Suisse
Temenos aiguise l'appétit du suédois EQT
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Temenos aurait capté l'attention d'EQT. La société suédoise d'investissements évalue une potentielle acquisition du développeur genevois de logiciels bancaires, croit savoir Bloomberg. Contactés par AWP, Temenos et EQT n'ont pas souhaité commenter des "spéculations".
Les investisseurs semblaient enthousiasmés par cette nouvelle. Vers 11h00, l'action Temenos prenait 8,7% à 133,50 francs, dans un SLI en recul de 0,30%. A ce cours, la capitalisation boursière du groupe genevois s'approchait des 10 milliards de francs.
En cas de succès de l'opération, cette acquisition serait la plus importante pour une entreprise cotée en Europe en 2021, selon les calculs de Bloomberg. L'information dévoilée mercredi par l'agence américaine se base sur des sources dites proches du dossier.
Pour la Banque cantonale de Zurich (ZKB), l'affaire manque de clarté à ce stade. L'analyste Andreas Müller rappelle que Temenos a été par le passé la cible de nombreuses rumeurs de reprise qui n'ont finalement pas abouti.
Il est fort probable que le fonds suédois soit intéressé par les revenus récurrents - donc stables - du groupe genevois. Sur la base de ces recettes, l'action est relativement chère, avec un ratio de 21x, note la ZKB. Par rapport aux autres développeurs de logiciels bancaires, Temenos dispose d'une faible part de revenus récurrents, de 53%.
L'établissement cantonal estime que la juste valeur de l'action est de 138 francs, ce qui veut dire que le titre est légèrement sous-évalué. La recommandation "pondérer au marché" reste de mise.
EQT est surtout connu en Suisse pour avoir racheté en 2016 les activités de services aux voyagistes du groupe Kuoni, désormais séparées en deux entités, le prestataire de services de visas VFS Global et Kuoni Global Travel Services.
Spécialisée dans le capital-investissement et le capital-risque, la société présente une masse sous gestion de 70 milliards d'euros (74,5 milliards de francs) répartis dans 27 véhicules de placement. Les entreprises en portefeuille représentent 29 milliards d'euros de recettes et sont localisées en Europe, en Asie-Pacifique et sur le continent américain.
Le fonds suédois - allié à l'américain Hellman & Friedman - se démène actuellement pour reprendre Zooplus. Les deux partenaires ont relevé mi-octobre leur offre d'achat, proposant un total de 3,3 milliards d'euros pour cette plateforme allemande de vente en ligne de produits animaliers.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Sondages: les deux initiatives seraient rejetées le 30 novembre
Un double non se profile pour les votations fédérales du 30 novembre. Selon les derniers sondages de la SSR et de Tamedia publiés mercredi, aussi bien l’initiative pour le service citoyen que celle pour l'impôt sur les successions seraient rejetées.
Ainsi, 64% des personnes sondées par la SSR voteraient contre le texte "Pour une Suisse engagée (initiative service citoyen)" et 32% diraient oui.
Les arguments en faveur de l'initiative perdent du terrain tandis que dans le camp adverse l’argument des coûts acquiert de plus en plus de poids.
Quant à l'initiative des Jeunes socialistes pour la taxation des successions, elle serait encore plus nettement rejetée, avec 68% de non et 30% de oui.
En Suisse romande, le "non" est lui aussi puissant (56%), mais moins marqué que dans les autres régions linguistiques (71% de refus en Suisse alémanique et 73% au Tessin).
Le sondage de Tamedia corrobore le double refus: il prédit 70% de non à l'initiative sur le service citoyen et 75% de non à celle sur la taxation des successions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 4, 15, 21 et 48 et les étoiles 6 et 12.
Lors du prochain tirage vendredi, 139 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Ligne CFF Cossonay- Eclépens interrompue en raison d'un sanglier
Le trafic ferroviaire sur la ligne Cossonay/Penthalaz - Eclépens (VD) a été brièvement interrompu mardi soir à la suite d'une collision avec un sanglier vers 19h45. Les trains ont pu à nouveau circuler trois quarts d'heure plus tard, a indiqué la compagnie sur son site internet.
Les lignes TGV, IC5, IR57, R1, R2, R3 et R4 ont été concernées, selon le portail CFF. La compagnie n'exclut pas des retards et d'éventuelles suppressions au-delà de 20h30. Elle conseille aux voyageurs de consulter l'horaire en ligne pour leur déplacement.
Durant la durée de la perturbation, les voyageurs entre Genève-Aéroport, Genève, Morges, Lausanne et Bienne, Soleure ont circulé via Berne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Réforme de la loi sur l'énergie: risque sérieux d'un référendum
Le Grand Conseil vaudois a entamé mardi le deuxième débat sur l'importante réforme de la loi sur l'énergie, sans pouvoir le terminer. Les discussions ont à nouveau été longues, disputées et âpres. Un important compromis de la gauche a été refusé par la droite sur l'assainissement des petits bâtiments. Dépitée, la gauche radicale songe à lancer un référendum.
