International
Avancées de part et d'autre sur le terrain - Statu quo diplomatique
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Les forces russes progressent dans l'est de l'Ukraine, avec des combats lundi au coeur de la ville-clé de Severodonetsk. Au plan diplomatique, Volodymyr Zelensky a appelé les dirigeants de l'UE à cesser leurs "querelles" et adopter un embargo sur le pétrole russe.
"Les querelles internes doivent cesser", a lancé M. Zelensky aux pays de l'Union européenne, les appelant à une "plus grand unité" pour permettre l'adoption d'un sixième paquet de sanctions contre Moscou.
"L'Europe doit montrer sa force. Car la Russie ne perçoit que la force comme un argument. (...) Il est temps que vous ne soyez plus divisés mais un tout uni", a-t-il lancé dans un message vidéo diffusé lors d'un sommet extraordinaire de l'UE consacré à l'Ukraine, à Bruxelles.
Au menu de ce sommet, un sixième volet de sanctions censées étrangler l'économie russe, dont un projet d'embargo progressif sur le pétrole russe, jusqu'ici bloqué par la Hongrie.
Excception hongroise
En arrivant au sommet, le premier ministre hongrois Viktor Orban a affirmé qu'il n'y avait "pas de compromis" acceptable "pour l'instant" sur le sujet.
Mais une nouvelle proposition de compromis devait être discutée, prévoyant un embargo d'ici la fin de l'année "avec une exemption temporaire pour le brut acheminé par oléoduc", conçue pour lever le veto hongrois.
Seul le pétrole russe acheminé vers l'UE par bateau - soit les deux-tiers des achats européens de pétrole russe - serait concerné par cet embargo dans l'immédiat.
Jusqu'ici, la Hongrie, pays enclavé sans accès à la mer et qui dépend pour 65% de sa consommation du pétrole russe acheminé par l'oléoduc Droujba, s'oppose à tout embargo à moins de bénéficier d'une exemption d'au moins quatre ans pour s'y préparer et de près de 800 millions d'euros de financements européens pour adapter ses raffineries.
Ports ukrainiens
Les dirigeants européens doivent discuter aussi de la nécessité d'assurer des liquidités à l'Ukraine pour continuer à faire fonctionner son économie - la Commission a proposé une aide allant jusqu'à 9 milliards d'euros en 2022 - et de sécurité alimentaire, en raison du blocage des exportations de céréales ukrainiennes qui fait redouter une crise sur le continent africain.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré lundi à son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, lors d'un entretien téléphonique, que la Russie était prête à travailler avec la Turquie à la libre circulation des marchandises en mer Noire, dont "l'exportation des céréales provenant des ports ukrainiens", selon un communiqué du Kremlin.
L'Ukraine et les pays occidentaux accusent Moscou de bloquer les ports ukrainiens de la mer Noire, ce que réfutent les responsables russes.
Journaliste français tué
En Ukraine, les forces russes progressent dans l'Est. Elles affrontaient lundi les forces ukrainiennes au coeur de Severodonetsk, selon le gouverneur de cette région du Donbass.
Severodonetsk et la cité voisine de Lyssytchansk sont des villes-clés du Donbass encore sous contrôle ukrainien. Les forces russes visent à contrôler ce bassin minier, dont des forces séparatistes prorusses appuyées par Moscou ont pris le contrôle partiel en 2014.
C'est dans cette zone qu'a été tué lundi un journaliste français, Frédéric Leclerc-Imhoff, qui travaillait pour la chaîne BFMTV, a annoncé le président Emmanuel Macron sur Twitter.
Il "était en Ukraine pour montrer la réalité de la guerre. À bord d'un bus humanitaire, aux côtés de civils contraints de fuir pour échapper aux bombes russes, il a été mortellement touché", a précisé M. Macron, confirmant des informations du gouverneur de cette région, Serguiï Gaïdaï.
Paris a "exigé" une "enquête transparente" sur cette mort "dans les meilleurs délais", selon la cheffe de la diplomatie française Catherine Colonna, en visite à Kiev.
La directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay, a condamné ce "meurtre" et demandé "l'ouverture d'une enquête afin que les auteurs de ce crime puissent être identifiés et poursuivis".
Ukrainiens en difficulté
Les forces russes tentent d'encercler Severodonetsk et d'en prendre le contrôle depuis plusieurs semaines, dans une offensive qui s'est intensifiée ces derniers jours, face à laquelle le président Zelensky a reconnu que l'armée ukrainienne était en difficulté.
