International
Thomas Lüthi hors du top 20 lors des essais libres
Thomas Lüthi n'a pas entamé de manière idéale l'avant-dernier week-end de course de sa carrière. Le Bernois a dû se contenter du 22e rang lors des essais libres de vendredi au Grand Prix d'Algarve.
Le champion du monde 2005 des 125 cm3 a concédé un peu plus d'une seconde aux meilleurs pilotes de Moto2 vendredi à Portimão. Il ne s'était guère montré à l'aise ce printemps sur le circuit portugais, terminant 17e du troisième GP de la saison.
Les deux derniers candidats au titre mondial de la catégorie étaient dans le coup vendredi. Leader du championnat, Remy Gardner a chuté sans gravité l'après-midi et a signé le 3e temps de la journée. Deuxième à 18 points de l'Australien, Raul Fernandez a réussi le meilleur temps.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Répression "sans précédent" en Russie depuis Staline (experte ONU)
Le niveau de répression en Russie est "sans précédent" depuis l'époque stalinienne, selon la rapporteuse spéciale de l'ONU sur ce pays. Le nombre de plaintes d'individus auprès de mécanismes onusiens a largement augmenté, a affirmé vendredi à Genève Mariana Katzarova.
"Ce n'est pas encore aussi mauvais" qu'à l'époque stalinienne, a-t-elle dit à la presse. La répression est "sophistiquée" et "chaque une semaine, une nouvelle loi ajoute des restrictions".
Mme Katzarov a aussi dit que "la Russie a fermé sa société". La communauté internationale a encore la possibilité, en poursuivant la surveillance de la situation, d'éviter que la situation ne se détériore encore, selon elle.
La Bulgare a démarré son mandat début mai. Les Etats du Conseil des droits de l'homme de l'ONU doivent se pencher dans quelques semaines sur le renouvellement de celui-ci.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un scandale à la Bourse JPEX jette l'opprobre sur le secteur crypto
Jenny a découvert en mars les investissements dans les actifs numériques grâce à un magasin de cryptomonnaies à Hong Kong qui faisait la promotion de la Bourse d'échanges crypto JPEX. Mais elle a vite déchanté.
En septembre, elle s'est retrouvée parmi les plus de 2000 victimes "inexpérimentées" spoliées par la plateforme, selon la police.
"Beaucoup de mes camarades de classe et amis ont investi à fond" dans ces actifs, a indiqué à des journalistes Jenny - un nom d'emprunt - qui a perdu une somme à "six chiffres" en dollars de Hong Kong (100'000 dollars de Hong Kong équivalent à environ 11'500 francs). "Nous n'avions jamais pensé que ce serait une arnaque", a-t-elle affirmé.
Le scandale JPEX a débouché sur 11 arrestations dans la ville cette semaine pour "complot en vue de fraude", avec des pertes pour les victimes dépassant 165 millions d'euros.
La chute de JPEX vient entacher l'adoption par Hong Kong des actifs numériques, en révélant des lacunes juridiques trois mois seulement après l'entrée en vigueur d'une réglementation imposant aux Bourses crypto d'obtenir une licence et de respecter les normes de protection des investisseurs.
Le gendarme boursier local (SFC) a averti la semaine dernière que la plateforme prétendait à tort avoir une licence et présentait des caractéristiques suspectes, telles que des rendements mirobolants.
La police a mené lundi des perquisitions dans 20 lieux, dont des entreprises et des domiciles privés, saisissant de l'argent liquide, du matériel informatique et des sacs à main de luxe.
Les enquêteurs se penchent sur les liens de JPEX avec des influenceurs et des boutiques de crypto-actifs, qu'ils soupçonnent de collusion pour gonfler la valeur des actifs et tromper les clients sur le statut légal de la Bourse.
"Les victimes avaient souvent peur de rater une bonne occasion et croyaient impulsivement aux publicités", a déclaré l'inspecteur de police Kung Hing-fun, qualifiant l'ampleur de la fraude de "choquante".
JPEX - dont le siège est à Dubaï selon son site internet - a qualifié ces mesures d'"injustes" et de "biaisées". La Bourse n'a pas répondu aux multiples sollicitations de l'AFP.
"Acteurs voyous"
Le commerce des cryptomonnaies est interdit en Chine. Mais Hong Kong, qui dispose de sa propre réglementation financière, a reçu le feu vert de Pékin pour devenir une plaque tournante d'échanges d'actifs numériques.
