Actualité
LFM, radio privée no1 en Suisse romande devance Couleur 3 et Option Musique
Grâce à vous, LFM est à nouveau No 1 des radios privées en Suisse romande avec 154’151 auditeurs quotidiens. Merci !
Les chiffres de Mediapulse publiés ce jour confirment le succès de la radio vaudoise. Grâce à vous, LFM garde sa place de leader des radios privées en Suisse romande avec 154’151 auditeurs quotidiens* et s’offre même le luxe de devancer pour la première fois depuis sa création les radios du service public Couleur 3 (150’875 auditeurs quotidiens*) et Option Musique ( 144’428 auditeurs quotidiens*).
Succès pour la nouvelle grille des programmes
La nouvelle équipe du “6/9”, composée d'Evan Kangni, de Jacqueline Pirszel et de Lauriane Gilliéron, sont leaders dans leur créneau horaire. Ils sont accompagnés tous les matins par l’imitateur Yann Lambiel qui “trafique l’info” en direct à 7h50 depuis plus de cinq ans et qui contribue grandement au succès de l’émission matinale. Les rediffusions de sa chronique durant la journée font également de belles audiences.
Valérie Ogier, l’une des voix les plus connue des radios romandes, anime la tranche du 9h - 13h, alors que Sylvain Lavey officie de 16h à 19h. Ces deux programmes permettent à LFM de garder la proximité avec nos auditeurs tout au long de la journée avec les plus belles chansons d’hier et d’aujourd’hui.
La musique, des infos régionales, l’humour et la proximité sont les atouts de LFM qui est no 1 des radios privées en Suisse romande depuis plus de 10 ans.
*source mediapulse 2ème semestre 2021 / Suisse romande / lundi au vendredi / 15+
International
Le propriétaire de Stahl Gerlafingen déçu par le Conseil fédéral
Le propriétaire de Stahl Gerlafingen, Antonio Beltrame, s'est dit déçu par le Conseil fédéral. Il ne veut pas abandonner l'aciérie. Mais l'Etat suisse et la politique énergétique pourrait l'y contraindre, a-t-il dit dans une interview.
L'aciérie a informé très tôt les conseillers fédéraux Albert Rösti et Guy Parmelin de conditions générales problématiques, a déclaré Antonio Beltrame dans une interview à la NZZ am Sonntag. Il est le président du conseil d'administration de Stahl Gerlafingen, une entreprise spécialisée dans la production d'acier, filiale du groupe italien Beltrame.
Plus de cent personnes seraient à nouveau licenciées à Gerlafingen SO, a confirmé Antonio Beltrame a confirmé dans l'interview. Quelque 120 collaborateurs sont concernés, selon les indications fournies vendredi par l'entreprise et les syndicats Syna et Unia. Au printemps déjà, 60 postes de travail avaient été supprimés.
Si les conditions générales ne changent pas, l'entreprise risque de fermer. "Je suis un entrepreneur. Je ne peux pas perdre de l'argent tous les jours", a relevé le propriétaire de l'entreprise. Les conseillers fédéraux Albert Rösti et Guy Parmelin en sont conscients. Il ne veut pas que sa déclaration soit interprétée comme une menace. Il informe simplement de la situation difficile.
La France et l'Italie ont fait un geste
"D'ailleurs, nous ne voulons pas non plus de subventions", a-t-il ajouté, exigeant les mêmes conditions que la concurrence. L'aciérie a perdu beaucoup d'argent en 2023 en raison de l'augmentation des coûts de l'énergie. La France et l'Italie ont réduit le prix de l'électricité pour l'industrie durant cette période, a souligné Antonio Beltrame.
Fin septembre, le Conseil national avait exigé une aide immédiate pour l'aciérie menacée de Gerlafingen (SO). Le Conseil fédéral a été chargé de prendre des mesures pour sauver l'usine, en collaboration avec le canton de Soleure et l'entreprise.
Le Conseil fédéral refuse l'aide de l'Etat
Le Conseil fédéral avait auparavant rejeté l'idée d'un soutien étatique à certaines entreprises ou branches. En lieu et place, il mise sur de meilleures conditions-cadres et - en ce qui concerne les branches à forte consommation d'électricité - sur des mesures de politique énergétique et climatique.
Le ministre de l'économie Guy Parmelin ne considère pas l'industrie sidérurgique comme étant d'importance systémique, avait-il déclaré en mars sur les ondes de la SRF. Antonio Beltrame ne partage pas cet avis: la Suisse a besoin d'acier de construction. "Nous sommes tout à fait centraux pour l'économie circulaire de la Suisse et d'importance systémique", a-t-il affirmé au journal.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Harris accuse Trump de dérobades sur son bilan médical
La vice-présidente américaine Kamala Harris a accusé samedi Donald Trump de manque de transparence sur sa santé après avoir publié son propre bilan médical, mettant ainsi en lumière leurs presque 20 ans de différence d'âge.
