International
Plus d'un millier d'agriculteurs manifestent à Rome
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Plus d'un millier d'agriculteurs ont de nouveau manifesté jeudi à Rome, notamment en conduisant des tracteurs sur un grand stade antique de la ville, le Circus Maximus, dans le cadre d'une mobilisation qui dure depuis plusieurs semaines en Europe, a constaté l'AFP.
Parallèlement, un petit groupe s'est rassemblé au Palazzo Chigi, siège du gouvernement de Giorgia Meloni, tandis qu'une délégation s'était rendue jeudi matin au siège de la Commission européenne à Rome pour remettre une lettre de revendications.
Depuis début janvier, des agriculteurs manifestent de la Sicile jusqu'au nord du pays contre la baisse de leurs revenus et la hausse de leurs coûts de production, même si l'ampleur du mouvement n'a pas atteint le niveau des rassemblements en France, en Allemagne ou en Belgique.
Ils s'opposent surtout au prix du carburant agricole et au Pacte vert de l'Union européenne, censé atténuer les conséquences du réchauffement climatique mais qui, selon eux, nuisent à leur métier.
"Actuellement, les Italiens, les agriculteurs ne décident de rien", a déploré devant les journalistes l'un des représentants des agriculteurs, Pino Convertini. "Nous n'avons ni un pouvoir de négociation sur les prix, ni sur les choix politiques faits en haut lieu. Alors, que devons-nous faire?"
Table ronde
Vendredi, Giorgia Meloni a organisé une table ronde avec des associations d'agriculteurs italiens, au cours de laquelle elle a promis la restauration d'exemptions fiscales que son gouvernement d'extrême-droite avait suspendues.
La Commission européenne a également fait des concessions ces dernières semaines face aux protestations à travers l'Europe, avant les élections européennes début juin.
Bruxelles a adopté une exemption partielle pour 2024 aux obligations de jachères, revendication-clé des manifestants, et abandonné un projet législatif visant à réduire l'usage des pesticides.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Contrefaçons, produits dangereux: AliExpress dans le viseur de l'UE
La Commission européenne ouvre la voie à une lourde amende contre AliExpress. Bruxelles estime "à titre préliminaire", que le géant chinois du commerce en ligne ne gère t pas suffisamment les risques liés à la vente de produits illégaux, malgré de nombreux progrès.
L'exécutif bruxellois, gendarme du numérique dans l'UE, estime mercredi qu'AliExpress "a enfreint son obligation d'évaluer et d'atténuer les risques liés à la diffusion de produits illégaux" comme des contrefaçons ou des articles non conformes aux normes de sécurité européenne. La mise en cause constitue une première pour cette filiale du mastodonte chinois de l'internet Alibaba dans le cadre du nouveau règlement de l'UE sur les services numériques (DSA), pleinement entré en vigueur l'an dernier pour mieux protéger les internautes.
Dans un communiqué, la Commission note en particulier que la plateforme sous-estime les risques en raison des "ressources limitées" de son système de modération et qu'elle n'applique "pas correctement" sa politique de sanctions envers les vendeurs "qui publient de manière répétée du contenu illégal". Elle pointe aussi des "défaillances systémiques" qui rendent ses systèmes de modération "inefficaces et susceptibles d'être contournés par des vendeurs malveillants".
AliExpress aura désormais accès au dossier et pourra répondre par écrit aux constatations préliminaires. Si l'accusation de la Commission est confirmée, le groupe pourrait écoper d'une amende pouvant atteindre 6% de son chiffre d'affaires annuel mondial et être placé sous surveillance renforcée jusqu'à la mise en oeuvre de mesures correctrices.
Satisfaction sur de nombreux points
La mise en cause formelle annoncée mercredi fait suite à une enquête ouverte par la Commission en mars 2024. Elle s'accompagne toutefois d'un satisfecit sur de nombreux points soulevés il y a un an, la plateforme ayant proposé des améliorations validées par la Commission.
Ainsi, elle note que le distributeur chinois a répondu à ses préoccupations concernant les systèmes mis en place pour "surveiller et détecter les produits illégaux, tels que les médicaments, les compléments alimentaires ou les contenus pour adultes, susceptibles de porter atteinte à la santé des utilisateurs et au bien-être des mineurs".
