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Suisse

Maintenir le paiement en espèces dans les transports publics

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Le texte demande que les entreprises de transports publics subventionnées acceptent comme moyen de paiement l'argent liquide ou "un autre moyen simple ne nécessitant pas non plus de téléphone portable", comme une carte prépayée (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les entreprises de transports subventionnées devraient être tenues d'accepter les paiements en argent liquide. Le Conseil des Etats a tacitement transmis lundi au Conseil fédéral une motion du National en ce sens.

Au vu de la pression sur les coûts, les entreprises de transports publics peuvent être tentées d'abandonner les automates à monnaies ou les caisses à bord des véhicules, déplore le texte. Le fossé numérique risque de se creuser encore plus au sein de la population.

Selon le texte, les entreprises doivent accepter comme moyen de paiement l'argent liquide ou "un autre moyen simple ne nécessitant pas non plus de téléphone portable", comme une carte prépayée, a expliqué Andrea Gmür-Schönenberger (C/LU) pour la commission. La loi oblige que les paiements en espèces soient acceptés sans limitation de la somme, rappelle-t-elle.

Le Conseil fédéral soutenait la motion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Le National veut renforcer la FINMA

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Le National a soutenu mardi un renforcement de la FINMA suite à l'affaire Credit Suisse. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter est d'accord avec la mesure. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La régulation en matière de fonds propres des grandes banques doit être revue et le rôle de la FINMA renforcé. Le Conseil national a soutenu mardi toutes les mesures proposées par la commission d'enquête parlementaire (CEP) sur la débâcle de Credit Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Pas de suspension des contributions suisses à l'UNRWA

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Le soutien suisse à l'UNRWA divise le Parlement depuis que de potentiels liens entre l'agence onusienne et des organisations terroristes ont été évoqués (archives). (© KEYSTONE/AP/HASSAN ESLAIAH)

La Suisse ne suspendra pas immédiatement ses contributions à l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Contrairement au National, le Conseil des Etats a refusé mardi, par 25 voix contre 19, une motion UDC en ce sens.

Le conseiller national David Zuberbühler (UDC/AR) demandait l'arrêt immédiat du soutien financier helvétique, actuel et futur. L'UNRWA est une base idéale pour le Hamas, a critiqué Hannes Germann (UDC/SH) pour la commission.

La Suisse ne doit pas soutenir financièrement une telle organisation, qui est de surcroît "peu ou pas efficace" selon lui. Plusieurs orateurs ont estimé que d'autres organisations pourraient effectuer les tâches de l'UNRWA, comme le CICR, le Programme alimentaire mondial ou le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.

Rappelant les activités de l'agence dans les domaines de la santé, de l'éducation ou de l'aide d'urgence, ainsi que l'ampleur de ce travail, Isabelle Chassot (Centre/FR) a au contraire jugé qu'aucune autre organisation ne peut à court terme reprendre le rôle de l'UNRWA. "Il ne s'agit pas de l'UNRWA, du Hamas ou d'Israël, mais de la protection de la population civile, très durement éprouvée", a-t-elle déclaré, demandant de leur assurer un accès à l'aide humanitaire jusqu'à ce qu'une solution alternative ait été trouvée.

Remplacer l'UNRWA

Elle a eu gain de cause. Justement, le Conseil des Etats a accepté une autre motion du National, par 24 voix contre 20. Le Conseil fédéral est chargé de s'engager auprès de la communauté internationale en faveur d'une solution pour remplacer l'UNRWA.

Cette agence a été conçue dans une optique temporaire, jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée, a rappelé le rapporteur de commission Matthias Michel (PLR/ZG). Comme le conflit n'est toujours pas résolu, il faut trouver une solution durable, a-t-il plaidé, demandant une organisation "crédible" et qui ne soit pas prise à partie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

La Ville de Lausanne adapte l'aménagement de la Place de l’Europe:

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La Ville de Lausanne adapte l'aménagement de la place de l'Europe, suite à l'évolution du projet du m3 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Ville de Lausanne ajuste le projet de réaménagement de la Place de l'Europe en raison de l’abandon de la station du métro m3 au Flon. Les travaux devront être achevés dans le courant du second trimestre 2026 avant la mise en service du tram.

