Suisse
Ems-Chemie: bénéfice net en léger repli, dividende raboté
Le groupe Ems-Chemie a dégagé l'année dernière un bénéfice net de 535 millions de francs, en repli de 3,3%. Les actionnaires se verront proposer un dividende légèrement inférieur à celui versé un an plus tôt.
Le chiffre d'affaires consolidé réalisé en 2022 s'est monté à 2,44 milliards de francs, en hausse de 8,3%. Ajusté des effets de change, la croissance a été de 12,6%, précise le chimiste grison vendredi dans un communiqué.
Le résultat opérationnel (Ebit) s'est quant à lui contracté de 4,6% à 611 millions, pour une marge afférente de 25,0%, en repli de 3,4 points de pourcentage.
L'entreprise proposera à ses actionnaires le versement d'un dividende ordinaire de 15,75 francs par action, contre 16,50 francs un an plus tôt, ainsi qu'un dividende extraordinaire de 4,25 (4,50) francs, soit un total de 20 (21) francs par titre.
Les chiffres publiés par Ems-Chemie s'inscrivent dans le cadre des prévisions des analystes sollicités par AWP, à l'exception de la marge Ebit, qui a déçu les attentes les plus conservatrices.
Pour l'exercice en cours, la direction du groupe vise un chiffre d'affaires et une performance opérationnelle légèrement supérieurs à celles de l'année écoulée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Résultats solides pour Salt en début d'année
L'opérateur Salt a enregistré des résultats en hausse sur les trois premiers mois de l'année, portés par une hausse des tarifs et un gain de clientèle. La société continue parallèlement d'étendre son réseau de fibre optique.
Entre janvier et fin mars, le numéro trois helvétique du secteur a vu ses recettes croître de 1,7% sur un an à 275,4 millions de francs, alors que le résultat brut d'exploitation (Ebitda) a pris 4,3% à 140,8 millions, a-t-il détaillé vendredi dans un communiqué. La marge opérationnelle s'est quant à elle améliorée de 1,2 point de pourcentage à 51,1%.
La filiale de la société Matterhorn, elle-même contrôlée par le Français Xavier Niel, a par ailleurs accru le nombre d'abonnés dans la téléphonie mobile de 30'200 à 1,6 million.
L'opérateur établi à Renens poursuit l'extension de son réseau de fibre optique, notamment dans les cantons de Lucerne, de Soleure, de Vaud, de Neuchâtel, des Grisons, de Zurich et d'Argovie. Salt, dirigé par Max Nunziata, espère rendre accessible cette technologie à 3 millions de foyers, contre 2 millions actuellement, d'ici fin 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams
Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elle a coché les six bons numéros 7, 8, 13, 14, 23 et 31, a annoncé la Loterie romande.
Le pactole a été remporté dans l'un des huit pays européens proposant ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique.
Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream". Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Djokovic bat Griekspoor en deux sets en quart de finale
Novak Djokovic peut toujours espérer décrocher son 99e titre ATP samedi au Parc des Eaux-Vives.
Le no 1 mondial s'est hissé dans le dernier carré du Geneva Open en battant Tallon Griekspoor (ATP 27) 7-5 6-1 jeudi en quart de finale.
Le Serbe de 37 ans, qui a accepté une invitation de dernière minute des organisateurs genevois, fait tout pour lui faire honneur. En quête de confiance - mais aussi d'une première finale en 2024 -, il a su renverser une situation des plus compromises dans la manche initiale en serrant sa garde.
Novak Djokovic a ainsi dû écarter quatre balles de premier set sur son service à 4-5, dont trois de manière consécutive à 0/40. Il a alors élevé considérablement son niveau de jeu, empochant les sept jeux suivants en réussissant trois breaks au passage. A 7-5 4-0, il pouvait dérouler.
Alors bien sûr, Tallon Griekspoor avait dû batailler durant plus d'une heure en début d'après-midi pour conclure son 8e de finale face à Denis Shapovalov, et a manqué cruellement d'énergie après la perte du premier set. N'empêche que Novak Djokovic a signé un succès forcément bon pour sa confiance.
