Culture
L'écrivain genevois Joël Dicker donne un nom à sa maison d'édition
La maison d'édition de l'écrivain genevois Joël Dicker s'appellera Rosie & Wolfe (R&W). Elle ne publiera pas que les livres du trentenaire, mais aussi ceux d'autres auteurs: "ce n'est pas de l'autoédition".
Joël Dicker avait annoncé son départ des Editions de Fallois et le lancement de sa maison d'édition au printemps dernier. "J'ai décidé d'appeler cette maison Rosie & Wolfe et cela a deux sens. D'abord le sens affectif, le R vient de Rosina, le prénom d'une dame qui a beaucoup compté pour moi, et qui m'a mis sur le chemin de la lecture. Et Wolfe, du nom de mon grand-père, qui est celui qui m'a donné envie d'écrire", a-t-il annoncé mercredi soir sur les réseaux sociaux.
Rosie & Wolfe, c'est aussi R&W: en anglais, pour "read and write", lire et écrire. Le Genevois s'adresse ainsi à ses lecteurs dans le monde entier.
"C'est un projet autour de la littérature évidemment, mais de la littérature comme moyen de nous retrouver, de nous lier, de nous rencontrer, la littérature comme élément fédérateur", explique encore le Genevois, qui travaille à son prochain roman.
L'écrivain a quitté les Editions de Fallois avec "beaucoup d’émotion" après dix années passées dans cette maison, et trois ans après la disparition de Bernard de Fallois, "à qui je dois tout". La nouvelle maison d'édition R&W devrait voir le jour le 1er janvier 2022.
La diffusion et la distribution de cette nouvelle structure sera du ressort d'Interforum, filiale du Groupe Editis (groupe Vivendi), basée à Givisiez (FR).
Joël Dicker, un des plus lus en France
Joël Dicker est l'un des auteurs les plus lus en France. Il arrive en 2020 en 5e position derrière Guillaume Musso, Virginie Grimaldi, Michel Bussi et Franck Thilliez, selon des chiffres de l'institut de sondage GfK.
L'Enigme de la chambre 622, un roman policier, dont l'intrigue se déroule à Genève, est sorti en français en mai 2020. Il s’agissait du cinquième roman de l’auteur suisse.
En 2012, Joël Dicker avait fait un véritable carton avec La Vérité sur l'affaire Harry Quebert. Ce roman, qui s'inspire du thriller américain, a été vendu à près de 5 millions d’exemplaires dans 60 pays et traduit dans 40 langues. Il a été adapté en série télévisée et diffusée sur la chaîne française TF1 dès fin 2018.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Ciné au Palais: seize documentaires récents pour petits et grands
Pour sa 11e édition les 1er et 2 février, Ciné au Palais propose seize documentaires récents pour petits et grands. Les projections qui se déroulent au Palais de Rumine à Lausanne seront suivies par des rencontres avec leurs réalisateurs ou des spécialistes. L'entrée aux films et aux musées est gratuite.
Ciné au Palais propose de voyager dans le temps et dans l’espace, avec "Les mots qu'elles eurent un jour", un film qui raconte l'histoire de militantes indépendantistes algériennes. "L'extinction invisible", lui, décrit les efforts d'un groupe de scientifiques pour sauver la biodiversité microbienne.
Les spectateurs pourront également découvrir un documentaire très récent de Steven Spielberg, "La vie sur notre planète", une fresque des débuts de la vie aquatique. Ou rencontrer d'autres cultures dans "Marcher sur l’eau" et s'émerveiller devant "Le Chêne" et son casting d'animaux extraordinaires. Quant au film d’animation "Four Faces of the moon", il permettra de découvrir l'histoire coloniale du Canada.
Ciné au Palais est un week-end de documentaires et de rencontres sur des sujets en lien avec la nature, l'histoire ou des débats de société. Cet événement annuel est organisé le premier week-end de février par le Naturéum, le Musée cantonal d’archéologie et d’histoire et la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne.
cineaupalais.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La 13e édition d'Art Genève investit Palexpo dès jeudi
La 13e édition d'Art Genève se déploiera à Palexpo de jeudi à dimanche prochain. Au total, 81 galeries internationales d'art moderne et contemporain exposeront leurs oeuvres. A découvrir également: 22 projets institutionnels.
Parmi les nouvelles institutions suisses présentes à Art Genève figurent le Kunst Museum Winterthur, le MASI Lugano, le Musée des Beaux-Arts Le Locle (MBAL), la Fondation Plaza, la Fondation Gandur pour l'Art, la Fondation Opale et le Centre d'Art de Bienne. Ces institutions présentent des projets faisant écho à leurs programmations respectives.
Genève est représentée à ce salon par le biais du MAMCO et du Centre d'Art Contemporain Genève. Le Musée d'art et d'histoire (MAH) présentera en parallèle une grande exposition dédiée à l'artiste Carole Bove. Les Fonds cantonaux et municipaux proposeront aussi différentes ½uvres.
Une louche géante
La programmation accentue aussi son envergure internationale, relèvent les organisateurs. La Cranford Collection de Londres présentera une exposition intitulée "Crash". La Fondation CAB de Bruxelles et Saint-Paul-de-Vence proposera des oeuvres de son artiste en résidence Nicolas Chardon, et la Collection Scharf-Gerstenberg de Berlin propose une projection sur le travail de Goya.
Lancée en 2024, la section solo rassemble cette année quatorze galeries. Art Genève dévoile aussi la deuxième édition de "Sur-mesure", une plateforme dédiée aux oeuvres grand format. La nourriture a été retenue comme thème principal. Six oeuvres vidéo projetées en boucle et une sculpture géante d'une louche et d'une cuillère sont à voir.
