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Une arrestation de Poutine serait une "déclaration de guerre"

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"Imaginons la chose (...) Le chef de l'Etat d'une puissance nucléaire se rend disons, par exemple, en Allemagne et est arrêté. Qu'est-ce que cela ? Une déclaration de guerre contre la Russie", a déclaré mercredi soir l'ex-président Dmitri Medvedev, actuel numéro 2 du Conseil de sécurité russe. (© KEYSTONE/AP Pool Sputnik/EKATERINA SHTUKINA)

Une arrestation de Vladimir Poutine par un pays étranger à la suite du mandat d'arrêt émis la semaine dernière par la Cour pénale internationale reviendrait à "déclarer la guerre" à Moscou, a mis en garde un haut responsable russe.

"Imaginons la chose (...) Le chef de l'Etat d'une puissance nucléaire se rend disons, par exemple, en Allemagne et est arrêté. Qu'est-ce que cela ? Une déclaration de guerre contre la Russie", a déclaré mercredi soir l'ex-président Dmitri Medvedev, actuel numéro 2 du Conseil de sécurité russe.

Si cela se produit, alors "toutes nos capacités, missiles et autres, s'abattront sur le Bundestag, le bureau du chancelier et ainsi de suite", a ajouté M. Medvedev, coutumier des déclarations fracassantes.

Cette mise en garde imagée intervient après que la CPI, basée à La Haye, a émis la semaine dernière un mandat d'arrêt contre M. Poutine pour le crime de guerre de "déportation" d'enfants ukrainiens dans le cadre de l'offensive de Moscou contre l'Ukraine.

Mercredi, la CPI a dénoncé les "menaces" émanant de Moscou à son encontre, après que la justice russe a annoncé ouvrir une enquête pénale contre plusieurs de ses juges et son procureur, Karim Khan.

Plus tôt cette semaine, M. Medvedev avait déjà menacé la CPI d'une frappe de missiles, invitant ses magistrats à "regarder attentivement le ciel".

La Russie, qui ne reconnaît pas la compétence de la CPI, a qualifié le mandat d'arrêt visant M. Poutine de "nul et non avenu".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

La France souffre mais bat l'Islande

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Mbappé a réussi un but et une passe décisive face à l'Islande (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

La France a souffert pour battre l'Islande (2-1) mardi au Parc des Princes.

Les hommes de Didier Deschamps ont néanmoins assuré l'essentiel et se retrouvent seuls en tête de la poule D des qualifications après deux journées, avec 3 points de plus que leurs adversaires du jour.

Menés au score à la 21e, les Bleus ont renversé la vapeur grâce à Mbappé, auteur du penalty du 1-1 (45e) puis de l'assist sur le 2-1 de Bercola (62e). Réduite à dix après l'expulsion de Tchouameni (68e), la France a cru concéder l'égalisation à la 88e. Mais la réussite de Haraldsson a été annulée par la VAR pour une faute.

Le Portugal a également décroché dans la douleur sa deuxième victoire en deux matches dans la poule F, en battant la Hongrie 3-2 à Budapest grâce à une réussite de João Cancelo tombée à la 86e soit deux minutes après le 2-2. Cristiano Ronaldo a inscrit mardi son 141e but en sélection grâce à un penalty transformé à la 58e.

L'Angleterre poursuit elle aussi son sans faute dans le groupe K. Les "Three Lions" sont allés s'imposer 5-0 en Serbie pour signer leur cinquième succès en cinq sorties. Ils possèdent 7 points d'avance sur l'Albanie, qui a battu la Lettonie 1-0 mardi, et 8 sur les Serbes qui comptent toutefois un match en moins.

La Norvège s'éclate

A noter aussi l'écrasante victoire de la Norvège, qui a surclassé la Moldavie 11-1 avec un quintuplé d'Erling Haaland. Les Norvégiens sont vraiment bien partis dans le groupe I: ils ont 6 points d'avance sur l'Italie (avec certes un match en plus), et surtout une différence de buts très largement favorable: +21, contre +5 pour la Squadra Azzurra...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La gagnante du dernier Sierre-Zinal disqualifiée et suspendue

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Gagnante du dernier Sierre-Zinal, Joyline Chepngeno est disqualifiée et suspendue deux ans pour dopage (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Lauréate de l'édition 2025 de Sierre-Zinal, Joyline Chepngeno a été disqualifiée à la suite d'un contrôle antidopage positif, ont annoncé les organisateurs de l'épreuve mardi.

La Kényane a reconnu s’être injectée une substance interdite, souligne le communiqué.

L'Unité d'intégrité de l'athlétisme (AIU) a suspendu Joyline Chepngeno pour deux ans. Tous ses résultats obtenus depuis le 9 août 2025 (date de sa deuxième victoire consécutive dans cette épreuve) sont annulés, avec perte des titres, médailles et primes associés, précise encore le communiqué.

Les organisateurs de Sierre-Zinal sanctionnent également son coach genevois Julien Lyon. "Ce cas de dopage intervient pour la deuxième fois en trois éditions sous la responsabilité du coach Julien Lyon et de son équipe Milimani Runners", explique le communiqué, qui se réfère à Mark Kangogo, vainqueur dopé de l'édition 2022.

Julien Lyon est suspendu de toute activité dans le cadre de Sierre-Zinal, et les athlètes liés à son nom ou à sa structure d'entraînement ont l'interdiction de participer à la mythique course. Les organisateurs se réservent en outre le droit de demander une indemnisation pour atteinte à l'image de l'épreuve.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Wawrinka commence bien

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Stan Wawrinka a bien commencé à Rennes (© KEYSTONE/EPA/SEBASTIEN NOGIER)

Stan Wawrinka (ATP 149) a maîtrisé son sujet pour son entrée en lice dans le Challenger de Rennes. Le Vaudois de 40 ans s’est imposé 6-4 6-4 face au Français Kenny De Schepper (ATP 636).

