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Suisse Romande

Les enseignants fribourgeois se montrent satisfaits de leur métier

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La conseillère d'Etat fribourgeoise en charge de la formation Sylvie Bonvin-Sansonnens a fait part de sa grande satisfaction après l'enquête réalisée auprès des enseignants sur leur temps de travail (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'enquête fribourgeoise sur le temps de travail des enseignants a connu un vif succès, avec un taux de participation de 85%. Si la profession se dit "très satisfaite", l'organisation pour les temps partiels devra faire l'objet d'une analyse qualitative approfondie.

"C'est la première fois qu'une enquête de cette envergue a été organisée", a expliqué lundi la conseillère d'Etat Sylvie Bonvin-Sansonnens. "L'exercice donne une photographie de la charge de travail des enseignants, dans le but d'apporter des correctifs", a précisé la ministre de la formation.

Proposée l'an passé, l'enquête confirme que les enseignants à plein temps travaillent "pratiquement" conformément au temps annuel défini par contrat (1900 heures). La répartition du temps de travail entre les quatre domaines d'activité telle que définie par le règlement il y a 20 ans est toujours d'actualité, révèlent les résultats.

Les informations quantitatives doivent maintenant être complétées par des données qualitatives. Les facteurs de stress seront également approfondis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

FONGIT- De l'argent pour soutenir des projets de mobilité durable

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La conseillère d'Etat Delphine Bachmann a qualifié l'arrivée de ce nouveau partenaire de la FONGIT "d'excellente nouvelle". (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Fondation genevoise pour l'innovation technologique (FONGIT) diversifie ses soutiens. Elle veut désormais accompagner des projets de start-up actives dans la mobilité durable. Elle s'appuie, pour ce faire, sur un nouveau partenaire financier: la Fondation Modus.

La Fondation Modus va désormais participer au soutien de projets en matière de mobilité durable, en collaboration avec le fonds d'innovation FONGIT, indiquent le département de l'économie et de l'emploi (DEE) et la FONGIT dans un communiqué publié lundi.

La Fondation Modus a été créée en 2023 à Genève. Elle est spécialisée dans le développement de projets qui favorisent l'essor de mobilités plus respectueuses de l'environnement, ayant la caractéristique de présenter une faible empreinte carbone.

La conseillère d'Etat Delphine Bachmann, responsable du DEE, s'est réjouie de la venue de ce partenaire. *L'arrivée d'un nouvel acteur dans le dispositif de la FONGIT s'inscrit dans notre volonté" d'ouvrir son fonds d'innovation à d'autres secteurs de l'économie, relève-t-elle, citée dans le communiqué.

Le fonds d'innovation FONGIT ne finançait, jusqu'à présent, qu'essentiellement des jeunes pousses actives dans la haute technologie, soit des entreprises de technologie médicale, de technologie de l'information, d'ingénierie ou encore centrées sur les sciences de la vie.

Numérique et durabilité

"Les projets dans le domaine du numérique et de la durabilité, qui contribueront à la transformation économique et sociale de Genève, sont notamment des thématiques que nous souhaitons soutenir à l'avenir", note Antonio Gambardella, directeur de la FONGIT.

La FONGIT a été le premier incubateur de start-up en Suisse. Elle est soutenue financièrement par l'Etat de Genève qui alimente notamment son fonds, lancé en 2021. En trois ans, le canton a investi un million de francs dans ce fonds.

Depuis sa création en 1991, la FONGIT a incubé plus de 400 jeunes entreprises prometteuses, dont 200 sont soutenues aujourd'hui. Ces start-up ont contribué à la création de plus de 1800 emplois dans le canton de Genève en levant plus de 900 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Application de la peine minimale en cas de délit de chauffard

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Le recourant avait dépassé de 88 km/h la vitesse autorisée sur autoroute (archives). (© KEYSTONE/SAMUEL GOLAY)

Le Tribunal fédéral confirme le prononcé de jours-amendes avec sursis - au lieu d'une peine minimale d'un an - pour un premier délit de chauffard. Une telle sanction est conforme à la marge de manoeuvre octroyée au juge par le législateur depuis octobre 2023.

En janvier 2023, un automobiliste tessinois a écopé d'une peine privative de liberté de 12 mois avec sursis et à une amende de 500 francs pour avoir dépassé de 88 km/h la vitesse autorisée sur autoroute. Lors de son procès en appel dix mois plus tard, les juges ont appliqué la nouvelle disposition de la loi sur la circulation routière entrée en vigueur entretemps et prononcé une peine pécuniaire de 180 jours-amendes avec sursis, assortie d'une amende de 1000 francs.

