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Suisse

Digitec-Galaxus poursuit son expansion, lancement aux Pays-Bas

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L'entreprise est également présente en Allemagne, en Autriche, au Liechtenstein, en Italie et en France. (Archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Digitec-Galaxus poursuit son expansion en Europe. Le site de commerce en ligne, propriété du premier détaillant helvétique Migros, se lance à la conquête du marché néerlandais, après s'être implanté en Allemagne, en Autriche, au Liechtenstein, en Italie et en France.

Les activités aux Pays-Bas ont débuté mardi passé.

"Nous avons démarré tranquillement aux Pays-Bas et y rassemblons nos premières expériences", a expliqué le porte-parole de Digitec-Galaxus, Tobias Billeter, interrogé par AWP et confirmant des informations des portails d'informations spécialisés "Konsider" et "Lebensmittel Zeitung", notamment.

Rompant avec ses habitudes en matière de communication, le site de commerce en ligne a lancé ses opérations aux Pays-Bas sans tambour ni trompettes, après avoir activement informé pour ses implantations dans les pays voisins.

M. Billeter n'a pas souhaité fournir d'indications quant aux plans de la société zurichoise pour d'autres marchés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Blues, rock, classique : la guitare va rugir à Montreux

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Pour la troisième année, Montreux met en avant la guitare à l'occasion d'un salon international, qui mêle artisanat, concerts, masterclass, etc.(Image prétexte © Unsplash)

Désormais ancré dans le paysage du bord du lac, le Montreux International Guitar Show (MIGS) revient pour une troisième édition à Montreux en cette fin de semaine. Concerts, exposants, masterclass, les férus de cet instrument à corde ou les curieux pourront faire vrombir leur âme mélomane.

Les guitares vont résonner à Montreux ce week-end, pour la troisième édition du MIGS, le Montreux International Guitar Show, organisé dans la ville vaudoise jusqu'à dimanche. Pour les férus de cet instruments à corde, mais également pour le grand public curieux.

Les deux premières années du festival ont permis aux deux co-fondateurs de voir qu'un public existe pour un salon dédié à cet instrument. Cette troisième édition permet de confirmer

David RossetCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Un instrument qui sait séduire, qui peut revêtir plusieurs formes, plusieurs genres...

David RossetCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Concerts, masterclass, rencontres, plein d’activités sont prévues dans la ville vaudoise jusqu’à dimanche. Pour tous les goûts, toutes les curiosités

Emmanuel CottierCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Masterclass, concerts, Academy

Une fois de plus, de nombreux concerts sont organisés sur le site du festival, dans différents styles. L'important : mettre en lumière la guitare

Emmanuel CottierCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Cette année le MIGS proposera plus de 80 exposants sur plus de 1'140 mètres carrés, des concerts dans une salle intimiste de 300 places, des masterclass, des échanges.

Emmanuel CottierCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Pour cette année 2024, le salon a également proposé un Master Camp de quelques jours, avant la possible arrivée d'une Academy.

David RossetCo-fondateur du Montreux International Guitar Show

Le salon se déroule à Montreux du 26 au 28 avril. Plus d'information sur le site de l'événement.

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Économie

SGS a souffert de la vigueur du franc au 1er trimestre

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Entre janvier et fin mars, les revenus de SGS ont crû de 7,1% en termes organiques à 1,58 milliard de francs., mais exprimés en francs, ils ont fléchi de 2,1% (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

SGS a livré un premier trimestre de bonne facture en 2024. Sous la houlette de sa nouvelle patronne, Géraldine Picaud, le géant genevois de l'inspection et de la certification se relance dans les acquisitions destinées à agrémenter sa croissance organique.

Celle-ci s'est montée entre janvier et fin mars à 7,1%, pour des recettes 1,58 milliard de francs. Des effets de change à hauteur de 8,6% ont toutefois contrarié le phénomène et le chiffre d'affaires s'est au final tassé de 2,1% en comparaison annuelle, indique le compte-rendu diffusé vendredi.

Entrée officiellement en fonctions fin mars, Géraldine Picaud redémarre le processus de fusions-acquisitions du groupe de la place des Alpes avec la conclusion d'un accord de rachat sur le spécialiste nord-carolinien de l'industrie sans-fil Arclight Wireless au 1er mai. Le montant de la transaction ne figure pas dans le rapport trimestriel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Football

Patrick Rahmen: "Ne pas être écrasé par le poids de l'histoire"

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Patrick Rahmen: l'entraîneur qui peut offrir un premier trophée au FC Winterthour depuis 107 ans. (© KEYSTONE/MANUEL GEISSER)

107 ans d’attente ! Le FC Winterthour est à deux victoires de remporter un premier trophée depuis son troisième et dernier titre de Champion de Suisse obtenu en 1917.

Ce dimanche, le FC Winterthour accueille le Servette FC en demi-finale de la Coupe de Suisse. Sous la férule de Patrick Rahmen, les Zurichois sont en passe de réussir une saison de rêve. La qualification pour le Championship Group en Super League a accompagné, en effet, ce magnifique parcours en Coupe de Suisse.

"J’ai compris au fil des semaines que cette saison pouvait vraiment nous sourire, reconnaît Patrick Rahmen. Mais à aucun moment, nous avons pensé obtenir de tels résultats." Pressenti pour diriger les Young Boys dès cet été, Patrick Rahmen explique que le "secret" de la réussite réside "dans un style offensif qui est vraiment la marque de fabrique de l’équipe".

