Genève
Le Conseil d'Etat préconise le rejet de l'initiative "1000 emplois"
Le Conseil d'Etat genevois recommande le rejet de l'initiative syndicale "1000 emplois". Même si le gouvernement dit partager les préoccupations des initiants, il estime que le texte ne pourra pas atteindre sa cible. L'exécutif est disposé à élaborer un contreprojet.
L'initiative "1000 emplois" a pour objectif de créer 1000 emplois par année au sein des collectivités publiques dans les domaines du social et de l'écologie tant que le chômage reste élevé dans le canton. Le texte demande aussi la réduction du temps de travail de 41 à 32 heures par semaine sans baisse de salaire d'ici à 2030.
Le Conseil d'Etat considère légitimes les objectifs poursuivis par l'initiative. Selon lui, "la gravité de la crise climatique nécessite une accélération de la transition vers une société durable". Le gouvernement estime toutefois que l'initiative telle qu'elle est formulée ne pourra atteindre les objectifs visés.
La création de 1000 emplois dans les collectivités publiques ne garantirait pas que "ces emplois soient occupés par des personnes aujourd'hui à la recherche d'un emploi", note-t-il. Cette mesure pourrait n'avoir, au final, aucun impact sur le taux de chômage que l'initiative entend pourtant faire baisser.
Pour atteindre l'objectif visé, "l'Etat s'emploie à favoriser la formation, l'employabilité et la création d'emplois durables", relève le Conseil d'Etat. En parallèle, il doit aussi assurer "son équilibre financier". Enfin, "l'encouragement à réduire la durée du travail proposée par l'initiative fait l'objet d'une loi fédérale".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Près de 2000 jeunes au traditionnel cortège du Picoulet
Près de 2000 jeunes, selon la police genevoise, ont participé vendredi matin au Picoulet, le traditionnel cortège de l'Escalade des élèves du secondaire II. Ce défilé déguisé, musical et festif ponctué de batailles de mousse à raser s'est déroulé sans incident.
Parti du CEC André-Chavanne, le cortège qui a été rejoint par les élèves d'autres établissements, s'est rendu jusqu'aux Bastions. Les jeunes, déguisés pour l'occasion, suivaient en dansant des vélos-cargos musicaux. Les automobilistes ont quant à eux dû prendre leur mal en patience.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Lausanne renoue avec la victoire, Genève se contente d'un point
Lausanne a renoué avec la victoire lors de la soirée de National League. Un succès 1-0 sur Bienne, alors que Genève a dû se contenter d'un point en s'inclinant 2-1 ap contre le leader Davos.
Pour les hommes de Geoff Ward, cette partie relevait d'une certaine importance. Il fallait en effet mettre fin à une série négative de trois défaites de rang, mais aussi prendre une revanche après la fessée reçue (6-1) à Bienne voici plus d'une semaine.
Dans une rencontre où les défenses ont pris le pas sur les attaques, les 9000 spectateurs ont dû attendre la 23e et un lancer victorieux de Lauri Pajuniemi pour avoir droit à un but. Lausanne, avec Oksanen et Glauser de retour, n'a pas ménagé ses efforts avec 40 tirs sur un excellent Harri Säteri. Les Seelandais eux se sont montrés plus discrets avec 21 lancers. Cela a permis à Kevin Pasche de soigner ses statistiques en s'offrant un cinquième blanchissage cette saison.
Et pourtant Martin Filander a donc pu finalement compter sur leur top scorer Toni Rajala, après que le recours biennois contre la suspension de deux matches pour avoir touché un officiel eut été accepté.
Ce succès permet au LHC de récupérer la troisième place avec 49 points. Bienne fait lui du surplace au 7e rang avec 37 unités.
Genève, un point c'est tout
Il n'a pas manqué grand-chose aux Genevois pour signer un cinquième succès consécutif. Il n'aurait sans doute pas fallu que Vincent Praplan aille sur le banc des pénalités en fin de troisième tiers pour une canne dans le visage d'un davosien.
Car même si Stransky a inscrit le 2-1 décisif à 4 contre 4 en prolongation, les joueurs de Jan Cadieux venaient de retrouver leur homme puni sur la glace.
Sans Teemu Hartikainen, revenu mardi en Coupe d'Europe mais à nouveau blessé, le coach grenat a dû faire avec. Heureusement, il a pu aligner six étrangers avec Raanta aux buts, Lennström et Vatanen en défense, et Granlund, Manninen et Palve en attaque.
