Économie
Toshiba en contact préliminaire avec dix repreneurs potentiel
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Le conglomérat japonais Toshiba a déclaré vendredi avoir reçu à ce jour des marques d'intérêt de dix "partenaires potentiels" concernant son éventuel rachat.
Le géant nippon, dont les résultats se sont améliorés sur l'exercice 2021/22, étudie désormais sérieusement cette option, après s'y être longtemps opposé.
Ces dix sociétés, dont les noms n'ont pas été divulgués, ont obtenu des informations détaillées sur ses comptes en échange d'accords de confidentialité, a ajouté le groupe dans un communiqué. Elles ont jusqu'au 30 mai pour déposer des offres non contraignantes, a précisé Toshiba.
Le groupe prévoit de publier le nombre de ces offres et un résumé de leurs propositions avant sa prochaine assemblée générale ordinaire, dont la date n'a pas encore été officiellement annoncée mais qui pourrait avoir lieu dès juin. Le fonds de capital-investissement américain Bain Capital a déjà manifesté son intérêt et a l'appui du premier actionnaire de Toshiba, le fonds singapourien Effissimo, qui possède environ 10% du capital.
Deux autres fonds américains, KKR et Blackstone, envisageraient une offre commune, et des fonds japonais suivent aussi le dossier de près, selon divers médias. Un rachat de Toshiba par un ou plusieurs fonds de capital-investissement serait une opération d'une ampleur inédite au Japon. Et lourde de symbole aussi, tant ce groupe a longtemps été un symbole triomphant du savoir-faire industriel et technologique nippon.
L'étoile de Toshiba a cependant sévèrement pâli à partir de 2015, sur fond de scandales de maquillage de ses comptes suivis de graves difficultés financières. Même si Toshiba ne pèse plus que 18 milliards de dollars à la Bourse de Tokyo, son rachat par des capitaux étrangers pourrait s'avérer délicat du fait de ses activités dans des domaines sensibles pour le Japon - du nucléaire civil à la défense en passant par la cryptographie quantique.
Le groupe a également publié vendredi les résultats de son exercice 2021/22, achevé fin mars. Grâce à une nette amélioration des performances de la plupart de ses divisions, son bénéfice net annuel a bondi de plus de 70% à 194,6 milliards de yens (1,49 milliard de francs), pour un résultat opérationnel de 158,9 milliards de yens (+52,2%).
Son chiffre d'affaires annuel a rebondi de 9,3% à 3.337 milliards de yens (24,9 milliards d'euros). Pour 2022/23, Toshiba table sur une nouvelle croissance de son bénéfice opérationnel, à 170 milliards de yens, malgré la pénurie persistante de semi-conducteurs et la flambée des coûts des matières premières. Ses ventes devraient toutefois légèrement reculer, à 3.300 milliards de yens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Convention de l'industrie du bâtiment: les négociations continuent
Les négociations sur la convention nationale du secteur principal de la construction n'ont pas encore abouti à un accord. Les entrepreneurs ont refusé des pourparlers plus rapides.
Les syndicats ont proposé de prolonger les négociations de la Convention nationale (CN) de lundi, ont indiqué mardi Unia et Syna. La Société suisse des entrepreneurs (SSE) a toutefois refusé cette proposition.
Interrogée par l'agence de presse Keystone-ATS, la SSE a justifié ce refus: "Une poursuite précipitée des négociations ne conduirait pas à des résultats responsables pour la branche", a déclaré une porte-parole. "Pour pouvoir poursuivre les discussions de manière sérieuse et ciblée, il est impératif de procéder à des préparatifs approfondis et à des clarifications techniques", a-t-elle ajouté.
En outre, la délégation de négociation de la SSE est composée de représentants d'entreprises, raison pour laquelle une prolongation des séances n'aurait pas été conciliable avec les activités quotidiennes, a dit la porte-parole. Les syndicats ont eux refusé une nouvelle ronde de négociations à la fin de la semaine. La prochaine est prévue lundi prochain.
La convention expire à la fin de l'année
La CN actuelle - la convention collective de travail pour le secteur principal de la construction - concerne environ 80'000 travailleurs. Elle expire à la fin de l'année et doit être renégociée entre les syndicats et la SSE.
Les syndicats demandent notamment des horaires de travail plus courts, compatibles avec une vie de famille, tandis que la SSE veut maintenir un temps de travail hebdomadaire de 40,5 heures et des horaires flexibles. Cela afin que les chantiers puissent compenser les heures perdues en raison d'intempéries, par exemple.
Les syndicats critiquent le fait que cela obligerait les employés à travailler le samedi, alors que la SSE assure que cela ne se produirait que dans des cas exceptionnels. Les négociations ont donné lieu à des actions de grève dans les cantons du Tessin, de Vaud, de Berne et de Bâle-Ville, auxquelles ont participé des milliers de personnes. Les prochaines manifestations doivent avoir lieu vendredi à Zurich.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Poste: la Confédération devrait renoncer au dividende
Le Surveillant des prix en Suisse, Stefan Meierhans, propose que la Confédération renonce au dividende de La Poste. C'est ce qui ressort d'un document sur la révision de la loi sur la Poste.