Les régulateurs américains ont, eux, sévi sur le secteur après l'implosion de la Bourse crypto FTX l'année dernière, qui a fait perdre des milliards de dollars aux investisseurs et déclenché une crise de confiance dans ces actifs.
Pour Kristi Swartz, avocate spécialiste des fintechs au cabinet DLA Piper, Hong Kong est confrontée à un exercice d'équilibre difficile car elle veut attirer des entreprises du secteur des crypto tout en installant des garde-fous pour protéger les investisseurs.
Le système de licences, adopté en juin, cible les Bourses mais exclut les courtiers en crypto-actifs qui disposent de magasins physiques, une "lacune", selon l'avocate.
Les régulateurs ont "peut-être été un peu durs" avec JPEX, estime-t-elle, "mais je pense que c'est le bon message". "C'est un domaine où il y a beaucoup d'acteurs voyous."
Certains courtiers s'allient à des influenceurs pour attirer les clients en promettant des gains rapides et organisent des sessions de formation où les clients potentiels, comme Jenny, sont soumis à de fortes pressions pour investir.
"Signal d'alarme"
Il est temps "de renforcer et d'étendre notre régime de licence et de supervision aux magasins de courtage de cryptomonnaies", au vu du marketing "agressif" de ces boutiques, a indiqué à l'AFP, Clara Chiu, ex-responsable des licences du SFC.
Le scandale "pourrait être un signal d'alarme" pour les autorités, estime Carlton Lai, responsable de la recherche sur la blockchain et les cryptomonnaies chez Daiwa Capital Markets.
Davantage de réglementation est nécessaire, notamment pour éviter le blanchiment d'argent, mais il sera difficile de réguler les influenceurs, note-t-il.
Malgré ses problèmes, JPEX a dévoilé mercredi un "plan de dividendes" qui permet à ses utilisateurs de voter, et d'investir, dans l'avenir de l'entreprise. "Même face à une telle oppression et à ce traitement injuste, notre plateforme continuera à fonctionner comme d'habitude", annonce-t-elle sur son site.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
2024 sera "beaucoup plus compliqué" pour Red Bull
Ultra-dominatrice cette saison en Formule 1, Red Bull pourrait évoluer l'an prochain dans "un championnat beaucoup plus serré et beaucoup plus compliqué" pour l'écurie autrichienne.
L'affirmation est faite à l'AFP par son directeur technique Pierre Waché.
"Plus le règlement reste stable, plus l'avantage que l'on a aujourd'hui va être réduit", estime le Français, qui mise sur le retour en force de Mercedes et Ferrari, mais aussi McLaren et Aston Martin "qui ont fait du très bon travail cette année".
QUESTION: Cette saison, les fans ont dû attendre le 15e GP de l'année, à Singapour le week-end dernier, pour voir une autre écurie que Red Bull s'imposer sur un Grand Prix - en l'occurrence Ferrari. Entre temps, l'équipe a pulvérisé le record de victoires consécutives grâce à Sergio Pérez mais surtout grâce à Max Verstappen, solide leader au championnat et 12 victoires à lui seul, dont dix consécutives. Comment expliquez-vous une telle forme ?
REPONSE: "Je ne l'explique pas obligatoirement. La domination dépend aussi des autres (...) nous avons fait une très bonne voiture, mais la performance n'est jamais absolue, elle est relative par rapport aux autres. Dans l'équipe, on ne réalise pas encore tellement ce qui se passe. On est très concentrés sur ce qu'on fait - toutefois pas assez à Singapour (où Verstappen n'a terminé que 5e et Pérez 8e, ndlr) - mais on ne pense pas aux records. On se focalise sur ce que l'on doit faire pour être les meilleurs sur chaque course, sur comment faire pour développer la voiture, regarder celle de l'année prochaine aussi... On n'est pas dans cette optique de record".
Q: Vous ne vous attendiez donc pas à battre des records cette saison ?
R: "Pas du tout! On pensait que Mercedes et Ferrari seraient beaucoup plus proches de nous en début de saison".
"La pénalité impactera la voiture 2024"
Q: Ne pas avoir d'adversaires à votre niveau cette année, n'est-ce pas tout de même un peu handicapant ?
R: "Personnellement, je trouve ça mieux (rires), on ne travaille pas dans la panique, mais dans la continuité, dans la sérénité. C'est très important et c'est comme ça qu'on fait du meilleur travail. Le tout, c'est de pas s'endormir".