"Les Russes avancent vers le milieu de Severodonetsk. Les combats se poursuivent, la situation est très difficile", a indiqué sur Telegram M. Gaïdaï.
Il a ajouté que la route reliant Severodonetsk à Lyssytchansk, puis à celle de Bakhmout plus au sud, était trop "dangereuse" pour permettre l'évacuation des civils et le transport d'aide humanitaire.
Contre-offensive ukrainienne dans le sud
Les forces ukrainiennes ont affirmé néanmoins regagner du terrain dans le sud, notamment dans la région autour de Kherson, ville proche de la Crimée passée sous contrôle russe début mars.
Dans son point publié dans la nuit de dimanche à lundi, l'armée ukrainienne affirme notamment progresser près de Biloguirka, à une centaine de kilomètres au nord de Kherson.
Moscou a seulement évoqué lundi des combats dans cette région, indiquant avoir détruit des équipements militaires ukrainiens avec des tirs d'artillerie sur Mykolaïv, et détruit en vol des roquettes ukrainiennes près de Tchornobaïvka, à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Kherson.
Les nouvelles autorités prorusses de cette ville à l'embouchure du fleuve Dniepr ont déjà exprimé le souhait d'être rattachées à la Russie, laquelle a annoncé qu'elle délivrerait aux habitants un passeport russe via "une procédure simplifiée".
A Melitopol, autre ville du sud ukrainien occupée par les Russes, dans la région de Zaporijjia, l'administration prorusse a rapporté qu'une voiture piégée avait explosé lundi matin, faisant deux blessés.
La nouvelle maire de la ville installée par Moscou a dénoncé "un acte terroriste cynique du régime de Kiev", qui "ne peut se faire à l'idée que les habitants de Melitopol ne veulent plus avoir à faire" à Kiev.
Pas de lance-roquettes pouvant atteindre la Russie
Dans ce contexte, la nouvelle ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, s'est rendue lundi en Ukraine, première visite d'un responsable français de ce niveau depuis le début du conflit.
La France "renforcera" ses livraisons d'armement à l'Ukraine, a-t-elle annoncé depuis Kiev. M. Macron avait déjà annoncé fin avril l'envoi de matériel militaire à Kiev, notamment des canons automoteurs Caesar.
Ces canons "se sont avérés être des armes fiables et efficaces", a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba aux côtés de Mme Colonna. "Ce ne sont pas les seules armes qui arrivent depuis la France et pour chaque arme, nous sommes reconnaissants," a-t-il ajouté.
Depuis des semaines, Kiev réclame des livraisons d'armes des Occidentaux pour faire face à l'offensive russe, dont des avions et des lance-roquettes multiples.
Le président américain Joe Biden a indiqué lundi à des journalistes que les Etats-Unis n'allaient "pas envoyer à l'Ukraine des systèmes de roquettes pouvant atteindre la Russie". De telles livraisons avaient été évoquées ces dernières semaines, mais jamais confirmées.
Le chef adjoint de l'Otan, Mircea Geoana, a en revanche estimé dimanche que l'Alliance n'était plus tenue par ses anciens engagements envers Moscou de ne pas déployer ses forces en Europe orientale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
En Australie, les moins de 16 ans bloqués sur les réseaux sociaux
Les moins de 16 ans d'Australie sont officiellement interdits d'accès à de nombreux réseaux sociaux depuis mercredi matin, une démarche pionnière au niveau mondial qui vise à protéger la jeunesse des algorithmes addictifs d'Instagram, TikTok ou encore Snapchat.
Des centaines de milliers d'adolescents s'apprêtent à se réveiller déconnectés des applications sur lesquelles ils pouvaient passer plusieurs heures par jour.
Sans mesures "raisonnables" prises pour faire respecter la loi, les plateformes concernées risquent des amendes pouvant atteindre l'équivalent de 28 millions d'euros en vertu de cette obligation entrée en vigueur mercredi à minuit heure de Sydney et Canberra (13H00 heure suisse), et dont l'application sera scrutée par les autorités de nombreux pays.
L'Australie devient ainsi un des premiers pays à imposer les mesures les plus radicales dans le monde face aux géants de la tech, parmi lesquels les américains Meta et Google.
Les réseaux sociaux "sont utilisés comme une arme par les harceleurs (...), sont vecteurs d'anxiété, constituent un outil pour les escrocs et, pire que tout, sont un outil pour les prédateurs en ligne", a justifié le Premier ministre travailliste Anthony Albanese, à la veille de l'entrée en vigueur de la mesure.
