International
Braathen opéré de l'appendicite
Lucas Braathen ne disputera vraisemblablement pas les Mondiaux de Courchevel/Méribel qui démarrent lundi.
Le Norvégien a été opéré d'urgence d'une appendicite cette semaine en Autriche, a-t-il annoncé sur les réseaux sociaux.
"J'espère être de retour d'ici quelques semaines", a écrit Braathen pour conclure son message, qui accompagne une photo où il se trouvait sur son lit d'hôpital. Or, même si le géant (vendredi 17) et le slalom (dimanche 19) sont prévus comme de coutume en fin de programme, il ne devrait pas être rétabli à temps pour les Mondiaux.
Leader de la Coupe du monde de slalom devant Henrik Kristoffersen (2e) et les Valaisans Daniel Yule (3e) et Loïc Meillard (4e), 6e du classement de géant, Lucas Braathen (22 ans) est d'ores et déjà forfait pour le slalom de samedi à Chamonix. "Les derniers jours ont été difficiles", a-t-il souligné, après avoir été victime d'une infection.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Italie: la production industrielle repart à la baisse en octobre
La production industrielle en Italie est repartie à la baisse en octobre, reculant de 0,2% par rapport à septembre, a indiqué jeudi l'Institut national des statistiques (Istat).
Sur la période août-octobre, la production industrielle a également diminué en moyenne de 0,2% par rapport au trimestre précédent.
Elle avait augmenté de 0,1% en septembre et de 0,2% en août, après avoir chuté de 0,9% en juillet.
L'activité a été en hausse pour le secteur de l'énergie (+1,5%) et les biens de consommation (+0,4%), alors que les biens intermédiaires (-0,4%) et les biens d'investissement (-0,5%) ont connu une baisse.
Comparé à octobre 2022, la production industrielle a baissé de 1,1%, en données corrigées des effets de calendrier.
Après une chute du produit intérieur brut (PIB) de 0,4% au deuxième trimestre, l'Italie a connu une croissance de 0,1% au troisième trimestre par rapport au précédent, échappant ainsi à la récession technique.
L'Italie devrait voir son PIB augmenter de 0,7% sur l'année 2023 et en 2024, grâce à la reprise de la consommation des ménages dans un contexte de ralentissement de l'inflation, selon les dernières prévisions de l'Istat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Renault veut réduire le coût de production d'un véhicule électrique
Renault a annoncé jeudi un ambitieux plan industriel visant à réduire de moitié le coût industriel de production d'un véhicule électrique, à horizon 2027, et de diminuer de 30% celui d'un véhicule thermique.
Ce plan de transformation appelé "Re-Industry" vise par exemple à assembler une Renault 5 en moins de neuf heures dans l'usine française de Douai (Nord), a indiqué le groupe dans un communiqué.
Il contribuera également à la réduction du temps de développement des véhicules de trois à deux ans, voulue par Renault pour baisser ses coûts et accélérer le renouvellement des gammes Renault, Dacia et Alpine.
Pour y arriver, le groupe veut "accélérer encore la digitalisation de son système industriel" et renforcer "les compétences de ses équipes".
Renault veut notamment s'appuyer sur son "Metaverse", qui rassemble ses postes de travail, mais aussi ceux de ses fournisseurs, et qui permet d'analyser finement les données de production. Il a déjà permis au groupe d'économiser 270 millions d'euros en 2023, notamment via la maintenance prédictive des installations, souligne l'entreprise.
Le constructeur compte également passer dans ses usines de 300 à 3.000 applications opérationnelles d'intelligence artificielle, qui assure par exemple la conformité et la traçabilité des pneumatiques lors de leur montage.
A l'occasion d'une conférence de presse en Turquie, Renault a également annoncé la fabrication de quatre nouveaux modèles d'ici à 2027 dans son usine de Bursa, près d'Istanbul, qui fabrique notamment la petite Renault Clio.
"Il s'agit de tirer parti de nos atouts, de faire beaucoup plus vite ce que l'on fait déjà bien, et de pousser l'ensemble du système industriel vers le maximum de son excellence tout en le réinventant", a souligné Thierry Charvet, directeur industriel et qualité du groupe.
Renault précise avoir baissé de 20% la consommation énergétique de ses sites industriels depuis 2019 et vise une économie de 20% supplémentaires d'ici à 2025.
Le constructeur automobile veut atteindre ce qu'il appelle la neutralité carbone d'ici à 2025 dans son pôle ElectriCity, dans le Nord de la France, qui doit produire 500'000 véhicules électriques par an. Il vise également cette neutralité dès 2030 pour ses sites en Europe, notamment via l'utilisation d'énergies renouvelables.
La grande majorité (98%) des émissions d'un constructeur automobile relèvent d'émissions indirectes appelées "Scope 3", c'est-à-dire essentiellement liées à l'utilisation des voitures, selon les calculs de l'ONG Transport & Environment. Mais ces émissions baissent fortement pour les voitures électriques: la fabrication de la batterie représente le tiers de l'empreinte carbone d'un véhicule électrique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
McDonald's lance une nouvelle chaîne de restaurants aux Etats-Unis
McDonald's va lancer, début 2024, une nouvelle chaîne de restaurants, baptisée CosMc's (prononcer cosmics), un concept axé sur les boissons, le petit-déjeuner et les mets sucrés, qui ne comptera initialement que 10 points de vente.
Le nom de cette nouvelle enseigne est directement lié à un personnage de l'univers McDonald's, CosMc, extraterrestre à six bras, en forme de soucoupe, vu dans des publicités du géant de la restauration rapide entre 1986 et 1992.
