Suisse
Alpiq: perte nette effacée, mais opérationnel moins fort en 2021
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/08/le-chiffre-daffaires-de-lenergeticien-vaudois-est-ressorti-en-progression-de-48-a-266-milliards-de-francs-et-le-resultat-net-sest-etabli-a-54-millions-de-francs-contre-une-perte-nette-de-84-milli-1000x600.jpg&description=Alpiq: perte nette effacée, mais opérationnel moins fort en 2021', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Alpiq est parvenu au premier semestre 2021 à effacer la perte nette enregistrée il y a un an mais avertit que son résultat opérationnel pour 2021 sera certes positif mais inférieur à celui de 2020, selon un communiqué paru jeudi.
Le chiffre d'affaires de l'énergéticien vaudois est ressorti en progression de 48% à 2,66 milliards de francs et le résultat net s'est établi à 54 millions de francs, contre une perte nette de 84 millions il y a douze mois.
Mais le groupe a souffert au niveau opérationnel, son résultat avant financement, impôts sur le revenu et amortissements (Ebitda) ayant plongé de 33% à 80 millions de francs.
Pour la suite de l'exercice la direction explique que "les prix de l'électricité et du CO2 couverts en francs sur les marchés de gros auront certes un impact positif sur le résultat de l'entreprise, mais que la révision de la centrale nucléaire de Leibstadt, reportée de 2020 à 2021, pèsera sur le résultat."
A cela il faut ajouter les effets comptabilisés au premier semestre en lien avec la hausse des risques de crédit de certaines contreparties qui "se refléteront sur l'ensemble de l'année". Pour l'heure il n'est guère possible d'évaluer pleinement les répercussions de la crise pandémique, déplorent les responsables d'Alpiq.
Michel Kolly, qui est membre de la direction générale et responsable de la division Digital & Commerce, a fait savoir qu'il quittera la société après quinze ans de services. Alpiq a démarré le processus de la recherche d'un successeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Roche revendique des succès cliniques contre la sclérose en plaques
La multinationale pharmaceutique Roche assure avoir observé une concrétisation du critère primaire établi pour le premier des deux programmes cliniques avancés sur le médicament fénébrutinib, développé contre la sclérose en plaques, baptisé Fenhance 2.
L'administration de la substance sur au moins 96 semaines a permis de réduire de manière sensible le taux annualisé de récidive de la maladie par rapport à un traitement au tériflunomide.
Le fénébrutinib a par ailleurs démontré une non-infériorité à l'Ocrevus (ocrélizumab) de Roche en matière de ralentissement de la forme primaire-progressive de la maladie dans le cadre du programme Fentrepid, indique un communiqué diffusé lundi.
Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des données quantifiées, Roche promet de détailler les résultats de ces programmes de recherche à l'occasion de prochains congrès médicaux, une fois disponibles les conclusions du volet Fenhance 1 d'ici à la fin de l'an prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
"La Suisse ne pourra pas se passer" du nucléaire, selon le Groupe E
La Suisse ne pourra pas se passer de centrales nucléaires, estime le directeur général du Groupe E. Selon lui, le recours croissant aux énergies renouvelables, couplé à l’abandon de l’énergie nucléaire, constitue un risque en matière d’approvisionnement énergétique.
"Nous allons vers une augmentation des risques. Je précise que je ne suis pas contre les énergies renouvelables, bien au contraire, cela fait des années que Groupe E les encourage. Mais il faudra impérativement disposer de centrales de réserve conventionnelles qui pourraient être démarrées en cas de besoin", soutient Alain Sapin dans un entretien accordé vendredi à La Liberté, en marge d'une conférence à Guin.
M. Sapin a expliqué à son auditoire de vendredi qu'il va falloir construire, ces 25 prochaines années, environ 80% des infrastructures nécessaires à l'approvisionnement énergétique du pays.