Saisi par le Ministère public, le Tribunal fédéral confirme cette sanction. Celle-ci correspond à la marge d'appréciation accordée par le législateur au juge: celui-ci n'est plus tenu de prononcer une peine minimale d'un an à condition que l'auteur n'ait pas été condamné pour des délits graves dans la décennie précédente.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Course-poursuite à Vionnaz: les deux fugitifs interpellés

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Le 7 octobre, le conducteur d’un véhicule volé avait pris la fuite lors d’un contrôle de la Police Intercommunale du Haut-Lac. Une course-poursuite s’en était suivie. (image symbolique) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le conducteur d'un véhicule volé qui avait pris la fuite lors d'un contrôle de police à Vionnaz (VS) ainsi que sa passagère ont été identifiés et interpellés. L'homme a été incarcéré.

Les faits se sont produits le 7 octobre dernier sur la route menant à Torgon (VS). La fuite en direction de la plaine du conducteur, un Suisse de 28 ans, avait engendré une course-poursuite avec les forces de l'ordre durant laquelle un agent avait fait usage de son arme, à deux reprises, en direction des pneus du véhicule qui a continué sa route.

Les deux personnes à bord ont abandonné la voiture sur un parking, quelques minutes plus tard avant de prendre la fuite. "La passagère, une Suissesse de 29 ans, a été interpellée le 9 octobre à Torgon"; indique la police cantonale dans un communiqué. Elle a depuis été relaxée.

Deux jours plus tard, le conducteur "a été interpellé par la Police cantonale vaudoise en étroite collaboration avec nos services", précise-t-on de même source. Pour les besoins de l'enquête, le Ministère public a ordonné son incarcération. A ce stade des investigations, les auteurs présumés bénéficient de la présomption d’innocence, rappelle la police.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Le CHUV et Lavigny s'associent pour soigner les patients neurolésés

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Le CHUV et l'Hôpital de Lavigny se sont associés pour créer le Service universitaire de neuroréhabilitation (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le CHUV à Lausanne et l'Institution de Lavigny s'associent pour la prise en charge des personnes victimes de lésions cérébrales. Ils ont lancé le Service universitaire de neuroréhabilitation (SUN), qui vient d'entrer en activité sur les deux sites.

Le SUN permet de réunir, au sein d'une même structure, l'ensemble des thérapies et des soins nécessaires à la neuroréhabilitation. Son "atout majeur" consiste à soigner les patients "depuis les soins aigus jusqu'à la prise en charge ambulatoire", expliquent le CHUV et l'Institution de Lavigny dans un communiqué.

Ils relèvent que chaque année en Suisse, 20'000 personnes souffrent de lésions cérébrales, à savoir des dommages au cerveau causés par exemple par un AVC, un accident de la route ou une tumeur.

Une équipe interdisciplinaire de soignants, médecins et divers thérapeutes (ergothérapeutes, physiothérapeutes, neuropsychologues et autres logopédistes) accompagne les patients tout au long de leur parcours de soins, sachant que de "nouveaux enjeux se posent à chaque étape", poursuit le communiqué.

En phase aigüe, la question principale est souvent de savoir si la personne sera capable de remarcher. Il s'agit ensuite de réapprendre des gestes du quotidien comme cuisiner, se laver, s'habiller ou se déplacer. Il faut également préparer la sortie de l'hôpital, par exemple en évaluant si le logement est adapté. Après le retour à domicile, la prise en charge cible des aspects plus fins comme la fatigue neurologique ou la reprise d'une activité professionnelle.

Eviter le morcèlement des soins

"Le SUN offre désormais une vision fédérée, commune, qui encourage l'innovation. L'un des bénéfices, pour les patients, est que l'ensemble des professionnels impliqués ont une vision complète du parcours de neuroréhabilitation. Cela évite le morcèlement des soins", explique Arseny Sokolov, chef ad intérim du SUN, cité dans le communiqué.

Du côté de l'Institution de Lavigny, sa directrice Stéphanie Saudan dit se réjouir "de la rénovation et l'agrandissement de l'hôpital de Lavigny qui offre dorénavant des infrastructures modernes, adaptées aux spécificités des prestations requises pour la neuroréhabilitation".

Le SUN compte 250 collaborateurs. Chaque année, 550 patients seront hospitalisés sur les deux sites du CHUV et de Lavigny, tandis que 2000 sont suivis en ambulatoire au CHUV.

Avec l'ouverture cet été de neuf lits supplémentaires à Lavigny, la capacité du SUN se monte à 75 lits de neuroréhabilitation. En été 2025, Lavigny accueillera quinze lits en provenance du CHUV. Les dix lits restant au CHUV seront réservés aux patients ayant besoin de la proximité et de l'expertise de l'établissement universitaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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