Suisse
Les aînés victimes de violence doivent demander de l'aide
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Plus de 300'000 personnes âgées de plus de 60 ans en Suisse sont victimes chaque année d'une certaine forme de violence, mais peu d'entre elles demandent de l'aide, constate Pro Senectute. Or les soutiens ne manquent pas, précise l'organisation lundi.
Pro Senectute explique cette discrétion par plusieurs raisons. Les uns ont honte de leur situation. D'autres craignent les conséquences, par exemple d'être placés en EMS. D'autres encore ne savent pas à qui s'adresser. Avec les différentes autorités concernées, Pro Senectute a donc lancé une campagne nationale de prévention ce mois "Vieillesse sans Violence".
Les offres d'aide ne manquent pas, ne serait-ce qu'à travers les plus de 100 bureaux de consultation de Pro Senectute dans toute la Suisse, écrit l'association. On y prend en considération la situation dans son ensemble. Pro Senectute propose une aide de proximité aux victimes et cherche des solutions avec toutes les parties concernées, affirme-t-elle.
Selon Pro Senectute, les violences peuvent s'exercer consciemment mais aussi inconsciemment. Elles prennent dès lors des formes aussi diverses que les coups (violence physique), la soustraction d'argent ou l'exploitation (violence financière), le viol ou le harcèlement (violence sexuelle) et enfin l'humiliation, les menaces, l'isolement (violences psychologiques).
Deux fois plus de cas
En dix ans, le nombre de cas de maltraitance et d'abus signalés envers les personnes âgées a doublé en Suisse, révélait en 2021 Pro Senectute. Sachant que par peur ou par honte, seule une fraction des victimes dénonce ces délits aux autorités, Pro Senectute en conclut que près d'une personne retraitée sur trois en Suisse a été victime au moins une fois de maltraitance et d'abus sous une forme ou une autre.
Pro Senectute est la plus grande et la plus importante organisation spécialisée dans les questions liées à la vieillesse et proposant des prestations aux personnes âgées et à leurs proches en Suisse. Elle conseille gratuitement les seniors dans plus de 130 bureaux de consultation et leur propose toutes sortes de prestations. Forts de 1800 collaboratrices et collaborateurs et 18'400 bénévoles, Pro Senectute offre ses services à quelque 700'000 personnes retraitées et leurs proches.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les salariés dans la restauration veulent sortir des bas salaires
Meilleurs salaires, améliorations dans l'équilibre entre vie privée et travail et mesures contre le harcèlement sexuel et moral: telles sont les revendications des salariés de l'hôtellerie-restauration en vue du renouvellement de la convention collective de travail.
La convention collective nationale de travail (CCNT) sera négociée ce mois. Elle règle les salaires de plus de 250'000 salariés de la restauration, de l’hôtellerie et de la livraison de repas.
Dans ce contexte, l’organisation Hotel & Gastro Union et les syndicats Unia et Syna ont présenté lundi leurs revendications. Objectif principal: sortir des bas salaires. Le salaire minimum le plus bas est d’environ 3700 francs. Le salaire médian des employés sans fonction de cadre est de 4335 francs.
Concrètement, les organisations des travailleurs demandent une compensation automatique du renchérissement sur les salaires minimums et une augmentation réelle des salaires effectifs. "L’objectif est que les salariés titulaires d’un CFC ou d’un diplôme équivalent gagnent au moins 5000 francs", souligne Véronique Polito, vice-présidente du syndicat Unia.
Rendre le métier attractif
Hotel & Gastro Union et les syndicats demandent aussi que les employeurs participent davantage à la formation continue. La convention permet déjà de financer un vaste éventail d'offres, mais aujourd’hui, les salariés contribuent à 90% au financement de ces coûts.
Les associations demandent en outre une réduction de la durée de travail hebdomadaire qui, selon le type d’établissement, est actuellement de 42, 43,5 ou 45 heures. Une meilleure planification des jours de congé, l'élargissement du congé maternité ou plus de flexibilité pour le retour au travail permettrait de mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Des mesures de protection contre le harcèlement sexuel sont aussi exigées.
Les partenaires sociaux sont parvenus à un accord sur les salaires minimaux pour les années 2026 et 2027. Ils entendent négocier jusqu'à fin 2026. L'objectif est que la nouvelle CCNT puisse entrer en vigueur au 1er janvier 2028. L'actuelle convention date de 2017.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les Suisses et Suissesses ont et veulent moins d'enfants
En 2024, le nombre moyen d'enfants par femme en Suisse était de 1,29. Il s'agit du niveau le plus bas depuis le début des relevés, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Le désir d'enfants est aussi en baisse.
La part des 20-29 ans qui ne veulent pas d'enfants est passée de 6% en 2013 à 17% en 2023. Chez les 30-39 ans, ce taux est passé de 9% à 16%. L'OFS relève toutefois dans son communiqué que le désir d'avoir deux enfants reste le plus répandu.
De nombreux facteurs influencent la décision d'avoir un enfant. Toutefois, le partage des tâches domestiques et la répartition de la garde entre les parents ont considérablement gagné en importance au cours des dernières années, relève l'OFS.
Entre 2019 et 2024, ce sont les naissances de troisième enfant qui ont le plus baissé (-13,6%). Les premières et deuxièmes naissances ont reculé respectivement de 8,5% et 9%. Les Suissesses ont des enfants toujours plus tard.
Au cours des dix dernières années, la fécondité des femmes de 35 à 39 ans a été supérieure à celle des femmes de 25 à 29 ans. En 2024, l'âge moyen des mères à la première naissance était de 31,3 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Une activiste afro-brésilienne lauréate du Prix Martin Ennals
Une activiste afro-brésilienne contre les violences policières, Ana Paula Gomes de Oliveira, est lauréate cette année du Prix Martin Ennals à Genève. Elle recevra sa récompense le 26 novembre, a affirmé lundi la Fondation qui pilote ce Nobel des droits humains.
Mme de Oliveira a cofondé le collectif "Les Mères Manguinhos" après le meurtre de son fils de 19 ans dans une favela, abattu dans le dos par un policier militaire alors qu'il rentrait de chez sa petite amie. Elle "a tant donné, après avoir tant perdu", affirme le président du jury Hans Thoolen.
Et d'ajouter que "la violence raciste qui sévit dans les rues du Brésil mérite toute l'attention du gouvernement fédéral et de la communauté internationale". L'approche de la police contre les narco-trafiquants, qui fait souvent des dizaines de tués, provoque régulièrement la réprobation de l'ONU.
Outre Mme de Oliveira, une étudiante ougandaise qui lutte contre la corruption a été finaliste du prix cette année. Tout comme une militante tunisienne des droits humains toujours détenue arbitrairement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Roche revendique des succès cliniques contre la sclérose en plaques
La multinationale pharmaceutique Roche assure avoir observé une concrétisation du critère primaire établi pour le premier des deux programmes cliniques avancés sur le médicament fénébrutinib, développé contre la sclérose en plaques, baptisé Fenhance 2.
L'administration de la substance sur au moins 96 semaines a permis de réduire de manière sensible le taux annualisé de récidive de la maladie par rapport à un traitement au tériflunomide.
Le fénébrutinib a par ailleurs démontré une non-infériorité à l'Ocrevus (ocrélizumab) de Roche en matière de ralentissement de la forme primaire-progressive de la maladie dans le cadre du programme Fentrepid, indique un communiqué diffusé lundi.
Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des données quantifiées, Roche promet de détailler les résultats de ces programmes de recherche à l'occasion de prochains congrès médicaux, une fois disponibles les conclusions du volet Fenhance 1 d'ici à la fin de l'an prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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