"Une belle victoire"
"C'est une belle victoire", a lâché sur le court l'homme aux 24 titres du Grand Chelem, qui affrontera le Français Pierre-Hughes Herbert au 1er tour à Roland-Garros. "Il était le meilleur joueur au premier set, et le match aurait pu prendre une autre tournure s'il avait converti l'une de ses trois balles de set", a-t-il souligné.
"J'ai eu la chance de trouver de bons services à cet instant. Je me suis ensuite montré plus solide. Et s'il m'a bien aidé avec ses fautes directes, j'ai disputé un très bon deuxième set", a encore expliqué Novak Djokovic, qui affrontera le Tchèque Tomas Machac (ATP 44) vendredi pour une place en finale.
Ruud face à Cobolli
La finale de rêve reste par ailleurs envisageable. Tête de série no 2, le Norvégien Casper Ruud (ATP 7) est en effet lui aussi présent au rendez-vous des demi-finales. Le double vainqueur du tournoi (2021, 2022) s'est imposé 6-3 3-6 6-4 devant l'Argentin Sebastian Baez (ATP 20). Il affrontera vendredi Flavio Cobolli (ATP 56).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
"La guerre sur verre" d'Edward Kaprov au Musée de l'appareil photo
En première suisse, le Musée suisse de l’appareil photographique présente jusqu'au 18 août le travail du photographe Edward Kaprov. En 2022, il s'est rendu en Ukraine pour photographier la guerre sur verre, un choix technique particulier imposant la lenteur.
L'approche d'Edward Kaprov est "unique et saisissante", relève le musée. Il s'est emparé de la technique historique du collodion humide, qui nécessite de déplacer avec soi son laboratoire et des plaques de verre fragiles. Il a sillonné le Donbass pour photographier les soldats et les civils touchés en première ligne par un conflit pour lui "impensable et insensé".
Une camionnette pleine de matériel, une grande chambre photographique et des temps de quinze minutes pour la préparation, la prise de vue et le développement: à contre-courant de l'immédiateté de la photographie de guerre classique, le procédé impose une lenteur, un recul et une vraie rencontre avec la population.
"Je ne crois pas que la photographie puisse mettre fin à la guerre, mais elle me donne une raison de continuer à faire mon travail. De faire ce que je fais de mieux avec ma souffrance et ma compassion", explique le photographe.
Lien historique
En outre, l'usage du collodion humide tisse un lien historique important. En 1855, l'Anglais Roger Fenton partait photographier la guerre en Crimée avec cette technique à l'époque novatrice.
Edward Kaprov s'inscrit ainsi dans la lignée de l'un des premiers photographes de guerre du 19e siècle et raconte, en substance, la permanence de l'horreur de la guerre malgré l’évolution de l’histoire. "J’ai essayé de juxtaposer le passé et le présent. J'essaie délibérément de confondre le spectateur pour qu'il regarde plus attentivement", précise-t-il.
Aux côtés du travail de Kaprov, l'exposition présente des tirages originaux de grands photographes historiques comme justement Roger Fenton. Mais aussi contemporains telle Sally Mann qui a aussi traité la guerre avec ce procédé.
Idéaux brisés
Edward Kaprov est né en 1975 dans l'ex-Union soviétique avant d'émigrer en Israël au début des années 1990. Pendant plus de vingt ans, il a pratiqué la photographie documentaire en tant que photographe indépendant, collaborant notamment avec le "National Geographic", "Geo" et "El País". A travers ses travaux, il établit des liens entre les idéaux brisés de sa terre d'accueil et ceux de sa patrie d'origine.
De ses reportages sur l'armée israélienne aux manifestations palestiniennes, en passant par les orphelinats de Tchétchénie, le photographe met en lumière l'inhumanité et l'absurdité du monde. Présenté dans l’exposition, son film "Ukraine: un photographe dans la guerre" a reçu le prix Bayeux 2023 catégorie TV Grand Format - Prix international Crisis Group.
Collaboration avec l'EVAM
Enfin, dans le cadre de cette exposition, le Musée suisse de l'appareil photographique collabore avec les foyers de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM). Un projet pilote veut contribuer à l'intégration sociale des personnes migrantes ainsi qu'à leur légitimation en tant que visiteuses d'institutions culturelles. L'entrée est notamment libre pour elles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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