Suisse
Achetée plus chère, l'électricité sera aussi facturée plus chère

- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/05/les-prix-definitifs-seront-connus-fin-aout-ils-seront-publies-par-la-commission-federale-de-lelectricite-archives-1000x600.jpg&description=Achetée plus chère, l'électricité sera aussi facturée plus chère', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La moitié des entreprises d’approvisionnement en énergie vont augmenter d'au moins 20% leurs tarifs l'an prochain, selon un sondage de l'Association des entreprises électriques suisses (AES). Un ménage de cinq pièces devra donc payer 180 francs de plus.
Pour les entreprises commerciales, par exemple une grande boulangerie ou un restaurant, avec une consommation annuelle de 150'000 kWh, il faut s'attendre à des coûts supplémentaires d'environ 6000 francs, estime l'AES vendredi dans un communiqué.
L'association a mené son enquête auprès de ses membres en mai. Le sondage doit être considéré comme une première estimation, car l'approvisionnement n'est pas encore terminé. Les prix définitifs pour les clients finaux à l'approvisionnement de base seront disponibles fin août. Ils seront publiés par la Commission fédérale de l'électricité.
Les prix du marché ont fortement augmenté en 2021, notamment en raison de la hausse des prix des combustibles et du CO2 ainsi que des pannes et des arrêts de centrales. Fin 2021, les prix de l'électricité sur les marchés de gros ont atteint des valeurs les plus élevées, et de loin, depuis 13 ans. Le conflit en Ukraine renforce encore la hausse des prix.
Pour mémoire, le gestionnaire du réseau Swissgrid a annoncé en mars qu'il allait également augmenter ses tarifs. Un ménage, dont la consommation annuelle s'élève à 4500 kWh, paiera en 2023 en moyenne 20 francs de plus pour ses prestations. En cause: des exigences réglementaires et la reprise désormais achevée de l'infrastructure du réseau.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre

L'évolution qu'aura connue l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections pour les moins divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP.
Seul point de convergence, la vive progression du produit intérieur brut (PIB) observée sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Espoirs de stabilisation
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Pas d'accord sur les coûts des F-35A entre Berne et Washington

La Suisse ne pourra pas imposer de prix fixe aux Etats-Unis pour l'achat des 36 avions de combat F-35A. Washington ne veut pas changer de position dans ce dossier, annonce le Conseil fédéral. Les coûts totaux excéderont donc bien les six milliards de francs.
Au cours des dernières semaines, des "discussions intensives" ont eu lieu avec des représentants de haut rang de la Maison-Blanche au sujet du prix fixe pour l'acquisition du nouvel avion de combat F-35A. La question du prix a également été abordée lors d'un téléphone entre le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, et le conseiller fédéral Martin Pfister, chef du Département de la défense (DDPS).
Ces discussions ont clairement montré que les Etats-Unis ne sont pas disposés à changer de position, constate le gouvernement dans un communiqué mercredi. La Suisse doit donc accepter qu'elle ne pourra pas imposer de prix fixe, comme elle l'entendait. Le prix par lot de production correspondra à la valeur négociée entre le gouvernement américain et le constructeur Lockheed Martin.
A l'heure actuelle, il n'est donc pas possible de déterminer le coût total exact de l’acquisition. Cela se traduit par la fourchette de coûts supplémentaires potentiels pour l’acquisition des F-35A, déjà communiquée fin juin, comprise entre 650 millions et 1,3 milliard de francs suisses, écrit encore le Conseil fédéral.
Ce dernier "maintient son projet d'acquisition" du F-35A. Le Conseil fédéral a donc chargé le DDPS d'approfondir les travaux sur différentes options et de lui soumettre d'ici à fin novembre une proposition concernant la suite de la procédure.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre

L'évolution de l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP. Seul point de convergence, la progression du PIB sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Lufthansa envisage d'importer ses futurs Boeing via la Suisse

Lufthansa envisage d'acheter de nouveaux avions Boeing aux Etats-Unis via la Suisse. Cette mesure pourrait réduire le déficit commercial américain avec la Suisse et éviter des droits de douane punitifs, selon une information mercredi du Tages-Anzeiger.
La commande de la compagnie aérienne allemande Lufthansa, maison-mère de Swiss, porte sur une centaine d'appareils Boeing, d'une valeur catalogue de 21 milliards de francs, qui doivent être livrés ces sept prochaines années. Ils ne seraient pas achetés à Malte ou en Irlande, mais via la Suisse, rapporte le quotidien
Cette mesure pourrait contribuer à réduire le déficit commercial entre les Etats-Unis et la Suisse (48 milliards de francs au premier semestre, livraisons d'or comprises). Lufthansa avait déjà envisagé cette mesure auparavant, afin de contourner d'éventuels droits de douane de rétorsion de l'Union Européenne.
Améliorer les conditions-cadres
De son côté, Swiss n'a pas souhaité commenter, soulignant toutefois que le directeur général de la compagnie Jens Fehlinger a accompagné une délégation suisse aux Etats-Unis. "L'objectif de ce voyage était de mener des discussions au niveau politique afin d'améliorer le cadre politique douanier, les négociations précédentes n'ayant pas abouti aux progrès escomptés pour la Suisse."
"Les discussions ont notamment porté sur les conditions-cadres pour l'importation d'avions et les options possibles pour le groupe Lufthansa, pour Swiss, ainsi que pour les Etats-Unis et les entreprises américaines. Les déclarations sur le contenu de ces réflexions et sur les négociations elles-mêmes sont réservées aux autorités gouvernementales compétentes", déclare un porte-parole.
Interrogée par l'agence AWP, Lufthansa ne développe pas non plus l'information, mais dit être "de manière générale, clairement intéressé par la réussite économique à long terme de Swiss. Les achats de flotte sont effectués par le groupe Lufthansa en étroite collaboration avec les compagnies aériennes."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
InternationalIl y a 2 jours
Trump espère une "rencontre constructive" avec Poutine
-
InternationalIl y a 3 jours
Gaza: 5 journalistes d'Al Jazeera tués dans une frappe israélienne
-
VaudIl y a 2 jours
Importantes coupes de bois entre Vuiteboeuf et Ste-Croix
-
SuisseIl y a 1 jour
Des citoyens suisses veulent briser le blocus à Gaza par la mer
-
ClimatIl y a 3 jours
Plus de 1000 personnes évacuées à cause d'incendies en Espagne
-
SuisseIl y a 2 jours
Rentrée scolaire sous la chaleur dans plusieurs cantons
-
InternationalIl y a 7 heures
Zelensky se rend à Berlin pour la visioconférence avec Trump
-
LausanneIl y a 2 jours
Menacé de mort, Vassilis Venizelos porte plainte contre un éleveur
Jean-Francois Morf
21 mai 2022 à 19:40
Quand le prix du GWh chuta à zéro à cause des éoliennes allemandes, nos barrages sont ruinés, bien obligés de turbiner à perte.
Puis quand le prix du GWh explose, nos entreprises sont aussi en difficulté, parce qu'elles ont vendu à l'avance leur future production à des banksters.
Youtube: "Les affaires à la Française": Alstom, Areva, EDF, Charles Gave vous explique tout.