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Les futures commissions thématiques divisent les députés

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Les débats ont été houleux mardi au Grand Conseil vaudois, mais ont permis de dessiner une esquisse des futures commissions thématiques pour la législature 2022-2027. (Archives) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le projet de décret visant à arrêter la liste des commissions thématiques pour la législature 2022-2027 a donné lieu à des débats houleux mardi au Grand Conseil vaudois. Le cahier des charges de la commission de l'environnement et de l'énergie ainsi que la fusion entre celles des pétitions et des grâces ont occupé le plénum presque toute la journée.

En se basant notamment sur la motion allant dans le même sens et déposée par le socialiste Jean Tschopp, la commission thématique des institutions et des droits politiques (CIDROPOL) a proposé un projet de décret sur les commissions thématiques au législatif. Ce dernier doit ainsi permettre d'aborder des domaines essentiels au fonctionnement de la vie politique comme le climat ou la formation lors de la prochaine législature.

Alors que le Grand Conseil compte neuf commissions thématiques dans son mandat actuel, la CIDROPOL a proposé de faire passer ce total à dix en créant deux nouvelles commissions, celle de l'environnement et de l'énergie ainsi que de la formation, et en fusionnant les commissions des pétitions et des grâces.

"C'est un projet équilibré, mesuré et qui renforce l'efficacité de notre parlement", a salué le rapporteur de commission Alexandre Démétriadès devant ses collègues. Le socialiste a également rappelé que la liste des commissions thématiques devait être votée avant la fin du mois pour respecter la loi et permettre une bonne transition avec la future législature.

La droite divisée

Si à gauche ce projet de décret a été globalement bien reçu, la droite est apparue désunie déjà au moment du vote sur l'entrée en matière sur le sujet. Alors que le PLR s'est montré favorable au décret, c'est le président du groupe UDC, Yvan Pahud, qui a dégoupillé en premier. "Nous ne sommes pas contre la modernisation de notre Parlement, mais il faut que nous gagnions en efficacité. Avec ce projet, ce n'est pas le cas", a-t-il affirmé.

Le parti agrarien, rejoint notamment par certains élus du PLR, reproche à ce décret de professionnaliser le législatif, de créer des commissions "fourre-tout" ou encore de négliger certains domaines comme les pétitions et les grâces.

Malgré des débats parfois tendus et une motion d'ordre, déposée par le PLR Pierre-André Romanens, pour renvoyer le projet en commission, l'entrée en matière a finalement été largement acceptée par le plénum. Les partisans du décret ont notamment dû faire appel au bon sens des députés en invoquant le délai très court pour boucler ce projet.

La place de l'agriculture en question

Deux points ont été au coeur du premier débat autour de ce projet de décret. Le premier concerne la commission de l'environnement et de l'énergie, qui devait s'appeler à la base commission du climat de l'environnement et de l'énergie. "Le climat est un thème trop transversal et qu'on retrouve dans beaucoup de politiques publiques. Dès lors, nous souhaitons enlever le climat de cette commission grâce à un amendement", a expliqué Alexandre Démétriadès. La CIDROPOL a également émis le voeu que la durabilité soit retirée du cahier des charges de la commission pour les mêmes raisons.

A droite, le flou laissé autour de la place de l'agriculture dans cette nouvelle commission a passablement agacé. Certains élus ont estimé que l'environnement ne pouvait être dissocié de l'agriculture. D'autres sont même allés plus loin en estimant que dans sa forme actuelle, cette commission de l'environnement et de l'énergie n'avait pas lieu d'être. Deux amendements en ce sens ont été déposés par les députés PLR Eric Sonnay et François Cardinaux.

Au moment du vote, les deux amendements PLR ont été rejetés par le plénum alors que celui de la CIDROPOL a été accepté par 130 oui contre 4 non et 3 abstentions.

Fusion rejetée

Le deuxième point de tension de ce premier débat résidait dans la fusion entre la commission des pétitions et celle des grâces. Le décret voulait transformer ces deux commissions de onze personnes en une seule de quinze. C'est encore une fois l'UDC Yvan Pahud, président de la commission des grâces, qui a fait entendre son mécontentement en premier. "Dans le cas des grâces, nous avons à faire des cas lourds comme des viols ou des incestes alors que les pétitions peuvent très bien traiter d'abribus ou de la défense des chats sans poils. On ne peut pas mélanger ces deux sujets" a-t-il tonné.

