Vaud
La marque VAUD+ a ses premiers "ambassadeurs"
Dix-huit entreprises et institutions sont désormais labellisées VAUD+, une marque qui veut assurer une promotion harmonisée des différents acteurs du canton. Le domaine Henri Cruchon, le Montreux Jazz Festival, Glacier 3000 ou le Parc Jura vaudois font partie des premiers "ambassadeurs".
Ces 18 entités sont reconnues comme des "actrices incarnant l'excellence vaudoise", explique jeudi Vaud Promotion dans un communiqué. Elles ont dû remplir les exigences de 23 critères, lors d'un audit indépendant.
VAUD+ est une marque célébrant le canton auprès des consommateurs, des touristes et des investisseurs. Il s'agit d'un label garant de "savoir-faire, de qualité et de durabilité", détaille le communiqué. La marque, lancée en 2021 sous l'égide du canton, veut servir de fil rouge entre les partenaires, assurant une communication harmonisée et des synergies.
L'objectif est de fédérer et dynamiser les différents acteurs vaudois du monde économique, touristique, culturel, viticole, agricole et sportif. "Une plateforme idéale pour vendre notre canton, son effervescence, son savoir-faire aussi bien artisanal qu'industriel", explique Catherine Cruchon, oenologue et membre de la commission de la marque citée dans le communiqué.
Les entreprises labellisées s'engagent notamment à favoriser la création de postes dans le canton plutôt qu'à l'étranger, privilégient les fournisseurs vaudois et respectent les conventions collectives. Elles s'engagent aussi pour l'égalité ainsi que la santé et la sécurité au travail.
Des entités diversifiées reçoivent le nouveau label. Parmi eux figurent Abionic (diagnostics médicaux), le domaine Constant et Sophie Jomini (vins), Elite (Literie), Entreprise forestière Daniel Ruch, l'IMD, Lausanne Palace, la Fondation de Verdeil, le Parc Naturel régional Gruyère Pays-d'Enhaut et la Haute Ecole HEIG-VD,
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Le travail des proches aidants valorisé à Lausanne
Ce jeudi marque la Journée mondiale de la santé mentale. A cette occasion, pour la quatrième reprise, un événement dédié aux proches aidants se tient à Lausanne.
En partenariat avec l’Association de Proches aidants Vaud et la Croix-Rouge vaudoise, la Haute École de Santé Vaud (HESAV) organise ce jeudi 10 octobre la 4ème Journée Proches Aidants. Cette nouvelle édition vise à soutenir et donner la parole aux nombreuses personnes concernées par ce travail bénévole. Dans un contexte de pénurie de personnel soignant, ce rendez-vous invite à réfléchir aux facteurs qui influencent la santé mentale des proches aidants, à l’identification des signaux d’alerte ainsi qu’aux prestations disponibles. Ce rôle souffre notamment d'un manque de reconnaissance.
Cet événement veut aider les proches aidants à lutter contre l'épuisement et le découragement. Il a également pour but de favoriser les échanges entre les personnes concernées et les acteurs de la santé.
Depuis plus de 10 ans, Raphele, membre de l'Association de Proches aidants Vaud, accompagne quotidiennement son fils qui a souffert de troubles psychiques. Son travail n'a pas toujours été entendu par le personnel médical.
Si le quotidien de Raphele s'est quelque peu allégé ces derniers temps, son fils se portant de mieux en mieux, sa routine a toutefois été bouleversée pendant des années.
Ce rendez-vous veut aussi sensibiliser les étudiants de l'HESAV à la situation des proches aidants. Ils seront amenés à collaborer avec eux dans leur future profession.
Culture
Le Musée du Léman à Nyon expose bien plus que des cartes
Pour sa nouvelle exposition temporaire, inaugurée jeudi à Nyon, le Musée du Léman met en lumière une centaine de cartes consacrées au plus grand lac d'Europe. Pour les concepteurs, il ne s'agit pas tant de parler de géographie, que de s'intéresser au regard porté sur cette étendue d'eau à différentes époques.
"Une carte est le reflet plus ou moins fidèle de l'espace qu'elle représente. Mais c'est aussi le reflet de son époque, de son cartographe, des préoccupations et des intentions de ce dernier. Une carte peut permettre de se repérer ou de planifier un itinéraire, mais aussi de revendiquer un territoire, de transmettre un savoir scientifique ou d'attirer des touristes", écrivent les organisateurs dans le dossier de presse.
Intitulée "Ceci n'est pas une carte", l'exposition brosse un "portrait protéiforme du Léman" en s'appuyant sur ces documents. Les visiteurs découvriront ainsi la Table de Peutinger, représentant le réseau routier de l'Empire romain à l'époque d'Auguste et qui constitue la plus ancienne carte sur laquelle figure le Léman, identifié comme "lac de Lausanne".
