Suisse
Jusqu'à deux mois d'attente pour obtenir un Swisspass
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Les clients doivent s'armer de patience pour obtenir une carte Swisspass. En raison d'une pénurie de puces électroniques, l'attente peut durer jusqu'à deux mois. Ce problème pourrait concerner jusqu'à 50'000 clients de l'abonnement des transports publics.
Les personnes les plus concernées sont les nouveaux clients et ceux à qui il faut remplacer l'abonnement, a indiqué samedi un porte-parole de l'Alliance Swisspass à Keystone-ATS, confirmant une information du Tages-Anzeiger. Mais il existe une solution de transition sur papier.
Le problème touche environ 1% de l'ensemble des détenteurs d'abonnement. Le Swisspass est particulièrement touché parce que deux semi-conducteurs y sont intégrés. Normalement, le délai d'attente est de sept à quinze jours.
Amélioration attendue début 2023
Les problèmes de livraison se sont aggravés l'été dernier. L'Alliance Swisspass estime que la situation devrait se détendre au début de l'année prochaine.
Le Swisspass a remplacé en 2015 l'abonnement général et le demi-tarif. L'Alliance SwissPass regroupe 250 entreprises de transport et 17 communautés tarifaires. Outre les transports publics, la carte permet d'utiliser des services partenaires, comme pour accéder à du car sharing ou charger des abonnements de ski.
Selon le porte-parole de l'Alliance Swisspass, près de trois millions d'abonnements demi-tarif et 430'000 abonnements généraux sont actuellement en circulation.
Pénurie
Les semi-conducteurs se trouvent dans presque tous les produits électroniques, par exemple dans des cartes, mais aussi dans les smartphones, les ordinateurs, les voitures ou encore les appareils médicaux.
Durant la pandémie de coronavirus, une pénurie avait provoqué des hausses de prix et des problèmes dans les chaînes de livraison. Les capacités de production se trouvent principalement à Taïwan.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le climat de consommation toujours faible en octobre
Les consommateurs restent d'humeur morose en Suisse. L'indice du climat à la consommation s'est établi à -36,9 points le mois dernier, contre -36,5 points en septembre et -37,0 points en octobre 2024, rapporte vendredi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).
La légère baisse sur un an est imputable au sous-indice "situation économique générale à venir", qui a reculé de 19 points à -49,1 points.
La "situation financière passée, celle "à venir" et les "grandes acquisitions" ont par contre fait mieux. La première est affichée à -40,7 points contre -52,8. La seconde est passée de -33,6 points à -32,2, et la troisième de -31,5 à -25,7 points.
Pour calculer ces indices, le Seco a sondé le mois dernier 2736 personnes âgées d'au moins 16 ans. L'enquête se déroule en continu et est réalisée en ligne, précise le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Culture
Première mondiale à Genève de la série suisse La linea della palma
La série suisse "La Linea della palma" de Fulvio Bernasconi a été présentée en première mondiale jeudi soir au Festival international du film de Genève (GIFF). Keystone-ATS s'est entretenu avec le réalisateur tessinois.
La série raconte l'histoire d'une journaliste, Anna, qui mène l'enquête après avoir découvert les liens de son père avec un tableau volé en 1969. Il s'agit du tableau de la "Nativité", du Caravage, qui a réellement été dérobé dans l'oratoire San Lorenzo de Palerme en Sicile.
Anna, dont le rôle est campé par l'actrice italienne Gaia Messerklinger, va au long des épisodes tenter de résoudre la disparition de cette oeuvre ainsi que celle de son père. Une entreprise non sans risque, la mafia sicilienne étant liée à l'affaire.
Scènes de tournage à Lugano
Le fameux tableau serait passé par Lugano dans la série. "Il s'agit bien sûr d'une hypothèse", explique Fulvio Bernasconi. Le Tessinois a réalisé les six épisodes de la série écrite par Thomas Ritter, Maria Roselli et Mattia Lento.
La ville tessinoise - dont M. Bernasconi, aujourd'hui basé à Genève, est originaire - a été le théâtre d'une grande partie du tournage. Une expérience que le réalisateur décrit comme "agréable et amusante". Sur les 66 jours de tournage, 55 ont eu lieu au Tessin. La série se déroule également en Sicile, à Milan et à Côme.
Profondeur des personnages
M. Bernasconi, qui a réalisé de nombreux documentaires et films de fiction, est très attaché au développement des personnages complexes et réalistes. Le format de la série a permis "plus de profondeur dans l'étude et le dévoilement des personnages".
Anna en particulier présente une certaine dualité de par son rôle de journaliste et son histoire personnelle. "Ce conflit psychologique, voire éthique, traverse et, à mon avis, structure sémantiquement toute la série", souligne le réalisateur.
Cette tension se traduit à l'écran par des astuces techniques comme un retournement de la caméra lorsque dès le premier épisode Anna apprend que son père disparu depuis plus de 30 ans a été retrouvé mort.
Recherche de la vérité
Pour le Tessinois, la recherche de la vérité constitue le thème profond de la série. Cette vérité a un "pouvoir, disons salvateur, thaumaturgique", déclare-t-il. Avec son passé de documentariste, M. Bernasconi cherche constamment à "mettre en scène une image du monde réaliste".
Ces dernières années, il s'est surtout consacré aux séries, parmi lesquelles "Quartier des Banques", qui a connu un grand succès. "C'est peut-être un peu triste à dire, mais les séries aujourd'hui sont peut-être plus importantes que le cinéma, car elles touchent plus de monde".
