Le 9/12 LFM
Lio, invitée de la 28 Forever du MAD ce vendredi 2 février
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La 28 Forever du MAD de Lausanne, soirée réservée aux plus de 28 ans, aux sonorités eighties, accueille ce 2 février la chanteuse et comédienne Lio. Valérie Ogier vous offre vos invitations, toute la semaine, dans le 9-12, pour cette soirée.
Lio, connue dès 1979 pour son premier titre «Banana split», fera le show ce vendredi au Jetlag, au 3ème étage du MAD, invitée de la soirée 28 Forever, ayant lieu chaque 1er vendredi du mois au sein de l'établissement lausannois. Elle sera accompagnée d'Igor Blaska et de Vkee Madison.
La chanteuse et comédienne luso-belge francophone sera, également, prochainement, juré de l'émission «Drag Race Belgique» dont ce sera la 2ème saison. Ce n'est pas la 1ère fois qu'elle participe à une émission de télévision en Belgique, pays dans lequel elle réside depuis une dizaine d’années, à Bruxelles. Lio a déjà pris part, en tant que coach, à «The Voice Belgique» en 2011. En France, on l’a vu, précédemment, en tant que juré de la «Nouvelle Star», ou plus récemment comme candidate de «Danse avec les stars».
Valérie Ogier vous donne la possibilité d'aller à sa rencontre, cette semaine, dans le 9-12, en vous offrant vos entrées pour aller assister au showcase live de l'interprète culte des années 80. Vous aurez, peut-être l'opportunité de pouvoir aller à cet événement avec la personne de votre choix et de chanter à tue-tête son premier tube ! Bonne chance !
Plus d'informations : www.mad.club/28-forever
Le 9/12 LFM
Phil Collins: Le talent 2 fois plutôt qu'une, voir plus!
Les liens du son, nouveau rendez-vous de la saison: chronique musicale en série, du lundi au vendredi à 9h30 et rediffusion samedi entre 16h et 18h.
Cette semaine, Les liens du son braquent les projecteurs sur Phil Collins, artiste qui a démontré que la polyvalence peut être source de succès. Car en solo comme en groupe avec Genesis, Phil Collins a enchaîné les succès!
De ses débuts remarquables en tant que batteur virtuose de Genesis, où il a su imposer sa marque à sa carrière solo phénoménale, les titres de Phil Collins ont marqué des générations entières. Et ce n’est donc pas un hasard si le musicien britannique fait partie du cercle très fermé des artistes qui ont fait sauter la banque de l'histoire de la musique !
Pour écouter les 5 épisodes de la série, c'est ici:
Episode 1: Les débuts Solo
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Episode 2: Le succès puissance 2
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Episode 3: Phil Collins Batteur, Chanteur et Acteur
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Episode 4: L'aventure Disney
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Episode 5: La Batterie, Le Son Référence
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Double Face
Double Face L'intégrale: Olga Cafiero, Photographe romande
Rencontre avec Olga Cafiero, artiste qui préfère l'objectif aux mots.
Avec passion, Olga Cafiero partage son regard unique sur la photographie. Son expo "Éphéméris" est à voir à Photo Elysées dans le cadre d’une enquête photographique vaudoise, son travail complet est à retrouver dans un livre sorti aux Editions Noir sur Blanc, livre du même titre "Ephemeris".
"L'Almanach du Messager Boiteux a tellement de choses à raconter" Olga Cafiero
Le point de départ de cette aventure photographique a été le contenu d’un élément du patrimoine vaudois : le Messager Boiteux, qui existe depuis 1708.
Retour sur son parcours et ses photographies avec l'intégralité de ce rendez-vous Double Face, que vous pouvez écouter ici:
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Le Phénomène Oasis
Nouveau Rendez-vous de la rentrée, les liens du son s'intéressent à des histoires en série ponctuées de succès et d’anecdotes du lundi au vendredi à 9h30 et en rediffusion le samedi de 16h à 18h.
Cette semaine: Histoire de famille compliquée & titres intemporels avec Oasis
Les frères Gallagher, c'est l'histoire d'Oasis, un groupe légendaire qui a marqué les années 90. Liam et Noel, deux caractères explosifs, c'est la recette d'un succès planétaire, mais aussi de clashs mémorables.
