Genève
Les arrêts sur demande concerneront aussi les trams genevois
Dès le 12 décembre prochain, les arrêts sur demande seront aussi la norme sur le réseau de trams, indiquent lundi les Transports publics genevois (TPG). Cette pratique avait été introduite sans encombre il y a quatre ans pour les bus et les trolleybus.
La mesure vise à fluidifier les courses, améliorer la progression des véhicules et réaliser des économies sur l'entretien de la flotte, expliquent les TPG dans un communiqué. Une campagne de communication démarrera ces prochains jours pour avertir les usagers de cette extension aux trams des arrêts sur demande.
Par ailleurs, les TPG annoncent que la ligne 2 sera prolongée de Onex-Marché jusqu'à Cressy et la ligne 7 ira jusqu'au Bout-du-Monde. Ces nouveaux parcours seront réalisés grâce à des trolleybus équipés de batteries de dernière génération qui offrent une plus grande autonomie, évitant la pose de nouvelles lignes aériennes.
La ligne 11 verra aussi son parcours prolongé jusqu'à la gare des Eaux-Vives. Son horaire sera aussi renforcé aux heures de pointe dès le 12 décembre. Elle deviendra ainsi une ligne de ceinture autour de la Ville de Genève, offrant la possibilité d'éviter le centre et remplacera sur ce tronçon la ligne 21, indiquent les TPG.
Genève
La Ville de Genève aide les jeunes dans leur recherche d'emploi
La Ville de Genève a annoncé lundi avoir mis en place une aide financière consacrée à l'employabilité des jeunes. Le budget est de 400'000 francs. La mesure, prise dans le cadre de la nouvelle politique municipale de la jeunesse, pourrait bénéficier à environ 350 personnes.
L'aide ponctuelle est plafonnée à 1000 francs par année et par jeune. Cette somme est un coup de pouce à la personne qui se lance sur le marché du travail. Elle doit permettre, par exemple, d'acheter du matériel informatique pour sa recherche d'emploi, d'entamer une formation ou d'obtenir son permis de conduire.
Pour mettre en oeuvre cette mesure, la Ville de Genève a développé un partenariat avec l'association Autonomia. L'objectif de cette prestation est de réduire l'impact de la précarité financière affectant les jeunes dans leur parcours vers l'emploi et de renforcer leur capacité d'action, explique la municipalité.
D'autres mesures sont prévues dans le cadre de cette nouvelle politique de la jeunesse adoptée par la Ville de Genève, notamment pour favoriser l'accès des jeunes à des logements abordables. A l'avenir, une attention nouvelle sera aussi portée sur les 12-14 ans, afin de leur assurer un soutien accru.
"Nous voulons donner à la jeunesse une place centrale, en lui offrant le pouvoir d'agir sur son futur et en valorisant son potentiel", relève, cité dans le communiqué de la Ville de Genève, la conseillère administrative et maire Christina Kitsos, chargée du département municipal de la cohésion sociale et de la solidarité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Les socialistes veulent un soutien à la presse locale genevoise
Les socialistes genevois craignent pour l'avenir de la presse locale. Ils veulent lui venir en aide en créant une fondation publique d'aide aux médias. Un projet de loi a été déposé lundi auprès du Grand Conseil genevois.
Cette fondation a pour but de garantir "l'existence et la sauvegarde d'une presse locale plurielle, libre et indépendante", note le Parti socialiste genevois. La formation politique rappelle, dans un communiqué, que la libre formation de l'opinion occupe une place centrale dans un système de démocratie directe.
La nouvelle restructuration annoncée récemment par Tamedia, propriétaire, parmi d'autres titres, de la Tribune de Genève, "a fait l'effet d'un coup de tonnerre dans le milieu médiatique romand et genevois en particulier", rappellent les socialistes. A leurs yeux, il est nécessaire d'agir rapidement.
Pour ce faire, le parti a ressorti des tiroirs un projet de loi qu'il avait proposé voilà sept ans, qui instaure la création d'une fondation publique d'aide aux médias. Quelques légères retouches ont été apportées au texte qui avait été refusé à l'époque par une majorité du Grand Conseil.
Dix millions de capital
Dans le détail, la fondation serait dotée d'un capital de 10 millions de francs. Elle aurait pour mission d'offrir deux types de soutiens à la presse locale. La fondation pourrait d'une part aider à la création de nouveaux médias, d'autre part venir en aide à la production de contenus journalistiques pour les médias existants.
