties de sécurité" à fournir à Kiev.
Mis en place par la "coalition de volontaires", à laquelle participent, selon l'Elysée, 35 pays en incluant l'Ukraine, cet état-major "fonctionne" et est "dès à présent" capable "de déployer une force dès le lendemain d'un cessez-le-feu", assure-t-on côté français.
Dans l'après-midi à l'Elysée, les deux dirigeants participeront à un "forum drones franco-ukrainien".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Tom Cruise reçoit un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
Souvent nommé et jamais récompensé, l'acteur américain Tom Cruise, a reçu dimanche soir un Oscar d'honneur, la première statuette dorée de sa riche carrière, devant le gratin d'Hollywood lors de la cérémonie des Governors Awards.
Au son de la célèbre bande originale de "Mission Impossible", saga emblématique de la carrière de l'acteur âgé de 63 ans, le comédien est monté sur la scène du Dolby Theatre de Hollywood sous les applaudissements chaleureux de ses pairs, dont Colin Farrell et Emilio Estévez avec qui il a partagé l'écran, ainsi que du légendaire Steven Spielberg, qui l'a dirigé dans "Minority Report" et "La Guerre des mondes".
Malgré quatre nominations aux Oscars - en tant qu'acteur pour "Né un 4 juillet", "Jerry Maguire" et "Magnolia", et en tant que producteur pour "Top Gun: Maverick" -, il n'avait jusqu'ici jamais été récompensé.
"Cela m'a ouvert les yeux"
Visiblement ému, l'acteur a pris le micro pour exprimer sa gratitude. "Mon amour pour le cinéma a commencé très jeune", a déclaré la star, décrivant le grand écran comme le lieu qui lui a "donné faim d'aventure, de connaissance, de compréhension de l'humanité, de création de personnages, de narration, de découverte du monde". "Cela m'a ouvert les yeux", a-t-il ajouté.
Le comédien est largement vu comme une des dernières grandes stars de cinéma, capable de remplir les salles sur son seul nom.
Fana de cascades
Après la pandémie, ce fana de cascades a même été vu comme le sauveur d'Hollywood, grâce au succès de "Top Gun: Maverick", pour lequel il a renfilé son costume de pilote de chasse.
Les Oscars d'honneur, décernés chaque année par l'Académie des arts et sciences cinématographiques, saluent les légendes du cinéma pour leur carrière et leurs contributions à l'industrie cinématographique.
Au cours de la soirée, l'Académie a également remis des Oscars d'honneur à l'actrice Debbie Allen ("Fame"), au chef décorateur Wynn Thomas, et à la chanteuse country Dolly Parton, honorée pour son engagement humanitaire.
La légende de la musique country, 79 ans, absente pour raisons de santé, a remercié l'Académie via une vidéo. "Nous n'avions pas grand chose à partager, mais mes parents m'ont appris que plus on donne, plus on reçoit de bénédictions", a dit la star qui soutient l'éducation et d'autres causes sociales via sa fondation baptisée "Dollywood".
La chanteuse américaine a récemment annulé six concerts qu'elle devait donner en décembre à Las Vegas pour raisons de santé, en les reportant à septembre 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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