"Il est clair pour moi que lui et son équipe ne veulent pas que le peuple américain voie vraiment ce qu'il fait et sache s'il est ou non effectivement apte à remplir les fonctions de président des Etats-Unis", a déclaré la candidate démocrate à l'élection du 5 novembre.
"Il est inapte à exercer ce mandat", a-t-elle affirmé à des journalistes avant son départ pour l'Etat disputé de Caroline du Nord (sud-est), récemment sinistré par l'ouragan Hélène.
Un diagnostic qui contraste avec le rapport médical détaillé publié samedi par la Maison Blanche, concluant que Kamala Harris, 59 ans, a "la résistance physique et mentale nécessaire pour remplir les devoirs de la présidence" des Etats-Unis et se trouve "en excellente santé".
La candidate démocrate espère ainsi alimenter un débat sur les facultés de son rival républicain de 78 ans.
L'équipe de campagne de Donald Trump a réagi en assurant dans un communiqué que la forme de l'ex-président n'avait rien à envier à celle de Kamala Harris, bien au contraire.
Pour Steven Cheung, directeur de la communication de la campagne de Donald Trump, elle a un calendrier "beaucoup plus léger" que celui de son adversaire, car affirme-t-il, elle ne possède pas "l'endurance du président Trump".
Le candidat républicain a déjà publié de son plein gré plusieurs rapports de médecins qui "concluent tous à la parfaite et excellente santé" de Donald Trump, a ajouté son porte-parole.
Steven Cheung renvoie notamment à une lettre du médecin personnel de Donald Trump dans laquelle sont mentionnés des résultats d'examens physiques dans la norme et des résultats "exceptionnels" à des tests cognitifs. Mais ces examens remontent déjà à septembre 2023.
"Que cache-t-il ?"
Et le camp Harris a redoublé ses attaques. "Le 20 août, Donald Trump a déclaré qu'il publierait 'bien volontiers' ses bilans médicaux. Il ne l'a pas fait", a déclaré sur X un porte-parole de la campagne de la démocrate, Ian Sams.
"Que cache-t-il?", a-t-il demandé, soulignant le refus de l'ex-président de débattre à nouveau avec Kamala Harris après leur joute télévisée de septembre.
Les questions sur l'âge, la robustesse et l'acuité mentale de Joe Biden ont plombé sa campagne, jusqu'à ce que le président démocrate de 81 ans jette l'éponge en juillet après un débat calamiteux face à son prédécesseur républicain (2017-2021).
La question est depuis rarement abordée dans les médias et n'a pas d'influence notable sur les sondages, toujours aussi serrés.
Et ce, malgré la grande différence d'âge entre les deux candidats et la tendance toujours plus prononcée de Donald Trump aux digressions et discours décousus, comme le relève le New York Times dans un récent article.
La vice-présidente voudrait donc remettre le sujet au goût du jour, à l'avantage des démocrates cette fois.
Donald Trump, à la présence physique indéniable, conserve tout de même un rythme très soutenu de voyages et de meetings, et ne montre pas de fatigue comparable à celle qui marque souvent la démarche, les traits et l'élocution de Joe Biden.
L'ancien président est samedi soir à Coachella, en Californie, pour un meeting avant un autre le lendemain en Arizona, un Etat clé du Sud-Ouest.
Selon les sondages, l'âge des candidats n'est pas un sujet important pour une grande partie des électeurs.
Une enquête d'opinion Gallup publiée le 10 octobre indique que 41% des électeurs jugent Donald Trump trop vieux pour être président, à peine 4 points de plus qu'en juin, avant l'entrée en lice de Kamala Harris.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Sprunger vole au secours des Dragons
Fribourg a enregistré samedi son troisième succès de la saison de National League au terme d'un match électrique contre Ambri. Lausanne a aussi gagné, alors que Genève et Ajoie ont courbé l'échine.
La déroute d'un soir peut parfois provoquer un déclic. Au lendemain de sa gifle subie aux mains de Lausanne (6-0), les Dragons ont relevé la tête pour battre Ambri-Piotta 4-3.
Alors qu'ils avaient été transparents la veille, les Fribourgeois ont montré qu'ils étaient aussi capables de mettre le feu sur la glace. Pied au plancher, ils ont asphyxié les Tessinois, deuxièmes avant ce duel, durant tout le premier tiers.
Dorthe ouvre son compteur
L'ouverture du score est tombée sur un tir de Wallmark en power-play (9e). Dorthe a ensuite pu doubler la mise avec son premier but en National League, sur un service lumineux de Rathgeb (16e). Juste avant la pause, Marchon s'est échappé en infériorité numérique pour marquer le 3-0 (20e).
