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Tadej Pogacar s'impose pour la troisième année consécutive

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Le Slovène Tadej Pogacar est bien le roi de Lombardie (archive). (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Le Slovène Tadej Pogacar (UAE Emirates) s'est imposé pour la troisième édition consécutive dans le Tour de Lombardie samedi à Bergame, l'emportant en solitaire.

En devançant l'Italien Andrea Bagioli et l'autre cador slovène Primoz Roglic, Pogacar est le troisième coureur à s'imposer trois années d'affilée dans la "Classique des feuilles mortes", le premier depuis Fausto Coppi en 1949. Il est le troisième coureur à s'imposer trois fois de suite en Lombardie après Alfredo Binda et Coppi. Le dernier coureur à avoir remporté trois fois de suite un des cinq "monuments" est l'Italien Moreno Argentin, vainqueur de Liège - Bastogne - Liège entre 1985 et 1987.

Pogacar, déjà vainqueur cette saison du Tour des Flandres, est parti dans une descente à une trentaine de kilomètres de l'arrivée. Il a régulièrement creusé l'écart sur le groupe des poursuivants où se trouvaient Bagioli et Roglic.

Marc Hirschi se trouvait dans un troisième groupe à plus d'une minute quand il s'est retrouvé à terre à une dizaine de kilomètres de l'arrivée. Le champion de Suisse avait touché la roue du Belge Remco Evenepoel dans un moment d'inattention. Le Bernois est revenu dans le groupe avant de lâcher dans la dernière difficulté pour terminer 19e à plus de 2 minutes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Deuxième jour de délibérations du jury au procès Trump

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Donald Trump a l'interdiction de quitter le tribunal durant toutes les délibérations. (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE / POOL)

Les douze jurés qui ont entre leurs mains le sort judiciaire de Donald Trump poursuivaient jeudi au tribunal de Manhattan leur quête d'un verdict au premier procès pénal d'un ancien président des Etats-Unis. L'accusé a de nouveau dénoncé "un tribunal de pacotille".

En arrivant à la cour pénale de Manhattan, qu'il a interdiction de quitter pendant toutes les délibérations, le candidat républicain à la présidentielle de novembre a accusé son adversaire, le président démocrate Joe Biden, d'avoir orchestré le procès.

"Je veux simplement dire que c'est un jour très triste pour l'Amérique (...) Tout est truqué", a-t-il ajouté, alors qu'il sera jugé par des citoyens de New York tirés au sort et sélectionnés par la défense et l'accusation.

Depuis mercredi, ces sept hommes et cinq femmes plongés depuis six semaines dans cette affaire aux enjeux extraordinaires, ont commencé à délibérer à huis clos dans une salle du tribunal. Après quelques heures de travail, ils ont demandé à pouvoir réentendre des extraits de certains témoignages, ainsi que les instructions du juge Juan Merchan, ce que le magistrat a commencé à faire jeudi matin.

Dans la salle d'audience, Donald Trump écoute en silence. Derrière lui a pris place l'un de ses fils, Eric.

Un saut dans l'inconnu

Après des débats durant lesquels il a souvent été question de sexe, d'argent et de conquête du pouvoir, les jurés doivent répondre à une question: Donald Trump s'est-il rendu coupable de 34 falsifications de documents comptables, destinées à cacher un paiement de 130'000 dollars à l'actrice de films X Stormy Daniels pour éviter un scandale sexuel à fin de sa campagne présidentielle de 2016?

Une réponse positive ferait basculer la campagne présidentielle américaine de 2024 dans un scénario inconnu. Donald Trump pourrait faire appel et quand même se présenter le 5 novembre face à Joe Biden, mais avec une casquette lourde à porter, celle d'un condamné en justice.

S'il était reconnu coupable, le juge prononcerait la sentence dans plusieurs semaines, probablement avant le 5 novembre. La peine peut aller, en théorie et au maximum, jusqu'à quatre ans de prison, mais le magistrat peut décider aussi d'une sanction plus légère, comme une peine de prison avec sursis probatoire, voire de simples travaux d'intérêt général.