Le conseil de cette fondation d'aide aux médias serait composé pour un tiers de spécialistes des médias nommés par le Conseil d'Etat, pour un autre tiers de représentants de la profession nommés par des associations de journalistes et pour le tiers restant par des résidents genevois tirés au sort parmi un panel de volontaires.
Les médias désireux de recevoir une aide de la fondation devraient remplir certains critères, "par souci du bon usage des deniers publics". Les socialistes genevois espèrent que leur projet de loi pourra être traité rapidement par le Grand Conseil et que ce dernier sera conscient "de l'urgence de la situation".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Lancy se prononce sur l'interdiction de la publicité commerciale
Lancy (GE) votera le 24 novembre sur l'interdiction de l'affichage publicitaire commercial sur le domaine public. Cette mesure acceptée en janvier par la majorité de gauche du Conseil municipal a été attaquée par un référendum du Centre et des Vert'Libéraux, qui dénoncent une "infantilisation de la population".
Le règlement attaqué bannit la publicité à des fins commerciales sur le domaine public ainsi que sur le domaine privé visible depuis la rue. Il autorise en revanche l'affichage à visée culturelle, éducative, associative et sportive.
Pour la majorité rose-verte, la publicité commerciale encombre l'espace public. Elle ne veut plus de cette "pollution visuelle" qui pousse à la surconsommation. L'affichage commercial fragilise aussi le tissu économique local, car les PME n'ont souvent pas les moyens d'y recourir, entraînant ainsi une concurrence déloyale avec les grands groupes, affirment encore les partisans de l'interdiction.
Les référendaires dénoncent "une censure qui dicte ce que la population doit voir ou ne pas voir". Ils estiment que bannir la publicité commerciale des rues est une manière d'imposer une pensée unique. Les opposants craignent aussi des conséquences financières pour les clubs sportifs qui ne pourraient plus afficher les publicités de leurs sponsors autour de leurs terrains.
Moins de recettes
Les référendaires avancent aussi un argument financier: l'interdiction provoquera une baisse des recettes pour la commune de 251'000 francs par an, soit le montant de la redevance versée par la société d'affichage. Cette somme représente 0,14% des revenus totaux de la commune, nuancent les autorités communales qui soutiennent la suppression de la publicité commerciale.
"Cette interdiction est donc une mesure peu coûteuse par rapport au budget communal et par rapport à l'amélioration de la qualité de vie des habitants qu'elle peut engendrer", relève la gauche. Il faut toutefois ajouter à cette perte, une hausse des charges, pas encore chiffrée, due à l'entretien de l'affichage non commercial qui restera autorisé.
La Ville de Lancy dispose actuellement de 175 supports d'affichage fixes sur le domaine public ainsi que 44 panneaux sur le domaine privé visibles depuis la rue. Si l'interdiction est acceptée, elle entrera en vigueur le 1er janvier 2025.
Interdiction à Vernier
Dans le canton, seule la ville de Vernier prohibe, depuis l'été 2023, l'affichage commercial sur son domaine public. Les opposants, qui avaient saisi le Tribunal fédéral, dénonçaient une atteinte excessive des droits des acteurs économiques. Ils ont été déboutés. Les citoyens de la Ville de Genève avaient, eux, refusé en mars 2023 l'initiative communale "Genève zéro pub".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Une trentaine de spectacles gratuits à Genève vendredi prochain
L'association des conteuses et conteurs de Genève organise vendredi prochain 32 spectacles gratuits dans cinq lieux différents à l'occasion de la Nuit du conte. Les récits tourneront autour de la thématique des "Mondes rêvés".
En Ville de Genève, le Manège et la Maison de quartier de Champel seront de la partie. Des contes ont été choisis en fonction du public visé, qui va des tout-petits aux adultes. La Maison de quartier La Tambourine à Carouge, la Ferme Sarasin au Grand-Saconnex et la Maison onésienne accueilleront également des conteurs et des conteuses.
La Nuit du conte est organisée à l'échelle nationale depuis 1989. Cet événement est piloté par l'Institut suisse jeunesse et médias et par Bibliomedia Suisse. Les musées, les écoles, les librairies et les centres de loisirs sont invités à participer à cette manifestation qui permet de retrouver la magie de l'art de la parole.
conteusesdegeneve.ch/nuitduconte
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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