A la question de savoir comment cela allait se passer, il a répondu: "si on veut éviter les émissions de CO2, je ne pense pas qu'on pourra se passer de centrales nucléaires, même si cela ne fera pas plaisir à tout le monde. Nous avons des contrats avec la France, mais nous ne pouvons pas compter éternellement sur les autres. Il serait envisageable aussi d'avoir deux ou trois centrales à gaz pour passer l'hiver."
"Un virage politique"
Pour lui, il appartient désormais au monde politique d'opérer des choix. "En 2010, nous avions un projet nucléaire en sous-participation, mais tout s'est arrêté après Fukushima. Nous avons aussi déposé un projet de centrale à gaz de 400 mégawatts à Cornaux en 20122, rappelle-t-il.
"Depuis 2007, nous essayons de faire de l'éolien à Fribourg sans y parvenir. Ce n'est pas moi qui refuse tous ces projets. Il faudra probablement un virage politique assez sec, je ne sais pas si cela est possible en Suisse", ajoute M. Sapin.
Et de conclure en suggérant: "Je suis libéral de nature, mais peut-être pourrait-on nationaliser un peu le secteur énergétique, comme on l'a fait pour les autoroutes et les voies ferrées".
Dimanche, dans les colonnes de la NZZ am Sonntag, le ministre de l'Énergie, Albert Rösti, avait de nouveau mis en garde contre un risque de pénurie d'électricité en Suisse. "On ne peut pas se passer de l'énergie nucléaire", avait-il déclaré.
Le conseiller fédéral avait précisé ne pas souhaiter cette option, mais estimer que le développement de l'énergie hydraulique, solaire et éolienne progressait trop lentement. "Si, de manière inattendue, la filière éolienne décolle, que de nombreuses centrales hydroélectriques sont construites et que davantage de centrales solaires alpines voient le jour, je serai le premier à renoncer au nucléaire", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La politique à la traîne en matière de stockage d'énergie
Il existe plusieurs solutions techniques pour le stockage saisonnier de l'énergie. Mais la Suisse manque de lignes directrices claires pour les développer à grande échelle, selon un rapport des Académies suisses des sciences publié lundi.
Le stockage saisonnier de l'énergie est essentiel pour la transition énergétique, selon les Académies. Ces technologies, qui permettent de stocker l'énergie produite en été pendant plusieurs mois et de l'utiliser en hiver, devraient permettre de combler le déficit hivernal.
Dans le système énergétique actuel, les combustibles fossiles tels que le gaz naturel et le mazout jouent le rôle de stockage saisonnier dans les secteurs du chauffage et de la mobilité. Dans le secteur de l'électricité, ce sont principalement les centrales hydroélectriques à accumulation et, certaines années, les importations étrangères qui compensent les fluctuations saisonnières.
Consommation en hiver
Aujourd'hui déjà, la consommation d'électricité est légèrement plus élevée en hiver qu'en été. Cela s'explique principalement par des besoins de chauffage plus importants, l'éclairage et, en partie, les besoins industriels. Avec la progression de l'électrification, c'est-à-dire le remplacement des énergies fossiles par l'électricité dans les secteurs du chauffage et de la mobilité, cette différence va encore s'accentuer à l'avenir.
Dans le même temps, la sortie du nucléaire entraîne la disparition d'un important fournisseur d'électricité en hiver. Les besoins supplémentaires en production d'électricité qui en résultent devraient être compensés principalement par le développement du photovoltaïque. Cependant, celui-ci produit nettement plus d'énergie en été qu'en hiver.
Selon le rapport, l'ampleur du déficit hivernal est difficile à estimer. Dans les scénarios énergétiques pour 2050, celui-ci se situe entre 20 et 35 térawattheures, en fonction des possibilités d'importation et du développement des énergies renouvelables.
Nombreuses possibilités techniques
C'est donc la quantité d'énergie supplémentaire qui devrait être fournie ou stockée en hiver pour couvrir les besoins. Selon les auteurs du rapport, il existe de nombreuses solutions de stockage techniquement abouties.