Musique en immersion
Art Genève propose aussi un volet musical. L'Orchestre de la Suisse romande (OSR) présentera ainsi la première application mobile grand public de réalité virtuelle permettant une immersion au c½ur d'un orchestre symphonique.
Et en marge du salon, des performances musicales intitulées "WOLFTONES" se dérouleront au Grand Théâtre de Genève. Il s'agit d'explorer le phénomène dit "du loup", un parasite acoustique présent notamment chez certains instruments à cordes.
www.artgeneve.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'actrice d'"Emilia Pérez" dénonce une "haine terrible"
L'Espagnole Karla Sofia Gascon, nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans "Emilia Pérez", a dénoncé vendredi la "haine terrible" la visant en raison de sa transidentité. Dans le film, elle tient le rôle d'un trafiquant drogue qui change de sexe.
"Je vais me mettre à pleurer, mais c'est vraiment moche. C'est toujours la même chose, non?", a déploré l'Espagnole lors d'une conférence de presse en Uruguay à l'occasion du festival international du film José Ignacio (JIIFF).
"On fait face à une haine terrible juste parce qu'on fait un film, qu'on est différent, même si je ne me considère pas différente de qui que ce soit, mais égale à tout le monde, aussi différente que tout le monde, parce qu'il n'y a personne de pareil", a regretté l'actrice.
Première transgenre nommée
Le film du Français Jacques Audiard, odyssée musicale sur la transition de genre d'un trafiquant de drogue mexicain, a récolté 13 nominations aux plus prestigieux prix du cinéma, faisant de lui la production non anglophone la plus nommée de tous les temps.
Karla Sofia Gascon est devenue la première comédienne ouvertement transgenre nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice. La cérémonie doit avoir lieu le 2 mars. "Ils [ses détracteurs] sont allés jusque dans mon village pour voir s'ils se souvenaient de moi", a raconté l'actrice.
"Ce sont des bêtises, parce que cela fait 30 ans et quelques que je n'y suis plus allée. Il y en aura toujours un pour dire: 'Oh, oui, je me souviens qu'il jouait au football'. Menteurs!", a-t-elle dénoncé, fustigeant ceux qui prétendent savoir "seulement pour passer à la télévision".
Karla Sofia Gascon avait joué dans de nombreuses séries (telenovelas) mexicaines avant d'annoncer sa transition de genre en 2018. Dans "Emilia Pérez", elle tient le rôle d'un trafiquant drogue, à la fois avant et après son changement.
L'ensemble des actrices du film a reçu le prix d'interprétation féminine au festival de Cannes 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Rougemont: une salle de concert et un musée pourraient voir le jour
Un projet culturel d'envergure pourrait voir le jour à Rougemont. Soutenu par un investisseur privé, il prévoit une salle de concert et un musée. Une task force des cantons de Vaud et de Berne a été créée, Gstaad nourrissant une intention similaire.
"Le projet a été lancé à la suite d'une demande des autorités communales et cantonales qui souhaitaient lutter contre la désertification du Pays d'Enhaut", explique à Keystone-ATS Ermes Elsener, directeur de l'hôtel-restaurant Valrose à Rougemont et chef du projet. Il revenait sur une information du "Anzeiger von Saanen", reprise par d'autres médias.
La Municipalité a approché Yann Guyonvarc'h, homme d'affaires et propriétaire du Valrose à Rougemont. Entrepreneur passionné par les nouvelles technologies, "ce Franco-Suisse est amoureux de la région. Amateur d'art et de musique, il souhaite aider ce projet à se réaliser", glisse M. Elsener.
Tunnel et souterrain
Dans le détail, le projet prévoit une ambitieuse construction en souterrain, sur la parcelle entre la route cantonale et le parking de la Videmanette, sur une surface d'environ 26'000 m2. Avantage, notamment en hiver, un tunnel devrait relier le centre culturel directement à la gare du Montreux-Oberland bernois (MOB).
La salle philharmonique pourrait accueillir entre 1200 et 1500 spectateurs. Quant au musée, il accueillerait des collections d'oeuvres impressionnistes. "Pour le Pays-d'Enhaut, cette institution pourrait devenir le pendant de la Fondation Giannada à Martigny", illustre M. Elsener.
D'autres infrastructures pourraient suivre, comme un hôtel cinq étoiles ou des logements pour environ 200 nouveaux collaborateurs. D'un montant estimé à environ 100 millions, le projet serait entièrement financé de manière privée.
Vaud ou Berne
Les premiers plans ont été réalisés et présentés aux parties. "Les échos sont très positifs que ce soit de la commune, du canton ou du MOB", se réjouit le chef de projet. "Mais tout est encore ouvert", précise-t-il. Parmi les difficultés, le responsable a mentionné le dézonage du terrain qui se situe en terrain agricole.
Autre obstacle, un projet similaire mené par le Conseil de fondation du Gstaad Concert Hall à quelque huit kilomètres de là. Il prévoit une nouvelle salle de concert de 1200 places afin de remplacer l'actuel chapiteau de 1800 places. A ce stade, "nous en sommes au même point", souligne M. Elsener. "Aucun des deux projets n'a reçu d'autorisation de la part de son canton respectif".
Interrogé sur la concurrence entre les deux propositions, Ernes Elsener préfère évoquer "une alternative". Selon lui, "mieux vaut avoir deux projets qu'aucun. Les deux cantons concernés ont créé une task force. Nous attendons leur réponse".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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