Lac de Vevey, d'Evian ou de Morges
Le public aura également l'occasion de s'étonner d'une représentation du Léman "à l'envers", héritage d'une convention moyenâgeuse selon laquelle une carte devait être orientée vers Jérusalem. Les divers documents exposés montreront en outre que le nom du lac a changé plusieurs fois, puisque suivant les cartes, il est fait mention du lac de Genève, de Thonon, de Vevey, de Morges, d'Evian, ou encore du lac Léman.
Pour décliner la thématique plus largement et toucher un public étendu, divers événements auront lieu jusqu'à la clôture de l'exposition le 31 août 2025. Au menu: visites guidées, ateliers de dessin, course d'orientation, randonnées pédestres ou encore livret de visite destiné aux plus jeunes.
L'exposition donnera également lieu à la publication du "Grand Atlas du Léman". Plus qu'un précis de géographie, l'ouvrage fera office de "livre d'histoire qui remonte les siècles de carte en carte", écrivent les organisateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Hôpital d'Yverdon-les-Bains: les études doivent se poursuivre
Le sort de l'hôpital d'Yverdon-les-Bains ne sera pas connu avant le premier trimestre 2025 "au plus tôt". Les Etablissements hospitaliers du Nord vaudois (eHnv) annoncent jeudi que les analyses liées au programme "eHnv du futur" nécessitent encore du temps.
Dans leur communiqué, les eHnv disent continuer d'explorer "divers scénarios", à savoir le maintien de l'hôpital sur le site existant ou son déménagement. La répartition sur deux sites demeure aussi l'une des pistes de réflexion, précisent-ils.
"L'allocation des surfaces aux différentes activités est en cours de réévaluation dans chaque scénario, tout comme les éventuelles économies réalisables en cas de centralisation sur un seul site", écrivent les eHnv. Ils ajoutent qu'il s'agit aussi d'estimer les dépenses d'exploitation et de maintenance des bâtiments existants en cas de retard dans l'ouverture des nouvelles structures.
Surcoûts
Pour rappel, le programme "eHnv du futur" vise à la transformation complète de l'hôpital d'Yverdon. Objectif: regrouper les activités somatiques aiguës des eHnv sur un site unique. Parallèlement, un nouveau centre de traitement et de réadaptation doit ouvrir à Orbre. Cela s'accompagnera par le désengagement progressif des deux autres sites des eHnv, soit l'hôpital de Saint-Loup à Pompaples et celui de Chamblon.
Début mai toutefois, la phase d'avant-projet pour transformer l'hôpital d'Yverdon avait débouché sur une estimation des coûts supérieure de 180 millions de francs par rapport au devis initial de 308 millions. La majeure partie de ces surcoûts (106 millions) provient de facteurs incompressibles, à savoir le renchérissement des prix de la construction en Suisse et la nature des sols de l'hôpital d'Yverdon.
Ces augmentations ont conduit le comité directeur des eHnv à suspendre temporairement le programme.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Le CHUV vise un retour à l'équilibre financier en 2028
Le CHUV à Lausanne vise un retour à l'équilibre financier en 2028. Pour éviter un déficit structurel qui pourrait atteindre 100 millions de francs d'ici quatre ans, le plan de réduction des coûts "Impulsion" passe à la vitesse supérieure pour corriger la situation.
Ce plan d'action, précisé jeudi au CHUV devant les médias, va déployer dès cet automne de nouvelles mesures conjoncturelles, structurelles et organisationnelles ainsi qu'une réforme de la gouvernance. Il se fera en deux phases.
Une première phase (2024-2028) reposera principalement sur l'optimisation des charges et l'augmentation des revenus nets, avec pour cible des économies de 35 millions de francs. La seconde phase (2025-2028) se concentrera sur l'amélioration de l'efficience et la recherche de financements supplémentaires pour couvrir le reste du déficit, soit 65 millions, tout en incluant une révision de la gouvernance et une planification des investissements.
Lancé en 2022, le plan de réduction des coûts "Impulsion" est piloté par une "task force".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
CultureIl y a 3 jours
Kate Winslet à Zurich pour présenter son film "Lee"
-
InternationalIl y a 3 jours
Google doit ouvrir sa boutique d'applications à la concurrence
-
InternationalIl y a 3 jours
Le Hezbollah vise une base du renseignement près de Tel-Aviv
-
SuisseIl y a 3 jours
Rente mensuelle de 30 ans décrochée à l'Eurodreams
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Course-poursuite avec un véhicule volé à Vionnaz (VS)
-
ClimatIl y a 3 jours
Lausanne: des TL 100% électriques en 2030
-
CultureIl y a 2 jours
Une exposition dédiée à Banksy ouvre à Saxon (VS)
-
GenèveIl y a 3 jours
La Ville de Genève inaugure sa troisième crèche municipalisée