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International

Virgin Atlantic pense que ses profits vont redécoller en 2024

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La compagnie aérienne britannique Virgin Atlantic estime être "partie pour redevenir bénéficiaire en 2024" pour la première fois depuis la pandémie. (archives) (© KEYSTONE/AP/LEFTERIS PITARAKIS)

La compagnie aérienne britannique Virgin Atlantic a annoncé mercredi qu'elle est "partie pour redevenir bénéficiaire en 2024" pour la première fois depuis la pandémie.

Le transporteur a par ailleurs réduit l'an dernier sa perte avant impôts et éléments exceptionnels à 139 millions de livres (près de 159 millions de francs), contre 206 millions un an auparavant, d'après un communiqué, grâce à des "efforts de réduction de coûts, une augmentation de l'utilisation de sa flotte", notamment.

Le chiffre d'affaires a quant à lui atteint 3,1 milliards de livres, en hausse de 9% sur un an grâce à une forte demande pour les "destinations de loisir haut de gamme", "bien que les voyages d'affaires soient plus lents à retrouver leurs niveaux d'avant la pandémie".

La compagnie a transporté 5,3 millions de passagers en 2023.

Le directeur général Shai Weiss a souligné qu'une perte "n'est jamais satisfaisante, mais notre performance et nos résultats montrent que nous avons fait de bons progrès en 2023, notre plan fonctionne, et Virgin est parti pour retrouver la rentabilité en 2024".

Le secteur aérien a été l'un des plus durement touchés lors de la pandémie de coronavirus, qui a annihilé les voyages pendant des mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Climat

Les émissions de CO2 liées aux fossiles vers un record en 2025

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Les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Les émissions de dioxyde de carbone issues des énergies fossiles devraient atteindre un nouveau record en 2025, indique jeudi une étude scientifique de référence. Elle confirme qu'il sera quasiment impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré.

Selon le Global Carbon Project, mené par 130 scientifiques internationaux et publié comme chaque année alors que les nations sont réunies pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP30), les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente, pour atteindre 38,1 milliards de tonnes (GtCO2).

"C'est plus que la moyenne de progression annuelle de ces dix dernières années, qui était de 0,8%", note l'étude, indiquant que ces émissions sont maintenant 10% plus élevées qu'elles ne l'étaient en 2015, année de l'accord de Paris, qui ambitionnait de limiter le réchauffement à 2 degrés Celsius, voire 1,5 degré, par rapport à la période préindustrielle.

Même si les émissions ont baissé dans plusieurs pays, notamment sous l'effet du développement des énergies renouvelables, de l'électrification des véhicules ou de la baisse de la déforestation, "collectivement, le monde n'est pas à la hauteur", a souligné auprès de l'AFP Glen Peters du centre pour la recherche internationale sur le climat. "Chacun doit faire sa part et tous doivent faire davantage".

Encore quatre années

L'étude, attendue comme aux COP précédentes pour une première estimation du dérapage climatique mondial pour l'année en cours, estime que la quantité de CO2 restante pour tenir la limite de 1,5 degré Celsius est de 170 milliards de tonnes (GtCO2).

"Cela équivaut à quatre années d'émissions au rythme actuel avant que le budget alloué à la limitation du réchauffement à 1,5 degré ne soit épuisé. C'est donc, en pratique, impossible", conclut Pierre Friedlingstein, de l'université d'Exeter, qui a dirigé l'étude.

Ce constat d'échec s'est imposé tout au long de l'année 2025, reconnu désormais par l'ONU, des climatologues, le président du GIEC et les participants de cette COP. L'objectif est désormais de faire en sorte que le dépassement soit temporaire, mais cela pourrait se compter en décennies.

Sur la trajectoire actuelle, le monde se réchauffera de 2,3 à 2,5 degrés d'ici à la fin du siècle si les pays tiennent leurs engagements, a estimé l'ONU juste avant le rendez-vous de Belém. L'ordre de grandeur est similaire (2,6 degrés d'ici à 2100) dans les calculs publiés jeudi aussi par le Climate Action Tracker.

Les dernières annonces des pays "ne changent rien", conclut le groupe.

Nouveau record pour le charbon

En 2025, les émissions liées spécifiquement à la combustion de charbon atteindront un nouveau record, progressant de 0,8% au niveau mondial, portées notamment par les hausses enregistrées aux Etats-Unis et en Inde.

Les rejets liés au pétrole et au gaz progressent également, de respectivement 1 et 1,3%. Sur le gaz, les émissions "semblent revenir à la tendance de croissance persistante qui prévalait avant l'invasion russe de l'Ukraine", signale l'étude.

Par régions, les États-Unis et l'Union européenne ont inversé la tendance à la baisse observée ces dernières années, enregistrant une hausse de leurs émissions, de respectivement 1,9% et 0,4%, en partie liée à des hivers plus frais qui ont stimulé la demande de chauffage.

