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Ukraine: ballet diplomatique pour éviter un conflit armé

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Le chef de l'Etat ukrainien a prévenu Moscou que les Ukrainiens résisteraient à toute intervention armée. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

Le ballet diplomatique se poursuit mercredi autour de l'Ukraine. Vladimir Poutine a dit espérer "une solution" à la profonde crise russo-occidentale tout en affirmant craindre un "conflit armé".

Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte a été reçu par le président ukrainien Volodymyr Zelensky à Kiev, au lendemain des visites des chefs des gouvernements britannique et polonais. Jeudi, c'est le président turc, Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est un fournisseur de drones de combat à l'Ukraine, qui est attendu.

L'armée ukrainienne, après des années de relative disette, a vu les livraisons d'armes occidentales augmenter ces dernières semaines, des approvisionnements dénoncés par Moscou.

"Ces armes, c'est de la défense, nous ne pensons qu'à la paix", a assuré le chef de l'Etat ukrainien. Mais il a prévenu Moscou que les Ukrainiens résisteraient à toute intervention armée : "nous ne céderons aucun lopin de terre, nous ne cèderons pas nos territoires, quel qu'en soit le prix".

Accusations de Poutine

La veille, Vladimir Poutine, qui s'exprimait pour la première fois publiquement depuis des semaines sur la crise autour de l'Ukraine, a accusé les Etats-Unis d'ignorer des préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie pour sa sécurité.

Il aussi estimé que Washington jouait la surenchère pour entraîner Moscou dans un "conflit armé" afin de pouvoir lui infliger les "sanctions les plus dures". "J'espère qu'au final nous trouverons une solution", a-t-il ensuite dit.

Selon Moscou, la question fondamentale n'est pas le déploiement militaire russe massif aux portes de l'Ukraine depuis des semaines et que l'Occident dénonce, mais la menace de l'avancée vers l'Est de l'Otan.

La Russie exige donc la fin de la politique d'élargissement de l'Alliance, ainsi que le retrait d'Europe de l'Est de ses capacités militaires.

Fuite dans la presse

Ces demandes ont été rejetées par les Etats-Unis et leurs alliés, Washington proposant en retour de travailler aux d'autres mesures de confiance sur des limites au déploiement de missiles ou aux manoeuvres militaires.

Le quotidien espagnol El Pais a publié le détail des réponses américaines et de l'Otan à la Russie, une fuite dont le contenu n'a été démenti par aucun des camps.

Dans le texte américain, Washington propose que les deux rivaux s'engagent à ne pas déployer de moyens militaires offensifs en territoire ukrainien, que la Russie inspecte certaines infrastructures militaires qui l'inquiètent en Europe, et que les deux pays s'accordent sur un contrôle des armements de courte et moyenne portée.

Les Etats-Unis se disent aussi prêt à discuter de "l'indivisibilité de la sécurité". Le Kremlin se fonde sur ce concept pour réclamer un recul de l'Otan du voisinage de la Russie, arguant que la sécurité des uns ne peut se faire aux dépens d'autres, en dépit du droit de chaque Etat, et donc de l'Ukraine, à choisir ses alliances.

Moscou n'a pas commenté cette publication, mais elle avait dit ces derniers jours que des pistes proposées par Washington étaient "positives" mais "secondaires". Le Kremlin est en train de préparer une réponse, laissant présager la poursuite du dialogue.

Les Occidentaux estiment cependant que la Russie doit reculer d'abord ses troupes des frontières de l'Ukraine, pays dont elle a annexé une partie du territoire en 2014, la Crimée, et où elle soutient des séparatistes armés dans un conflit qui dure depuis huit ans dans l'Est ukrainien.

Sanctions promises en cas d'attaque

En cas d'attaque, ils ont promis des sanctions censées sévèrement mettre à mal l'économie russe et s'en prendre aux oligarques et aux proches du Kremlin. Le président ukrainien a réclamé des sanctions "préventives" à des fins de dissuasion, et non pas seulement en cas d'attaque.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson espère lui parler à Vladimir Poutine mercredi. Son pays, terre d'accueil privilégiée pour les grandes fortunes et groupes russes, veut les viser dans un prochain train de sanctions.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, n'a pas confirmé l'entretien, assurant cependant que le président russe était toujours "prêt à discuter, même avec ceux qui ne comprennent pas ce qui se passe".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un chauffeur de taxi arrêté pour avoir tué délibérément un pigeon

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La route appartient aux humains, donc les pigeons auraient dû s'écarter, aurait déclaré le chauffeur de taxi (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Un chauffeur de taxi de Tokyo a été arrêté pour avoir délibérément tué un pigeon avec son véhicule, selon la police locale interrogée mardi par l'AFP. Il était apparemment exaspéré de croiser un groupe de ces oiseaux sur la route.

