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Suisse

Epaisses fumées au-dessus d'un immeuble d'habitation à Neuchâtel

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A Neuchâtel, un ancien immeuble d'habitation de plusieurs étages a été sérieusement endommagé par un incendie samedi matin. (© BNJ)

Un incendie a sérieusement endommagé un ancien immeuble d'habitation de plusieurs étages samedi matin en ville de Neuchâtel. Les pompiers, accourus en nombre, ont réussi à en prendre le contrôle en fin de matinée.

Souffrant d'intoxication, cinq pompiers ont dû se rendre à l'hôpital pour un contrôle.

"Le feu a pris vers 08h30, probablement dans le haut du bâtiment, situé à la rue de l'Evole", a indiqué à l'agence Keystone-ATS Sébastien Humair, officier de la police judiciaire, confirmant les informations de plusieurs médias. Les habitants ont été évacués, de même que ceux des maisons voisines et de deux numéros de la rue de Loriette, située à proximité.

Au total une quarantaine de pompiers ont été déployés. Ils ont pu prendre le contrôle du feu en fin de matinée. Une partie du quartier en question n'était toujours pas accessible samedi après-midi. Une déviation a été mise en place.

Des pompiers encore sur place

Des pompiers sont encore sur place pour garder un contrôle sur la zone sinistrée, peut-on lire dans un communiqué de la police neuchâteloise samedi après-midi.

Les dégâts sont importants, la toiture est percée. L'action des pompiers a en revanche permis de limiter les dégâts sur les bâtiments voisins. Le procureur général adjoint Nicolas Aubert a été saisi de l'affaire.

Une vingtaine de sanitaires étaient aussi présents, de même que quatre patrouilles de police, ainsi que la police judiciaire et scientifique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Les e-tickets doivent toujours être achetés avant le départ

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Au total 68% de tous les billets ont été achetés via des canaux mobiles et numériques en 2023. Le nombre de cas où les voyageurs n'étaient pas encore en mesure de présenter un billet au départ du moyen de transport, parce qu'ils voulaient, selon eux, encore le télécharger, a donc également augmenté. (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les personnes qui utilisent les transports publics en Suisse doivent continuer à acheter un billet valable avant de prendre le train ou le bus. L'organisation sectorielle Alliance Swisspass et la Confédération se sont mises d'accord sur ce point.

La réglementation s'applique également lorsqu'il s'agit d'un billet électronique acheté via une application de téléphone portable.

Alliance Swisspass a justifié mardi dans un communiqué le maintien de la pratique actuelle par la nécessité d'une réglementation uniforme, simple et compréhensible dans toute la Suisse. Autre avantage, le principe est également applicable dans les cas où le temps de trajet entre deux arrêts est très court ou lorsque de nombreuses personnes sont en déplacement.

Près de 70% des billets sont numériques

Les billets électroniques n'ont en effet cessé de gagner en importance ces dernières années. Au total 68% de tous les billets des transports publics ont été achetés via des canaux mobiles et numériques en 2023.

Le nombre de cas où les voyageurs n'étaient pas encore en mesure de présenter un billet au départ du moyen de transport, parce qu'ils voulaient, selon eux, encore le télécharger, a donc également augmenté.

Alliance Swisspass et l'Office fédéral des transports estiment toutefois qu'il existe un potentiel d'amélioration. Ils ont donc convenu de mesures, précise le communiqué. Il devrait notamment être plus facile à l'avenir de voir dans les applications de billetterie si un billet donné est immédiatement valable ou seulement plus tard. Une campagne d'information est en outre prévue sur ce thème.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La situation de la biodiversité en Suisse est pire qu'à l'étranger

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L'alouette des champs fait partie des espèces menacées en Suisse. (© KEYSTONE/NABU/HANDOUT)

La biodiversité est moins bien préservée en Suisse qu'à l'étranger, constate Birdlife à l'occasion de la Journée internationale sur ce thème, qui a lieu mercredi. Plus du tiers des espèces indigènes étudiées sont menacées.

Cela représente environ 3800 espèces, selon les données de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) pour l'année 2022. Sur les quelque 56'000 espèces vivant en Suisse, près de 11'000 ont été étudiées.

La proportion d'espèces menacées est plus élevée en Suisse que dans de nombreux autres pays, souligne Birdlife mardi, qui s'appuie également sur une analyse de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) utilisant des données de 2023.

