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Manchester City accroché une mi-temps

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Kylian Mbappé a ouvert le score pour PSG sur penalty. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Dans le même groupe de Ligue des champions que les Young Boys, Manchester City a pris le meilleur 3-1 sur l'Etoile Rouge de Belgrade non sans avoir séché une mi-temps.

Avec Manuel Akanji, ménagé et entré à la 58e minute, les joueurs de Pepe Guardiola ont effacé une anomalie en deuxième période. Largement dominateurs, les Mancuniens étaient pourtant menés 1-0 à la pause malgré vingt et un tirs à un en leur faveur. Les Serbes ont utilisé leur unique tir au but de la première période pour ouvrir le score par Bukari parti à la limite du hors-jeu. Mais Juan Alvarez, dans un bon soir, a renversé la partie en moins de 15 minutes. Son deuxième but sur coup franc doit beaucoup à une bourde du portier Glazer, excellent jusque-là. Rodri a corsé l'addition avec un but tout en finesse.

De son côté, le PSG a fini par prendre le meilleur sur le Borussia Dortmund (2-0). Les Parisiens ont trouvé la brèche par Kylian Mbappé qui a transformé un penalty suite à une faute de main de Sule (49e). Puis au terme d'une belle action en une-deux avec Vitinha, Achraf Hekimi n'a laissé aucune chance au portier helvétique Gregor Kobel (58e).

Dans le même groupe, l'AC Milan a dominé Newcastle, mais a dû se contenter d'un nul (0-0) devant son public qui a vu le gardien de but français Mike Maignan sortir sur blessure.

Trois jours après sa déroute face à l'Inter (5-1) dans le derby de la Madonnina, l'AC Milan n'a pas vraiment rassuré ses supporters. Dans le temps additionnel, Newcastle, avec Fabian Schär en défense centrale, fut tout près de réaliser un retentissant hold-up quand le tir de Matty Longstaff a été claqué au-dessus de sa transversale par le gardien remplaçant Marco Sportiello.

Dans le groupe H, Barcelone n'a pas fait dans la demi-mesure face au Royal Anvers (5-0). Les Catalans menaient déjà 3-0 après 22 minutes de jeu sur des réussites de Joao Felix, de Robert Lewandowski et un autogoal de Bataille. Gavi et Felix ont salé l'addition en seconde mi-temps.

Dans le groupe E, la Lazio a arraché le match nul (1-1) à la dernière seconde du temps additionnel sur un but... de son gardien Ivan Provedel. Le portier italien monté aux avant-postes a dévié de la tête un centre de Luis Alberto (95e).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Perisic blessé, sa saison compromise

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Le Croate Ivan Perisic pourrait manquer toute la saison. (© KEYSTONE/AP/Darko Bandic)

L'ailier international croate Ivan Perisic s'est gravement blessé à un genou durant un entraînement et devra être opéré, a annoncé mercredi son club Tottenham.

Une indisponibilité pour le reste de la saison 2023/2024 est envisagée.

Le vice-champion du monde 2018 a été victime d'une blessure au ligament croisé antérieur du genou droit à l'entraînement, a précisé le club du nord de Londres.

Il va devoir subir une opération et "devrait être indisponible pour le reste de la saison", ont fait savoir les Spurs, deuxièmes du championnat à deux points du leader, Manchester City.

L'ailier gauche croate de 34 ans, ancien de Wolfsburg et l'Inter Milan notamment, est entré en jeu lors des cinq premières journées de Premier League.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Marcelino n'est plus l'entraîneur de Marseille

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Marcelino ne sera resté que trois mois à l'OM. (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Marcelino, l'entraîneur espagnol de l'Olympique de Marseille, "ne poursuivra pas sa mission" à l'OM, a annoncé le club mercredi après-midi dans un communiqué.

Il invoque la réunion houleuse de lundi avec les supporters olympiens.

"Les événements de lundi", lors desquels les associations de supporters avaient demandé la démission du président Pablo Longoria et celles de trois de ses proches au directoire, "ne permettent pas à Marcelino et à son staff technique d'exercer dans de bonnes conditions la fonction pour laquelle ils ont été engagés", précise le communiqué, parlant d'une "situation déplorable".

Le départ de l'entraîneur espagnol, 58 ans, est officialisé à la veille de l'entrée en lice de l'OM en Ligue Europa, jeudi (21h00) sur la pelouse de l'Ajax Amsterdam, et à quatre jours du choc de la 6e journée de la Ligue 1 face au Paris Saint-Germain dimanche (21h00) au Parc des Princes.

"Au vu du contexte, insiste l'OM dans son communiqué, l'ensemble du club est extrêmement déçu de devoir faire face au départ d'un entraîneur et d'un staff technique, arrivés à Marseille seulement le 23 juin et pleinement engagés auprès du club, pour des raisons extra-sportives."

