Football
Le PSG intronise Galtier, qui se voit "capable" de relever le défi
Paris tient son nouvel entraîneur: au terme d'un interminable feuilleton conclu par le départ de l'Argentin Mauricio Pochettino, le PSG a intronisé mardi Christophe Galtier.
L'ancien coach de Nice s'est dit "capable" de relever le défi, avec un objectif évident, absolu, prioritaire, la Ligue des champions.
La négociation pour évincer "Poche", qui était sous contrat jusqu'en 2023, a fini par aboutir et le club lui a réservé des adieux laconiques mardi à la mi-journée sur son site internet, juste avant une conférence de presse qui a officialisé la nomination de Christophe Galtier mardi en début d'après-midi.
Le Français (55 ans), qui selon une source ayant connaissance du dossier s'est engagé pour deux saisons avec le champion de France, s'est présenté devant la presse vêtu d'un costume sombre et d'une cravate grisée au Parc des Princes, juste avant un premier entraînement programmé mardi après-midi.
"Je suis ému, oui, je suis fier, oui", a déclaré Galtier, arrivé au côté du président parisien Nasser Al-Khelaïfi. "Je mesure très précisément la responsabilité qui m'est donnée, de faire en sorte que le PSG vive une grande saison. Je m'y suis préparé. Si j'ai accepté ces responsabilités, c'est que j'en suis capable."
"Ensemble on est beaucoup plus fort"
Christophe Galtier est pour le club parisien le symbole d'une nouvelle approche, moins "bling-bling", même si l'ex-entraîneur de l'OGC Nice dispose, comme "Poche", d'un effectif de luxe.
Il aura donc fallu un mois et demi, après l'annonce fracassante de la prolongation de la superstar Kylian Mbappé, pour que le navire-amiral de Qatar Sport Investment (QSI) boucle le remaniement quasi-complet de son organigramme, avec Luis Campos comme directeur sportif et Galtier comme entraîneur.
Un court communiqué du PSG a défitivement soldé l'ère Pochettino (50 ans), dont le sort était acté depuis plusieurs semaines. Puis Galtier s'est présenté devant les journalistes au Parc des Princes.
"Le Parc est un symbole du foot français. Et face à la phrase +ici c'est Paris+ (réd: l'un des slogans du club), on sent de suite les attentes de vous, les spécialistes, et des supporters, et par rapport à ces attentes il va falloir travailler dans le bon sens", a-t-il fait valoir.
"Mais seul, c'est impossible, ensemble on est beaucoup plus fort. J'ai mis très peu de temps à prendre ma décision, mais évidemment que la présence de Luis Campos au PSG a été déterminante", a-t-il dit.
Régulier mais inexpérimenté
Le duo Campos-Galtier se connaît bien pour avoir travaillé à Lille, posant les jalons du titre-surprise du Losc en Ligue 1 en 2021. Il doit symboliser la "fin des paillettes" et le retour à la "réalité" promis par le président parisien Nasser Al-Khelaïfi dans un entretien au Parisien.
Le dirigeant qatarien fait le choix d'engager l'un des techniciens les plus réguliers de la dernière décennie en France, mais sans doute aussi le coach le moins expérimenté sur la scène européenne de l'ère QSI.
"Galette" a été arraché au projet niçois d'Ineos, après une seule saison correcte, mais pas extraordinaire. Les négociations ont été âpres: il a d'abord fallu trouver un accord financier avec le club niçois, peu enclin à laisser partir son entraîneur libre, malgré une saison mitigée. Puis négocier le départ de Pochettino et de son staff, à qui il restait un an de contrat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Dembélé et Nkunku de retour en équipe de France
Les attaquants Christopher Nkunku et Ousmane Dembélé reviennent en équipe de France pour les matches de qualifications à l'Euro 2024 contre Gibraltar et la Grèce, les 16 et 19 juin.
Le défenseur du Real Madrid Ferland Mendy fait également son retour dans le groupe.
Le co-meilleur buteur de la Bundesliga Christopher Nkunku avait dû déclarer forfait juste avant le Mondial 2022 et était blessé également en mars lors du précédent rassemblement des Bleus.