En tant que propriétaire, la Confédération devrait assumer sa responsabilité en matière de service universel fiable et tourné vers l'avenir, au lieu de miser sur des dividendes, a écrit le surveillant des prix dans ce document, dont l'agence Keystone-ATS a reçu une copie. Blick.ch a été le premier à en faire état.
Avec les dispositions légales relatives au service universel, la Confédération impose à la Poste des coûts considérables qui doivent finalement être supportés par les clients. Il serait donc "logique" que la Confédération renonce en contrepartie à percevoir des dividendes.
De plus, la Poste apporte déjà une contribution au budget fédéral en payant la TVA même dans le domaine réservé. Selon le Surveillant des prix, cette taxe représente une charge supplémentaire pour les clients.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La croissance du PIB vaudois devrait baisser à 1,1% en 2026
Les perspectives de l'économie vaudoise se dégradent. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du canton est attendue à 1,1% en 2026, alors qu'elle a progressé de 1,9% cette année. L'annonce de droits de douane de 39% par les Etats-Unis explique notamment ces prévisions à la baisse.
"Les droits de douane additionnels de 39% appliqués aux marchandises de nombreuses entreprises suisses font partie des plus élevés au monde. A ce niveau, leur compétitivité-prix est réduite par rapport à des concurrents installés dans d'autres pays moins taxés", fait remarquer mardi la commission Conjoncture vaudoise dans un communiqué. La baisse de 10% du cours du dollar par rapport au franc constitue par ailleurs un "obstacle supplémentaire".
La demande intérieure vaudoise demeure toutefois "robuste", se réjouit la commission. Le taux de chômage reste "peu élevé", à 4,5%, tandis que les taux d'intérêt sont bas.
Dans les prévisions par branche, le commerce de gros et de détail est attendu en "forte croissance" (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Les services aux entreprises, les activités immobilières ainsi que les services publics et parapublics devraient connaître une croissance "modérée" entre 0,5 et 2% en 2025, ainsi qu'une "forte croissance" en 2026.
Horlogerie et machines en forte baisse
La construction devrait croître fortement en 2025 puis modérément en 2026, bien que la future suppression de la valeur locative pourrait changer la donne. Les services financiers devraient connaître une croissance modérée en 2025 puis une stagnation en 2026. L'hôtellerie-restauration devrait quant à elle stagner en 2025 puis baisser modérément en 2026.
Un "repli modéré" attend les transports et communications en 2025 et devrait être suivi par une "forte baisse" en 2026. La chimie-pharma, devrait constater une forte hausse en 2025, suivie d'un repli modéré en 2026. Enfin, l'industrie des machines et l'horlogerie devraient se situer en forte baisse en 2025 comme en 2026.
Compte tenu du degré d'incertitude élevé, notamment sur le plan géopolitique, l'endettement de certains pays ou encore l'évolution du cours du franc, ces prévisions sont toutefois à considérer avec prudence, souligne la commission.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BC de Bâle-Campagne liquide sa filiale Radicant
La Banque cantonale de Bâle-Campagne (BLKB) a décidé de rendre la licence bancaire de sa filiale à problèmes Radicant et d'engager sa liquidation. Le bénéfice annuel de l'établissement rhénan en sera lourdement affecté, mais les dividendes maintenus.
"Après un examen approfondi des différentes options de vente, aucune solution permettant la poursuite des activités de Radicant n'a pu être trouvée", précise le président de la BLKB à titre intérimaire, Thomas Bauer, mardi dans un communiqué. Le conseil de banque avait décidé fin septembre de céder sa participation dans la banque numérique.
"Les dépôts des clients restent toutefois entièrement protégés et des solutions de remplacement sont actuellement à l'étude", ajoute Marco Primavesi, président de Radicant. Les collaborateurs seront également "soutenus tout au long du processus".
Le résultat annuel de la maison mère devrait être amputé de 60 millions de francs cette année, par rapport à l'an passé, tandis qu'une performance stable est attendue au niveau opérationnel. La banque prévoit toutefois de maintenir sa rétribution pour les actionnaires et le canton.
Départs groupés
Début juillet, la BLKB avait annoncé passer dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, fusionnée avec Numarics et qui ne parvenait pas à atteindre le seuil de rentabilité.
Une expertise indépendante, commandée par la banque, avait conclu à des lacunes et des manquements, notamment dans le cadre de la fusion avec Numarics.
Ces difficultés avaient coûté leurs postes aux directeur général de la BLKB, John Häfelfinger, et au président du conseil de banque, Thomas Schneider, dont les départs avaient été annoncés début juillet. Dans la foulée, Marco Primavesi avait annoncé renoncer ses fonctions au sein de l'organe de surveillance de Radicant dès la fin de l'année en cours.
L'ancien président de la Finma Thomas Bauer avait été désigné président de la BLKB par intérim fin août sur décision du conseil d'Etat du demi-canton, afin d'assurer un minimum de gouvernance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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