International
Toshiba tiendra fin mars une assemblée sur son projet de scission
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Le conglomérat japonais Toshiba a annoncé lundi la tenue d'une assemblée générale extraordinaire le 24 mars où ses actionnaires seront appelés à s'exprimer sur son projet de scission en deux entités indépendantes, tel que récemment modifié par le groupe.
Ce vote sera toutefois "non contraignant", a précisé Toshiba dans un communiqué, car il s'agira simplement dans un premier temps de "confirmer les avis" de ses actionnaires concernant sa réorganisation stratégique.
Un vote contraignant sur la scission se tiendra "en 2023, une fois que les détails de la réorganisation stratégique seront finalisés", a ajouté le groupe.
Le PDG de Toshiba Satoshi Tsunakawa a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il espérait un taux d'approbation d'au moins 50% lors de la consultation du 24 mars, reconnaissant que les positions des actionnaires sur la scission étaient "partagées".
C'est un euphémisme: plusieurs grands actionnaires du groupe, qui compte bon nombre de fonds activistes étrangers, ont critiqué ce plan depuis son annonce en novembre dernier. Certains d'entre eux auraient préféré que Toshiba cherche plutôt à se faire racheter, totalement ou partiellement, afin de créer de la valeur plus rapidement.
L'un de ses actionnaires activistes, le fonds singapourien 3D Investment Partners, a d'ailleurs proposé deux résolutions additionnelles pour l'AG extraordinaire du 24 mars. La seconde vise notamment à s'assurer que le groupe explore bien "toutes les alternatives" à son plan de scission, dont sa cession totale ou partielle.
Le conseil d'administration de Toshiba a appelé lundi à voter contre les deux résolutions proposées par 3D Investment Partners.
Scandales à répétition
Ancien fleuron industriel et technologique japonais, Toshiba a été affaibli par une série de scandales de comptes truqués à partir de 2015, puis la faillite de sa filiale nucléaire américaine Westinghouse suivie de la vente de nombreux actifs pour survivre.
Le groupe a aussi connu une profonde crise de gouvernance l'an dernier, quand son directeur général puis son président avaient dû démissionner sous la pression des actionnaires, très remontés contre les méthodes douteuses de la direction pour assurer le vote de ses résolutions lors de l'AG ordinaire du groupe en 2020.
Toshiba prévoyait initialement de se scinder en trois parties, avant de revoir sa copie et de ne proposer depuis lundi qu'une scission en deux entités, notamment pour réduire les coûts d'une opération aussi complexe.
Le conglomérat veut également continuer en parallèle de céder des actifs qu'il ne considère plus comme stratégiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
"Alien" se pose au Comic-Con pour dévoiler sa nouvelle série
Le créateur de la série "Alien: Earth", Noah Hawley, a choisi la grand-messe de la pop culture Comic-Con à San Diego, pour y dévoiler vendredi le premier épisode. Des milliers de fans ont pu découvrir la nouvelle série de la célèbre franchise de science-fiction.
"C'est de loin la plus grande chose que j'ai jamais réalisée", a estimé le réalisateur. "Alien: Earth" se déroule quelques années avant les événements du film culte de Ridley Scott sorti en 1979, avec Sigourney Weaver dans le rôle principal.
M. Scott est le producteur exécutif de cette série, qui sortira en août sur les plateformes de streaming. "Si j'ai un talent pour adapter ces films, c'est celui de comprendre ce que le film original m'a fait ressentir et pourquoi, et d'essayer de le recréer en racontant une histoire totalement différente", a estimé Noah Hawley.
La présentation a également fait intervenir les acteurs Sydney Chandler, Alex Lawther, Timothy Olyphant, Babou Ceesay et Samuel Blenkin, qui ont donné leurs impressions sur leur entrée dans l'univers des terrifiants xénomorphes.
Un Predator chassé
"C'est un rêve, c'était surréaliste", a confié Mme Chandler, qui incarne une "hybride" composée d'un corps synthétique et d'une conscience humaine. "Je suis fan de science-fiction et d'Alien depuis toujours", a poursuivi l'actrice. "Je n'arrête pas de me pincer pour m'assurer que je ne rêve pas".
Plus gros festival au monde consacré à la pop culture, Comic-Con réunit chaque année des dizaines de milliers de personnes, souvent déguisées en sorciers, princesses, guerriers et autres personnages de films ou jeux vidéo."
Le film "Predator: Badlands", réalisé par Dan Trachtenberg et dont la sortie est prévue en novembre dans les salles américaines, a également été présenté pendant le Comic-Con.