Les travaux de réaménagement ne visent plus la coordination avec l’arrivée du m3. Compte tenu de ce nouveau calendrier, la stratégie d’un aménagement en deux-temps initialement prévue n’est plus envisageable et doit être abandonnée au profit d’une réalisation plus pérenne, explique la Ville mardi dans un communiqué.

L’avant-projet s’appuie sur les orientations du concours d’idées organisé en 2022. Il vise à intégrer harmonieusement la nouvelle interface du tram tout en optimisant la gestion des flux des usagers.

"La mise en service du tram en 2026 représente une avancée majeure pour l’accessibilité au centre-ville. En intégrant plus de végétation et en repensant les espaces publics de la place de l’Europe, nous offrons aux usagères et usagers un lieu plus agréable et adapté aux défis de demain, tout en garantissant une interface de mobilité fluide et efficace", explique Florence Germond, conseillère municipale en charge des finances et de la mobilité, citée dans le communiqué.

L’aménagement privilégie un équilibre entre convivialité, accessibilité, fonctionnalité et végétalisation, offrant ainsi une place plus agréable et respectueuse de l’environnement. L’extension des talus verts existants donnera naissance à un vaste espace paysager semblable à un "jardin urbain".

À proximité de la station du tram, trois pins sylvestres rappelleront l’architecture végétale de la ligne. Des assises supplémentaires seront installées afin de créer des espaces de détente pour les utilisateurs des transports publics. Enfin, un revêtement de sol adapté permettra de garantir la durabilité de l’ensemble.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Deux tiers des Suisses ont déjà utilisé ChatGPT ou Gemini

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L'usage de l'IA générative se généralise, mais certains domaines comme la santé restent tabous (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA ../PHILIPP BRANDSTÄDTER)

Les chatbots de l'intelligence artificielle (IA) font de plus en plus d'émules. Selon un sondage de Comparis, deux tiers des Suissessess et des Suisses déclarent avoir déjà utilisé au moins une fois ChatGPT ou Gemini. L'an dernier, cette part approchait les 50%.

Les jeunes de 18 à 35 ans ont une longueur d'avance: 81% ont déjà eu recours à l'un des deux programmes, selon l'enquête du comparateur en ligne publiée mardi. Mais les 36-55 ans sont loin d'y être indifférents puisqu'ils sont 66% à l'avoir déjà expérimentée. La part des plus de 56 ans tombe à 35%.

Beaucoup utilisent les chatbots pour leur travail, par exemple pour créer des résumés, effectuer des calculs ou écrire du code. Mais c'est d'abord la recherche d'informations qui cartonne. Alors qu'en 2024, seuls 27% des utilisateurs de chatbots ont effectué des recherches sur ChatGPT ou d'autres outils d'IA, cette proportion est passée à 33% en 2025.

"ChatGPT pourrait s'imposer dans les recherches complexes avec des processus de réflexion, tandis que Google reste pour le moment en tête pour les recherches locales et transactionnelles", explique Jean-Claude Frick, expert numérique chez Comparis.

La santé, un domaine à part

Dans le domaine du e-commerce, 26% ont utilisé un chatbot. En revanche, l'utilisation de chatbots pour la recherche d'informations sur des plateformes vidéo telles que Youtube ou TikTok reste toujours faible. Leur part n'a que légèrement augmenté, passant de 16,6% en 2024 à 19,3% en 2025.

Par contre, la communication avec un chatbot reste taboue notamment pour les problèmes de santé. Ainsi, 58% des personnes interrogées déclarent ne vouloir en aucun cas confier à un chatbot des informations sur leurs problèmes de santé mentale.

Et 54% ne veulent en aucun cas divulguer leurs données personnelles afin que le chatbot puisse fonctionner en tant que conseiller de santé numérique interactif. Plus de la moitié des sondés ne souhaitent pas non plus confier des informations sur leurs problèmes de santé physique à un chatbot.

L'enquête a été réalisée par l’institut de sondage et d'études de marché Innofact pour le compte de comparis.ch en mars 2025 auprès d'un échantillon de 1029 personnes issues de toutes les régions de Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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