La société prévoit d'ourvrir, au premier semestre 2024, une succursale dans la région de Chicago et neuf autres au Texas, a expliqué, mercredi, le directeur général, Chris Kempczinski, lors de la journée investisseurs.
McDonald's avait déjà indiqué son intention de créer un nouveau concept autour de CosMc mais n'avait pas encore donné de détail quant à son offre et à la taille du réseau.
Le groupe entend analyser les résultats des 10 restaurants durant "au moins un an", avant de déterminer quelle trajectoire donner à cette chaîne.
"On parle de dix points de vente", a insisté Chris Kempczinski. "Ne nous emballons pas."
Le même dirigeant avait pourtant affirmé, quelques minutes seulement auparavant, que tout nouveau projet d'ampleur devait "être attractif au niveau mondial".
"McDonald's ne fait pas dans le hobby", a déclaré le directeur général. "Nous voulons des idées ambitieuses, qui peuvent susciter l'intérêt au niveau mondial et réussir sur plusieurs marchés."
Selon une vidéo diffusée lors de la journée investisseurs, le menu CosMc's comprendra des boissons personnalisables, des éléments du petit-déjeuner, comme le McMuffin, et des mets sucrés, cookies ou brownies.
Chaque restaurant possèdera plusieurs voies permettant à des clients de passer commande depuis leur véhicule, contre une seule traditionnellement dans les points de vente McDonald's qui en sont équipés.
"McDonald's est en position de force" sur son marché d'origine, a fait valoir Chris Kempczinski. "Cela nous permet d'étendre l'empreinte de la marque McDonald's à d'autres marchés."
Le groupe a jeté son dévolu sur la catégorie des boissons personnalisées et du café, un segment que McDonald's évalue à 100 milliards de dollars (87,5 milliards de francs) au niveau mondial, avec des taux de croissance élevés et des marges supérieures au reste de la restauration rapide.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Chine: rebond surprise des exportations mais reprise encore fragile
Les exportations de la Chine ont rebondi en novembre après six mois de contraction, tandis que ses importations ont connu un nouveau repli, selon des chiffres officiels qui traduisent une reprise économique fragile du géant asiatique.
Les exportations sont historiquement un levier de croissance clé pour la Chine et leur performance a un impact direct sur l'emploi pour des milliers d'entreprises du secteur.
Hormis une brève hausse en mars et avril, les ventes du géant asiatique étaient constamment en repli depuis octobre 2022.
Le mois dernier, les ventes de produits chinois destinés à l'étranger ont augmenté de 0,5% sur un an, selon les chiffres en dollars publiés jeudi par les Douanes chinoises.
Ce rebond est inattendu: des analystes sondés par l'agence Bloomberg prévoyaient une nouvelle contraction après celle d'octobre (-6,4%).
La menace de récession en Europe, combinée à une inflation élevée, a contribué à affaiblir la demande internationale en produits chinois.
Les tensions géopolitiques avec les Etats-Unis et la volonté de certains pays occidentaux de réduire leur dépendance à la Chine ou de diversifier leurs chaînes d'approvisionnement expliquent également ce repli.
Pour le seul mois de novembre, le montant des exportations chinoises a néanmoins atteint 291 milliards de dollars (254,8 milliards de francs), d'après les Douanes.
"Fragilité"
Les exportations vers les pays occidentaux étaient toutefois dans le rouge sur un an (-13,8% avec les Etats-Unis, -11% avec l'Union européenne).
Un sommet entre l'Union européenne et la Chine se tient justement jeudi à Pékin et portera notamment sur le déséquilibre commercial entre les deux partenaires, qui s'est creusé ces dernières années.
Mais les exportations sont restées robustes avec la Russie (+50,2%), confirmant l'accélération du rapprochement économique entre les deux voisins depuis le début de la guerre en Ukraine.
A l'inverse, les importations de la Chine se sont contractées le mois dernier (-0,6%) après une hausse éphémère en octobre (+3%), signe d'une demande intérieure à la peine.
Là aussi ce repli n'était pas prévu: les analystes interrogés par Bloomberg tablaient sur une nette accélération (+3,7%).
Cette baisse semble refléter "la fragilité de l'activité dans l'industrie" faute de demande, note l'économiste Ken Cheung, de la banque japonaise Mizuho.
Avec le rebond des exportations, l'excédent commercial de la deuxième économie mondiale a logiquement progressé en novembre à 68,4 milliards de dollars.
Les importations chinoises avaient connu 11 mois de contraction avant de rebondir en octobre.
Lot d'incertitudes
Cette rechute est d'autant plus inquiétante que la comparaison se fait avec novembre 2022, quand les restrictions sanitaires étaient un frein à l'activité et au commerce.
Si la reprise s'est confirmée depuis, elle demeure entravée par l'incertitude envers l'avenir qui pénalise la consommation, une crise persistante dans l'immobilier mais aussi un chômage élevé des jeunes.
Certains indicateurs semblent toutefois montrer une stabilisation de la situation ces dernières semaines.
"Malgré une amélioration sur le front des exportations, il n'est pas certain qu'elles contribuent (significativement) à la croissance l'an prochain", prévient l'économiste Zhiwei Zhang, de Pinpoint Asset Management.
"La Chine doit compter sur la demande intérieure comme principal moteur", souligne-t-il.
En octobre, la Chine est retombée en déflation en octobre malgré les mesures de soutien du pouvoir à la consommation.
Cela pèse sur la capacité du pays à pouvoir atteindre son objectif de croissance pour 2023, fixé par le gouvernement à "environ 5%".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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