Soutenu par une bonne partie du Grand Conseil, le PLR François Cardinaux a déposé un amendement pour rejeter cette fusion. Ce dernier a été accepté à 81 oui contre 42 non 10 abstentions. Le reste du décret a été adopté à la quasi unanimité. Le tout fera l'objet d'un deuxième débat devant le plénum.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Cure de jouvence terminée pour la piscine de Mon-Repos

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Après 18 mois de travaux et de rénovations, la piscine Mon-Repos à Lausanne s'apprête à nouveau à accueillir le public dès ce week-end. (© Ville de Lausanne)

Après 18 mois de travaux, la piscine de Mon-Repos à Lausanne a terminé sa transformation et sa rénovation. Nouvelles cabines, douches et vestiaires universels ou encore des accès pour personnes à mobilité réduite. Le public pourra en prendre possession dès ce samedi dans l'après-midi.

La piscine Mon-Repos fait peau neuve ! Après 18 mois de travaux de rénovation, l'installation sportive la plus fréquentée de la capitale olympique sera à nouveau accessible dès ce samedi. Lancés en avril 2023, les travaux devaient initialement durer 9 mois. Mais, une corrosion de la structure a été découverte durant les travaux, qui ont prolongé la rénovation.

Emilie MoeschlerMunicipale lausannoise chargée du sport

Les vestiaires ont été rendus universels et ont été repensés avec des cabines plus larges, en particuliers pour les famille. De nouveaux accès ont également été construits pour faciliter l'accès aux personnes à mobilité réduite.

Emilie MoeschlerMunicipale lausannoise chargée du sport

Inaugurée en 1972, cette piscine est l'une des installations de sports les plus appréciées de la population lausannoise, ainsi que la plus fréquentée avec une moyenne de 180'000 entrées par année.

Emilie MoeschlerMunicipale lausannoise chargée du sport

La piscine de Mon-Repos ouvrira à nouveau ses portes ce samedi 21 septembre pour une après-midi portes ouvertes, avant une réouverture aux horaires habituels dès le dimanche 22 septembre.

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Au CHUV, un écran géant immersif pour étudier et traiter l'arthrose

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Grâce aux nouvelles installations du Swiss BioMotion Lab au CHUV à Lausanne, il sera possible d'étendre les études sur l'arthrose à des populations plus grandes, d'obtenir des profils de marche plus complets et de proposer de la rééducation plus ciblée et personnalisée. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Le CHUV à Lausanne a inauguré vendredi les nouveaux équipements du Swiss BioMotion Lab. Ce laboratoire spécialisé dans l'analyse et la rééducation du mouvement va concilier au mieux la recherche sur l'arthrose et les soins des patients atteints de cette maladie.

"Il permettra de réaliser des recherches d'envergure et de faire profiter les patients des données biomécaniques jusqu'ici surtout utilisées en recherche", explique à Keystone-ATS la professeure Brigitte Jolles-Haeberli, codirectrice du Swiss BioMotion Lab avec le docteur Julien Favre. Le laboratoire est notamment équipé d'un tapis roulant inclinable faisant face à un immense écran incurvé et immersif, qui permet l'analyse de la marche en conditions "réelles". Le coût de ces nouveaux dispositifs se monte à un peu moins d'un million de francs.

La biomécanique des patients souffrant d'arthrose du genou est analysée au Swiss BioMotion Lab depuis 2014, rappelle le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV). Le laboratoire compte entre 15 et 19 collaborateurs.

Grâce à des caméras et de nombreux capteurs situés dans le sol ou placés sur le patient, l'équipe composée principalement de médecins, d'ingénieurs et de physiothérapeutes peut mesurer les angles, les forces ainsi que de nombreux autres paramètres afin d'établir des profils de marche. La modélisation mathématique et mécanique de la marche est précieuse pour mieux comprendre l'origine et le développement de l'arthrose, rappellent ses responsables.

Les travaux déjà menés ont permis de lier des caractéristiques de la marche à la sévérité de la maladie ainsi qu'aux propriétés des os et des cartilages. Des études ont également démontré la possibilité de modifier ces caractéristiques dans un objectif thérapeutique.

Pratique clinique courante

Grâce aux nouveaux équipements, il sera possible d'étendre les études à des populations plus grandes, d'obtenir des profils de marche plus complets et de proposer de la rééducation plus ciblée et personnalisée, selon la professeure. Autre objectif visé: intégrer ces possibilités à la pratique clinique courante. "L'idée est donc de faire passer toutes les recherches que l'on a développées depuis dix ans sur l'arthrose dans la clinique au service des patients."