"Nous avons toutefois mis un certain temps pour trouver le bon équilibre sur le plan défensif, poursuit le successeur de Bruno Berner. Il y a aussi un esprit d’équipe que nous avons su cultiver. Les joueurs témoignent d’une très grande solidarité. Ils savent aussi rester les pieds sur terre. Ils ne se sont pas enflammés devant ces résultats que nous n’attendions sans doute pas."

Limogé du FC Bâle, "son club", Patrick Rahmen a su rebondir avec une expérience que l’on peut qualifier de réussie à la tête de l’équipe de Suisse M21 qu’il a menée en quart de finale de l’Euro 2023. Mais avant même la phase finale de cet Euro, il avait accepté l’offre du FC Winterthour. "Ce club coche à mes yeux toutes les cases : la recherche d’un jeu offensif, des valeurs sur lesquelles on ne transige pas et un soutien populaire vraiment très marqué, dit-il. Je n’ai pas hésité très longtemps pour être convaincu par ce projet."

Il lui reste maintenant à bien négocier le virage de cette demi-finale devant un adversaire contre lequel le FC Winterthour n’a pas perdu cette saison (1 victoire et 2 nuls). "Nous avons prouvé cette saison que nous pouvons regarder les Servettiens les yeux dans les yeux. Dans cette demi-finale, je veux que mes joueurs se lâchent, qu’ils jouent avec l’élan qui les porte depuis des semaines. Qu’ils se nourrissent des encouragements d’un public fantastique. Je veux croire qu’ils ne surjoueront pas, qu’ils ne seront pas écrasés par le poids de l’histoire."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Contre-la-montre: une course technologique et des casques atypiques

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Jonas Vingegaard et son nouveau casque lors du chrono de Tirreno - Adriatico. (© KEYSTONE/EPA ANSA/ROBERTO BETTINI)

Il faut remonter à 1952 pour retrouver un Tour de Romandie sans chorno. Ce rendez-vous incontournable de la boucle romande fait l'objet d'une course technologique qui passionne et interroge.

C'est l'équipe Visma qui a relancé les débats au début du mois de mars à l'occasion du contre-la-montre de Tirreno-Adriatico. La formation néerlandaise a affublé ses coureurs d'un imposant casque profilé et aérodynamique qui a passablement fait jaser au sein du peloton.

"Je ne dis pas que ces casques de contre-la-montre sont horribles, je dis juste que c'est un bon moment pour arrêter le cyclisme" avait alors écrit sur X le vétéran belge Thomas De Gendt (Lotto). Cette nouvelle trouvaille technologique n'avait toutefois pas permis à Jonas Vingegaard (9e à 22'') de battre Juan Ayuso (UAE) lors de ce chrono initial, ce dernier roulant avec un casque profilé plus traditionnel.

"Ils jouent avec les règles"

"Ils jouent avec les règles. C'est clair qu'il ne faudrait pas qu'ils viennent avec des casques d'un mètre de long dans le futur, mais l'UCI est là pour mettre des barrières", estime Yannis Voisard. Des limites pour l'instant fixées à 45 cm en longueur et 21 cm en hauteur, selon le règlement de l'organisation internationale.

Le Jurassien de l'équipe Tudor, qui vise une belle place au classement général de ce Tour de Romandie, apprécie pour sa part l'épreuve solitaire et le progrès technologique qui l'accompagne. "Nous développons beaucoup cela avec l'équipe depuis deux ans. Nous faisons notamment des tests en soufflerie à Silverstone, en Angleterre. C'est vraiment des minuscules détails qui font la différence en aérodynamisme et cela me plaît d'être très pointilleux", explique-t-il.

Si les casques de la Visma ont fait tant parler, c'est surtout pour leur apparence particulière. Mais certains membres du peloton, comme Adam Yates, ne se soucient guère de ces considérations esthétiques. "Au tour des Emirats en 2022 j'en avais porté un similaire et tout le monde s'était moqué de moi", se souvient le Britannique, qui courait à l'époque sous les couleurs d'Ineos.

"Mais si cela permet d'aller plus vite, tout le monde s'en fiche de ce à quoi tu ressembles. Je pense que n'importe quel coureur accepterait de porter un casque bizarre si cela permet de gagner 20 secondes sur un contre-la-montre", assure Adam Yates.

Le physique primera toujours

Yannis Voisard rappelle toutefois que les jambes du rouleur feront toujours la différence. "Vous avez beau équiper le meilleur des amateurs avec une technologie de pointe, il ne battera jamais un pur spécialiste. Le physique fera toujours la différence. Cela dit, l'impact du matériel et de la technologie est très important, on le voit", analyse le cycliste de 25 ans.

Encore faut-il trouver les bons ajustements, ce qui n'est pas chose aisée. "Ce qui est assez dingue, c'est que c'est propre à la morphologie de chaque coureur" ajoute Yannis Voisard. "Un casque qui permet à quelqu'un d'aller plus vite n'aura pas la même efficacité sur un autre athlète."

A voir si ces équipements dernier cri seront de sortie entre Palézieux et Oron-la-Ville, où défileront un par un les coureurs du Tour de Romandie vendredi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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