Il avait fallu cinq séances pour arriver à bout de la première lecture de cette révision de la loi sur l'énergie (LVLEne) proposée par le Conseil d'Etat, ses 80 articles et les plus de 90 amendements proposés, eux, par la Commission de l'environnement et de l'énergie. Le deuxième débat a duré toute l'après-midi pour n'arriver qu'au fameux article 32 sur les bâtiments énergivores, déjà très longuement discuté en premier débat.
Pour mémoire, le projet gouvernemental avait décidé de différencier petits et grands propriétaires en matière de délais accordés pour assainir ces "passoires énergétiques". La commission a, elle, aménagé les délais des bâtiments concernés, soit classés F et G selon le Certificat énergétique cantonal des bâtiments (CECB).
Concrètement, la commission proposait d'abolir les délais d'assainissement pour les bâtiments de moins de 750 m2 (petits propriétaires) afin d'obtenir la note D. Pour les bâtiments de plus de 750 m2 (grands propriétaires), le délai a été rallongé de cinq ans (à 2040) pour ceux appartenant à la classe F. Il reste à 2035 pour la classe G.
"Détricotage de la loi"
En commission, ces différents assouplissements de délais avaient été compensés par un nouveau principe, consistant à établir comme élément déclencheur le moment d'un changement de propriétaire. Lorsque l'ensemble d'un bâtiment change de propriétaire, une prise en compte des travaux à effectuer permet de planifier un assainissement. La commission proposait de fixer un délai de cinq ans à tout nouveau propriétaire pour effectuer les travaux de mise en conformité.
En premier débat, une proposition du PLR visant à supprimer complètement cette compensation avait été acceptée à trois voix près. Au grand dam de la gauche, qui avait parlé de "détricotage de la loi" et des équilibres trouvés en commission.
Mardi, c'est le député écologiste Alberto Mocchi qui est revenu avec une proposition de compromis, histoire de "ne pas vider la loi de sa substance". Il a suggéré un nouvel amendement pour les bâtiments de moins de 750 m2 , introduisant la notion de "vente" d'un bâtiment (plutôt que "transfert") et rallongeant le délai de cinq à dix ans pour l'assainissement.
L'idée était d'éviter de faire croire qu'il n'y a "pas besoin" d'assainissement énergétique pour les petits bâtiments et petits propriétaires. Cette "main tendue, ce pont et ce pas important", selon la gauche, envers les préoccupations de la droite a été refusé à une voix près (73 non contre 72 oui). La version édulcorée, moins contraignante, du premier débat a ainsi été maintenue.
"Obstruction climatique"
"Le projet de loi arrive à son terme. Il a été complètement démantelé et démembré", a lancé, dépité, le socialiste Laurent Balsiger. Tout aussi écoeurée, l'élue de la gauche radicale (EP) Mathilde Marendaz a clairement brandi la menace d'un référendum, lancé par sa formation. Pour d'autres raisons, l'UDC avait, lors de l'entrée en matière, sous-entendu une telle possibilité aussi.
L'électricité était dans l'air dès le début de ce deuxième débat. Mme Marendaz avait auparavant déjà vertement critiqué le PLR et l'UDC. "Ils n'ont eu de cesse de proposer de nouveaux amendements qui ont saturé le débat et vidé le projet de loi de sa substance (...) C'est de l'obstruction climatique", a-t-elle lancé. "Nous devons être à la hauteur de l'Histoire, défendre la science et le bien commun, et ne pas céder aux lobbies", a-t-elle clamé.
Plus d'air pour les communes
Grâce à la droite et certains Vert'libéraux, le plénum a aussi confirmé son refus de modifications plus contraignantes pour les communes, leur laissant ainsi une plus grande marge de manoeuvre dans deux volets: l'application de la politique énergétique par l'élaboration d'un plan énergétique/climatique et l'obligation de réaliser une planification énergétique dans leurs plans directeurs.
Un autre amendement proposé par la commission a été une nouvelle fois refusé, s'agissant cette fois-ci des chauffages à distance. L'Etat et les communes encouragent ces installations alimentées au moins à 70% par des énergies renouvelables ou issues de la récupération de chaleur respectant les règles de priorisation des ressources. C'est la mention "avec pour objectif 90% en 2040" qui a encore échoué une fois.
Pour rappel, cette réforme vise à développer le recours aux énergies renouvelables locales, à diminuer la consommation énergétique, à remplacer les installations de chauffage à énergie fossile tout en renforçant l'accompagnement des différents acteurs impliqués. But: tendre décisivement vers la neutralité carbone en 2050, objectif du Plan climat vaudois, ainsi que vers plus de souveraineté énergétique pour le canton, qui importe 84% de son énergie.
Le deuxième débat pourrait se terminer mardi prochain. Mais un troisième sera de toute manière nécessaire, lui, pas avant janvier 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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