Addiction aux écrans, harcèlement en ligne, violence, contenus sexuels : la mesure est accueillie avec soulagement par bien des parents démunis mais n'enthousiasme que modérément les premiers concernés.
"Je ne pense pas que le gouvernement sache vraiment ce qu'il fait et je ne pense pas que cela aura un impact sur les enfants australiens", témoigne Layton Lewis, un Australien de 15 ans, interrogé avant son exclusion officielle des plateformes.
"Responsabilités"
Facebook, Instagram, YouTube, TikTok, Snapchat ou encore Reddit ont désormais l'interdiction de conserver ou de permettre la création de comptes pour les utilisateurs d'Australie âgés de moins de 16 ans. Les plateformes de streaming Kick et Twitch, ainsi que les réseaux sociaux Threads et X, sont aussi concernés.
Pour l'heure, la plateforme de jeux en ligne Roblox, le réseau Pinterest ou encore la messagerie WhatsApp sont épargnés par le dispositif. Mais cette liste pourra évoluer, a averti le gouvernement.
Certains sites restent accessibles sans compte, à l'image de YouTube.
Parmi les parents partisans de la mesure, Mia Bannister a mis en cause le rôle des réseaux sociaux dans le suicide de son fils adolescent, Ollie, victime de harcèlement en ligne et de vidéos ayant favorisé son anorexie.
"J'en ai assez que les géants des réseaux sociaux fuient leurs responsabilités", a-t-elle dénoncé auprès de l'AFP, soulignant qu'en offrant un téléphone à leurs enfants, les parents "leur donnent la pire arme qui soit".
Des travaux de recherche avancent que passer trop de temps en ligne nuit au bien-être des adolescents.
Dany Elachi, un père de cinq enfants, approuve: "On doit faire preuve de prudence avant de mettre n'importe quoi d'addictif entre les mains de nos enfants".
Vérification
Meta, YouTube et d'autres géants de la tech ont condamné l'interdiction, qui doit priver leurs plateformes d'un nombre important d'utilisateurs.
La plupart ont cependant accepté malgré elles de s'y plier, à l'instar de Meta (Facebook, Instagram, Threads) qui a annoncé dès jeudi avoir commencé à supprimer les comptes des utilisateurs concernés.
La justice a toutefois été saisie: un groupe de défense des droits des internautes a dit avoir engagé une procédure auprès de la Haute Cour d'Australie.
De son côté, Reddit a déclaré mardi ne pas pouvoir confirmer des informations de plusieurs médias australiens, affirmant qu'il chercherait à faire annuler la mesure auprès de cette juridiction.
Le succès ou non de la décision australienne sera scrutée de près. Le pays compte 27 millions d'habitants. La Nouvelle-Zélande voisine mais aussi la Malaisie réfléchissent à des restrictions similaires.
Le gouvernement australien a admis que l'interdiction serait imparfaite à ses débuts et que des adolescents rusés trouveraient un moyen de continuer à "scroller" et faire défiler des contenus sur leurs écrans.
D'après le texte, les réseaux sociaux visés ont seulement à vérifier que leurs utilisateurs sont âgés de 16 ans ou plus.
Plusieurs plateformes ont annoncé qu'elles recourraient à l'intelligence artificielle (IA) pour estimer l'âge des internautes à partir de leurs photos. Ceux-ci pourraient aussi avoir à transmettre un document d'identité.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Hockey
JO 2026: la NHL "prudemment optimiste" sur la patinoire de Milan
La NHL s'est dite "prudemment optimiste" concernant les travaux de la patinoire des JO 2026 à Milan. La ligue nord-américaine a rappelé qu'elle pouvait encore retirer ses joueurs du tournoi olympique.
"J'ai reçu des informations positives sur ce que (les organisateurs des JO) vont faire, sur ce que sera la prochaine étape, à quoi cela rassemblera, comment toutes les parties agissent", a déclaré lundi Bill Daly, le no 2 de la NHL à l'issue d'un conseil d'administration. "Toutes les informations que je reçois sont plus positives que négatives."
"Les bâtiments sont supposés être prêts (en configuration olympique) d'ici au 2 février, nous avons encore le temps, mais les dernières informations, et j'étais à la table de cette réunion, sont positives", a insisté M. Daly.