Tête de série no 2 du tableau, Stan Wawrinka a eu besoin de moins de 80 minutes pour vaincre son cadet de deux ans, qui a disputé les Interclubs cet été avec Nyon. Un break dans chaque set lui a suffi pour faire la différence.

Stan Wawrinka, qui reste sur une demi-finale dans le Challenger de Cancun à la mi-septembre, affrontera à nouveau un Français en 8e de finale. Il se frottera à Mae Malige (ATP 496), un invité de 19 ans, ou à Dan Added (ATP 274, 26 ans).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Macron nomme son fidèle Sébastien Lecornu à Matignon

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Sébastien Lecornu nouveau 1er ministre en France. (© KEYSTONE/EPA/HOW HWEE YOUNG)

Emmanuel Macron a nommé Sébastien Lecornu, son homme de confiance venu de la droite, au poste à hauts risques de Premier ministre, au lendemain de la chute de François Bayrou. Ce dernier n'a pas su résoudre l'équation impossible d'un paysage politique sans majorité.

Le président de la République a chargé mardi Lecornu "de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d'adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois", a annoncé l'Elysée dans un communiqué.

"A la suite de ces discussions, il appartiendra au nouveau Premier ministre de proposer un gouvernement", a ajouté la présidence.

Il devient le septième Premier ministre d'Emmanuel Macron, et le cinquième depuis le début de son second quinquennat en 2022. Du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution de l'Assemblée nationale en juin 2024.

A 39 ans, l'ex-sénateur normand, inamovible au gouvernement depuis 2017, a grimpé les échelons jusqu'à devenir ministre des Armées, un portefeuille ultrasensible en temps de guerre en Ukraine, et s'est imposé comme un fidèle et un intime du chef de l'Etat.

Déjà en décembre dernier, Emmanuel Macron avait voulu le nommer à Matignon, mais son allié historique François Bayrou avait fini par s'imposer à lui.

Cette fois, le président n'a pas tergiversé, et cette nomination express, à rebours de sa tendance naturelle à la procrastination, semble indiquer qu'elle avait été soigneusement préparée en amont.

Après avoir reconnu la défaite de son camp aux législatives anticipées post-dissolution, tenté une semi-cohabitation avec l'opposant Les Républicains Michel Barnier puis avec le centriste Bayrou, il s'en remet donc à un macroniste pur sucre.

"Le président tire la dernière cartouche du macronisme, bunkerisé avec son petit carré de fidèle", a d'emblée raillé sur X Marine Le Pen.

Le casse-tête auquel est confronté le président est pourtant le même que celui qu'il a été incapable de dénouer depuis plus d'un an: trouver un profil susceptible de survivre face à une Assemblée plus fragmentée que jamais.

Une non-censure du PS ?

A l'Elysée, on estime que la fragile coalition bâtie il y a un an entre la macronie et la droite est un acquis. Le président a exhorté ses chefs à "travailler avec les socialistes" pour "élargir" son assise.

Mais il a refusé d'aller jusqu'à nommer comme Premier ministre Olivier Faure, malgré ses offres de service pour la formation d'un "gouvernement de gauche" qui irait chercher des "compromis".

Le premier secrétaire du Parti socialiste a refusé mardi matin, avant la nomination de Sébastien Lecornu, de dire si son parti négocierait avec une personnalité issue du camp présidentiel, continuant jusqu'au bout de "revendiquer le pouvoir".

Pour tenir, le futur gouvernement devra quoi qu'il en soit obtenir, a minima, une non-censure du PS, indispensable pour doter la France d'un budget pour 2026, dont la préparation vient de faire tomber le gouvernement sortant qui avait présenté un effort de 44 milliards d'euros. Le calendrier budgétaire risque déjà de dérailler en raison de cet énième soubresaut de la crise politique, après le retard inédit de l'an dernier.

Et l'impasse politique risque d'agiter les marchés financiers, en attendant la décision de l'agence Fitch qui pourrait dégrader vendredi la note de la dette française. Mardi, la France a emprunté à échéance dix ans aussi cher que l'Italie, longtemps considérée parmi les mauvais élèves en Europe.

Selon un interlocuteur régulier d'Emmanuel Macron, ce dernier pourrait cette fois accepter que le Premier ministre fasse de réelles concessions aux socialistes, par exemple sur la taxation des plus riches, jusqu'ici un tabou pour lui.

Urgence

Outre les avances d'Olivier Faure, le chef de l'Etat a en tout cas rejeté les appels de ceux qui lui demandaient de recevoir les chefs de parti de gauche "avant décision", comme la dirigeante des Ecologistes Marine Tondelier, ou de désigner d'abord un "négociateur" à même de vérifier les coalitions possibles.

Au-delà du budget, il y avait "urgence à nommer un Premier ministre" parce qu'il ne doit pas "y avoir de pouvoir vacant" à la veille du mouvement "Bloquons tout", prévu mercredi, et avant la mobilisation syndicale du 18 septembre, avait martelé dans la matinée le ministre de l'Intérieur sortant Bruno Retailleau, patron de LR, évoquant un mois "propice à tous les débordements".

Emmanuel Macron le sait: s'il n'a que des cartes imparfaites entre les mains, l'atout qu'il va abattre risque d'être le dernier avant de devoir, en cas de nouvel échec, redissoudre l'Assemblée, comme l'y invite le Rassemblement national.

En cas d'impasse prolongée, la pression monterait sur une démission d'Emmanuel Macron, espérée par l'extrême droite comme par La France insoumise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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