L'homme de 50 ans a été arrêté dimanche dernier pour avoir "utilisé sa voiture pour tuer un pigeon", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police de Tokyo. "Ce n'est pas du gibier", a-t-il cru bon de préciser.

Le mois dernier, ce chauffeur de taxi a fortement accéléré à un carrefour dès que le feu est passé au vert, pour foncer sur un groupe de pigeons au sol, selon la presse locale.

Le vrombissement soudain du moteur a surpris un passant, qui a ensuite signalé l'incident à la police.

Celle-ci a pris l'affaire très au sérieux, allant jusqu'à confier à un vétérinaire une autopsie du pigeon tué dans le choc avec le véhicule.

"Les routes appartiennent aux humains, donc les pigeons auraient dû s'écarter du chemin", aurait déclaré le chauffeur de taxi aux enquêteurs, selon les médias locaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Violents combats dans le sud de la bande de Gaza

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Une vue satellite de Khan Younès, le nouvel épicentre des combats dans la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Planet Labs PBC)

L'armée israélienne a intensifié mardi ses opérations contre des combattants du Hamas dans le sud de la bande de Gaza. Des témoins ont fait état de violents combats, faisant craindre un "scénario encore plus infernal" pour les civils, selon l'ONU.

Engagée depuis le 27 octobre dans une offensive terrestre dans le nord du territoire palestinien assiégé, l'armée israélienne a étendu ses opérations au sol à l'ensemble de la bande de Gaza, près de deux mois après le début de la guerre déclenchée par l'attaque sanglante du Hamas contre Israël.

Depuis la reprise des combats le 1er décembre après sept jours de trêve, l'armée pilonne intensément le sud du territoire, faisant de très nombreux morts et blessés parmi les habitants de cette région et les civils venus s'y réfugier, pris au piège dans un périmètre de plus en plus restreint.

Dans la nuit de lundi à mardi, des témoins ont fait état à l'AFP de violents combats près de Khan Younès, nouvel épicentre des tensions, et de raids aériens vers Rafah, à la pointe sud du territoire. L'agence palestinienne Wafa a par ailleurs fait état de "plusieurs" morts dans une frappe à Gaza-ville, plus au nord.

Les bombardements israéliens ont été précédés "d'un nouvel ordre d'évacuation depuis Khan Younès vers Rafah", "qui a provoqué la panique, la peur et l'anxiété", a déclaré lundi le directeur de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.

"Plusieurs fois déplacés"

"Au moins 60'000 personnes supplémentaires ont été contraintes de se déplacer vers des abris de l'Unrwa déjà surpeuplés (...) dont beaucoup ont été déplacées plusieurs fois" depuis le début de la guerre, a-t-il ajouté, précisant que l'ordre d'évacuation israélien "pouss(ait) les gens à se masser dans moins d'un tiers du territoire de la bande de Gaza", soit une centaine de kilomètres carrés.

L'agence palestinienne Wafa a par ailleurs fait état tôt mardi de "plusieurs" morts dans une frappe sur la ville de Gaza, plus au nord.

Et tôt mardi, la branche armée du Hamas a annoncé avoir tiré une salve de roquettes vers Beersheva, grande ville du désert du Néguev.

Des organisations internationales s'alarment des risques pour les civils à Gaza, où "tous les services de télécommunications" sont à l'arrêt, en raison "d'une coupure des principaux réseaux de fibre du côté israélien", selon le groupe de télécoms palestiniens Paltel.

"Un scénario encore plus infernal est sur le point de se réaliser, auquel les opérations humanitaires ne pourront peut-être pas répondre", a déclaré la Coordinatrice humanitaire de l'ONU pour les Territoires palestiniens, la Canadienne Lynn Hastings.

"Intolérables"

La présidente du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Mirjana Spoljaric, arrivée lundi dans la bande de Gaza, a dénoncé elle les souffrances "intolérables" de la population.

"Ce qui m'a le plus choqué, ce sont les enfants qui ont des blessures atroces et qui ont également perdu leurs parents et n'ont personne pour s'occuper d'eux", a-t-elle ajouté, soulignant que des civils "n'ont nulle part où aller".

D'après l'ONU, 1,8 million de personnes, soit les trois quarts environ de la population totale de Gaza, ont déjà été déplacées par la guerre.

"Nous avons vu ce qui s'est passé dans le nord de Gaza. Cela ne peut pas servir de modèle pour le sud", a renchéri depuis Le Caire, Ahmed Al-Mandhari, directeur régional de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Vider les entrepôts?

Le patron de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, avait indiqué lundi avoir reçu une notice de l'armée israélienne, enjoignant l'organisation de "retirer" ses fournitures de son entrepôt médical dans le sud de la bande de Gaza dans les 24 heures, "car les opérations au sol le rendront inutilisable".