Présent au Mondial, le Barcelonais Ousmane Dembélé était aussi absent sur blessure il y a trois mois quand l'équipe de France a commencé son parcours qualificatif pour l'Euro par deux victoires contre les Pays-Bas (4-0) et en Irlande (1-0).
Un autre mondialiste effectue son retour dans le groupe, le défenseur monégasque Axel Disasi, qui pallie le forfait du joueur d'Arsenal William Saliba, comme il l'avait déjà fait en mars.
Le latéral Ferland Mendy lui n'avait plus été appelé depuis le 25 septembre 2022 et un dernier match perdu au Danemark (2-0).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
L'AS Rome et Mourinho défient le spécialiste sévillan
Six fois vainqueur de la Ligue Europa depuis 2006, le Séville FC, grand spécialiste de la compétition, tente la passe de sept ce mercredi à Budapest face à l'AS Rome de José Mourinho.
Le Portugais se retrouve de nouveau sur le devant de la scène lors d'une finale de Coupe d'Europe.
Une saison sur un match. Les deux équipes, non qualifiées pour la Ligue des champions dans leurs championnats respectifs, ont l'occasion de sauver l'honneur à la Puskás Arena et d'obtenir, en cas de victoire, le sésame rêvé pour la prestigieuse C1.
"Mou n'a plus que Séville", a d'ailleurs titré le journal italien La Gazzetta dello Sport alors que le légendaire coach portugais essaiera d'offrir à la Roma sa deuxième coupe continentale en deux ans, après celle gagnée l'année dernière en Ligue Europa Conférence contre le Feyenoord Rotterdam.
José Mourinho pourrait ainsi collectionner son sixième titre européen après ses deux Ligues des champions (2004 avec le FC Porto, 2010 avec l'Inter Milan), ses deux Ligues Europa (2003 avec le FC Porto, 2017 avec Manchester United) et la Ligue Europa Conference glanée en 2022.
La science du technicien lusitanien fera-t-elle de nouveau la différence? Le Portugais est redoutable dans ces rencontres-couperet puisqu'il ne s'est jamais incliné au cours d'une finale européenne, hormis trois échecs en Supercoupe.
S'il parvenait à l'emporter, il rejoindrait Alex Ferguson et Giovanni Trapattoni, également sacrés six fois en Coupes d'Europe, juste derrière Carlo Ancelotti et ses neuf titres, offrant un deuxième trophée à la Roma après les deux finales perdues, en 1984 en C1 et en 1991 en C3.
Sept sur sept pour Séville ?
Cette nouvelle coupe permettrait surtout à la Louve de pouvoir faire son grand retour en Ligue des champions. Car la C1, objectif annoncé par ses dirigeants, n'est plus possible via le championnat après une fin de saison à l'envers: l'AS Rome reste sur une série de sept matches sans victoire (quatre nuls, trois défaites) et une 6e place de Série A, à une journée de la fin de saison.
La victoire du club italien en Coupe d'Europe pourrait être le prélude à un fabuleux triplé transalpin, avant la finale de la Ligue Europa Conference entre la Fiorentina et West Ham, le 7 juin, et celle de la Ligue des champions entre l'Inter Milan et Manchester City, le 10 juin.
Les Romains, portés par une dizaine de milliers de supporters à Budapest et les 50'000 prévus au Stadio olimpico de Rome, pourront compter sur le retour de l'Italien Leonardo Spinazzola, sorti sur blessure lors de la demi-finale face au Bayer Leverkusen. Tout comme sur la présence de Stephan El Shaarawy, qui avait senti une fatigue musculaire ce week-end. Touché à la cheville, l'Argentin Paulo Dybala pourrait également être aligné.
De son côté, le FC Séville s'appuie aussi sur des statistiques impressionnantes: le club rouge et blanc, tout proche de la relégation en Liga il y a de cela deux mois à peine, est invaincu en finale de Ligue Europa avec six sacres, un record.
En demi-finale, les hommes de José Luis Mendilibar, arrivé il y a quelques semaines après le départ de Jorge Sampaoli, ont déjà battu un club italien, venant à bout de la Juventus d'Allegri après prolongation (2-1) après un match nul ramené de Turin à l'aller (1-1).
