International
Pyongyang tire deux missiles et met en garde Washington et Séoul
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La Corée du Nord a affirmé avoir tiré lundi deux missiles capables, selon elle, d'une "attaque nucléaire tactique" pouvant détruire entièrement des bases aériennes ennemies. Il s'agit du deuxième tir nord-coréen en 48 heures.
Un missile balistique intercontinental (ICBM) avait été tiré samedi en réponse à un exercice militaire prévu par Washington et Séoul. Le lancement de cet ICBM, tombé selon Tokyo dans la Zone économique exclusive (ZEE) du Japon, a conduit Washington et Séoul à organiser dimanche des manoeuvres aériennes conjointes.
Selon l'agence officielle nord-coréenne KCNA, l'"exercice" de lundi a été mené en réponse à ces exercices aériens, Pyongyang accusant les deux alliés d'être responsables de la détérioration de la situation sécuritaire dans la péninsule.
La Corée du Nord a utilisé lundi des "lance-roquettes multiples de très grande taille", qui constituent des "moyens d'attaque nucléaire tactique", ce qui a permis à "l'Armée populaire de Corée (de démontrer) sa pleine capacité de dissuasion et sa volonté de contrer" les exercices aériens conjoints américano-sud-coréens de dimanche.
"Grave provocation"
A la différence de Pyongyang, les Etats-Unis qualifient habituellement ces roquettes de "missiles balistiques de courte portée", explique le Center for Strategic and International Studies (CSIS), un groupe de réflexion établi à Washington.
L'armée sud-coréenne avait ainsi affirmé avoir détecté le tir de deux missiles balistiques de courte portée lundi entre 07h00 et 07h11 (23h00 et 23h11 en Suisse) qui ont parcouru une distance de 390 km pour l'un et de 340 km pour l'autre avant de tomber dans la mer de l'Est, en référence à l'étendue d'eau aussi connue sous le nom de mer du Japon.
Séoul a qualifié le lancement de "grave provocation qui porte atteinte à la paix et à la stabilité de la péninsule coréenne" et appelé Pyongyang à y mettre un terme "immédiatement". A la demande du Premier ministre japonais Fumio Kishida, le Conseil de sécurité des Nations Unies se réunira en urgence mardi après-midi à New York.
Dans une déclaration publiée lundi matin, la soeur du leader nord-coréen, Kim Yo Jong, a prévenu que Pyongyang continuerait à surveiller les initiatives de Washington et de Séoul pour déployer davantage de moyens stratégiques américains dans la région, promettant de prendre des "contre-mesures correspondantes" à toute menace perçue. "La fréquence d'utilisation du Pacifique comme champ de tir dépend du type d'action des forces américaines", a-t-elle mis en avant dans un communiqué publié par KCNA.
Exercice "surprise"
Pyongyang avait affirmé que son tir d'un ICBM effectué samedi relevait d'un exercice "surprise" qui, selon lui, a démontré ses capacités de "contre-attaque nucléaire meurtrière". Le Japon a précisé que cet ICBM a volé pendant 66 minutes avant de retomber dans sa zone économique exclusive (ZEE).
En réponse, Séoul et Washington ont organisé des exercices aériens conjoints dimanche, mobilisant un bombardier stratégique et des avions de chasse furtifs. Ce lancement a été "fermement" condamné par le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, a fait savoir son porte-parole dimanche, exhortant Pyongyang à cesser ses "actions provocatrices".
La Corée du Nord a loué ses soldats pour avoir effectué l'"exercice de tir soudain" samedi, mais des experts sud-coréens ont souligné que le délai de neuf heures entre l'ordre et le lancement n'était pas particulièrement rapide. Kim Yo Jong a rejeté ces critiques, les décrivant comme "une tentative de sous-évaluer l'état de préparation des forces balistiques" de Pyongyang.
Réaction de colère
Hong Min, de l'Institut coréen pour l'unification nationale, a estimé auprès de l'AFP que cette réaction de colère s'inscrivait dans une "tendance" de la Corée du Nord à s'opposer à toute évaluation extérieure de ses capacités en matière d'ICBM.
"La réaction virulente et colérique de Kim à l'évaluation extérieure du lancement de son ICBM montre que le Nord tient vraiment à faire passer le message qu'il est capable de frapper le continent américain", a-t-il noté, ajoutant que le lancement de lundi était une réponse "à l'exercice aérien conjoint américano-sud-coréen du week-end".
