Suisse
Rösti veut investir davantage dans la production d'électricité
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Portant l'étiquette de lobbyiste du pétrole et du nucléaire, le candidat de l'UDC au Conseil fédéral Albert Rösti se dit d'accord avec l'idée de sortir des énergies fossiles. Mais il ne faut fermer la porte aucune source d'énergie, notamment le nucléaire, selon lui.
"Je suis en faveur du développement des énergies renouvelables, mais aujourd'hui, on se rend compte que sans énergies fossiles, on ne pourrait pas faire tourner la centrale à gaz de secours de Birr", en Argovie, déclare M. Rösti dans un entretien diffusé samedi dans les journaux du groupe de presse Tamedia.
"Je reste persuadé qu'il est faux de vouloir se passer d'un type d'énergie", explique le conseiller national bernois, qui a été désigné vendredi, au côté du Zurichois Hans-Ueli Vogt, sur le ticket officiel de l'UDC pour reprendre le 7 décembre le siège du conseiller fédéral démissionnaire Ueli Maurer.
Approvisionnement énergétique
S'il est élu au Conseil fédéral, M. Rösti entend investir davantage dans le développement de la production d'électricité. "L'approvisionnement énergétique est le problème le plus urgent de la Suisse [...] Avec suffisamment d'électricité, la Suisse peut prendre en compte de la protection du climat".
Le conseiller national bernois dit vouloir défendre cette position qu'il soit à la tête du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) ou d'un autre. C'est au DETEC qu'il aurait le plus d'expérience, s'il devait être élu au Conseil fédéral, ajoute-t-il. Mais il est "prêt à travailler partout".
Concernant les relations entre la Suisse et l'Union européenne (UE), M. Rösti estime que la Confédération doit communiquer plus clairement les lignes rouges à Bruxelles. "Un assujettissement à la Cour de justice de l'UE et une reprise dynamique du droit européen ne sont pas envisageables", ajoute-t-il en accord avec son parti.
Venant d'un canton bilingue, l'ancien président de l'UDC espère faire le plein de voix parmi les élus romands des chambres fédérales. La Suisse romande "a toujours été présente. Et ce lien m'a suivi dans toutes mes fonctions", assure-t-il. "Si je suis élu, je serai aussi un conseiller fédéral pour les Romands".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les perspectives conjoncturelles s'éclaircissent encore
Les attentes pour l'évolution de l'économie suisse continuent de s'améliorer, les entrepreneurs retrouvant leur optimisme d'avant la guerre commerciale initiée par les Etats-Unis.
L'activité manufacturière est optimiste pour les prochains mois, alors que les exportateurs et la consommation sont plus prudents.
Le baromètre conjoncturel de l'institut KOF, qui évalue les anticipations économiques des prochains mois, a grimpé de 1,7 point sur un mois à 103,4 points en décembre, selon un communiqué publié mardi.
Cet indicateur très suivi des milieux économiques dépasse ainsi son niveau de février (103,3 points), soit avant la proclamation en avril du "Liberation day" par le président américain Donald Trump où l'indice avait chuté à son niveau le plus bas (95,5 points) de l'année.
Dans l'industrie et la construction, la tendance est positive, ont relevé les experts du centre d'études zurichois, notamment pour les perspectives d'emploi, de stocks et de marche des affaires. L'activité de production et les entrées de commandes se trouvent cependant sous pression.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Un Suisse sur trois va se serrer la ceinture en 2026
Le climat de consommation s'annonce difficile en Suisse l'an prochain. Un bon tiers de la population souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.
A l'aube de cette nouvelle année, la moitié de la population s'inquiète pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise, selon le moniteur de la consommation publié mardi par l'institut d'études de marché management tools research.
Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne et 6% très bonne, selon une enquête menée auprès de plus 1200 personnes âgées de 16 à 79 ans.
Cette perception diffère de façon notable entre les différentes régions du pays. En Suisse alémanique, plus de la moitié des participants à l'étude ne s'inquiètent pas de l'état de leur compte bancaire et 52% d'entre eux qualifient leur situation économique de bonne ou très bonne, quand au Tessin 59% de la population juge sa situation "tendue, difficile, voire critique". En Suisse romande, ce chiffre atteint même 61%.
Une morosité qui se reflète dans la planification budgétaire. Une personne sur trois (32%) dit souhaiter réduire son budget familial en 2026, un chiffre qui atteint même 41% chez les moins de 45 ans. Seuls 19% des interrogés souhaitent dépenser plus au cours de la nouvelle année et 44% maintenir leurs dépenses à un niveau constant.
