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Lausanne

A la Lausanne, la mobilité active ne cesse de progresser en ville

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Entre 2014 et 2021, la Ville de Lausanne a constaté une augmentation des déplacements à pied et à vélo (archives). (© Keystone/CHRISTIAN BRUN)

Le trafic automobile a baissé en ville de Lausanne entre 2014 et 2021, selon l'Observatoire de la mobilité. Pour cette même période, il constate une augmentation des déplacements à pied et à vélo.

Bien qu'encore influencées par les conséquences du Covid-19, ces données permettent d'observer une diminution de 12% du trafic individuel motorisé sur le périmètre (cordon) de la ville, ainsi qu'une croissance des flux piétons de 20%, indique mercredi la Ville de Lausanne dans un communiqué. Les déplacements à vélo sont, eux,quatre fois plus fréquents, ajoute-t-elle.

"Ces évolutions encouragent la Municipalité à poursuivre ses politiques de mobilité et d'aménagement de l'espace public pour réaliser les objectifs du Plan climat", souligne-t-elle. "En sept ans, les habitudes de déplacement de la population lausannoise ont évolué positivement vers une mobilité plus active", affirme Florence Germond, municipale en charge des finances et de la mobilité.

Afin d'apaiser le trafic, la Ville dénombre aujourd'hui 91 km dezones modérées (zones 30 km/h, zones de rencontre et zones piétonnes) soit une évolution de 63% depuis 2006. Elle note encore que depuis 2018, 63% de bancs publics supplémentaires ont été posés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Molteni ne jouera plus en équipe de Suisse

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Westher Molteni ne défendra plus les couleurs de la Suisse en 3x3 (© KEYSTONE/PIERRE ALBOUY)

Westher Molteni met fin à sa carrière internationale en 3x3, a-t-il annoncé mardi soir sur son compte Facebook.

Le Tessinois, pionnier de la discipline en Suisse, ne fait pas partie du quatuor retenu par Swiss Basketball pour le Tournoi de Qualification Olympique qui débute jeudi à Debrecen.

"Qu'aurais-je pu faire de plus? RIEN", écrit Westher Molteni dans une lettre ouverte publiée sur sa page Facebook. Le Tessinois de 37 ans se dit notamment déçu de ne pas connaître les raisons de sa non-sélection pour ce TQO, qui représente la dernière opportunité pour la Suisse de décrocher un ticket pour les Jeux de Paris.

"Quand je pense aux sacrifices que j'ai faits pour atteindre cet objectif de portée nationale, avoir refusé des contrats en basket à cinq car la saison de 3x3 dure dix mois, ne voir mes enfants que cinq jours durant l'été parce que nous devions rapporter des points à la Suisse pour pouvoir participer à un TQO, créer et promouvoir des tournois en Suisse et à l'étranger, ce n'est pas juste d'avoir été traité de la sorte", écrit-il.

Westher Molteni ne blâme ni les joueurs, ni le personnel de la Fédération. Il critique "le mécanisme mis en place dans notre pays, qui permet aux joueurs de décider si et quand ils veulent se sacrifier pour un but commun (...) et si et quand ils veulent s'entraîner dans l'optique des Jeux olympiques", souligne-t-il, regrettant que le mérite n'ait pas suffisamment d'importance dans le processus de sélection.

Cette décision est définitive, souligne le Tessinois. Il ne changera pas d'avis, même si la Suisse devait obtenir dimanche prochain le droit de participer au tournoi olympique de 3x3. Mais "je crois sincèrement que la Suisse a une vraie opportunité d'obtenir l'un des trois derniers tickets pour les Jeux, et j'ai bon espoir qu'elle y parvienne", écrit-il encore.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Peu de retouche à la nouvelle péréquation intercommunale

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La nouvelle péréquation intercommunale a longuement occupé les députés vaudois mardi (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

La nouvelle péréquation intercommunale vaudoise (NPIV) est presque sous toit. Le Grand Conseil n'a quasiment pas touché au projet initial mardi lors de son examen en premier débat.

Sans surprise, le projet concocté par le Conseil d'Etat et les faîtières de communes a globalement convaincu les députés, du moins ceux de la majorité de droite. A gauche néanmoins, des voix se sont élevées pour souligner "des insuffisances" en matière de solidarité intercommunale, certains qualifiant cette NPIV de "deal entre communes riches".

Plusieurs députés de gauche sont montés au front, à commencer par les deux auteurs d'un rapport de minorité en commission, Vincent Keller (Ensemble à gauche - POP) et Didier Lohri (Vert-e-s). Le premier a notamment milité pour une "solidarité intégrale" avec une compensation des différences de ressources entre les communes à hauteur de 100%, contre 80% jusqu'ici.

Son amendement a été écarté, tout comme celui de M. Lohri, qui voulait faire passer ce taux à 82,5%. Tableaux à l'appui, le député écologiste a défendu plusieurs autres amendements, afin là aussi de "tenter de modifier un peu les facteurs de solidarité", a-t-il plaidé, sans davantage de succès.

"Equilibres subtils"

Sur ce taux de 80%, la conseillère d'Etat en charge du dossier, Christelle Luisier, a assuré qu'il était déjà "l'un des plus hauts" du pays et qu'il convenait à "une très large majorité" des communes vaudoises. Elle a relevé qu'une péréquation visait à "atténuer" les différences entre communes, et non pas "à les mettre toutes au même niveau." Il en va de l'autonomie communale, a-t-elle dit.