Les émissions de la Chine, pays le plus pollueur, semblent se stabiliser (+0,4%), mais, selon M. Peters, l'incertitude quant aux politiques menées par le pays rend prématurée l'affirmation selon laquelle un pic aurait été atteint.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le G7 appelle à un cessez-le-feu urgent en Ukraine

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L'Ukraine veut la fin de la guerre aussi rapidement que possible, a indiqué devant le G7 le ministre ukrainien des affaires étrangères (archives). (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Le G7 a estimé mercredi qu'un cessez-le-feu était nécessaire de "toute urgence" en Ukraine après plus de trois ans de guerre. Il n'a pas pour autant durci le ton contre la Russie.

"Nous avons réitéré qu'un cessez-le-feu immédiat était nécessaire de toute urgence", ont déclaré les ministres des affaires étrangères des Etats-Unis, de la France, du Canada, de l'Italie, de l'Allemagne, du Royaume-Uni et du Japon dans leur communiqué final après une réunion de deux jours à Niagara (Canada).

"Les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force", ont-ils ajouté, répétant leur "soutien indéfectible" à Kiev et à la souveraineté du pays.

"L'Ukraine veut la fin de la guerre aussi rapidement que possible", a plaidé le ministre ukrainien des affaires étrangères Andriï Sybiga, invité, avant d'appeler le G7 à continuer à investir dans la fabrication de missiles et de drones, et la défense aérienne de l'Ukraine. Selon lui, le président russe Vladimir Poutine "se fait toujours l'illusion qu'il peut gagner".

Nouvelles sanctions du Canada

Plus tôt, Ottawa, hôte du sommet, a annoncé de nouvelles sanctions contre Moscou au moment où, à l'approche de l'hiver, l'Ukraine est la cible d'attaques russes redoublées sur ses infrastructures énergétiques.

Le mois dernier, le président américain Donald Trump avait imposé des sanctions aux deux plus grandes compagnies pétrolières russes - Rosneft et Lukoil - fustigeant son homologue russe pour son refus de mettre fin au conflit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Les USA arrêtent la coûteuse production de la pièce d'un centime

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Aucune nouvelle petite pièce d'un centime ne sera mise en circulation: les Etats-Unis mettent fin à une production vieille de 232 ans. (archives) (© KEYSTONE/AP/Matt Slocum)

Les Etats-Unis ont frappé mercredi pour la dernière fois un penny, cette pièce d'un centime de dollar coûtant plus cher à produire que sa valeur faciale.

Le service de la Monnaie a annoncé dans un communiqué qu'aucune nouvelle petite pièce d'un centime ne serait mise en circulation, mettant fin à une production vieille de 232 ans.

"Le penny joue depuis longtemps un rôle dans la vie quotidienne des Américains, des prémices du système économique jusqu'à aujourd'hui. Cependant, des facteurs économiques et industriels, combinés à l'évolution du comportement des consommateurs, ont rendu sa production non viable", relève cette administration.

"Au cours de la dernière décennie, le coût de production de chaque penny est passé de 1,42 centime à 3,69 centimes par penny", a-t-elle précisé.

"On estime à 300 milliards le nombre de pennies en circulation, ce qui dépasse largement la quantité nécessaire aux échanges", selon le communiqué.

Sus au gaspillage

Le président américain Donald Trump avait demandé en février d'arrêter de produire cette pièce, pour réduire les dépenses publiques.

"Eliminons le gaspillage du budget de notre grande nation, même si c'est un centime par un centime", avait-il lancé.

La Monnaie précise qu'elle compte frapper des pennies à l'avenir, mais uniquement comme pièces de collection.

D'autres pays ont déjà abandonné la production de leurs pièces d'un centime, comme le voisin canadien en 2012, là aussi pour des raisons de coût et de désuétude.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Vente record à Genève d'une broche de Napoléon

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La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une broche ornée de diamants ayant appartenu à Napoléon Bonaparte et récupérée par l'armée prussienne à Waterloo a été vendue mercredi au prix record de 3,79 millions d'euros à Genève, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

Le prix de vente de ce bijou historique, l'une des pièces les plus en vue de cette semaine du luxe sur les bords du Léman, a très largement dépassé les attentes de Sotheby's, qui l'avait estimé entre 130'000 et 220'0 euros.

La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo (près de Bruxelles, dans l'actuelle Belgique) face aux soldats britanniques et prussiens à l'issue de la célèbre bataille qui scella sa chute.

Le bijou circulaire, d'environ 45 mm de diamètre, présente en son centre un grand diamant ovale de 13,04 carats, entouré de près d'une centaine de diamants anciens taillés à la mine, de formes et de tailles variées, disposés sur deux rangées concentriques.

Pour orner le bicorne

Cette pièce unique fut créée pour Napoléon vers 1810, "probablement pour orner son bicorne lors d'occasions spéciales", précise la maison de vente. Elle fut ensuite offerte parmi d'autres objets au roi de Prusse Frédéric-Guillaume III comme trophée de guerre le 21 juin 1815, trois jours seulement après la bataille de Waterloo.

Autre pièce maîtresse des ventes Sotheby's, "The Glowing Rose" ou "Rose éclatante", un diamant rose vif de 10,08 carats estimé à environ 20 millions de dollars, a finalement été retiré des ventes mercredi soir. Sollicité par l'AFP, Sotheby's n'était pas immédiatement disponible pour fournir des explications sur ce retrait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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