Le délibéré des jurés peut prendre plusieurs jours. Il leur faudra être unanimes pour déclarer Donald Trump coupable ou non coupable. Cette affaire n'est que l'un des quatre dossiers dans lesquels le républicain est inculpé. Mais le procès à New York sera probablement le seul à être jugé avant la présidentielle du 5 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Israël: le parti de Gantz veut dissoudre le Parlement

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Benny Gantz et son parti veulent que les Israéliens retournent aux urnes (archives). (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

Le parti de Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien, a déposé jeudi un projet de loi pour dissoudre le Parlement et la tenue d'élections anticipées. Une demande rejetée par le Likoud, du premier ministre Benjamin Netanyahu.

Le parti de l'Union nationale (centre-droit), membre du gouvernement d'urgence, a "déposé une proposition de loi de dissolution de la 25e Knesset (Parlement, NDLR). Ceci fait suite à la demande du chef du parti Benny Gantz d'aller de l'avant dans le cadre d'un large accord en vue de la tenue d'élections avant le mois d'octobre, un an après le massacre", selon un communiqué du parti.

Le Likoud (droite) a réagi, affirmant que "la dissolution du gouvernement d'union est une récompense pour (le chef du Hamas à Gaza) Yahya Sinouar, une capitulation face aux pressions internationales et un coup fatal aux efforts visant à libérer nos otages".

Le parti de l'Union nationale s'est joint au gouvernement Netanyahu peu de temps après l'attaque nédite menée par le Hamas sur le territoire israélien le 7 octobre, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Benny Gantz et Gadi Eizenkot, tous deux anciens chefs de l'armée, sont depuis membres du cabinet de guerre.

Les prochaines élections législatives sont prévues pour octobre 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Elections législatives: décompte en cours, la majorité ANC menacée

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Après trente ans d'une loyauté sans faille des électeurs à l'égard de l'ANC, pour avoir libéré l'Afrique du Sud du régime raciste de l'apartheid, le parti de Nelson Mandela devrait pour la première fois perdre sa majorité absolue au Parlement, selon experts et enquêtes d'opinion. (© KEYSTONE/AP/Uncredited)

De premiers résultats partiels des législatives en Afrique du Sud, avec environ 20% des votes comptabilisés, donnent jeudi l'ANC au pouvoir sous la barre fatidique des 50%. Cela au lendemain d'un scrutin qui pourrait marquer un tournant dans l'histoire du pays.

Après trente ans d'une loyauté sans faille des électeurs à l'égard de l'ANC, pour avoir libéré l'Afrique du Sud du régime raciste de l'apartheid, le parti de Nelson Mandela devrait pour la première fois perdre sa majorité absolue au Parlement, selon experts et enquêtes d'opinion.

A la mi-journée, le Congrès national africain (ANC) cumulait 43,3% des voix sur 19,87% des votes comptabilisés, contre près de 25% pour le plus grand parti d'opposition (Alliance démocratique, DA), selon la Commission électorale (IEC).

Mais les votes des grandes agglomérations - Johannesburg, Durban et Le Cap, n'étaient pas encore pris en compte. Les résultats définitifs ne sont pas attendus avant le week-end.

Participation élevée

Plus de 27 millions d'électeurs étaient appelés mercredi à désigner leurs 400 députés, qui éliront ensuite le président. Le dépouillement a commencé dès la fermeture des bureaux mercredi soir, certains ayant fini tard dans la nuit en raison d'une forte affluence.

L'IEC, qui s'adressera à la presse plus tard dans la journée, anticipe une participation plus élevée que les 66% obtenus en 2019 lors des dernières législatives.

Engagements pas tenus

Pour nombre des 62 millions de Sud-Africains, l'ANC, qui avait promis lors des premières élections multiraciales en 1994, l'éducation, l'eau et un toit pour tous, n'a pas tenu ses engagements: la criminalité atteint des records, la pauvreté et les inégalités vont croissant.

