Suisse Romande
« Numerik Games » : épisode 2
Les "Numerik Games", deuxième édition. Le festival dédié au numérique dans tous ses états investit dès ce vendredi l’Y-Parc d’Yverdon-les-Bains.
Par Romain Felley
Les "Numerik Games" de retour à Yverdon-les-Bains. Sont à l’honneur jusqu’à dimanche à Y-Park : les jeux vidéos, la musique et les artistes de tout genre qui gravitent autour de cet univers. A découvrir notamment : un parc d’attractions 2.0. Mais aussi le graffiti digital et un mélange de danse et massage virtuels. Le festival n’est pas réservé aux « geeks », il est grand public comme le dit Marc Atallah, directeur des Numerik Games :
Le festival a lieu jusqu’à dimanche à l’Y-Park d’Yverdon-les-Bains. A noter qu’un festival gratuit se déroule aussi sur la place Pestalozzi.
Football
Ligue des nations dames: la Suisse dans le groupe de la France
L'équipe de Suisse dames connaît désormais ses adversaires pour la prochaine Ligue des nations. En Ligue A, elle affrontera ainsi la France, l'Islande et la Norvège.
Ces trois pays sont mieux classés que la sélection helvétique dirigée par Pia Sundhage. Le favori logique du groupe sera la France, actuelle 10e nation mondiale. La Suisse a récemment dominé les Bleues 2-1 à Genève en match de préparation.
Les six journées auront lieu en février, avril et mai/juin 2025, soit avant la phase finale de l'Euro en Suisse. Les quatre vainqueurs de groupe seront qualifiés pour la suite, avec des demi-finales aller-retour, la finale pour la troisième place et la finale, en automne et hiver de l'an prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Différence salariale entre femmes et hommes "alarmante" à Genève
A Genève, une étude de l'office cantonal de la statistique (OCSTAT) révèle un écart de rémunération nette de 27% en défaveur des femmes en 2022. Les autorités, qui dénoncent une "situation alarmante", appellent au respect de la législation en vigueur.
L'égalité est encore loin d'être atteinte, déplore jeudi le Département des finances, des ressources humaines et des affaires extérieures (DF) dans un communiqué. Le canton promet un suivi statistique régulier pour mieux cibler son action en matière d'égalité dans le milieu professionnel.
L'analyse de l'OCSTAT montre que les inégalités sont particulièrement marquées aux extrémités de la répartition salariale: les femmes sont fortement surreprésentées dans les bas salaires et sous-représentées dans les très hauts revenus. Ce résultat s'explique par des inégalités d'accès aux postes à responsabilités, une forte proportion de travail à temps partiel chez les femmes et des stéréotypes de genre encore fortement ancrés.
2e pilier touché
Le taux d'occupation exerce une influence importante sur le revenu. A Genève, 51% des femmes travaillent à temps partiel, contre 21% des hommes. Cette différence affecte de manière immédiate les salaires, mais a aussi des conséquences différées. Elle exerce une pression directe sur le montant des rentes vieillesses, relève le DF.
Toutefois, l'analyse du salaire brut standardisé révèle que même à temps de travail égal, les femmes restent nettement moins rémunérées que les hommes (-15,6%). Une petite partie de cette inégalité est expliquée par des différences objectives, comme la position professionnelle ou la branche économique, mais l'essentiel de cet écart est expliqué par une inégalité de traitement salarial.
Un guide pratique
Ainsi, à compétences, caractéristiques et taux d'activité égaux, les femmes gagnent encore 7,9% de moins que les hommes. Face à ces constats, le bureau de promotion de l'égalité et de prévention des violences (BPEV) appelle à une prise de conscience et à des actions de la part des employeurs. Il publie un guide pratique sur le sujet.
L'OCSTAT propose aussi un nouveau module dynamique qui met en lumière les chiffres liés aux écarts salariaux. Il propose aussi une série d’indicateurs en lien avec la problématique de l’inégalité entre femmes et hommes, dans des domaines aussi divers que la démographie, la formation, l'emploi, la santé, la politique ou la violence.
https://statistique.ge.ch/egalite/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud publie les résultats des ECR pour chaque école
Il est désormais possible de connaître, pour chaque école vaudoise, les résultats des épreuves cantonales de référence (ECR) des cinq dernières années. Si les parents reçoivent déjà ces résultats pour leurs enfants, les données globales étaient jusqu'ici réservées aux directions pour leur établissement ou au corps enseignant pour leurs classes respectives.
La mise en ligne de ces données (sur www.vd.ch/ecr) a été décidée par le Département de l'enseignement et de la formation professionnelle à la suite de la demande d'un média (24 heures en l'occurrence) pour les résultats 2020-2021, explique jeudi l'Etat de Vaud dans un communiqué.
Les ECR sont des épreuves standardisées, soumises à tous les jeunes Vaudois en 4e, 6e et 8e années. Elles permettent de mesurer l'évolution des élèves, mais aussi de piloter l'enseignement à l'échelle du canton. Le Département de l'enseignement cite l'exemple des années Covid: les ECR ont été utiles pour vérifier que les aides mises en place avaient permis aux élèves de suivre le programme prévu.
Cet indicateur a toutefois ses limites, prévient le Canton. Celui-ci met notamment en garde contre une comparaison entre les écoles. Car si les épreuves sont partout les mêmes, ce n'est pas le cas des établissements qui ont des organisations, des tailles et des contextes socio-démographiques très variés.