"Les capacités du Swiss BioMotion Lab sont uniques", relève le Dr Julien Favre. "Des équipements perfectionnés de mesure du mouvement permettent par exemple de reproduire les conditions réelles et quotidiennes de la marche".

Pour ce faire, le patient marche sur un tapis roulant face à un immense écran faisant défiler des paysages réels: le bord du lac Léman ou encore un chemin en Lavaux par exemple. Le tapis roulant peut même s'incliner, permettant de reproduire du dénivelé. Le système peut également fournir des informations en continu afin d'aider les patients à modifier leur marche.

"L'idée est de passer dans des conditions de vie réelle et d'avoir des longs cycles de marche, des centaines, des milliers de cycles de marche, de sorte à pouvoir faire des analyses de très grande échelle et à progressivement intégrer l'intelligence artificielle pour avoir la meilleure prise en charge possible des patients, la plus personnalisée aussi", poursuit Brigitte Jolles-Haeberli.

Changer la façon de bouger

En observant la façon de marcher, en mesurant la manière de bouger, en constatant une éventuelle altération du mouvement, à cause de l'arthrose, le but est ensuite d'aider le patient à changer sa façon de bouger pour par exemple mieux marcher, expliquent en substance les deux codirecteurs.

"En plus de conseils de marche, les données de mouvement pourraient servir à la planification de chirurgie ou même influencer le design des prothèses", ajoutent-ils. "Comme il est difficilement envisageable de multiplier de telles installations, le laboratoire travaille aussi au développement de méthodes plus simples qui pourraient être déployées un jour dans des cabinets médicaux ou de physiothérapie".

Jusqu'ici, le Swiss BioMotion Lab s'était concentré sur l'arthrose des membres inférieurs. Grâce aux nouvelles installations du laboratoire, les champs d'application pourront être élargis à l'arthrose des membres supérieurs ou encore aux lombalgies, indique encore le CHUV.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le Conseil d'Etat vaudois adapte son projet de loi sur l'énergie

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Le conseiller d'Etat vaudois Vassilis Venizelos a présenté jeudi le projet de nouvelle loi sur l'énergie, dont il espère une entrée en vigueur en 2026. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Conseil d'Etat vaudois a adapté son projet de nouvelle loi sur l'énergie. Après consultation, il a notamment décidé de distinguer petits et grands propriétaires en matière de délai accordé pour assainir les bâtiments les plus énergivores.

Ce sont les bâtiments classés F et G selon le Certificat énergétique cantonal (CECB) qui sont concernés, soit environ un bâtiment sur cinq dans le canton, 28'000 au total. Concrètement, il s'agit des constructions datant d'avant 1986 et qui sont toujours dans leur jus. Les précisions d'Aline Clerc, Directrice de l'énergie.

Aline ClercDirectrice de l'énergie

Selon la nouvelle mouture du Conseil d'Etat, les petits propriétaires (moins de 750 m2) auront jusqu'en 2040 pour assainir leur bâtiment et obtenir la note D, les grands propriétaires jusqu'en 2035. Il y aura des sanctions en cas de non-respect des délais.

Vassilis VenizelosConseiller d'État en charge de l'environnement

Ces travaux entraîneront donc des travaux importants, qui pourraient avoir un impact sur les loyers. À quoi doivent donc s'attendre les locataires?

Vassilis VenizelosConseiller d'État en charge de l'environnement

Le ministre de l'environnement Vassilis Venizelos a aussi annoncé jeudi que le délai avait été adapté pour la fin des chauffages à gaz ou mazout. L'obligation de remplacement, jusqu'ici fixée à 2040, a été allongée à 2046 pour les chauffages qui auraient été installés après 2020.

Ce projet de loi passe désormais au Grand Conseil. Le Conseil d'Etat espère une entrée en vigueur au premier semestre 2026.

Alessia Merulla avec ATS.

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Économie

Financement de la santé: les cliniques privées montent au créneau

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Jérôme Simon-Vermot (à gauche), secrétaire général de Vaud Cliniques, et Marc-Olivier Buffat (à droite), président de cette association des cliniques privées vaudoises, ont dénoncé jeudi le système de financement et de planification de la santé vaudoise, notamment trop centré sur le CHUV. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Déjà insatisfaites de la révision de la planification hospitalière dans le canton de Vaud, les cliniques privées remontent au front. Elles dénoncent un système de financement et de planification de la santé "déséquilibré, opaque et surtout illégal".