Des acteurs tessinois dans la distribution
Côté distribution, on trouve outre l'italienne Gaia Messerklinger, la germano-suisse Esther Gemsch ainsi que sept acteurs tessinois dans les rôles secondaires.
La série est produite par Hugofilm Features, basée à Zurich. RSI, Arte, Indiana Production, basée à Milan et Central Productions, basée à Lugano sont coproducteurs. Le but est de faire voyager la série hors des frontières, en tout cas en France et en Allemagne grâce à Arte.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Déjà sise à Zurich, Anthropic ouvre des bureaux à Paris et Munich
La start-up américaine d'intelligence artificielle (IA) Anthropic a annoncé vendredi l'ouverture de bureaux à Paris et à Munich en Allemagne, renforçant sa présence en Europe devant la demande croissante des entreprises pour les technologies d'IA générative.
L'entreprise à l'origine du modèle d'IA Claude, l'un des principaux rivaux de ChatGPT, a indiqué son intention d'agrandir ses équipes en recrutant des talents localement dans le cadre de cette "expansion majeure de ses opérations européennes", selon un communiqué.
"Avec une équipe de direction plus grande, plus diversifiée et hautement spécialisée, nous redoublons d'efforts pour une croissance soutenue dans la région Europe Moyen-Orient et Afrique (EMEA)", a déclaré la société.
Déjà présente à Dublin, Londres et Zurich, Anthropic avait annoncé en juin à l'AFP vouloir recruter une centaine de personnes en Europe, notamment pour renforcer ses capacités de recherche et de développement.
Anthropic assure faire face à une demande croissante pour ses services, le taux de croissance de son chiffre d'affaires annualisé ayant "été multiplié par neuf" dans la région EMEA, sans donner de chiffre précis.
L'entreprise compte déjà parmi ses clients de grandes sociétés françaises comme Sanofi et L'Oréal.
En France, elle rejoint un écosystème IA déjà dense avec la pépite française Mistral AI, la start-up canadienne Cohere qui a ouvert son antenne parisienne en septembre et son rival américain OpenAI qui s'est installé à Paris il y a un an.
Basée à San Francisco, Anthropic a une valorisation de 183 milliards de dollars (148 milliards de francs) et revendique 300'000 clients professionnels.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
Mudac à Lausanne: la tapisserie comme manifeste politique et social
Le mudac et la Fondation Toms Pauli présentent "Tisser son temps". Cette exposition, consacrée à la tapisserie comme "vecteur de discours sociaux et politiques", confronte oeuvres anciennes et contemporaines. A découvrir dès vendredi et jusqu'au 8 mars.
La tapisserie a toujours été un puissant outil de narration et de témoignage. De l'époque médiévale aux créations contemporaines, elle incarne un espace de dialogue entre les aspirations collectives, les récits historiques et les enjeux actuels.
"Tisser son temps" réunit 23 oeuvres monumentales. Elle confronte trois corpus, deux contemporains et un historique, ce dernier issu de l'importante collection Toms Pauli, a relaté Marco Costantini, directeur du mudac.
Propagande d'alors
Ces tapisseries flamandes, tissées entre 1660 et 1725 dans les principaux ateliers bruxellois, illustrent les grands thèmes de l'histoire de la tapisserie: Histoire de Scipion l'Africain, celle des empereurs Titus et Vespasien et L'art de la guerre, a poursuivi Magali Junet, directrice de la Fondations Toms Pauli.
Ces batailles légendaires et mythiques de l'Antiquité romaine et du siècle de Louis XIV constituaient "la propagande d'alors". Elles sont exceptionnelles par leur composition, la finesse de leur tissage et leur taille monumentale. Deux d'entre elles sont montrées pour la première fois au public, a souligné M. Costantini.
Critiques acerbes
Les créations contemporaines signées Goshka Macuga et Grayson Perry répondent avec force et intérêt à ces tapisseries historiques. Leurs séries telles "Of what is, that it is, of what is not, that it is not" de l'artiste polonaise et "The Vanity of Small Differences" de l'artiste britannique, sont des critiques acerbes de la société de consommation, de la globalisation, des représentations des enjeux de pouvoirs politiques, sociétaux, mais aussi culturels.
Pour l'exposition, Goshka Macuga a notamment créé une tapisserie répondant à l'historique Arche de Noé également présentée dans l'exposition. Elle a imaginé une scène tissée de proche fin du monde, un temps suspendu entre menace nucléaire et tsunami vengeur. Intitulée "Ark of No", cette tapisserie a valeur de constat, de mise en garde et de déclaration universelle, en référence aux actuels cataclysmes socio-politiques internationaux.
Drames banals
Les tapisseries de Grayson Perry s'inspirent, elles, d'une forme d'art traditionnellement associée aux hautes sphères de la société - représentations de mythes classiques, scènes historiques et religieuses, batailles épiques. Elles jouent avec l'idée d'utiliser cet art allégorique ancien pour rehausser les drames banals de la vie britannique moderne. La politique, le consumérisme, l'histoire et l'histoire de l’art sont liés à l'oeuvre (sujet et support).
Cette confrontation d'oeuvres anciennes et contemporaines met en lumière la force intemporelle de la tapisserie: un langage visuel capable de transmettre des messages complexes et de favoriser la réflexion sur des questions universelles.
www.mudac.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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