Au-dessus de 4 de moyenne
Les ECR sont "comme une photographie à un moment donné dans une classe", souligne aussi le Département. Et d'ajouter: on peut être excellent dans une classe qui a fait un mauvais résultat à l'ECR, ou l'inverse. De même, une classe peut avoir de très bons résultats dans un établissement qui a moins bien réussi une épreuve, ou le contraire.
Les matières évaluées lors des ECR sont le français (4e, 6e et 8e), les maths (6e et 8e) et l'allemand (8e). C'est surtout en 8e que les ECR ont une influence importante puisque la note obtenue dans les trois matières représente 30% des moyennes annuelles de chacune des disciplines.
Entre 2019 et 2024, les moyennes cantonales des ECR ont été de 4,57 (8e), 4,91 (6e) et 5,01 (4e). "Il est réjouissant de constater pour les familles et pour les écoles vaudoises que tous les établissements scolaires obtiennent, en moyenne sur les cinq dernières années et dans les trois niveaux, des moyennes supérieures à 4,0 ce qui signifie une réussite", commente le Département de l'enseignement.
C'est à Blonay-St-Légier que la moyenne des ECR 2019-2024 est la meilleure en 8e année (5,0), tandis que la moins bonne est à chercher à Aigle (4,12). En 6e, Lutry (5,18) a réussi les meilleurs résultats durant cette période, Aigle les moins bons (4,55). Finalement en 4e, où les appréciations ont été converties en notes, Lutry (5,55) arrive aussi devant, tandis que Payerne-Granges affiche la moins bonne moyenne (4,39).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
La santé des élèves valaisans sous la loupe
Mal-être, stress, cyberharcèlement, consommation d'alcool: les élèves valaisans ne sont pas épargnés, selon une étude internationale communiquée jeudi par le canton. Les conclusions portent notamment sur 2022 avec une comparaison au niveau national.
Le rapport diffusé par l'Etat du Valais décrit les comportements de santé et l'état de santé des élèves de 11 à 15 ans en Valais ainsi que leur évolution depuis 2002. Il est issu de l'enquête "Health Behaviour in School-aged Children" (HBSC) réalisée tous les quatre ans dans plus de 40 pays sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé.
Le rapport se base sur une dizaine d'indicateurs, dont le bien-être et santé, la consommation de substances psychoactives et les comportements en ligne. "Une péjoration est constatée dans le domaine de la santé mentale", note le canton.
Tristesse, stress, colère
"En 2022, 86% (85% en Suisse) des 11 à 15 ans s'estimaient en bonne ou excellente santé en Valais", contre 90% en 2018 et en 2002. "La perception de bonne santé est plus élevée chez les garçons que chez les filles et elle diminue avec l’âge", indique l'étude.
De plus en plus d’élèves rapportent des symptômes psychoaffectifs, tels que tristesse, mauvaise humeur, anxiété et colère. La proportion de jeunes se déclarant peu ou pas satisfaits de leur existence a également augmenté : en 2022, ils étaient 10 % (16 %), contre 5 % en 2002. Le stress lié au travail scolaire est également en hausse: 37 % (33%) en 2022, contre 25 % en 2002.
Utilisation "problématique
Concernant la consommation d'alcool, elle a diminué chez les écoliers ces dernières années, en Valais comme en Suisse. Elle reste toutefois supérieure chez les jeunes valaisans en comparaison avec la moyenne suisse: 28% (20%) en 2022, contre 38% (31%) en 2006 (31%). La constatation est similaire pour le cannabis.
L'enquête montre aussi que 84% (82%) des Valaisans âgés de 11 à 15 ans sont en ligne chaque jour, que 68% (64%) utilisent quotidiennement les réseaux sociaux et que son usage est "problématique" chez 8% (7%) des élèves contre 6% (4%) en 2018. Problématique signifie une perte de contrôle sur le temps passé sur les réseaux sociaux, avec un impact négatif important sur les relations avec l’entourage proche et sur les activités essentielles du quotidien", précise le rapport.
Filles plus harcelées
Enfin, 14% (11%) des jeunes ont été victimes de cyberharcèlement au moins une fois au cours des derniers mois précédant l’enquête. Ce pourcentage, plutôt stable avec l'âge, est plus élevé chez les filles que chez les garçons. En 2018, la proportion de jeunes de 11 à 15 ans qui ont été cyberharcelés était de 11% (9%).
A l'école, 23% (20%) des jeunes de 11 à 15 ans ont été harcelés au moins une fois au cours des derniers mois précédant l’enquête. Ce pourcentage diminue avec l'âge et était légèrement inférieur en 2018 ( 21% VS, 19% CH). Quel que soit l'âge, les filles sont harcelées plus souvent que les garçons.
Plus de 1400 élèves
Pour l’enquête 2022, 105 classes ont été sélectionnées en Valais et 95 d'entre elles ont participé. Les résultats portent sur les réponses de 1438 élèves âgés de 11 à 15 ans, précise le rapport.
Face aux conclusions, l'Etat du Valais relève notamment l'importance de maintenir les actions déjà mises en place et "de développer davantage de projets et de programmes en matière de promotion de la santé psychique pour les jeunes". Cela "rejoint par ailleurs les recommandations du récent rapport du Conseil fédéral pour le renforcement de la santé psychique des enfants, des adolescents et des jeunes adultes", précise-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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