L'utilisation de missiles de plus courte portée indique que la Corée du Nord "vise virtuellement les bases américaines et le centre de commandement sud-coréen dans la région", selon M. Hong. Les lancements du Nord, menés malgré les lourdes sanctions internationales qui pèsent sur ses programmes d'armement, ont eu lieu juste avant le début des exercices conjoints entre Séoul et Washington prévu dans le courant de la semaine afin d'améliorer leur réaction en cas d'attaque nucléaire nord-coréenne.
La semaine dernière, Pyongyang a prévenu qu'il réagirait avec une vigueur "sans précédent" aux exercices à venir, qu'il décrit comme des préparatifs de guerre. Les relations entre Pyongyang et Séoul se trouvent déjà à leur niveau le plus bas depuis des années. En 2022, le Nord a qualifié d'"irréversible" son statut de puissance nucléaire et Kim Jong Un a appelé à une croissance "exponentielle" de la production d'armement, notamment d'armes nucléaires tactiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des associations de consommateurs déposent une plainte contre Shein
Une vingtaine d'associations européennes de consommateurs a déposé une plainte jeudi contre Shein auprès de la Commission européenne. Elle reproche au détaillant chinois en ligne des "pratiques litigieuses" telles que la mention "stock faible" sans preuve.
A la suite d'une enquête, l'Union européenne (UE) avait mis en cause en mai le géant asiatique de l'"ultra fast fashion", notamment pour fausses réductions et informations trompeuses sur la durabilité des produits et l'a menacé d'amendes. Les 25 associations de consommateurs européennes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) espèrent par leur plainte, déposée auprès de la Commission européenne et des autorités européennes de protection des consommateurs, compléter l'enquête de l'UE "en apportant des preuves supplémentaires sur les pratiques litigieuses".
L'association française de défense des consommateurs et usagers CLCV, membres du BEUC, a également déclaré à l'AFP avoir effectué un signalement similaire à la Répression des Fraudes (DGCCRF). "Ces techniques poussent les consommateurs à acheter plus que prévu et alimentent les problèmes environnementaux et sociétaux causés par l'industrie de la fast fashion", alertent les associations plaignantes.
Shein, également visé par une proposition de loi visant à réguler ses pratiques et qui a été examinée lundi au Sénat, a estimé que "les consommateurs européens seraient mieux servis si le BEUC acceptait de nous rencontrer" comme l'entreprise en a fait la demande, affirme-t-elle dans une réaction transmise jeudi à l'AFP.
L'e-commerçant d'origine chinoise mais basée à Singapour, actuellement sous le feu de nombreuses procédures françaises et européennes, a redit "travailler de manière constructive avec les autorités nationales de protection des consommateurs et avec la Commission européenne pour démontrer notre engagement à respecter les lois et réglementations de l'UE".
Le "refus de dialogue" du BEUC "est extrêmement décevant, d'autant plus que Shein connaît une popularité croissante auprès des consommateurs européens, qui reconnaissent que notre plateforme offre un meilleur rapport qualité-prix", a-t-il conclu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Ukraine: nouvelle attaque russe après l'avertissement de Trump
Une nouvelle attaque de drones russe a fait au moins cinq morts dans la nuit de mercredi à jeudi en Ukraine. Cela au lendemain d'une conversation entre Donald Trump et Vladimir Poutine à l'issue de laquelle l'Américain a estimé qu'il n'y aurait pas de "paix immédiate"
Donald Trump a en effet prévenu que son homologue russe allait riposter à la spectaculaire attaque de drone lancée par l'Ukraine le week-end dernier sur plusieurs aérodromes russes, qui a détruit ou endommagé de nombreux avions militaires.
L'attaque russe de drones a fait dans la nuit au moins cinq morts, a annoncé le chef de l'administration de la région de Tcherniguiv dans le nord de l'Ukraine.
"Cinq personnes sont mortes, dont deux femmes et un enfant d'un an" et "des maisons d'une zone résidentielle ont été endommagées", a écrit Viatcheslav Tchaus sur Telegram.
Trump répète les propos de Poutine
Mercredi, dans un message sur son réseau Truth Social, Donald Trump a dit avoir eu avec son homologue russe une "bonne conversation, mais pas une conversation qui va mener à une paix immédiate" en Ukraine.
