Vaud
Le Grand Conseil demande un cadre légal pour l'e-cigarette
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Le Grand Conseil vaudois souhaite soumettre la cigarette électronique au même cadre légal que les produits du tabac. Il a accepté massivement mardi de transmettre un postulat en ce sens au Conseil d'Etat.
"La cigarette électronique permet de s'éloigner du tabac et c'est tant mieux. Mais elle est soumise à la loi sur les denrées alimentaires, se trouve en vente libre et échappe à tout contrôle", a regretté la Vert'libérale Graziella Schaller, auteur du texte, une motion transformée en postulat lors de son passage en commission, en raison d'une loi fédérale en préparation sur le sujet.
Etudes inquiétantes
L'e-cigarette ouvre la porte au tabagisme en étant très attrayante pour les jeunes. Selon une étude, ils ont deux à trois fois plus de risques de devenir fumeurs. Addiction suisse va dans le même sens: chez des élèves de 11 à 15 ans, la moitié des garçons et un tiers des filles avaient déjà testé une fois la cigarette électronique.
Le Conseil d'Etat souhaitait attendre en raison de la loi fédérale en consultation. Mais elle accouche avec difficulté, note la députée. Sa finalisation est attendue pour 2022 seulement. Et elle est peu contraignante au niveau de la publicité.
Le postulat demande des dispositions pour protéger les jeunes, en interdisant la cigarette électronique dans les lieux publics, la publicité pour de tels produits, ainsi que leur vente aux mineurs. Le Valais a déjà pris des mesures en ce sens, souligne Mme Schaller.
Ne pas attendre
"Le Conseil d'Etat ne doit pas attendre que ce produit fasse des ravages auprès de jeunes. Il ne doit pas être vendu au-dessous de 18 ans", a noté la socialiste Murielle Thalmann. "ll faut agir vite et fort", a déclaré Hadrien Buclin (Ensemble à gauche), rappelant la puissance du lobby des cigarettiers au Parlement fédéral.
L'UDC Jean-Luc Chollet a de son côté souligné une "contradiction majeure" entre préservation de la santé publique et "marche en avant" du cannabis. Pour la PLR Carole Dubois, la priorité est de protéger les mineurs et les non-fumeurs. Néanmoins, sleon elle, il vaut mieux attendre les résultats de la consultation fédérale.
Pas de fumée dans les lieux publics
"Pour nous, toute fumée est proscrite dans les lieux publics", a assuré Pierre-Yves Maillard. Si nécessaire, la loi sera complétée en ce sens. Le Conseil d'Etat s'engage aussi en faveur de moyens de prévention et d'action notamment dans les milieux scolaires et pour que la protection des mineurs soit garantie.
La cigarette électronique est admise en tant que substitut pour les fumeurs de cigarettes classiques; elle ne l’est pas si sa commercialisation vise la captation de nouveaux consommateurs, estime le conseiller d'Etat.
Quant à la question de la publicité pour l'e-cigarette, elle s’avère plus complexe, notamment parce que la loi fédérale empêche d'avoir des limites plus strictes, a observé le conseiller d'Etat.
(KEYSTONE-ATS)
Vaud
Bavois (VD): 59 kilos de haschich découverts dans un camping-car
Quatre sacs de sport contenant un total de 59 kilos de haschich ont été découverts dans un camping-car sur l'aire d'autoroute de Bavois (VD) le 29 octobre dernier. Le conducteur, un Suisse de 69 ans, ainsi que sa cargaison ont été remis à la police.
Lors du contrôle, effectué en soirée par une patrouille de l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), un chien détecteur de stupéfiants, a marqué deux endroits dans l'habitacle du véhicule, a fait savoir l'OFDF jeudi dans un communiqué. De couleur noire, les quatre sacs de sport étaient dissimulés dans une cachette aménagée à l'arrière du véhicule.
"Les stupéfiants avaient été emballés sous vide et répartis en plusieurs blocs", précise le document. Une équipe de spécialistes en inspection de véhicules appelée en renfort n’a pas détecté d’autres types de drogue.
Le véhicule avait été immatriculé dans le canton de Soleure. Le conducteur était accompagné d'une ressortissante roumaine âgée de 45 ans. Une enquête du Ministère public vaudois est en cours.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Retour des vélos en libre-service à Nyon
Les vélos en libre-service devraient faire leur retour ce printemps à Nyon et dans les environs. Région de Nyon a attribué la concession à l'entreprise Voi Technology. L'offre devrait augmenter de 50%, avec 71 stations et 450 vélos désormais tous électriques.
Depuis cet été, les Nyonnais ne disposaient plus de vélos en libre-service, conséquence d'un recours juridique. Dans un premier temps, l'association intercommunale avait en effet attribué l'exploitation du réseau à une entreprise américaine, mais le Tribunal cantonal a cassé cette adjudication faute d'appel d'offres.
Région de Nyon a rapidement remis l'ouvrage sur le métier, lançant cet été un appel d'offres public. Mais Publibike, auteur du recours et dont la collaboration avec Région Nyon se terminait à la fin juin, avait retiré ses vélos à la fin de son contrat, laissant la région sans dispositif en libre-service.
Offre la plus avantageuse
Après analyse des offres reçues dans le cadre du marché public, Région de Nyon a adjugé le mandat à l'entreprise Voi qui a remis l'offre la plus avantageuse, explique mercredi un communiqué. L'entreprise scandinave est déjà présente dans plusieurs villes suisses, notamment à Zurich, Berne et Bâle.
Les emplacements dans les 12 communes partenaires du réseau nyonnais seront maintenus. D’autres s'ajouteront pour passer de 49 à 71 stations et d'environ 300 à 450 vélos, désormais tous électriques. Le rééquilibrage des vélos et la gestion de la flotte seront assurés par une entreprise sociale implantée à Nyon et ayant pour mission la réinsertion socio-professionnelle, précise le communiqué.
