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International

Yoann Conte élu cuisinier de l'année en France par le Gault&Millau

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Selon le Gault&Millau, Yoann Conte peut sortir 10 à 15 plats différents, "jamais vu, de plus en plus étonnants" (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/MELANIE DUCHENE)

Le chef Yoann Conte, connu pour son restaurant au bord du lac d'Annecy, a été consacré lundi cuisinier de l'année en France par le guide Gault et Millau. Le Breton de 49 ans est déjà couronné de deux étoiles Michelin pour "La table de Yoann Conte" à Veyrier-du-Lac.

"Il y a peu de chefs qui ont cette capacité à inventer et cette puissance de création. A chaque fois, il peut sortir 10-15 plats différents, jamais vu, de plus en plus étonnants", a déclaré à l'AFP Marc Esquerré, responsable de la rédaction du guide jaune. Il se dit notamment "ébloui" par sa lotte travaillée comme une charcuterie avec citron caviar, galette de sarrasin et boudin noir.

"On rêve souvent d'un plat qui concentre tous les plats et c'est ce genre de plat où il y a tout et tout est en harmonie. Ce sont des plats très compréhensibles et en même temps uniques".

Disciple de Marc Veyrat dont il a racheté l'établissement, Yoann Conte a bénéficié cette année d'un coup de projecteur médiatique, après avoir animé l'émission "Objectif Top Chef" au côté de Philippe Etchebest.

Gault et Millau a lancé cette année un nouveau procédé, ayant dévoilé les nommés dans chaque catégorie et organisé un événement pour les présenter un mois avant la soirée de gala.

Narae Kim de l'hôtel Park Hyatt Paris-Vendôme, dont le dessert au chocolat a été servi à la soirée de gala, a été élue pâtissière de l'année.

Jean-Baptiste Klein de "La Table d'Olivier Nasti" en Alsace est élu sommelier de l'année, un an après la consécration du chef Olivier Nasti comme cuisinier de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Allianz relève son objectif annuel après un 3e trimestre record

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Le bénéfice net, part du groupe, a quant à lui atteint 2,85 milliards, en hausse de 13% sur un an, dépassant également les attentes des analystes. (© KEYSTONE/EPA/PETER KNEFFEL)

Le géant allemand Allianz a annoncé vendredi un résultat opérationnel (Ebit) record au troisième trimestre en hausse de 13% à 4,4 milliards d'euros (4,1 milliards en francs), grâce à un moindre impact des catastrophes naturelles. Il relève ainsi son objectif annuel.

Le premier assureur européen vise désormais un bénéfice opérationnel entre 17 et 17,5 milliards sur l'année, selon un communiqué. Il tablait auparavant sur 16 milliards, plus ou moins un milliard.

Sur les neuf premiers mois, le résultat augmente de 10,4% pour atteindre le montant record de 13,1 milliards.

La branche dommages a de nouveau tiré le bénéfice trimestriel vers le haut, du fait d'une meilleure sélection et tarification des risques, de mesures pour améliorer la qualité du portefeuille, et en raison de faibles remboursements liés aux catastrophes naturelles, explique l'assureur dans un communiqué.

De juillet à septembre, ces remboursements ont représenté 60 millions, bien moins que la moyenne des dernières années et contre 646 millions déboursés un an plus tôt.

Le chiffre d'affaires total du troisième trimestre a progressé de plus de 5% sur un an pour atteindre 42,8 milliards, soutenu par une croissance solide dans tous les secteurs d'activité comprenant, outre les dommages, la santé-vie et la gestion d'actifs.

Le bénéfice net, part du groupe, a quant à lui atteint 2,85 milliards, en hausse de 13% sur un an, dépassant également les attentes des analystes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

L'ONU dénonce les "crimes les plus graves" à El-Facher

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Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk a insisté sur les dizaines d'avertissements que son bureau avait lancés sur la situation à El-Facher. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'ONU dénonce "les crimes les plus graves" qui se poursuivent dans la ville soudanaise d'El-Facher, contrôlée depuis plusieurs semaines par les paramilitaires. Elle a affirmé vendredi à Genève que ces atrocités "étaient prévisibles et évitables".

"Mon bureau a publié plus de 20 déclarations seulement sur El-Facher en un an", a dit le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk au début d'une session spéciale du Conseil des droits de l'homme. Le siège mené par les Forces de soutien rapide (FSR) "étranglait" la population, avant même les récents massacres, a-t-il ajouté.

Le Conseil doit discuter d'un projet de résolution. Celui-ci "condamne fermement" les violations à El-Facher. Il demande à la Mission internationale d'établissement des faits de mener des investigations. Il enjoint aussi aux Etats d'appliquer un embargo total sur les armes.

Environ 200'000 personnes seraient toujours bloquées à El-Facher. Des dizaines de milliers ont pu fuir mais restent exposées aux violences et au manque de nourriture et d'eau.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le ministère de la Justice poursuit le gouverneur de Californie

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Gavin Newsom a fait adopter le 4 novembre une nouvelle carte électorale qui devrait permettre aux démocrates de gagner cinq sièges supplémentaires à la Chambre des représentants (archives). (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Le ministère américain de la Justice a engagé jeudi une action judiciaire contre le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom. Il conteste le redécoupage de la carte électorale, favorable aux démocrates, approuvé au début du mois par référendum dans cet Etat.

Selon la plainte du ministère de la Justice, ce redécoupage "impose des circonscriptions électorales fondées sur des critères raciaux" en violation du 14e amendement de la Constitution des Etats-Unis qui garantit notamment que les citoyens jouissent d'une "égale protection" de la loi.