Manninen s'est d'ailleurs signalé avec son 11e but de l'exercice à la 11e en power-play, mais cela n'a pas suffi. Tambellini a pu égaliser à la 44e et Stransky offrir le deuxième point à sa formation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Pas d'ouverture des magasins genevois le 22 décembre: recours au TF
Genève Commerces et la Nouvelle organisation des entrepreneurs (NODE) feront recours au Tribunal fédéral (TF) contre la décision de la Cour de justice genevoise disant niet à une ouverture dominicale généralisée des commerces le 22 décembre 2024. Cette situation fragilise le commerce de détail genevois déjà sinistré, estiment-elles.
Genève Commerces et la NODE expriment leur déception pour les commerçants genevois qui souhaitaient pouvoir ouvrir leurs portes le dimanche 22 décembre 2024 pour animer les rues et encourager l’achat local. Ce bol d’air leur aurait permis de rester compétitifs face au tourisme d’achat dans un pays voisin qui permet des ouvertures dominicales extrêmement libérales ainsi que face à l'e-commerce, écrivent les deux organisations jeudi dans un communiqué.
En effet, le contexte est critique pour le commerce genevois qui accuse un retard conséquent dans ses ventes par rapport aux autres régions suisses. Ces difficultés auront également un impact sur l’emploi et les 18'000 collaborateurs du secteur, ainsi que pour les consommateurs qui devront se tourner vers d’autres lieux plus accueillants.
Genève Commerces et la NODE sont également déçues pour les collaborateurs qui, en nombre, avaient déjà fait part de leur volonté de travailler à cette date. lls auraient bénéficié de compensations plus élevées à Genève que ce que prévoit la loi fédérale sur le travail, soit une indemnisation à 200%.
Autorisation du Département
Le Département de l’économie et de l’emploi avait autorisé une ouverture généralisée le dimanche qui précède Noël sans que les commerces ne doivent passer par une autorisation spécifique de l'Inspection du travail. Les syndicats SIT et Unia ont saisi la Chambre administrative de la Cour de justice. Cette dernière a jugé qu'une autorisation exceptionnelle devait rester obligatoire.
"Les conditions pour une autorisation sont tellement strictes qu'aucun magasin ne va ouvrir ce dimanche-là", a déploré Flore Teysseire, secrétaire générale de Genève Commerces, interrogée par Keystone-ATS.
Les deux associations sont par ailleurs conscientes de la faible probabilité que le Tribunal fédéral rende une décision en quelques semaines. Il est toutefois nécessaire que la Haute Cour se prononce sur des questions de principe, telles que celle des ouvertures des magasins subordonnées à l'existence d'une Convention collective de travail, estiment-elles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Un comité de soutien pour l'achat de la propriété de Zep
Le potentiel achat de la propriété de Zep, aux Charmilles, par la Ville de Genève agite les esprits. Alors que la droite a menacé de lancer un référendum contre le crédit de 21,5 millions de francs voté la semaine passée, un collectif explique pourquoi il est important d'acquérir cette parcelle.
Un appel de soutien à la Campagne Masset, du nom de la parcelle de Zep convoitée par la Municipalité, a été rendu public jeudi. Plus de 320 personnes, dont de nombreux habitants du quartier ainsi que des défenseurs du patrimoine et de la nature, font partie de ce nouveau collectif.
"Il existe de nombreux potentiels pour affecter cette maison à des activités à destination du grand public: espace culturel et social, maison de l'alimentation, maison du patrimoine, etc.", relève le collectif. Ce comité de soutien insiste aussi sur les possibilités qu'offrirait l'ouverture du parc qui entoure la propriété.
Le Conseil municipal avait voté le 27 novembre un crédit de 21,5 millions de francs pour acheter cette parcelle de 35'000 mètres carrés. Elle comprend une maison de maître du 18e siècle, une piscine, des vignes, de la forêt et une prairie. La gauche et le MCG avaient soutenu ce crédit.
Une question de délais
Zep, de son vrai nom Philippe Chappuis, veut vendre cette propriété qu'il possède depuis 2008. Le célèbre bédéiste a accepté de la céder à la collectivité pour 21,5 millions, contre les 25 millions initialement demandés. "Mais ce projet se trouve menacé par un possible référendum, dont le seul lancement pourrait compromettre la vente pour des raisons de délais", indique le collectif.
Les élus de droite avaient dénoncé lors des débats un achat compulsif pour un bien protégé aux niveaux cantonal et fédéral, qui ne pourrait pas être transformé pour un usage public. La menace du référendum avait ainsi été brandie pendant les débats au Conseil municipal.
Le collectif appelle "toutes les personnes et organisations concernées à renoncer au lancement de ce référendum". A ce jour, le référendum n'a toutefois pas encore été officiellement lancé. A noter, que le collectif de soutien comprend quelques représentants des partis de droite, pourtant opposés à cet achat par la Ville de Genève.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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