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Économie

La BNS a accéléré ses interventions sur le marché des devises

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A la fin de l'année dernière, la banque centrale helvétique était ainsi intervenue à hauteur de 8,7 milliards pour protéger la devise nationale d'un renchérissement trop important dans le contexte de la pandémie de coronavirus (archives). (© KEYSTONE/MARCEL BIERI)

La Banque nationale suisse (BNS) est de nouveau intervenue sur les marchés pour protéger le franc. Entre avril et fin juin, ses interventions sur le marché des devises se sont élevées à 5,44 milliards de francs.

C'est nettement plus que les 296 millions de francs investis au premier trimestre. Mais le volume des interventions varie fortement. A la fin de l'année dernière, la banque centrale helvétique était ainsi intervenue à hauteur de 8,7 milliards pour protéger la devise nationale d'un renchérissement trop important dans le contexte de la pandémie de coronavirus.

Dans le contexte de la crise mondiale provoquée par le Covid-19, elle avait acheté des devises étrangères pour 110 milliards de francs sur l'ensemble de 2020.

La BNS clame régulièrement que le franc, valeur refuge prisée par les investisseurs, est trop cher. Lors de sa dernière annonce de politique monétaire le 23 septembre, elle avait rappelé rester "disposée à intervenir au besoin sur le marché des changes afin d'atténuer les pressions à la hausse" sur la monnaie nationale. Pour la banque centrale, la monnaie helvétique reste en effet à "un niveau élevé".

Depuis le début de l'année, le franc s'est raffermi vis-à-vis de l'euro, ce qui renchérit les produits helvétiques exportés vers la zone euro. Alors qu'il s'était relâché jusqu'à 1,1152 franc pour un euro début mars, la monnaie suisse s'est depuis nettement renchérie, atteignant 1,0696 EUR/CHF mi-août en pleine vague estivale de coronavirus et de propagation du variant Delta.

Actuellement, la paire de devises se négocie à 1,0840 franc pour un euro.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget

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Le crédit de 6 milliards pour l'achat des nouveaux avions de combat voté par la population sera respecté (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget

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Le crédit de 6 milliards pour l'achat des nouveaux avions de combat voté par la population sera respecté (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence

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L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/MICHAEL SOHN)

L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.

"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.

Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Hausse des frais et disponibilité en baisse après la fusion CS-UBS

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Des adaptations ponctuelles des procédures de contrôle des concentrations sont jugées nécessaires (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La fusion entre les deux plus grandes banques du pays Credit Suisse et UBS a érodé la compétitivité dans certains segments de marché. Le Conseil fédéral ne constate pourtant "aucun effet négatif généralisé sur la concurrence", selon un rapport publié vendredi.

Une étude de BAK Economics réalisée sur mandat du Secrétariat à l'économie (Seco) montre que la fusion UBS-CS a érodé la compétitivité dans certains domaines, précise le document. La fusion s'est en effet traduite par une diminution de la concurrence dans les crédits aux entreprises d'un montant important, les financements syndiqués structurés, les émissions d'emprunts en francs suisses et la conservation globale de titres.

"Aucun effet négatif généralisé n'a pu cependant être constaté sur les prix, les marges ou les positions de négociation; plus précisément, les effets observés ne peuvent être mis sur le compte de la fusion de manière univoque", écrit le Conseil fédéral.

Le gouvernement estime toutefois nécessaire d'adapter les procédures de contrôle des concentrations. Cela vaut en premier lieu pour la procédure applicable lorsque l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) se substitue à la Commission de la concurrence (Comco) dans le cadre de fusions bancaires. Le Conseil fédéral examinera dans quelle mesure la coopération entre les deux organes de surveillance peut être améliorée dans le cadre de l'entraide administrative.

Le Conseil fédéral juge inopportune l'introduction de l'instrument de l'enquête sectorielle dans le droit suisse de la concurrence, dont l'examen a été expressément souhaité par le Conseil national. Cela augmenterait la charge administrative et l'insécurité juridique pour les entreprises.

Le rapport publié vendredi fait suite au postulat 23.3444 "Fusion UBS-CS. Évaluation de l'importance du point de vue du droit de la concurrence et de l'économie nationale" déposé le 4 avril 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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