Au total 2 millions d'espèces sont menacées dans le monde, ce qui correspond à près d'un cinquième de toutes les espèces de la planète.

Manque d'habitats de qualité

La raison de la crise de la biodiversité en Suisse est le manque de surfaces sur lesquelles des habitats de grande valeur écologique sont conservés, favorisés et entretenus. Selon Birdlife, il existe pourtant en Suisse un grand potentiel pour promouvoir la biodiversité.

Le Festival de la nature 2024 sera lancé à l'occasion de la Journée internationale sur ce thème mercredi. Du 22 au 26 mai, quelque 750 manifestations sur la nature et la biodiversité auront lieu dans tout le pays. Les thèmes principaux du festival, organisé pour la huitième fois, sont cette année la biodiversité urbaine et l'infrastructure écologique.

https://festivaldernatur.ch/list

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Le Valais intensifie la lutte contre les violences domestiques

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En 2022, la police valaisanne a enregistré 377 interventions en lien avec les violences domestiques, mais ces chiffres ne sont que la pointe de l'iceberg (image d'illustration). (© KEYSTONE/LUIS BERG)

Le Conseil d'Etat valaisan veut renforcer la prévention, réduire la récidive et améliorer la protection des personnes touchées par les violences domestiques. Pour la première fois, le canton présente aussi un état des lieux chiffrés de la situation.

"Ceux qui frappent, ceux qui harcèlent sont loin d'être les monstres qu'on imagine. Ce sont des hommes ordinaires", indique mardi en conférence de presse le conseiller d'Etat Mathias Reynard. Et "la violence est un comportement que l'on peut désapprendre", ajoute celui qui est en charge du département de la santé, des affaires sociales et de la culture.

Pour contrer "ce problème systémique", le Conseil d'Etat a transmis au parlement un projet de révision partielle de la loi sur les violences domestiques qui s'engage à apporter de l'aide à toutes les personnes concernées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Nurissa propose un label santé et écoresponsable pour ses snacks

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Les snacks vendus par Nurissa dans les distributeurs en entreprise sont désormais labellisés. (© KEYSTONE/EPA/LAWRENCE LOOI (STF))

Des labels de qualité pour les snacks et les boissons des distributeurs: à la demande des entreprises clientes, la société biennoise Nurissa propose un système d'étiquetage incitant le consommateur à se restaurer de façon "plus responsable".

L'initiative émane des clients, soucieux de répondre à leur cahier des charges en matière de durabilité et de santé, a expliqué mardi devant les médias à Bienne Joël Pauli, le directeur de Nurissa, société qui fournit snacks et boissons dans quelque 5000 entreprises de tout le pays.

Le concurrent de Selecta a mandaté la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires (HAFL) bernoise pour élaborer un concept d'évaluation des snacks et boissons froides pour 130 produits. Résultat: 42% obtiennent le label santé "Nuri health" et 52% la caution environnement "Nuri planet".

Parmi les critères de ce qui s'apparente à un Nutriscore figurent la teneur en sucre et en sel, celle en huiles végétales "saines" ou en protéines, l'impact sur la déforestation (mauvais points pour les snacks chocolatés), la valeur ajoutée locale, l'origine des ingrédients... L'ensemble débouche sur des bonus et des malus dont la différence, au final, décide de l'octroi de deux labels, d'un seul ou d'aucun.

"Souvent, les produits qui marchent le mieux sont aussi les moins sains ou les moins 'durables'", reconnaît Joël Pauli. L'idée n'est pas de les remplacer mais d'inciter progressivement les consommateurs - puisque tel est le voeu des entreprises où sont installés les distributeurs - à faire davantage attention à la qualité de leurs en-cas.

A noter que les scores déterminant les labels ne sont pas des valeurs absolues mais résultent d'une comparaison avec un assortiment témoin.

Coup dur pour le chocolat

Un coup de pouce des entreprises clientes est envisagé, qui sont appelées à subventionner, à hauteur par exemple de 50 centimes, les produits labellisés, souvent plus chers à la base.

Concrètement, les produits qui n'obtiennent pas grâce aux yeux de la HAFL sont les boissons sucrées style Coca-Cola classique ou Fanta ainsi que toutes les barres ou snacks chocolatés (zéro label). En revanche, les petits paquets de pommes séchées, le thé froid bio ou même les chips (certes très salées mais sans impact environnemental) sont labellisés et clairement identifiées comme telles sur les distributeurs. "Notre assortiment est évolutif", a encore souligné Joël Pauli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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