Prudence de mise
Les sondés veulent avant tout faire des économies dans les domaines où les achats peuvent être reportés: 37% dévoilent prévoir de dépenser moins pour les articles de consommation courante et 35% pour les vêtements. Beaucoup réduiront également leurs dépenses liées aux sorties: 31% entendent se serrer la ceinture au niveau de la restauration et 24% dans les domaines de la culture, des loisirs et autres activités.
Seuls les domaines des assurances et des frais de santé ne permettront pas de réaliser des économies. Près de la moitié des personnes interrogées s'attendent à une augmentation des dépenses de santé pour l'année prochaine, "ce qui montre à quel point les primes pèsent lourdement sur le budget", souligne l'étude.
Ce comportement prudent des consommateurs devrait se répercuter sur les revenus de nombreux fournisseurs. Un quart des personnes interrogées souhaitent par exemple dépenser moins d'argent dans le commerce de meubles, comme par exemple chez Ikea. Les détaillants d'électronique, d'articles ménagers et en ligne sont également sous pression, plus d'un cinquième d'entre elles indiquant vouloir réduire leurs dépenses chez Galaxus, Media Markt, Fust et Interdiscount.
Concernant les denrées alimentaires, un peu moins de personnes ont l'intention d'économiser mais chez Migros, Coop, Aldi et Lidl si "environ la moitié souhaite dépenser autant que l'année précédente, les interrogés souhaitent plutôt réduire leur budget que l'augmenter".
Recours aux crédits
Afin de pouvoir effectuer des achats importants malgré un budget serré, de nombreuses personnes envisagent par ailleurs de modifier leurs habitudes de paiement. Elles sont 25% à admettre qu'elles paieront plus souvent sur facture l'année prochaine, 11% à miser davantage sur les paiements échelonnés, 4% sur le leasing et 3% à envisager un crédit.
Sur ce dernier point, les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à vouloir faire une demande de crédit et ils sont également plus enclins à recourir au paiement échelonné et au leasing.
Par ailleurs, 13% des sondés déclarent ne pas pouvoir épargner du tout. Au Tessin, ce pourcentage est plus de deux fois plus élevé et atteint 29%. Le montant moyen épargné est de 1220 francs par mois, mais l'écart est énorme: ceux qui gagnent moins de 7000 francs épargnent en moyenne environ 360 francs, alors que les personnes dont le salaire mensuel dépasse 9000 francs peuvent mettre plus de 2800 francs de côté. Et tandis que les locataires ne peuvent épargner qu'environ 750 francs par mois, les propriétaires immobiliers économisent plus de 2000 francs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 5, 8, 16, 19, 24 et 39, ainsi que le numéro "dream" 2, a indiqué la Loterie romande.
Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La monogamie, un régime lié à la concurrence pour l'héritage
Les conflits autour des successions ont contribué à faire de la monogamie un modèle à succès. L'idée de léguer ses biens et ses terres sans partage a poussé les hommes à restreindre le nombre de leurs épouses.
C'est ce qui ressort d'une étude menée par des chercheurs de l'Université de Zurich dans la revue spécialisée "Pnas", et dont les résultats ont été publiés lundi.
Historiquement, la polygamie, qui consiste pour un homme à avoir plusieurs femmes, était le système matrimonial le plus répandu. Il devait permettre aux femmes de partager un homme privilégié avec d'autres afin d'assurer de meilleures conditions de vie à leurs enfants.
La raison pour laquelle la monogamie s'est imposée au fil du temps dans de nombreuses sociétés reste un mystère. Les chercheurs s'attendaient à ce que la polygamie soit plus fréquente dans les communautés agricoles caractérisées par de grandes différences de propriété et de statut social.
Ressources en jeu
Mais finalement, là où les ressources comme les terres agricoles devenaient rares, qu'elles étaient privées et transmissibles par héritage, la monogamie a pris le dessus. L'équipe de l'Uni de Zurich a analysé les données de 186 sociétés à travers le monde pour cette étude.
Selon les chercheurs, les hommes ont réduit le nombre de leurs épouses afin d'éviter le partage de l'héritage et d'assurer un avantage à leur descendance. Ils n'ont en revanche pas pu confirmer une autre théorie selon laquelle la monogamie favoriserait la stabilité sociale.
Cette hypothèse part du principe que la polygamie entraîne un surplus d'hommes célibataires, ce qui favoriserait la violence. La monogamie réduirait donc la concurrence entre les hommes et apporterait un avantage à la société. Les chercheurs n'ont trouvé aucune preuve claire à l'appui de cette hypothèse.
Les résultats de l'étude remettent également en question l'hypothèse selon laquelle la monogamie serait principalement un héritage historique des sociétés européennes. L'analyse montre que la monogamie est apparue plusieurs fois dans les mêmes conditions de pénurie de ressources, indifféremment de la culture ou de la langue de la société.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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