Arrivé peu avant la reprise

Recruté par Longoria, son compatriote, pour succéder au Croate Igor Tudor, l'ex-entraîneur du club basque de Bilbao était arrivé aux commandes de l'équipe marseillaise à dix jours seulement de la reprise de l'entraînement, alors que se profilait déjà un très important 3e tour préliminaire de Ligue des champions, fatal l'OM, éliminé début août par le Panathinaïkos Athènes.

Technicien expérimenté et respecté en championnat d'Espagne, Marcelino, qui n'aura dirigé que sept matches officiels à la tête de l'OM (3 victoires, 3 nuls et 1 défaite), n'avait pas pris l'avion mercredi à la mi-journée avec ses joueurs, en partance pour les Pays-Bas pour y affronter l'Ajax Amsterdam.

Marcelino Garcia Toral était arrivé libre à Marseille, un an après son départ de l'Athletic Bilbao, où il avait passé 18 mois mitigés. Passé par de nombreux clubs de la Liga comme Séville, Villarreal ou encore Valence, Marcelino a remporté la Coupe d'Espagne en 2019 avec le Valence CF.

Après le Français Rudi Garcia, le Portugais André Villas-Boas, l'Argentin Jorge Sampaoli et Igor Tudor, ils sont désormais cinq à s'être succédé au poste d'entraîneur de l'OM depuis le rachat du club par l'Américain Frank McCourt, en octobre 2016, sans compter un bref intérim de Nasser Larguet.

Selon une source proche du dossier, c'est Jacques "Pancho" Abardonado, ancien joueur de l'OM et membre du staff olympien, qui devrait être sur le banc jeudi soir à l'Ajax.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'OM en pleine crise et en plein flou

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Pablo Longoria a préféré se mettre en retrait dans un climat tendu avec les supporters de l'OM. (© KEYSTONE/AP/DANIEL COLE)

Un président, Pablo Longoria, qui se met en retrait avec ses plus proches collaborateurs, un entraîneur, Marcelino, dont personne ne sait s'il sera sur le banc jeudi à Amsterdam: c'est la crise à l'OM

L'OM est entré en pleine crise et en plein flou mardi, sur fond de conflit entre la direction et certains supporters.

A l'OM, l'instabilité est une seconde nature et les coups de chaud une habitude. La journée de mardi en a été une nouvelle preuve avec une incertitude à peu près totale autour de l'avenir des principaux dirigeants du club, qui s'est étirée jusqu'aux dernières heures de la soirée.

Au bout du compte, Pablo Longoria, le directeur du football Javier Ribalta, le directeur général Pedro Iriondo et le directeur financier Stéphane Tessier ont donc choisi de "se mettre en retrait" pour "réfléchir" à leur avenir au sein de l'OM, a expliqué à l'AFP une source ayant connaissance du dossier.

En fin de soirée, aucune information n'avait en revanche été donnée à propos de l'entraîneur Marcelino. Espagnol comme Longoria, dont il est un ami de longue date, Marcelino est arrivé cet été à l'OM en remplacement d'Igor Tudor et était déjà fragilisé par un début de saison très mitigé.

On ne sait donc pas s'il sera encore l'entraîneur de l'OM ce jeudi face à l'Ajax Amsterdam lors des débuts du club provençal en Ligue Europa, ou dimanche au Parc des Princes face au Paris SG.

"Inadmissible, intolérable"

Impensable il y a encore une semaine, cette crise ex nihilo a pris corps dimanche, au bout d'un sinistre match nul 0-0 concédé face à Toulouse. Mais le feu a réellement pris lundi soir lors d'une réunion prévue de longue date et organisée dans la petite salle de conférence de presse de la Commanderie, le centre d'entraînement du club.

Là, Longoria, Ribalta, Iriondo et Tessier ont représenté l'OM face à des représentants des clubs de supporters lors d'une rencontre décrite comme "très tendue" par l'un des participants.

"Des représentants des associations de supporters ont exprimé leur souhait de voir l'actuel Directoire de l'OM démissionner. La menace d'une +guerre+ (sic) à leur égard a été émise, tant qu'ils ne démissionneraient pas", a expliqué l'OM mardi soir dans un communiqué long et parfois nébuleux.

"Le Directoire de l'OM ne peut accepter les menaces personnelles. Ses membres ne peuvent tolérer des attaques individuelles et toute forme de diffamation publique infondées. Une relation basée sur l'intimidation ne peut garantir les conditions minimales acceptables pour que le Directoire du club puisse continuer à s'investir pour la transformation de l'OM", a ajouté le club.

Les quatre principaux dirigeants marseillais ne se rendront donc pas à Amsterdam, mais "aucune décision n'a été prise" quant à leur maintien ou non dans leurs fonctions.

"S'ils ne sont pas là pour représenter l'OM à Amsterdam, c'est pour montrer qu'ils ne peuvent pas mener leur mission en l'état et que ce qui s'est passé est inadmissible, intolérable", a ajouté une autre source interrogée par l'AFP.