Inauguration prévue le 9 janvier
A moins de deux mois du coup d'envoi des JO 2026, l'Arena Santa Giulia, une salle omnisport construite par un promoteur privé à Milan, est toujours en travaux.
Cette salle en configuration patinoire, d'une capacité de 15.000 places, devait être initialement livrée en décembre. Mais les travaux ont pris du retard et sa livraison aura lieu "en janvier", a assuré la semaine dernière le promoteur à l'AFP.
Le comité d'organisation des JO 2026 a confirmé de son côté que la patinoire sera inaugurée le 9 janvier avec le premier des sept matches du Championnat d'Italie et de la Coupe d'Italie, jusqu'au 11 janvier, qui serviront de "test-events".
"Nous allons dans la bonne direction et nous aurons un merveilleux cadre pour le hockey sur glace", a déclaré à l'AFP samedi le patron des JO 2026, Andrea Varnier.
Aucun plan B
M. Daly a confirmé qu'il n'existait pas de plan B pour accueillir les phases finales des tournois féminin et masculin, les matches de poules se déroulant dans une patinoire provisoire construite dans le palais des congrès et expositions de Rho, près de Milan.
S'il s'est voulu rassurant, le dirigeant de la ligue nord-américaine a continué à souffler le chaud et le froid sur ce tournoi qui doit voir les stars de la NHL faire leur retour aux JO pour la première fois depuis 2014.
"Si la glace est injouable, elle est injouable (...) C'est quelque chose qu'on saura en avance et cela deviendra un autre problème", a-t-il insisté. "Si les joueurs ont le sentiment que la glace n'est pas sûre, nous n'allons pas jouer, c'est aussi simple que cela", a conclu l'adjoint de l'emblématique "commissioner" Gary Bettman.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Crimes de guerre: 20 ans de prison pour un chef de milice soudanais
La Cour pénale internationale (CPI) a condamné mardi un chef de milice soudanais à 20 ans d'emprisonnement pour des crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis durant la guerre civile il y a vingt ans dans la région du Darfour.
Ali Mohamed Ali Abd-Al-Rahman, également connu sous le nom de guerre d'Ali Kosheib, a été reconnu coupable en octobre de multiples crimes, dont viol, meurtre et torture, perpétrés au Darfour entre 2003 et 2004.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE enquête sur l'alimentation en contenus de l'IA de Google
L'Union européenne a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur l'utilisation par Google de contenus en ligne pour ses services d'intelligence artificielle (IA), afin de vérifier si le groupe ne commet pas des infractions aux règles de la concurrence.
La démarche vise à vérifier si Google ne lèse pas les éditeurs en ligne et les Youtubers, lorsque le géant américain utilise leurs contenus pour générer des résultats de recherche faisant appel à l'IA.
La Commission européenne s'inquiète également du fait que Google utilise les vidéos publiées sur sa plateforme YouTube pour entraîner des modèles d'IA, sans donner la possibilité à ceux qui les ont créées de s'y opposer ni leur offrir de compensation.
Ces pratiques pourraient constituer des abus de position dominante, prévient l'exécutif européen.
En outre, Google interdit spécifiquement à ses concurrents de se servir des vidéos diffusées sur YouTube pour des usages similaires, ce qui pourrait là encore constituer une infraction aux règles de la concurrence, estime la Commission.
Enquête sur de prétendues "conditions abusives"
"L'IA apporte des innovations remarquables et de nombreux avantages aux citoyens et aux entreprises partout en Europe, mais ce progrès ne saurait se faire au détriment des principes fondamentaux de nos sociétés", a déclaré la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la concurrence, Teresa Ribera.
"C'est pourquoi nous enquêtons afin de déterminer si Google a pu imposer des conditions abusives aux éditeurs et aux créateurs de contenu, tout en désavantageant les développeurs de modèles d'IA concurrents, en violation des règles de concurrence de l'UE", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Google n'est pas le seul groupe dans le collimateur de Bruxelles pour ses activités dans l'intelligence artificielle. La semaine dernière, la Commission européenne a ouvert une autre enquête à propos des fonctions d'IA dans WhatsApp, filiale de Meta.
La Commission soupçonne que de nouvelles règles d'intégration des "chatbots" (robots conversationnels) faisant appel à l'IA dans WhatsApp, annoncées par Meta, puissent priver d'accès les fournisseurs tiers de services d'intelligence artificielle, au bénéfice de son propre service, baptisé Meta AI.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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