Dans ce nouveau volet de la franchise, l'intrigue habituelle est renversée: le prédateur se retrouve en territoire hostile et devient une proie, plutôt que d'être le chasseur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La relation Trump-Epstein objet de fausses images générées par l'IA
De fausses photographies et vidéos montrant le président américain Donald Trump au côté du délinquant sexuel Jeffrey Epstein générées par l'intelligence artificielle ont accumulé des millions de vues sur les réseaux sociaux, selon un organisme spécialisé vendredi.
Le milliardaire républicain et le riche financier, mort en 2019 avant son procès pour crime sexuel, se sont effectivement côtoyés pendant des années et de vraies images des deux hommes côte à côte existent.
Mais alors que Donald Trump est embourbé dans l'affaire Epstein depuis plus de deux semaines, au moins sept images et une vidéo générées par l'IA les montrant ensemble ont rassemblé pas moins de 7,2 millions de vues sur différentes plateformes, selon l'organisme de surveillance de la désinformation NewsGuard.
L'une des vidéos présente les deux hommes qui dansent près de jeunes femmes. Sur deux photographies générées par l'IA, MM. Trump et Epstein sont sur un canapé, entourés de filles mineures, ce qu'aucune image authentifiée ne montre, selon la plateforme. NewsGuard a déterminé à l'aide de logiciels de détection qu'il s'agissait d'images générées par l'IA.
Depuis que l'affaire a ressurgi au début juillet, Donald Trump tente de marquer ses distances avec l'ancien financier new-yorkais, dont il était proche il y a plus d'une vingtaine d'années.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Cambodge appelle à un "cessez-le-feu immédiat" avec la Thaïlande
Le Cambodge a réclamé vendredi un "cessez-le-feu immédiat" et "inconditionnel" avec la Thaïlande lors d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU sur les affrontements entre les deux voisins. Les combats ont fait au moins 16 morts en deux jours.
Ce différend frontalier couve de longue date et a dégénéré jeudi en affrontements d'une violence jamais vue depuis 2011, impliquant des avions de combat, des chars d'assaut, des troupes au sol et des tirs d'artillerie.
"Le Cambodge a demandé un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et nous avons également appelé à une résolution pacifique du conflit", a déclaré l'ambassadeur du pays à l'ONU, Chhea Keo, à l'issue de cette réunion à huis clos. Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir ouvert le feu en premier et défendent leur droit à se défendre.
"Comment peuvent-ils [les Thaïlandais, ndlr] nous accuser, nous un petit pays avec une armée trois fois plus petite, sans force aérienne", d'attaquer "un grand voisin", a fait valoir M. Keo.
La Thaïlande fait état pour l'heure de 15 morts, le Cambodge d'un mort. Plus de 138'000 personnes ont été évacuées des régions frontalières de la Thaïlande, selon le ministère thaïlandais de la santé.
Appel à la retenue
Le Conseil de sécurité a de son côté "appelé les deux parties à la retenue et à une solution diplomatique. C'est ce que nous demandons aussi", a dit M. Keo. Aucun autre participant à cette réunion d'urgence demandée par le Cambodge n'a souhaité s'exprimer.
Vendredi, les tirs d'artillerie étaient encore audibles du côté cambodgien de la frontière. Mais la Thaïlande a laissé la porte ouverte à des négociations, avec la Malaisie comme possible intermédiaire.
"Nous sommes prêts, si le Cambodge souhaite régler cette question par la voie diplomatique, de manière bilatérale ou même par l'intermédiaire de la Malaisie. Nous sommes prêts à le faire. Mais jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucune réponse", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère thaïlandais des affaires étrangères, avant la réunion à l'ONU.
La Malaisie préside actuellement l'association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), dont la Thaïlande et le Cambodge sont tous deux membres.
Un peu plus tôt, le premier ministre thaïlandais par intérim, Phumtham Wechayachai, avait prévenu que l'aggravation des affrontements pourrait conduire à "une guerre".
Ces combats constituent une escalade majeure dans le conflit de longue date entre le Cambodge et la Thaïlande, au sujet de leur frontière commune de 800 kilomètres. Les deux voisins contestent son tracé, défini durant l'Indochine française.
Une décision de la Cour internationale de justice de l'ONU en 2013 a réglé le problème pendant plus d'une décennie, mais la crise actuelle a éclaté en mai lorsqu'un soldat cambodgien a été tué lors d'un échange nocturne de tirs dans la zone du "triangle d'émeraude".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump en Ecosse pour un séjour mêlant golf, diplomatie et commerce
Donald Trump est arrivé vendredi pour un week-end prolongé en Ecosse qui doit mêler golf, diplomatie et négociations commerciales. Un important dispositif de sécurité a été déployé en prévision de manifestations.