Q: En 2024, vous attendez-vous à avoir de la concurrence en piste ?
R: "Selon moi, la concurrence va être très forte avec deux, trois ou quatre équipes. Plus le règlement reste stable, plus l'avantage qu'on a va être réduit. Je pense que ça va être un championnat beaucoup plus serré et beaucoup plus compliqué pour nous".
Q: A cause notamment de votre pénalité reçue l'an dernier pour avoir dépassé le plafond budgétaire en 2021 ? Vous avez tout de même été sanctionnés d'une réduction de 10% du temps de développement de votre monoplace en soufflerie pendant un an - un temps que l'on sait crucial pour les performances des voitures.
R: "Ah oui, cette pénalité impactera beaucoup plus la voiture 2024. On a une pente de développement qui est plus faible. Après, il faut voir si cela va nous freiner dans la performance globale ou non. Ce qu'il faut comprendre, c'est que cette pénalité n'est pas là pour nous enlever de la performance. Elle est là pour réduire notre gain de performance - à cause d'elle, on réduit notre capacité à développer et à amener des nouvelles pièces".
Q: Quelles équipes sont dans votre viseur pour l'an prochain ?
R: "Les deux gros +teams+ que sont Mercedes et Ferrari. On pourrait aussi en avoir deux autres avec McLaren et Aston Martin qui ont fait du très bon travail cette année. Et s'ils continuent sur cette lancée... Mais pour l'heure, c'est clairement Mercedes et Ferrari qui seront potentiellement nos plus gros concurrents".
Q: Des concurrents que l'on attendait déjà comme vos principaux rivaux cette année...
R: "Exactement, mais ils ont fait quelques erreurs. Ça peut arriver à tout le monde mais là, ils rattrapent assez rapidement".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite au Canada
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a poursuivi jeudi soir sa tournée en Amérique du Nord avec une visite au Canada. Ce pays, qui compte une importante diaspora ukrainienne, appuie l'Ukraine depuis le début de l'invasion russe.
En provenance des États-Unis d'Amérique, le président Zelensky a atterri tard jeudi soir dans la capitale Ottawa, où il a été accueilli par le premier ministre canadien, Justin Trudeau. Ce dernier l'a assuré du "soutien indéfectible" du Canada dans son conflit face à la Russie.
Volodymyr Zelensky, accompagné de son ministre de la défense, Rustem Umerov, doit rencontrer la gouverneure générale du Canada, Mary Simon, et prononcer une allocution devant le Parlement canadien.
Avec Justin Trudeau, il doit ensuite s'envoler vers la métropole Toronto, où les deux dirigeants rencontreront des chefs d'entreprises et des membres de la communauté canado-ukrainienne.
Le Canada, dernier pays du G7 à être visité par le dirigeant, compte la deuxième plus importante diaspora ukrainienne au monde après la Russie, avec 1,4 million de personnes d'origine ukrainienne sur son territoire.
"Aussi longtemps qu'il le faudra"
Il s'agit de la première visite officielle du président ukrainien sur le sol canadien depuis le début de l'invasion russe en février 2022. En mars, Volodymyr Zelensky s'était adressé aux parlementaires canadiens en visioconférence.
"Le peuple ukrainien est le fer de lance qui, en ce moment, détermine l'avenir du XXIe siècle", a déclaré jeudi soir le premier ministre Trudeau, dans un communiqué. Il a assuré que le Canada restera au côté de l'Ukraine "aussi longtemps qu'il le faudra" et que le pays continuera d'apporter "un soutien indéfectible au peuple ukrainien qui lutte pour sa souveraineté et sa démocratie".
Depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, le Canada s'est engagé à verser plus de 8,9 milliards de dollars en soutien à l'Ukraine sous forme d'un large éventail de mesures, "notamment 4,95 milliards de dollars en soutien financier direct et plus de 1,8 milliard de dollars en aide militaire".
Ottawa a aussi formé plus de 36'000 soldats ukrainiens et a fourni une aide militaire qui comprend notamment huit chars de combat Leopard 2, un véhicule blindé de dépannage, 39 véhicules blindés, des armes antichars, des drones et de l'équipement de communication par satellite.
Le premier ministre canadien s'était rendu en Ukraine en juin. Il avait alors annoncé qu'Ottawa allait participer aux efforts multinationaux pour former des pilotes de chasse ukrainiens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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