Mais rien n'est jamais facile pour les Dragons, en ce début d'exercice. Les Léventins, en double supériorité numérique, ont en effet riposté dès le retour des vestiaires par Bürgler (22e). Ce dernier a même ramené les siens à une longueur avec un homme de plus sur la glace (35e), avant que Heim n'égalise dans la foulée (37e).
Il a fallu toute l'abnégation de Julien Sprunger pour permettre à Fribourg de s'en sortir. Le capitaine aux plus de mille matches pour son équipe a surgi au bon moment pour faire basculer la partie (49e).
Le GSHC en difficulté
En déplacement dans la capitale, Genève-Servette a été battu 5-2. Les Aigles ont vécu une entame aux antipodes de celle de Fribourg. Beaucoup plus tranchant, le CP Berne a lui aussi fait trembler trois fois les filets durant la première période grâce à Czarnik (12e), Ritzmann (14e) et Baumgartner (16e).
La réponse genevoise est survenue de la crosse de Manninen au cours d'un jeu de puissance bien mené à la reprise (21e). Mais l'espoir des champions d'Europe n'a pas duré, puisque Lehmann a ensuite inscrit en contre le 4-1 (27e), avant que Sablatnig ne sale l'addition (34e).
La réduction du score signée Hartikainen (39e), encore à 5 contre 4, n'a apporté que peu de réconfort aux hommes de Jan Cadieux.
Lausanne sur le tard
A Langnau, où Lausanne comptait vaincre pour se maintenir dans le trio de tête, il a fallu attendre un but longtemps. Après deux tiers au score vierge, c'est Jäger qui a fini par trouver la faille (52e).
Cette unique réussite a suffi pour permettre au LHC de l'emporter et se glisser provisoirement à la deuxième place du classement.
Quant au HC Ajoie, il a essuyé son 8e revers en temps réglementaire de la saison. La formation jurassienne a été dominée 3-0 par Davos, qui a profité d'une réussite de Zadina (7e) et deux de Fora (24e, 30e) pour remonter aux portes du top 6. La lanterne rouge reste quant à elle figée à 4 points.
Au repos samedi, le HC Bienne affrontera pour sa part Kloten dimanche à 15h45 devant son public.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'armée ukrainienne "tient bon" à Koursk, affirme Zelensky
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que Kiev "tenait bon" face à la tentative de Moscou de repousser les positions ukrainiennes dans la région russe de Koursk, où l'Ukraine tient depuis le mois d'août des pans entiers de territoires.
"En ce qui concerne l'opération de Koursk, la Russie a tenté de faire reculer nos positions, mais nous tenons bon", a déclaré M. Zelensky lors de son allocution du soir.
En début de semaine, Moscou avait affirmé avoir repris deux villages dans ce secteur et s'était engagé à poursuivre ses "actions" pour repousser les forces ukrainiennes hors de son territoire.
M. Zelensky a également expliqué samedi que la situation des forces ukrainiennes dans l'est de la région de Donetsk et dans le sud de Zaporijjia était "très difficile".
Selon Kiev, les attaques russes ont tué samedi deux personnes - un jeune de 19 ans dans une voiture civile et un retraité de 84 ans - à l'est de Donetsk.
L'armée ukrainienne, en difficulté face à l'armée russe dans l'est de l'Ukraine, avait lancé le 6 août une attaque d'ampleur dans la région de Koursk, la plus grande offensive en territoire russe depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.
Elle espérait notamment créer une zone tampon près de la frontière pour limiter les bombardements russes sur les localités frontalières ukrainiennes, tout en contraignant la Russie à redéployer ses unités qui sont à l'offensive près de Donetsk et ainsi freiner leurs avancées.
Mais les soldats russes continuent toujours de progresser dans l'est de l'Ukraine, en particulier en direction de Pokrovsk, un noeud logistique clé pour les forces ukrainiennes.
Après la surprise initiale de l'attaque contre la région de Koursk, le président russe Vladimir Poutine avait ordonné mi-août à son armée d'"expulser l'ennemi".
Un mois plus tard, le 12 septembre, les Russes avaient annoncé avoir repris du terrain en lançant une contre-offensive.
Au total, d'après les militaires russes, 14 villages, dont Novaïa Sorotchina et Pokrovskiï, ont été repris aux Ukrainiens, sur la centaine dont Kiev a dit avoir le contrôle.
Environ 150'000 civils ont fui les combats et les bombardements dans la région de Koursk en deux mois, selon les autorités russes.
L'Ukraine contrôle toujours des centaines de km2 de territoire russe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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