"Le président Poutine a dit, très fermement, qu'il allait devoir riposter aux récentes attaques" ukrainiennes sur plusieurs aérodromes russes, a ajouté le septuagénaire sans autre commentaire, précisant que l'entretien avait duré "une heure et quinze minutes".
Rien ne perce dans le message du locataire de la Maison Blanche de la frustration qu'il avait manifestée récemment contre Vladimir Poutine. Il avait jugé le 26 mai que son homologue russe était devenu "complètement fou", à la suite d'attaques russes meurtrières contre l'Ukraine.
Pour sa part, le Kremlin a qualifié de "positive" et "productive" la conversation téléphonique, ajoutant que les deux dirigeants avaient décidé de "rester en contact permanent".
Zelensky appelle à ne pas se montrer "faible"
Quelques heures après ce coup de fil, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé sur X à ne pas se montrer "faible" face au président russe. "Lorsqu'il (Poutine) ne ressent ni force ni pression, mais plutôt de la faiblesse, il commet toujours de nouveaux crimes", a estimé le président ukrainien.
A Pyongyang, le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a promis un "soutien inconditionnel" à Moscou dans son conflit avec l'Ukraine déclenché en février 2022, a rapporté jeudi un média d'Etat.
M. Kim a reçu mercredi le secrétaire du Conseil de sécurité russe Sergueï Choïgou, proche conseiller du Kremlin, qui effectuait sa deuxième visite dans la capitale nord-coréenne en moins de trois mois.
Il a assuré que son gouvernement apporterait "son soutien inconditionnel à la position de la Russie et sa politique étrangère sur toutes les questions internationales cruciales, y compris le dossier ukrainien", selon l'agence officielle nord-coréenne KCNA.
Le numéro un nord-coréen a exprimé "sa conviction que la Russie allait, comme toujours, remporter la victoire dans sa cause sacrée de recherche de la justice".
Flop des négociations
Deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n'ont pas permis de rapprocher les positions.
Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev une liste de demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.
Des conditions qualifiées mercredi par Volodymyr Zelensky d'"ultimatums" inacceptables.
Tandis que l'Ukraine est en difficulté sur le front, le président américain, de concert avec ses alliés européens, réclame depuis des semaines un cessez-le-feu inconditionnel. Mais le Kremlin considère qu'une telle initiative permettrait aux Ukrainiens de se réarmer avec l'aide des Occidentaux.
Aucune mention de sanctions supplémentaires
Le message de Donald Trump mercredi ne fait aucune mention de possibles sanctions supplémentaires contre la Russie, réclamées par l'Ukraine, et récemment évoquées par lui-même.
Contrairement à l'Ukraine, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a insisté mercredi sur le fait que les discussions d'Istanbul étaient "utiles" et avaient conduit à des "résultats concrets".
Russes et Ukrainiens doivent procéder ce week-end à un nouvel échange de 500 prisonniers de guerre de chaque camp, après un précédent échange de 1000 personnes de chaque côté en mai. Kiev et Moscou sont en outre convenus de remettre les corps de milliers de militaires tués.
D'après le Kremlin, Donald Trump a affirmé à Vladimir Poutine lors de leur appel qu'il n'avait pas été "informé à l'avance" par Kiev de la spectaculaire attaque de drones du week-end dernier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Hegseth:les Alliés de l'Otan ne peuvent pas être dépendants des USA
Les pays de l'Otan ne peuvent pas être dans la "dépendance" vis-à-vis des États-Unis, a averti jeudi à Bruxelles le secrétaire US à la Défense Pete Hegseth. Il s'exprimait en marge d'une réunion des ministres de la Défense des pays de l'Alliance atlantique.
"Notre message restera clair. Il s'agit de la dissuasion et de la paix par la force, mais pas de la dépendance. Il ne peut s'agir et ne s'agira pas de dépendre de l'Amérique dans un monde où les menaces sont nombreuses", a-t-il déclaré.
Pete Hegseth est revenu sur le souhait du président Donald Trump de voir chaque membre de l'organisation consacrer au moins 5% de son PIB à la défense. "Nous devons être à 5% vu les menaces auxquelles nous devons faire face dans le monde aujourd'hui."
Et, "nous pensons que cela va se produire, que cela va être fait d'ici le sommet de La Haye qui se tiendra à la fin du mois", a encore dit M. Hegseth.