Le quotidien est aussi rongé par des coupures d'eau et d'électricité. Et les affaires de corruption impliquant ses hauts responsables a fini d'entamer une confiance déjà mise à mal.

"Plus besoin de l'ANC "

Dans le centre de Johannesburg, des télévisions allumées dans les boutiques font défiler en direct tendances et projections au lendemain du scrutin. Les clients affairés passent en jetant un rapide coup d'oeil.

"J'ai bon espoir que le parti au pouvoir va changer et que l'ANC se rendra compte qu'on n'a plus besoin de lui", dit à l'AFP Shaun Manyoni, un étudiant de 21 ans.

Dans la province zouloue (KZN, est) et bastion traditionnel de l'ANC où l'armée est déployée jeudi, le petit parti Umkhonto We Sizwe (MK) du sulfureux ex-président Jacob Zuma est pour le moment en tête avec plus de 43% des voix.

"Ma mère et moi avons voté MK", lance d'un air bravache Londi Mbatha, 20 ans. "Avec l'ANC, le chômage n'a fait qu'augmenter, la jeunesse et la formation ont été laissées de côté".

Zuma encore soutenu dans sa province

"Le MK est vraiment venu grignoter des voix à l'ANC", souligne le professeur en politique Siphamandla Zondi, interrogé par l'AFP. De nombreux observateurs prédisent que la province clef, qui rassemble plus de 20% de l'électorat du pays, tombera aux mains de Jacob Zuma.

L'ancien chef d'Etat (2009-2018) de 82 ans, déclaré inéligible quelques jours avant le scrutin, bénéficie encore d'un fervent soutien populaire particulièrement dans son fief du KZN.

Nouvelle ère en vue

L'ANC, qui détient actuellement 230 sièges de députés (57,5%) devrait rester le plus gros parti au Parlement. Mais s'il passait sous la barre des 50% des votes, il devrait se résoudre à nouer des alliances et se soumettre à des négociations pour la formation d'un gouvernement de coalition, dont les experts se disputent encore les contours.

Le chef de la DA, John Steenhuisen, a annoncé l'avènement d'une nouvelle ère après trente ans de scrutins où "il allait de soi que l'ANC allait gagner".

Le président Cyril Ramaphosa, 71 ans, qui compte sur un second mandat, a répété mercredi qu'une victoire de l'ANC ne fait "aucun doute". Mais la toute-puissante organisation ressortira affaiblie du scrutin, s'accordent à dire les spécialistes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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C'est fini pour Golubic

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Pas l'ombre d'une chance Viktorija Golubic lors de son 2e tour à Roland-Garros (© KEYSTONE/EPA/CAROLINE BLUMBERG)

Viktorija Golubic (WTA 76) n'a pas passé le cap du 2e tour à Roland-Garros. La Zurichoise a été battue par 6-2 6-2 par Anastasia Potapova (WTA 41).

Au cours du premier set, la Zurichoise a cédé son engagement dès son deuxième jeu de service. Dans un fauteuil, la Russe a tout de même dû sauver une balle de break à 3-2 en sa faveur, mais elle a tenu et a ensuite ravi une nouvelle fois le service de Golubic, avant de conclure facilement la première manche.

Golubic a loupé le coche durant le deuxième set, surtout qu'elle a eu quatre occasions de faire le break alors qu'elle menait 2-1. Cette incapacité à mettre la Russe sous pression s'est retournée contre elle, puisque sur le jeu suivant elle a abandonné sa mise en jeu. Même l'interruption due à la pluie à 5-2 en faveur de Potapova n'a pas permis à Golubic de faire douter la Russe. La 41e joueuse mondiale a conclu sur sa deuxième balle de match après 62 minutes.

C'est la troisième fois en autant de duels que Golubic perd contre la joueuse russe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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