Pétition pour Longoria

Plus tôt dans la journée, Eurosport Espagne avait même assuré que Longoria s'apprêtait à démissionner après avoir reçu "des menaces de mort". Un participant à la réunion de lundi a cependant démenti auprès de l'AFP que de telles menaces aient été proférées à la Commanderie.

Mais le ton a été plus que vif et de nombreux reproches ont été adressés à Longoria et à ses collaborateurs, autour des résultats obtenus, du jeu proposé, du mercato et, plus généralement, de la politique sportive du club. Et leur démission a bien été réclamée.

Il y a 18 mois, en mars 2022, Longoria avait déjà été marqué par la virulence de certains représentants des groupes de supporters lors d'une rencontre similaire, qualifiée de "très chaude" par l'un des participants.

Le dirigeant espagnol, qui était alors directeur sportif de l'OM, avait lui-même été nommé président peu après l'attaque de la Commanderie en janvier 2021 par des supporters, furieux de la gestion du président d'alors, Jacques-Henri Eyraud.

Dans la journée, une pétition en faveur de Longoria a été lancée sur les réseaux sociaux et avait déjà recueilli plus de 20'000 signatures en fin de soirée, signe de la popularité intacte du président du club auprès d'une large partie des supporters.

En tout état de cause, le départ du jeune dirigeant (37 ans) serait un séisme. Celui de Marcelino serait sans doute moins durement ressenti. Depuis trois ans et l'arrivée de Longoria au club, il est en effet déjà le cinquième entraîneur en poste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La majorité des joueuses réintègre la sélection après un accord

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La nouvelle coach Montse Tomé pourra compter sur la majorité des championnes du monde pour affronter la Suisse. (© KEYSTONE/EPA/Rodrigo Jimenez)

La majorité des internationales espagnoles, en grève depuis l'affaire Rubiales, ont accepté mercredi de réintégrer la sélection pour affronter la Suède en Ligue des Nations.

Elles l'ont fait à la suite d'un accord avec la Fédération et le gouvernement.

"Nous sommes parvenus à une série d'accords qui seront rédigés et signés demain par la Fédération et le Conseil supérieur des Sports", a déclaré mercredi à la presse le secrétaire d'État aux Sports, Victor Francos, après des négociations qui se sont prolongées jusqu'aux petites heures du matin.

"Sur les 23 joueuses convoquées, deux ont demandé la possibilité de quitter le camp d'entraînement pour des raisons (...) d'inconfort personnel", a ajouté M. Francos.

Le représentant du gouvernement n'a pas révélé les noms des deux joueuses concernées, mais a souligné qu'elles ne seraient pas soumises à des sanctions, contrairement à ce qui avait été annoncé précédemment.

"Les joueuses nous ont fait part de leur inquiétude quant à la nécessité de procéder à de profonds changements au sein de la RFEF (la fédération espagnole de football, NDLR) et la fédération a promis que ces changements interviendraient immédiatement", a déclaré M. Francos mercredi.

M. Francos a déclaré que l'accord prévoit de développer la loi espagnole sur "les politiques de genre, les progrès en matière d'égalité salariale, dans les structures pour le sport et spécifiquement pour le football féminin".

Selon la presse espagnole, l'un de ces changements immédiats pourrait être le départ du secrétaire général de la RFEF Andreu Camps.

"Intimider et menacer"

La nouvelle sélectionneuse de l'Espagne, Montse Tomé, avait créé la surprise lundi en convoquant pour les matches contre la Suède et la Suisse une quinzaine de championnes du monde et d'autres joueuses qui avaient demandé à ne pas être sélectionnées jusqu'à ce qu'il y ait des changements profonds au sein de la fédération de football.

Suite au scandale du baiser forcé de l'ancien président Luis Rubiales imposé à la footballeuse Jenni Hermoso lors de la Coupe du monde en Australie, ces footballeuses estimaient que la démission de M. Rubiales et le licenciement du sélectionneur Jorge Vilda étaient insuffisants.

Mardi, les internationales espagnoles s'étaient finalement rendues au rassemblement de l'équipe féminine, tout en affirmant ne pas vouloir rejouer tant qu'une refonte totale de leur fédération n'avait pas lieu.

La défenseure du FC Barcelone Mapi Leon, qui dénonce depuis des mois les dysfonctionnements du football féminin espagnol mais ne fait pas partie des grévistes, estimait avoir été forcée à rejoindre le rassemblement.

En vertu de la loi espagnole sur le sport, les joueuses qui refusaient la convocation risquaient en effet des sanctions - des amendes jusqu'à 30'000 euros, et une suspension de leur licence pour une période pouvant aller jusqu'à cinq ans.

"Si les joueuses ne se présentent pas, le gouvernement doit appliquer la loi", avait prévenu le président du Conseil supérieur des Sports (CSD) Victor Francos à la radio Cadena Ser.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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