Les accumulateurs de chaleur sont particulièrement prometteurs. Ils sont techniquement très avancés, relativement peu coûteux et peuvent non seulement transférer l'énergie entre l'été et l'hiver, mais aussi contribuer au refroidissement en été.
Selon les Académies, les accumulateurs chimiques, qui transforment l'électricité excédentaire en hydrogène, en méthane ou en carburant synthétique, offrent également une possibilité de stockage saisonnier.
Problèmes
Reste que les capacités de stockage saisonnier sont encore limitées en Suisse, notent les auteurs. C'est lié aux incertitudes économiques et aux obstacles réglementaires.
Le stockage saisonnier profite de fortes différences de prix saisonnières. Comme l'évolution des prix est incertaine, les risques liés à l'investissement sont grands. Afin de renforcer la compétitivité des solutions alternatives de stockage, le prix des énergies fossiles faciles à stocker devrait être fixé de manière appropriée, par exemple par le biais du prix du CO2.
Des questions en suspens concernant l'aménagement du territoire compliquent actuellement le développement des accumulateurs de chaleur. Des incertitudes réglementaires doivent également être clarifiées en ce qui concerne l'utilisation de l'hydrogène afin d'encourager les investissements et d'accroître la sécurité de la planification.
Il est également nécessaire, selon les chercheurs, de clarifier les accords internationaux. L’accord sur l’électricité avec l’UE aura un impact majeur sur la nature et la quantité nécessaire de stockage saisonnier. La décision relative à l’accord sur l’électricité influencera sans doute aussi l’issue d’autres accords par exemple sur l'hydrogène et le biométhane.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Super League: Lausanne-Sport et Sion dos à dos
Le Lausanne-Sport et Sion se sont séparés sur un nul 2-2 dans le derby romand de la 13e journée de Super League. Ce résultat semble logique au vu de la physionomie des débats.
Les émotions n'ont pas manqué à la Tuilière, essentiellement en première période. Sion a pris les devants avec deux réussites inscrites par Nivokazi (7e) et Berdayes (11e), à chaque fois sur passe d'Hefti depuis la gauche. Le LS n'a toutefois rien lâché. Un centre tir pernicieux de Fofana lui a permis de reprendre espoir (20e), avant l'égalisation signée Kana-Biyik (33e).
La partie, dont le rythme avait baissé, a été interrompue une dizaine minutes en seconde période en raison de fumigènes lancés par certains supporters valaisans, pas trop bien inspirés en l'occurrence. Les deux équipes ont ensuite peiné à se montrer dangereuses, avec beaucoup de déchet dans leur jeu. Ce point permet au FC Sion (5e) de conserver 3 points d'avance sur le LS (8e).
YB cartonne
Dans l'autre rencontre de 16h30, les Young Boys ont bien réagi après la claque subie jeudi sur la scène européenne (4-0 à Salonique contre le PAOK). Les Bernois ont réussi l'exploit d'aller l'emporter 4-1 à Saint-Gall grâce à des buts de Fassnacht (7e), Virginius (32e), Bedia (51e) et Males (64e). Les Brodeurs avaient égalisé par Vogt (9e). YB rejoint ainsi Bâle, mais à 9 longueurs du leader Thoune.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
Bons Plans LFMIl y a 3 jours
La Vaudoise aréna ouvre ses portes au grand public pour la "Journée de la glace" ce dimanche
-
LausanneIl y a 3 jours
Stationnements vélo abrités et sécurisés dès 2026
-
VaudIl y a 21 heures
Un jeune homme perd la vie dans un accident à Champvent (VD)
-
SuisseIl y a 2 jours
Accident de travail mortel à St-Livres (VD)
-
InternationalIl y a 3 jours
Accord pour la fin des amalgames dentaires au mercure d'ici 2034
-
SuisseIl y a 3 jours
Gunvor retire sa proposition de rachat d'actifs de Lukoil
-
VaudIl y a 3 jours
Le Nord Vaudois publie son premier numéro
-
CultureIl y a 3 jours
Baukultur Festival: célébrer la transformation du bâti à Lausanne