Mais l'organe de la Défense israélienne supervisant les activités civiles dans les Territoires palestiniens (Cogat) a nié avoir demandé à l'OMS d'évacuer son entrepôt dans le sud de Gaza.

L'armée israélienne a toutefois demandé aux organisations humanitaires internationales leur "soutien" pour "aider à la mise en place des infrastructures" à Al-Mawasi, zone côtière du sud de la bande de Gaza entre Khan Younès et Rafah, où Israël demande aux civils de se replier.

Lundi, les militaires ont dit agir "avec force" à Khan Younès, où ils ont largué des tracts sur certains quartiers avertissant qu'"une terrible attaque est imminente" et ordonnant aux habitants d'en partir.

Des dizaines de chars, de transports de troupes et de bulldozers israéliens sont entrés dans le sud du territoire palestinien à proximité de Khan Younès, où s'entassent une partie des civils, ont indiqué des témoins à l'AFP.

Amine Abou Hola, 59 ans, a raconté que ces véhicules étaient entrés "sur une profondeur de deux kilomètres", dans le village d'al-Qarara, au nord de Khan Younès.

Dans un quartier dévasté de Rafah, ville frontalière de l'Egypte où les militaires israéliens ont dit chercher à détruire des tunnels souterrains du Hamas, des survivants fouillaient lundi les décombres.

"Nous étions à la maison, nous avons entendu un énorme bruit et des choses ont commencé à nous tomber dessus, c'était comme un tremblement de terre. Nous n'avions jamais vu cela auparavant, la terre a tremblé et le son était si fort", a témoigné un rescapé, Abou Jahar al-Hajj.

Deux civils pour un combattant

Le ministère de la Santé du Hamas a affirmé lundi que 15'899 personnes, à 70% des femmes ainsi que des enfants et adolescents, ont été tuées depuis le début des bombardements israéliens sur la bande de Gaza le 7 octobre.

Environ deux civils ont été tués pour chaque combattant du Hamas mort dans la bande de Gaza, ont affirmé lundi de hauts responsables militaires israéliens, sous couvert d'anonymat.

"Il faut espérer que ce ratio sera beaucoup plus bas dans la prochaine phase de la guerre", a indiqué un de ses responsables, ajoutant qu'un logiciel de cartographie de haute technologie avait été déployé pour tenter de réduire le nombre de morts parmi ceux qui ne combattent pas.

En Israël, l'attaque menée le 7 octobre par des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza a fait 1200 morts, en majorité des civils, selon les autorités.

En représailles, Israël a déclaré la guerre au Hamas et promis de détruire le mouvement islamiste au pouvoir dans la bande de Gaza. L'armée a annoncé mardi matin le décès de trois de ses soldats la veille pour porter le bilan à 78 depuis le début de l'offensive terrestre.

D'après l'armée, 137 otages sont toujours retenus à Gaza, 105 ayant été relâchés pendant une trêve récente d'une semaine, dont 80 en échange de 240 prisonniers palestiniens détenus par Israël.

Les efforts pour prolonger la trêve ont échoué en partie parce que le Hamas ne voulait pas que des femmes otages révèlent ce qu'elles avaient subi, selon un responsable américain, des accusations rejetées par le mouvement islamiste.

Cisjordanie, Liban

Les hostilités dans la bande de Gaza se propagent aussi à la Cisjordanie occupée, à la frontière entre Israël et le Liban et dans différents endroits au Moyen-Orient, où les troupes américaines sont prises pour cibles.

En Cisjordanie, cinq Palestiniens ont été tués lundi par l'armée israélienne selon l'Autorité palestinienne. Tôt mardi, des soldats étaient déployés dans le secteur de Jénine et un Palestinien a été tué lors de heurts à un point de passage près de Jérusalem, selon le ministre palestinien de la Santé.

L'aviation israélienne a indiqué avoir bombardé tôt mardi des positions du Hezbollah libanais, allié du Hamas, et différentes localités en territoire libanais en "représailles" à des tirs du Liban vers le nord d'Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'éruption fait 13 morts, 10 randonneurs recherchés

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Le volcan est entré en éruption dimanche. (© KEYSTONE/AP/Ardhy Fernando)

L'éruption du volcan Marapi, dans l'ouest de l'Indonésie, a fait 13 morts, ont annoncé les secours mardi, après la découverte des corps de deux nouveaux randonneurs décédés. Les recherches se poursuivent pour retrouver 10 personnes encore portées disparus.