Pour assurer le succès du sommet de La Haye, le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte a proposé un chiffre global de 5%, mais sous la forme d'une addition de deux types de dépenses. Il propose de porter le niveau des dépenses militaires stricto sensu à 3,5% du PIB d'ici 2032, et dans le même temps de porter à 1,5% du PIB toutes celles liées à la sécurité, au sens large, comme la protection aux frontières, la mobilité militaire ou encore la cybersécurité.
Absence remarquée
L'absence remarquée de Pete Hegseth à la réunion du groupe de contact pour la défense de l'Ukraine (UDCG) mercredi a déjà fait couler beaucoup d'encre au sujet de la position de Washington vis-à-vis de l'Ukraine. Le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, a toutefois temporisé, indiquant que l'organisation de ces réunions en Europe pouvait expliquer l'absence du secrétaire américain à la Défense.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga
International
Djakarta inactif face aux dommages de l'industrie du nickel
Le gouvernement indonésien n'intervient pas face aux dommages environnementaux et à la violation des droits des populations autochtones causés par l'exploitation du nickel sur une île des Moluques. C'est ce que dénonce le rapport d'une ONG publié jeudi.
Selon Climate Rights International (CRI), les entreprises qui exploitent la vaste concession minière de Weda Bay Nickel, sur l'île de Halmahera, 2400 km à l'est de Djakarta, provoquent une augmentation de la pollution de l'air et de l'eau et une déforestation de la zone.
"Malgré des preuves évidentes que les droits et les moyens de subsistance des communautés en Indonésie sont menacés par l'extraction et le traitement du nickel, les entreprises opèrent en toute impunité, privilégiant les profits au détriment des populations", a déclaré Krista Shennum, chercheuse pour Climate Rights International.
Plus grand producteur de nickel
"Le gouvernement indonésien doit écouter les communautés locales et demander des comptes aux pollueurs", a-t-elle ajouté. L'Indonésie est le plus grand producteur au monde de nickel, dont elle abrite les plus grandes réserves connues.
La mine de Weda Bay a vu son territoire s'étendre sensiblement, au détriment du peuple autochtone des Hongana Manyawa ("Peuple de la forêt"), presque totalement isolé du monde.
Batteries des véhicules électriques
La production répond à la forte demande de nickel, principalement pour fabriquer de l'acier inoxydable, et indispensable à la plupart des batteries des véhicules électriques. Pas moins de 17% du nickel mondial provenait de cette seule mine en 2023.
La concession appartient à Weda Bay Nickel (WBN) une coentreprise entre l'indonésien Antam et la société singapourienne Strand Minerals, dont les actions sont réparties entre le groupe minier français Eramet et le géant chinois de l'acier Tsingshan.
"Accaparement de terres, coercition"
Un reportage de l'AFP publié la semaine dernière a montré comment le territoire des Hongana Manyawa était progressivement rongé par la mine de nickel.
Selon CRI, des entreprises indonésiennes et étrangères, en coordination avec la police et le personnel militaire, se sont "livrées à des pratiques d'accaparement de terres, de coercition et d'intimidation" à l'encontre des populations autochtones et d'autres communautés.
Niveaux dangereux de nickel et chrome
Des tests sur l'eau, effectués par les ONG indonésiennes AEER, JATAM et la Fondation Nexus3 en 2023 et 2024 "ont révélé des niveaux dangereusement élevés de nickel et de chrome hexavalent (ou chrome 6, ndlr), entre autres polluants", a encore indiqué CRI.
WBN et Eramet ont tous deux indiqué la semaine dernière à l'AFP qu'ils travaillaient pour minimiser les impacts sur l'environnement, notamment en effectuant des tests sur l'eau.
Militants "harcelés et diffamés"
Des militants locaux et des étudiants opposés au parc industriel ont également subi "du harcèlement et des campagnes de diffamation", a ajouté CRI.
Contactés par l'AFP, ni WBN ni le gouvernement indonésien n'ont réagi dans l'immédiat au rapport de CRI.
La direction générale du charbon et des minéraux du ministère indonésien de l'Energie et des Ressources minérales a indiqué la semaine dernière qu'elle s'engageait à "protéger les droits des peuples autochtones et à garantir que les activités minières ne nuisent pas à leur vie et à leur environnement".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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