Regagner les usagers
Dès échéance du délai de recours le 19 décembre 2025, les partenaires pourront finaliser les modalités contractuelles et planifier les prochaines étapes de mise en oeuvre. Région de Nyon espère une mise en service à la fin du premier trimestre, a indiqué l'association à Keystone-ATS.
L'objectif est de développer la mobilité activité dans le district et de poursuivre la bonne dynamique observée ces deux dernières années. Le taux d'utilisation des vélos en libre-service a augmenté de 30% entre 2023 et 2025. L'un des enjeux sera de fidéliser à nouveau des usagers qui ont dû revoir leurs habitudes de déplacement ces derniers mois en raison de la suspension du dispositif en libre-service. Des offres spéciales sont d'ores et déjà prévues.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
Le Grand Conseil vaudois a poursuivi mercredi ses discussions sur le projet de budget cantonal 2026. Comme la veille, la gauche a échoué à faire passer de nombreuses propositions de modifications, notamment la suppression des coupes pour les hôpitaux régionaux.
Les députés ont repris en début d'après-midi la suite de la première lecture du projet de budget (1er débat), avec plus de trois heures de discussions sur le budget de fonctionnement du Département de la santé et de l'action sociale (DSAS) de Rebecca Ruiz, déjà entamées mardi.
Un des gros sujets du jour était les coupes budgétaires prévues pour les hôpitaux régionaux et notamment les pôles santé. Après avoir annoncé des mesures d'économie à hauteur de 20 millions de francs, le Conseil d'Etat les a revues à la baisse lors de la présentation du budget 2026, à savoir une réduction à cinq millions de francs.
La gauche a voulu supprimer ces cinq millions. Mais elle n'a pas réussi à faire passer son amendement, refusé par 76 non (PLR, UDC et Vert'libéraux) contre 58 oui (PS, Vert-e-s, EP).
EMS: coupes réduites de moitié
L'autre sujet emblématique du côté sanitaire était l'effort à la contribution de crise des Etablissements médico-sociaux (EMS). Les coupes budgétaires prévues par le gouvernement étaient de quelque 14 millions. La Commission des finances (Cofin) a, elle, proposé de les réduire de moitié, à 7 millions. Un amendement socialiste a été déposé pour ramener ce chiffre à zéro. Il a été refusé par la droite.
En revanche, la réduction de 50% de la contribution aux EMS (7 millions et non 14) a été acceptée grâce au ralliement des Vert'libéraux avec la gauche.
La droite a, par contre, fait bloc et refusé de biffer les coupes dans le programme cantonal InvestPro visant à lutter contre la pénurie du personnel de la santé et à répondre à l'initiative "Pour des soins infirmiers forts". Elle a dit non à la proposition de réinscrire + 4,3 millions de francs au budget (2,8 millions pour la formation et -1,5 million pour la revalorisation de la CCT-SAN).
Les soins à domicile n'ont pas pu éviter, non plus, des mesures d'économie. La gauche n'a pas réussi à faire passer la suppression de 5,5 millions de francs de coupes.
Subsides assurance-maladie
Autre refus grâce au bloc PLR-UDC-Vert'libéraux: de renoncer à ce que les personnes au bénéfice de subsides pour l'assurance-maladie (plafonnement des primes à 10% du salaire) participent à l'effort d'économies à hauteur de 18,4 millions, à travers trois mesures, dont un délai de carence allongé d'un mois pour les primo-demande.
Un sujet aura au moins fait l'unanimité mercredi après-midi: la sous-estimation de la participation des communes à la cohésion sociale (principe de sincérité budgétaire). Elle a été revue à la hausse de 18,4 millions de francs.
Pour rappel, le projet initial du budget du Conseil d'Etat prévoit un déficit de 331 millions de francs, lequel intègre 305 millions de mesures d'économies. Ce budget sera encore adapté au terme des débats au Grand Conseil.
Ceux-ci se poursuivent mercredi soir, avec encore trois départements à passer en revue, et peut-être une demande de deuxième débat immédiate, puis à nouveau la semaine prochaine pour deux journées. Les députés ont jusqu'au mercredi 17 décembre minuit pour adopter le budget 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Décès d'un détenu à Lausanne: enquête ouverte
Un homme détenu dans la zone carcérale de l'Hôtel de Police de Lausanne est décédé au CHUV dans la nuit de mardi à mercredi. Il y avait été transféré dans un état grave le 3 novembre. Une instruction pénale a été ouverte pour déterminer les circonstances du décès.
L'homme de 40 ans, de nationalité algérienne et sans domicile connu en Suisse, avait été transféré début novembre au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), avec un pronostic vital engagé. Un gardien "aurait remarqué à 12h15 qu'il respirait dans sa cellule de manière anormale", explique le Ministère public mercredi dans un communiqué.
Placé aux soins intensifs depuis lors, son décès a été constaté mardi à 22h25. L'homme était détenu dans la zone carcérale de l'Hôtel de Police depuis la nuit du 18 au 19 octobre dernier, suite à un cambriolage d'un garage à St-Prex (VD).
"Les premiers examens externes réalisés durant le séjour hospitalier du prévenu n’ont révélé aucun signe de violence", précise le Ministère public. L’autopsie du corps du défunt a été ordonnée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Laurent Reymond
3 avril 2019 à 04:39
A quand une loi pour lutter contre la bière sans alcool ?
Farfelu ? Pas autant qu'une étude d'addiction qui ne peut affirmé si le produit addictif était contenu ou pas dans ce qui a été consommé, mais qui le déclare haut et fort !