Le mécanisme de signalement de ces contenus donne également satisfaction tout comme les systèmes de traitement des plaintes. Bruxelles estime aussi qu'AliExpress respecte désormais la loi en matière de transparence des publicités et des systèmes de recommandation, de traçabilité des vendeurs et d'accès à ses données par les chercheurs.
"Les mesures prises aujourd'hui démontrent la force de la législation sur les services numériques pour créer un environnement en ligne plus sûr", s'est félicitée la commissaire européenne à la Souveraineté technologique, Henna Virkkunen, qui a salué "les engagements d'AliExpress pour devenir une plateforme plus sûre pour les utilisateurs".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Téhéran promet de "répondre fermement" en cas d'attaque américaine
L'Iran "répondra fermement" si les Etats-Unis entraient en guerre au côté d'Israël contre la République islamique. "Pour le moment, nous ne pensons à aucun scénario à part celui de nous défendre", a affirmé mercredi son ambassadeur à l'ONU à Genève.
"Les Etats-Unis sont complices", a accusé Ali Bahreini devant les correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU). "Sans eux, Israël ne peut rien faire", a-t-il ajouté.
L'Iran ne veut pas entendre parler de négociation pour le moment. Toute l'énergie est portée "à nous défendre", insiste l'ambassadeur. Malgré l'affaiblissement de ses alliés dans la région, le pays affirme "être confiant sur son potentiel militaire" à moyen terme.
"C'est quelque chose à quoi nous nous sommes préparés" pendant des décennies, a insisté M. Bahreini. Pas question non plus de déposer une plainte à la Cour internationale de justice (CIJ). "Les organisations internationales sont devenues inutiles, notamment face aux crimes d'Israël", dit-il encore.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Nouvelle-Zélande: feu vert à l'usage médical des champignons hallucinogènes
La Nouvelle-Zélande a annoncé mercredi avoir donné son feu vert à l'usage médical de la psilocybine, un composé naturellement présent dans certains champignons hallucinogènes. Elle espère ainsi pouvoir lutter contre la dépression.
"La psilocybine reste un médicament non approuvé, mais un psychiatre très expérimenté a été autorisé à la prescrire à des patients souffrant de dépression qui résiste au traitement", a déclaré le vice-Premier ministre David Seymour dans un communiqué. "C'est une avancée considérable pour les personnes atteintes de dépression qui ont tout essayé et qui souffrent encore", a-t-il estimé.
Outre ce spécialiste, seuls des psychiatres ayant été impliqués dans des essais cliniques sur la psilocybine pourront à leur tour prescrire cette substance à leurs patients, selon un protocole très strict, a-t-il été précisé.
Les scientifiques se penchent de plus en plus sérieusement sur l'utilisation de psychédéliques pour traiter diverses pathologies, telle que la dépression. En 2023, l'Australie avait déjà autorisé à des fins médicales les champignons hallucinogènes mais aussi l'ecstasy afin de lutter contre certaines pathologies mentales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Le bilan des frappes sur Kiev s'alourdit à 21 morts
Le bilan de l'attaque russe massive sur Kiev survenue dans la nuit de lundi à mardi s'est alourdi à 21 morts, a annoncé le service de secours mercredi. De nouveaux corps ont été dégagés des décombres.
"Au total, 21 personnes sont mortes dans la capitale et 134 ont été blessées", a détaillé le Service d'urgence d'Etat sur Telegram. Des bilans provisoires avaient fait état mardi d'au moins quatorze morts.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé "l'une des pires attaques" russes contre Kiev depuis le début de l'invasion en février 2022. Selon lui, plus de 440 drones et 32 missiles ont été tirés durant cette attaque. Vingt-sept sites ont été ciblés dans la capitale, a précisé le ministre de l'Intérieur Igor Klymenko.
Parallèlement, deux autres personnes ont été tuées et 17 blessées dans une attaque sur la ville côtière d'Odessa et deux autres personnes sont mortes dans les régions de Soumy et de Kherson, selon les autorités ukrainiennes.
Les villes ukrainiennes sont ciblées chaque nuit par des frappes russes, à un moment où les pourparlers en vue d'un cessez-le-feu sont dans l'impasse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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