Actuellement onzièmes de Liga et ressuscités en quelques semaines par le coach espagnol, les Sévillans avaient pu s'appuyer au match retour sur le soutien de 42'000 supporters en transe. Mercredi, environ 10'000 chanteront à la Puskás Arena pour rêver d'un septième sacre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Un nombre record de spectateurs en Super League
Un total de 2,37 millions de spectateurs s'est rendu dans les stades des dix clubs de Super League au cours de la saison 2022-2023. C'est plus que jamais auparavant.
C'est la sixième fois que la Ligue de l'élite dépasse la frontière magique de deux millions de visiteurs.
En moyenne, chaque match a attiré 13'172 spectateurs dans les tribunes. Le club le plus suivi fut une fois de plus Young Boys, qui a attiré 29'097 fans par match au Wankdorf soit 4300 de plus que l'an dernier. Depuis la saison 2018-2019, le club de la capitale n'a pas seulement supplanté le FC Bâle sur le plan sportif, mais est également devenu le no 1 de l'affluence au stade.
Bien qu'ils aient dû subir quelques freins à leur exploitation comme la fermeture administrative de certains secteurs de leur stade - comme la Muttenzkurve contre YB - les Bâlois restent clairement les no 2 au nombre de spectateurs. Avec une moyenne de 21'742 spectateurs, ils sont les seuls à franchir la barre des 20'000 avec Young Boys.
La barre des 10'000 spectateurs de moyenne a été dépassée par St-Gall (17'575), Zurich (15'387) et Lucerne (12'775). Servette (8431) et Sion (8375) restent loin derrière les cinq premiers clubs les plus suivis.
La lanterne rouge dans le classement des affluences revient au FC Lugano. Seulement 3353 spectateurs par match ont suivi les exploits des hommes de Croci-Torti, finalement troisièmes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Pas les mêmes objectifs pour les clubs vaudois
La Challenge League a rendu samedi son verdict: il offre un triplé vaudois historique avec le titre pour Yverdon, la promotion directe pour le Lausanne-Sport et une place de barragiste pour le SLO.
Si tout le monde s'accordait en début de saison sur la présence du Lausanne-Sport dans ce trio de tête en raison de la puissance financière de son propriétaire - Ineos a permis à Ludovic Magnin d'oeuvrer avec un budget pratiquement deux fois plus élevé que celui des autres clubs -, Yverdon et Stade Lausanne-Ouchy ont vraiment déjoué tous les pronostics.
Dans le Nord-Vaudois, Marco Schällibaum a pu compter sur des cabossés de la Super League avides de revanche. A la Pontaise, Anthony Braizat a bâti la meilleure attaque de la Challenge League - 70 buts - autour du Français Teddy Okou, qui partage la couronne du roi des buteurs avec son compatriote Brighton Labeau (19 buts), le fer de lance du Lausanne-Sport.
Si Stade Lausanne-Ouchy a le bonheur de remporter le barrage de promotion/relégation, les trois équipes vaudoises aborderont la prochaine saison dont les trois coups seront donnés le 22 juillet avec des approches bien différentes. Yverdon et Stade Lausanne-Ouchy viseront bien sûr le maintien dans un championnat à douze qui condamnera le dernier à la relégation directe et qui enverra le onzième en barrage.
Le formidable défi de Ludovic Magnin
Pour le Lausanne-Sport, l'objectif sera de figurer dans le tour final qui réunira les six premiers du classement après la première phase disputée sur 33 journées. Ludovic Magnin se retrouve ainsi devant un formidable défi. Malgré son discours appuyé qui sous-entend que ses joueurs et lui étaient seuls contre le reste du monde, l'ancien défenseur international sait parfaitement que la note artistique attribuée à son équipe n'est pas la meilleure.
Après cette saison où son équipe aura tremblé jusqu'à l'ultime seconde du temps additionnel du dernier match pour assurer son retour au sein de l'élite, Ludovic Magnin n'aura, à nouveau, aucun droit à l'erreur. Pour coller aux objectifs d'Ineos dont les premiers pas dans le football tant à Nice qu'à Lausanne sont bien hésitants, il a un mois devant lui pour "inventer" une équipe capable de tenir un rôle en vue en Super League. Pas simple...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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