L'avion du président américain, Air Force One, a atterri peu avant 20h30 locale (21h30 en Suisse) à l'aéroport de Prestwick, au sud-ouest de Glasgow, et Donald Trump doit ensuite se rendre à Turnberry, dans un des deux complexes de golf écossais appartenant à l'entreprise familiale dirigée par ses fils.
Son agenda officiel était vide pour samedi et dimanche. Jusqu'à ce que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, qui espère obtenir un accord sur les droits de douane avec les Etats-Unis, annonce vendredi qu'elle le rejoindrait dimanche en Ecosse pour des discussions.
La police écossaise, qui se prépare à des manifestations à Edimbourg et à Aberdeen ainsi qu'à proximité des terrains de golf, a annoncé la mise en place d'une "opération d'envergure à travers tout le pays pendant plusieurs jours".
Rencontre avec Keir Starmer
Avant de repartir pour Washington, Donald Trump s'arrachera aussi aux greens pour une rencontre, dont les détails ne sont pas connus, avec le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Ce dernier ne passe pas pour être féru de golf comme le républicain de 79 ans et il cherchera surtout à rester dans ses petits papiers, après avoir jusqu'ici évité que son pays ne soit matraqué par des droits de douane exorbitants.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé en mai un accord commercial mais Londres s'inquiète de la volonté exprimée par Donald Trump de le "peaufiner". "Nous allons parler de l'accord commercial que nous avons conclu et peut-être même l'améliorer", a déclaré le président américain avant son départ, ajoutant que lui et Starmer "s'entendent très bien".
Il a en revanche sembler doucher les espoirs britanniques d'obtenir des droits de douane durablement réduits sur l'acier et l'aluminium. Londres a jusqu'ici été exempté des 50% de droits appliqués aux importations vers les Etats-Unis. "Si je le fais pour un, je devrais le faire pour tous", a affirmé Donald Trump, interrogé par un journaliste sur une possible "marge de manoeuvre" au bénéfice du Royaume-Uni.
Loin de la gronde trumpiste
En Ecosse, la guerre dans la bande de Gaza sera sans doute un sujet de discussions, au moment où le Premier ministre travailliste est appelé par plus de 220 députés à emboîter le pas au président français Emmanuel Macron pour reconnaître l'Etat de Palestine.
En traversant l'Atlantique, Donald Trump sera à distance, au moins géographiquement, des rebondissements de la très embarrassante affaire Jeffrey Epstein, un riche financier accusé de crimes sexuels et mort en prison en 2019 avant d'être jugé.
Certains de ses partisans lui reprochent de manquer de transparence à propos de cette ancienne figure de la jet-set new-yorkaise, avec laquelle lui-même entretenait une relation amicale et qui est devenue le symbole pour toute une frange du mouvement "MAGA" des turpitudes d'une élite protégée.
Donald Trump sera de retour au Royaume-Uni en septembre, pour une visite d'Etat à l'invitation du roi Charles III s'annonçant fastueuse.
Manifestations
Il avait assuré au cours d'une précédente visite, en 2023, se sentir "à la maison" en Ecosse où sa mère, Mary Anne MacLeod, a grandi avant d'émigrer à 18 ans aux Etats-Unis.
Son affection n'est pas forcément réciproque: des manifestations sont prévues samedi à Edimbourg et à Aberdeen pour protester contre sa présence. En 2018, sa précédente visite à Turnberry avait poussé des milliers de personnes à manifester à Glasgow et à Edimbourg.
A l'aéroport de Prestwick vendredi, des dizaines de personnes s'étaient rassemblées, espérant apercevoir l'avion présidentiel. Comme Lisa Hart, admiratrice revendiquée du président américain. "Il dit ce qu'il pense, et je crois que quelques personnes pourraient s'inspirer un peu de lui", dit à l'AFP cette promotrice dans l'immobilier de 45 ans, qui se félicite aussi des emplois locaux créés par ses golfs.
Le Premier ministre écossais, John Swinney, a annoncé qu'il rencontrerait Donald Trump pendant sa visite, soulignant que l'Ecosse "entretient une amitié solide avec les Etats-Unis depuis des siècles".
La construction d'un nouveau parcours par le groupe aujourd'hui dirigé par les fils de Donald Trump a suscité du mécontentement à Balmedie, dans l'Aberdeenshire, de la part de certains riverains et d'élus écologistes.
Ce n'est que l'un des nombreux projets, immobiliers ou autres, à travers le monde de la famille Trump. Si Donald Trump n'a plus légalement le contrôle de la holding familiale, ses opposants lui reprochent de multiplier les conflits d'intérêts en se servant de ses fonctions de président pour pousser des investissements familiaux privés, notamment à l'étranger.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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