"Nous voulons faire entendre notre voix par rapport aux coûts de la santé et à la hausse de primes maladies, et donc être entendu et respecté. Nous voulons des règles claires, transparentes et équitables, dans le respect du droit régissant le financement de la santé dans notre canton", a déclaré Marc-Olivier Buffat, président de Vaud Cliniques, l'association des cliniques privées vaudoises (11 cliniques, 3500 employés, dont environ 1000 médecins, et 200'000 hospitalisations en moyenne par année).

"Le dialogue avec le canton est difficile. Les cliniques privées peinent à être prises au sérieux. Elles souhaiteraient être mieux considérées comme un partenaire valable et très efficient", a-t-il affirmé jeudi devant les médias à Lausanne.

Interventionnisme "inéquitable"

Dans le viseur de Vaud Cliniques: l'interventionnisme "inéquitable" de l'Etat et de son Département de la santé et de l'action sociale (DSAS) à travers l'instrument des "prestations d'intérêt général" (PIG), un terme défini par la loi fédérale sur l'assurance-maladie (LAMal).

Il s'agit de prestations hospitalières que peuvent financer les cantons et qui sont entièrement à leur charge, contrairement aux actes médicaux relevant du système forfaitaire DRG pour les soins stationnaires hospitaliers. Pour ces derniers, la facture des soins est partagée entre les assureurs (45%) et les cantons (55%).

Payés par les impôts, ces PIG vont de la formation des médecins à la politique de prévention, en passant par la recherche ou encore le maintien de capacités hospitalières dans des régions périphériques. Ils ne doivent en revanche pas couvrir horizontalement les salaires ou servir à investir dans des équipements et du matériel.

Critiques de la Cour des comptes

Un rapport de la Cour des comptes l'an passé a remis en question cette pratique des PIG vaudoises, la jugeant peu transparente, mal pilotée et encadrée par le DSAS. Chaque année, les hôpitaux vaudois - le CHUV en tête - reçoivent environ un demi-milliard de francs pour financer ces PIG, dont 150 millions concernent des PIG dits "implicites", soit sans affectation et objectifs précis.

"Le système actuel repose sur des pratiques non conformes au droit, avec des centaines de millions de francs versées sans base légale", a pour sa part insisté Jérôme Simon-Vermot, secrétaire général de Vaud Cliniques. "Ces fonds sont prélevés directement dans les poches des contribuables, déjà confrontés à des hausses massives de leurs primes d'assurance-maladie", souligne-t-il.

"Ces versements contournent en particulier la Constitution fédérale et la LAMal. Cette situation fausse le marché de la santé en favorisant avant tout l'hôpital propriété du canton, au détriment des cliniques privées qui, elles, respectent scrupuleusement les règles de la LAMal", ajoute-t-il.

"Une vaudoiserie"

"C'est une 'vaudoiserie'. Il faut arrêter de concentrer tout l'argent autour du CHUV, stopper cet autofinancement. Certains PIG conduisent à une distorsion de la concurrence et à un abus de position dominante", relève M. Buffat. "Un meilleur partenariat avec les cliniques privées permettrait d'ailleurs de désengorger le CHUV", observe-t-il.

L'association a interpellé le canton dès le mois d'août dernier et continue d'explorer les différentes voies que la loi lui garantit afin d'obtenir le respect du droit. Un recours au sujet de la planification hospitalière, qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2025, est déjà pendant auprès du Tribunal fédéral administratif (TAF).

D'autres actions judiciaires ne sont pas exclues, selon MM. Buffat et Simon-Vermot, par exemple aussi auprès de la Commission de la concurrence (COMCO).

Le DSAS réagit

De son côté le DSAS se défend et dit "financer, par les PIG versées au CHUV, des prestations de recherche, de formation, de prévention et certains soins qui ne sont pas pris en charge par la LAMal, dans le plus total respect de la loi".

L'Etat verse également des PIG au CHUV "à titre de couverture tarifaire: tous les hôpitaux universitaires sont déficitaires, beaucoup plus que le CHUV pour certains, parce qu'ils doivent assumer des tâches que les autres hôpitaux n'assument pas - et les cliniques privées non plus", écrit le directeur général de la santé au DSAS Gianni Saitta dans une prise de position.

"On parle notamment de recherche, de formation, de prise en charge des cas les plus lourds et complexes, que les cliniques ne peuvent pas assumer et qu'elles renvoient au CHUV - ce sont aussi ces cas qui ne sont absolument pas rentables. Enfin, le CHUV est ouvert 24/7, ce qui a un coût élevé, que les cliniques privées n'ont pas à supporter. Le versement de ces PIG n'est donc pas une distorsion de la concurrence", souligne M. Saitta.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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