Le volcan le plus actif de l'île de Sumatra est entré en éruption dimanche et a craché dans le ciel une tour de cendres de 3000 mètres, plus haute que le volcan lui-même. "Le nombre total de personnes décédées s'élève actuellement à 13 personnes. Dix randonneurs disparus sont toujours recherchés", a déclaré à l'AFP Abdul Malik, directeur des secours de la ville de Padang.

Plusieurs centaines de sauveteurs indonésiens sont mobilisés pour les recherches qui se font dans des conditions rendues difficiles en raison du mauvais temps et des cendres toujours rejetées par le volcan. "Les cendres volcaniques ont atteint le pied de la colline, ce qui constitue un défi pour l'équipe. Les deux voies d'accès sont raides et glissantes", a-t-il expliqué.

Les randonneurs morts ont été retrouvés à partir de lundi près du cratère du volcan, tandis que d'autres ont été retrouvés vivants en bas des pentes. "Ce matin, nous allons déployer environ 200 personnes, en plus de celles qui sont déjà là-haut. Cinq corps ont été ramenés jusqu'à présent", a déclaré tôt mardi à l'AFP Hendri, chef des opérations de secours de Padang, principale ville à proximité.

Opérations périlleuses

"Le volcan est toujours en éruption", a expliqué le responsable, qui, comme de nombreux Indonésiens, porte un seul nom. Lorsque cela est possible, les sauveteurs montent jusqu'au sommet du volcan et évacuent les victimes à l'aide de civières. Mais des éruptions en cours et la mauvaise visibilité rendent les opérations périlleuses, a expliqué Hendri.

Ahmad Rifandi, chef du poste de surveillance du Marapi, a observé cinq éruptions entre minuit et 8 heures du matin, heure locale (02h00 en Suisse). "Le Marapi est toujours très actif. Nous ne pouvons pas voir la hauteur de la colonne (de cendres) car elle est recouverte par les nuages", a-t-il expliqué.

Le chef des secours de Padang, Abdul Malik, avait indiqué lundi aux journalistes que trois randonneurs retrouvés vivants après l'éruption avaient été blessés et transportés à l'hôpital pour des soins médicaux. Au total, 75 randonneurs ont été répertoriés par les autorités comme effectuant une randonnée sur les lieux depuis samedi, dont 49 initialement identifiés et certains souffrant de brûlures et de fractures. Les recherches doivent se poursuivre pendant sept jours au total, ont indiqué les secours.

Gravement brûlés

Les morts ont été gravement brûlés et les médecins légistes se préparaient à les identifier à l'aide de leurs empreintes dentaires ou digitales, a déclaré Eka Purnamasari, un responsable de l'unité médicale de la police de Sumatra occidentale. Le Marapi était au deuxième niveau d'alerte sur une échelle de quatre depuis 2011 avant l'éruption. Une zone d'exclusion de trois kilomètres avait été imposée autour de son cratère.

Le chef de l'agence indonésienne de volcanologie, Hendra Gunawan, a semblé reprocher lundi aux randonneurs de s'être rapprochés trop près du cratère, affirmant que l'agence recommandait de s'abstenir de toute activité humaine dans cette zone, et a averti de possibles "impacts graves" pour les victimes dans un rayon de un à 1,5 kilomètres du cratère. L'Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique, où la rencontre des plaques continentales provoque une importante activité volcanique et sismique. Le pays compte près de 130 volcans actifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Une Américaine tuée par un requin aux Bahamas

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L'attaque a eu lieu au large du rivage d'un complexe hôtelier situé à l'ouest de l'île de New Providence (image prétexte). (© KEYSTONE/AP Baha Mar/JEONG KU HWANG)

Une Américaine de 44 ans a été tuée par un requin lundi aux Bahamas, alors qu'elle faisait du paddle au large d'une plage d'un complexe hôtelier. C'est ce qu'a fait savoir la police des Bahamas dans un communiqué.

"La victime, accompagnée d'un homme, était en train de faire du paddle au large du rivage d'un complexe hôtelier situé à l'ouest de (l'île de) New Providence, quand elle a été mordue par un requin", déclare le communiqué.

Un sauveteur en mer du centre hôtelier a ramené la femme et l'homme en question jusqu'au rivage avant de réaliser les gestes de premier secours, selon la même source. Une enquête a été ouverte, a indiqué la police.

Le tourisme est central pour l'économie des Bahamas, archipel de plus de 3000 îles où les complexes hôteliers de bord de plage sont très nombreux. Aux Bahamas, 33 attaques de requin non provoquées ont été enregistrées depuis 1580, selon l'International Shark Attack File, une base de données gérée par le musée d'histoire naturelle de Floride, aux États-Unis.

L'année dernière, 89 morsures de requin ont été recensées à travers le monde, selon cette même base de données. En 2019, une femme américaine en visite dans le pays avait aussi été tuée par un requin alors qu'elle faisait de la plongée avec sa famille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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