"Le schéma de redécoupage électoral de la Californie est une manoeuvre flagrante qui piétine les droits civiques et se moque du processus démocratique", a estimé la ministre de la Justice Pamela Bondi dans un communiqué.

"La race ne peut pas être utilisée (...) pour servir des intérêts politiques", a renchéri l'un de ses adjoints pour les droits civiques, Jesus Osete.

Les électeurs californiens ont largement approuvé le 4 novembre une nouvelle carte électorale en faveur des démocrates, afin de compenser une manoeuvre similaire au Texas des républicains sous la pression de Donald Trump. Cette nouvelle carte devrait permettre aux démocrates de gagner cinq sièges supplémentaires à la Chambre des représentants aux élections de mi-mandat en 2026.

Pour consolider la courte majorité républicaine dont il dispose à la Chambre des représentants, Donald Trump avait obtenu en août que le très républicain Texas redessine ses circonscriptions afin d'envoyer cinq élus républicains en plus au Congrès.

Aux Etats-Unis, les circonscriptions électorales doivent en principe être délimitées après un recensement national effectué tous les dix ans. Mais les redécoupages électoraux partisans ("gerrymandering") consistant à déplacer les frontières des circonscriptions au gré des intérêts du parti dirigeant dans chaque Etat sont monnaie courante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Après l'amende de l'UE, Google veut éviter une scission

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Bruxelles avait opté en septembre pour une amende de près de 3 milliards d'euros pour sanctionner le groupe, estimant qu'il avait abusé de sa position dominante dans la pub en ligne, mais sans aller jusqu'à lui ordonner une scission pure et simple. (© KEYSTONE/EPA DPA/BORIS ROESSLER)

Google a proposé à l'UE des mesures visant à éviter une scission de ses activités dans la publicité en ligne, après la lourde amende qui lui avait été infligée par Bruxelles en septembre pour abus de position dominante, a annoncé vendredi le groupe américain.

Dans ce dossier dit "Google Adtech", le géant de la tech avait jusqu'à cette semaine pour proposer des mesures permettant de mettre un terme définitif à des atteintes à la concurrence, qui lui ont valu d'être sanctionné à hauteur de 2,95 milliards d'euros.

Tout en continuant de contester la décision de l'UE, contre laquelle il entend faire appel, Google a écarté, comme le groupe l'avait toujours fait jusqu'ici, la solution la plus radicale pour rétablir les conditions d'une concurrence loyale: la vente de tout ou partie des activités en cause, qui auraient entraîné de fait une scission du groupe.

Reste maintenant à voir si Bruxelles acceptera les engagements détaillés de Google.

"Nous allons analyser les mesures proposées par Google, pour vérifier si elles pourraient mettre fin" aux pratiques dénoncées et aux conflits d'intérêt inhérents à ses activités, a précisé une porte-parole de la Commission.

Bruxelles avait opté en septembre pour une amende de près de 3 milliards d'euros pour sanctionner le groupe, estimant qu'il avait abusé de sa position dominante dans la pub en ligne, mais sans aller jusqu'à lui ordonner une scission pure et simple.

Cependant, la Commission n'avait pas exclu d'exiger une telle mesure si les engagements du groupe pour remédier aux atteintes à la concurrence ne lui convenaient pas, et avait donné 60 jours à Google pour lui faire des propositions.

Google est dans le collimateur de Bruxelles en raison de ses agissements présumés dans plusieurs segments du secteur de la publicité en ligne. Le groupe propose plusieurs services qui jouent les intermédiaires entre les annonceurs et les sites web: AdX, plateforme dédiée à l'achat et la vente d'espaces publicitaires, DFP (DoubleClick for publishers), service pour les sites et apps diffusant des publicités, et Google Ads/DV 360, outils destinés aux annonceurs.

Critiques de Trump

Or, la Commission estime que DFP, Google Ads et DV 360, commettent des abus de position dominante notamment en favorisant AdX par rapport aux plateformes rivales.

"Notre proposition répond pleinement à la décision de la Commission, sans avoir recours à une scission disruptive, qui porterait atteinte aux milliers d'annonceurs et diffuseurs de publicités qui utilisent les outils de Google pour développer leur activité", a assuré un porte-parole du groupe américain.

Cela mêle des changements "immédiats" pour mettre un terme aux pratiques sanctionnées, et des "mesures importantes" contre les conflits d'intérêts allégués par Bruxelles, précise le groupe.

Le président américain Donald Trump s'en était pris à l'UE pour l'amende infligée en septembre qu'il avait qualifiée d'"injuste", mais le groupe fait face aux mêmes accusations d'abus de position dominante de la part du gouvernement américain, lors d'un procès qui se déroule en ce moment aux Etats-Unis.

Lors d'une audience fin septembre devant une cour fédérale de Virginie, Google a proposé de changer ses pratiques commerciales, sans en passer là aussi par une cession qu'il considère comme trop radicale. Les plaidoieries finales sont prévues lundi, et le jugement dans ce procès américain est attendu dans les semaines ou les mois qui viennent.

Dans une autre affaire antitrust retentissante, le groupe a déjà échappé cette année à une scission de son navigateur Chrome, qui était pourtant réclamée par le gouvernement américain.

Par ailleurs, la Commission a ouvert jeudi une nouvelle enquête contre Google, dans un tout autre domaine, le soupçonnant cette fois de pénaliser certaines sites d'information dans les résultats de son moteur de recherche, se dont le groupe se défend.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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