Football
La Russie écartée du tirage au sort de l'Euro 2024
La Russie, sanctionnée en raison de l'invasion militaire de l'Ukraine, a été écartée du tirage au sort des qualifications de l'Euro 2024. La Fédération russe et l'UEFA l'ont annoncé.
"L'équipe nationale russe ne participera pas au tirage au sort du tour de qualification du Championnat d'Europe 2024, qui se tiendra le 9 octobre à Francfort", a annoncé la fédération russe dans un communiqué.
"La raison provient de la décision de l'UEFA en février de suspendre la participation des équipes nationales et des clubs russes aux compétitions de l'organisation, et ce de facto +jusqu'à nouvel ordre+", ajoute-t-elle.
A la suite de l'invasion de l'Ukraine par les forces russes, le 24 février dernier, l'UEFA et la FIFA ont annoncé conjointement la suspension des sélections nationales et des clubs russes de toutes leurs compétitions "jusqu'à nouvel ordre".
Cette sanction s'est appliquée dès l'Euro féminin, au début de l'été en Angleterre, où le Portugal a remplacé la sélection russe, et à la Coupe du monde masculine de football à venir au Qatar (20 novembre-18 décembre).
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté en juillet le recours de la Fédération russe de football qui contestait cette suspension.
La mise à l'écart de la Russie des qualifications en vue du prochain Euro a été confirmée mardi par l'UEFA, dont le comité exécutif est réuni sur l'île croate de Hvar.
"Toutes les équipes russes sont actuellement suspendues à la suite de la décision du comité exécutif de l'UEFA du 28 février 2022, qui a été confirmée par le Tribunal arbitral du sport le 15 juillet 2022", rappelle l'UEFA dans un communiqué.
"Par conséquent, la Russie n'est pas intégrée dans le tirage au sort des qualifications du championnat d'Europe de football."
L'Euro 2024 aura lieu en Allemagne, qui a par ailleurs demandé à l'UEFA d'exclure le Bélarus en raison de son soutien à la Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Un rebond impératif en octobre
Octobre sera-t-il le mois du rebond pour l'équipe de Suisse ?
Après leur entame ratée dans la Ligue des nations avec deux défaites 2-0 au Danemark et 4-1 contre l'Espagne, les quarts de finaliste de l'Euro se retrouvent le dos au mur avant de se déplacer en Serbie le 12 et de recevoir le Danemark à St-Gall le 15.
"Nous devons prendre 6 points lors de ces deux matches", commande Manuel Akanji, capitaine d'un soir dimanche à Genève et qui n'a pas pu empêcher son équipe de concéder deux buts à... onze contre dix en fin de rencontre. Ce dernier quart d'heure contre les Champions d'Europe fut particulièrement affligeant pour une équipe qui avait entraîné avec elle le public genevois lors de sa folle sarabande de la fin de la première période.
L'absence de Granit Xhaka provoquée par ce carton rouge vraiment stupide à Copenhague, le manque de souffle de plusieurs héros de l'Euro - on pense en premier lieu à Ricardo Rodriguez, à Remo Freuler et à Michel Aebischer - ont, il est vrai, bien compliqué la tâche de Murat Yakin dimanche soir. Le forfait de dernière minute de Silvan Widmer, blessé à l'échauffement, qui s'ajoutait à celui de Dan Ndoye, devait encore réduire sa marge de man½uvre.
Zakaria le grand perdant
Mais le coup le plus dur pour le sélectionneur fut la performance sans relief livrée par Denis Zakaria. Le capitaine de l'AS Monaco est le grand perdant de cette rencontre. Son remplacement à la 62e minute sonnait comme une sanction. "Ce n'était pas un match pour lui, lance Murat Yakin. Denis est un joueur qui perce les lignes et non un joueur qui doit ordonner le jeu à onze contre dix comme aurait pu le faire Xhaka."
Murat Yakin aurait sans doute été plus inspiré d'aligner le Genevois en défense. A Copenhague, il avait hésité à le titulariser à la place de Nico Elvedi. Dimanche, Gregory Wüthrich, appelé à remplacer le Zurichois, a dévoilé bien des limites. Le public genevois a pu se demander si Steve Rouiller, le patron de la défense du Servette FC, n'aurait pas remplacé avantageusement le joueur du Sturm Graz...
Un match couperet
A Leskovac face à la Serbie, son meilleur ennemi qui réservera sans doute un accueil très particulier à Granit Xhaka, la Suisse s'apprête à vivre une soirée bien difficile. Mais cette rencontre sonne déjà comme un match couperet.
Avec une défaite, le risque d'une relégation directe en Ligue B de la Ligue des nations sera plus encore plus oppressant. Et si la Suisse ne gagne pas ce match, son statut de tête de série pour le tirage au sort du tour préliminaire de la Coupe du monde sera encore davantage remis en question.
Murat Yakin est parfaitement conscient des enjeux d'octobre. "Nous allons revenir plus fort", promet-il. Il espère que Zeki Amdouni, peut-être son meilleur homme dimanche, pourra s'affirmer ces toutes prochaines semaines à Benfica, que Ruben Vargas retrouvera un temps de jeu plus conséquent à Augsbourg malgré son refus de prolonger son contrat et, surtout, que Dan Ndoye aura soigné sa blessure musculaire pour reprendre ses numéros de voltige qui avaient enchanté les supporters suisses à l'Euro. Le salut de l'équipe de Suisse passe en premier lieu par ce trio.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La France se rachète
La France s'est rachetée après sa défaite vendredi dernier contre l'Italie (3-1) en Ligue des Nations. A Lyon, les Bleus ont dominé la Belgique 2-0.
Une réussite de Kolo Muani à la 29e et une belle frappe d'Ousmane Dembele à la 57e ont permis aux hommes de Didier Deschamps de remporter cette partie. Souvent raillé pour le manque de précision de ses tirs, le joueur du PSG a été excellent dans la ville des Gones.
Les Tricolores ont eu d'autres possibilités d'aggraver le score, notamment par Kylian Mbappé, entré à la 67e, mais le portier belge Koen Casteels a été très bon.
Il fallait se reprendre après le revers concédé face à l'Italie, alors que la France avait très bien commencé la rencontre en marquant le but le plus rapide de son histoire par Barcola.
Dans l'autre rencontre de ce groupe 2 de la Ligue A, l'Italie a battu Israël 2-1 à Budapest. Les Transalpins sont en tête de ce groupe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"
"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.
"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."
Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."
"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Portugal bat l'Ecosse grâce à Ronaldo
Le Portugal a beaucoup souffert pour s'imposer face à l'Ecosse (2-1) pour le compte de la deuxième journée de la Ligue des nations.
La Seleçao a fait la différence grâce à un but décisif de Cristiano Ronaldo, sur le banc en début de match dimanche à Lisbonne.
Les Ecossais ont ouvert le score sur une tête de Scott McTominay (7e, 1-0). Bruno Fernandes, qui fêtait dimanche son 30e anniversaire, a rétabli l'égalité d'une frappe lointaine du gauche (54e, 1-1). Entré à la mi-temps, Ronaldo a délivré les siens peu avant le coup de sifflet final, en marquant à bout portant sur un service de Nuno Mendes (88e, 2-1).
Après avoir battu la Croatie (2-1) jeudi, également à Lisbonne, le Portugal est donc en tête du classement de sa poule, où la Croatie a battu la Pologne (1-0) dans l'autre match du soir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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