A plusieurs reprises, la ministre PLR a aussi mis en garde contre des modifications trop importantes de la NPIV. Celle-ci repose "sur des équilibres subtils" dont dépend "la paix institutionnelle" entre le canton et les communes, a-t-elle affirmé.

Mme Luisier a été entendue par une majorité des membres du Grand Conseil et les autres amendements de la gauche ont été refusés, suscitant la résignation de certains. "On a bien compris que pas une virgule ne serait enlevée par ce plénum", a regretté M. Keller.

Communes de montagne

Par rapport au projet initial, quelques modifications ont, malgré tout, été adoptées. Un amendement, porté celui-ci par la majorité de la commission, a permis d'adapter la définition de la compensation accordée aux communes dites "de montagne", en raison de leur altitude et déclivité.

Plutôt que l'altitude du centre de la commune, il a été décidé de calculer la compensation selon le lieu de résidence des habitants. Si elle vit à 730 mètres ou plus, une personne doit être considérée comme "résidant en altitude", a expliqué le rapporteur de la majorité de la commission, Pierre Dessemontet (PS).

Le Conseil d'Etat ne s'est pas opposé à cet amendement, qui ne modifie pas les équilibres financiers généraux du projet.

Après presque quatre heures de débats, souvent très techniques, les députés n'ont pas encore complètement bouclé le premier débat. Ils devront s'y remettre lors d'une prochaine séance, sachant qu'un second débat sera ensuite encore nécessaire.

Contre-projet à SOS Communes

Pour mémoire, la NPIV prévoit une nouvelle péréquation intercommunale, tout en intégrant une nouvelle répartition de certaines factures cantonales (sociale et policière), sources de tensions récurrentes entre le canton et les communes. Elle prévoit aussi un renforcement du rééquilibrage financier en faveur des communes.

La NPIV fait office de contre-projet à l'initiative populaire "SOS Communes", qui demande que l'entier de la facture sociale soit repris par le canton. Les initiants veulent attendre la fin des débats au Grand Conseil avant de se prononcer pour la suite. S'ils devaient maintenir leur texte, une votation populaire aurait lieu en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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A Lausanne, une exposition célèbre les 50 ans des Magasins du Monde

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Les Magasins du Monde ont joué un rôle important dans le lancement du label Max Havelaar (image prétexte). (© KEYSTONE/WALTER BIERI)

Il y a 50 ans, les Magasins du Monde (MdM) ont vu le jour pour promouvoir un commerce plus juste, qui a pris par la suite le nom de "commerce équitable". Une exposition retrace leur histoire jusqu'au 25 mai à l'Hôtel-de-Ville de Lausanne, .

En 1974, le mouvement est né dans le but de dénoncer les pratiques commerciales de l'époque et de montrer qu'une relation plus équitable avec les producteurs du sud était possible et nécessaire. Cinquante ans plus tard, le monde a changé, mais le modèle défendu par les MdM reste pertinent, a rappelé mardi Lara Baranzini, coordonnatrice de l’association romande des Magasins du Monde.

Les MdM ont joué un rôle important dans le lancement du label Max Havelaar, qui a ouvert la voie à une démocratisation du commerce équitable. Depuis lors, ce dernier s'est développé à l'intérieur et à l'extérieur des circuits commerciaux traditionnels. Mais ces multiples labels s'avèrent plus ou moins fiables, certains n'étant vérifiés par aucune instance extérieure, note Mme Baranzini.

Rôle pionnier

Les MdM rappellent qu'en 1977 déjà ils prônaient la valorisation des sacs de course en jute à la place du plastique. En 1995, ils dénonçaient l'arrivée de l'huile de palme dans la fabrication du chocolat. Aujourd'hui, le mouvement élargit sa réflexion au commerce local, certains magasins vendant des produits agricoles de la région ou servant de relais pour des paniers de fruits et légumes.

Cette année de jubilé sera marquée par plusieurs événements, dont l'exposition "Autrement depuis 50 ans", organisée en plein centre-ville. Celle-ci explique le fonctionnement bénévole des MdM et détaille certains projets soutenus de longue date en Tanzanie (café) ou en Bolivie (cacao), par exemple. Des producteurs viendront témoigner de la réalité de ce partenariat.

En Suisse romande, les MdM comptent 35 magasins et plus de 700 bénévoles. Il existe en outre onze Botteghe tessinoises ainsi que des magasins claro en Suisse alémanique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Automobilistes, aux feux respectez les sas à vélos

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Le sas à vélo permet aux cyclistes de s'arrêter aux feux devant les voitures (Image prétexte). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La police de Lausanne lance une nouvelle campagne de prévention "Le sas à cycles, c'est pour moi". Elle rappelle aux usagers de la route l'importance de laisser libre ces zones d'attente destinées aux cycles et cyclomoteurs légers.

Ces sas sont des espaces délimités devant les feux de signalisation. Ils offrent aux deux-roues un lieu pour s'arrêter en toute sécurité devant les voitures et leur permettent de repartir plus facilement. En laissant libre les sas vélos, les conducteurs de véhicules motorisés contribuent à améliorer la sécurité et la fluidité de la circulation, explique mardi la police dans un communiqué.

Durant cette campagne, qui débute le 15 mai, des agents seront présents sur le terrain pour sensibiliser les usagers à l'importance de ces espaces dédiés. Ils s'assureront également du respect du marquage et de la signalisation lumineuse aux intersections.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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