De leurs débuts à leur séparation en passant par leur répertoire et leurs retrouvailles, c’est l’occasion de savourer ces titres devenus incontournables comme "Wonderwall" ou "Don't Look Back in Anger", de leur album (What’s The Story) Morning Glory qui leur a permis de remporter la bataille musicale face à Blur: 21 millions d'exemplaires vendus pour Oasis, c'est plus que tous les albums de Blur réunis (15 millions).
Cet album est à portée d’oreille dans 40 % des foyers anglais, car leurs refrains (comme leurs disputes) sont cultes, au point de devenir des hymnes intergénérationnels.
Ecoutez ici la Série en 5 épisodes
Episode 1: Les Retrouvailles sur scène. Titre: Don't look back in anger
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Episode 2: Les débuts. Titre: Supersonic
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Episode 3: Le succès exponentiel. Titre: Wonderwall
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Episode 4: La séparation. Titre: Live Forever
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Episode 5: La légende. Titre: Champagne Supernova
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Double Face
Double Face : Jean-Marc Richard, ou la passion de l'Eurovision
Dans ce dernier Double Face de la saison sur LFM, Valérie Ogier reçoit Jean-Marc Richard, à l'occasion de la sortie du livre : "Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours", réalisé en collaboration avec Mary Clapasson et Nicolas Tanner.
Connu et reconnu depuis 30 ans pour ses activités radio, télévisuelles et caritatives, Jean-Marc Richard ne se définit pas uniquement par ses succès professionnels, mais plutôt par ses passions. Lorsqu'il se présente, il aime souligner qu'il a de multiples activités, tout en affirmant que la spécialisation est "mère des solitudes", faisant sien un slogan de "Lôzanne Bouge", dont il fut une figure de proue.
Son parcours, débuté comme apprenti libraire, l'a mené à devenir une figure emblématique en Suisse. Jean-Marc Richard a exploré diverses expériences professionnelles, notamment à Radio Acidule ou il a commenté en 1989 l'Eurovision pour la première fois. Une édition ayant eu lieu à Lausanne Beaulieu. Un événement qui l'a ensuite commenté dès 1992 pour la TSR, devenue RTS. Cette année, il a fait le choix de commenter l'événement une dernière fois, en mai dernier, à Bâle.
À l'issue du concours, il a publié un ouvrage monumental de 450 pages, véritable encyclopédie dédiée à l'Eurovision, qui compile 34 ans de notes et d'anecdotes sur cet événement emblématique, coécrit avec Nicolas Tanner, commentateur, complice de longue date à la RTS, et la réalisatrice Mary Clapasson. Ensemble, ils ont mis en lumière les coulisses de l'Eurovision, cherchant notamment à transmettre l'histoire de cet événement à une nouvelle génération de fans. Autrefois critiquée, comme le rappelle Jean-Marc Richard, l'Eurovision captive aujourd'hui 62% de part de marché via la RTS, lors de sa dernière édition, un succès que notre invité attribue à l'évolution de la manifestation et à la passion qui entourent cet événement.
SON 1
Jean-Marc Richard, fervent défenseur de l’Eurovision, évoque, pour nous, dans Double Face, son livre “Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours”, publié aux Editions Favre. Un ouvrage riche en anecdotes qui aborde non seulement l’histoire du concours, mais également le phénomène des fans clubs, qui comptent à ce jour pas moins de 11 000 membres répartis à travers le monde.
Depuis ses débuts, Jean-Marc Richard a toujours cru en la valeur de cet événement, malgré les doutes exprimés par certains responsables de la radio et télévision publique quant à sa diffusion. Il nous révèle qu’il n’a pas commenté 34 Concours Eurovision, comme souvent mentionné, mais bel et bien 35. Son premier concours remonte à 1989, commenté pour Radio Acidule, radio associative, ancêtre de la radio LFM. Une édition qui avait lieu à Morges, suite à la victoire de Céline Dion à Dublin avec “Ne partez pas sans moi, un an plus tôt, en 1988. Un moment mémorable qui a marqué le début d’une aventure unique, où il se remémore, pour nous, les conditions de cette première retransmission "pirate", ayant repris le signal du média public, en y apposant ses commentaires et les interventions de ses invités en studio à Lausanne.
Avec nostalgie, il se souvient de cette première édition, tout en se réjouissant encore aujourd’hui de la victoire de l’artiste biennois Nemo l'an dernier. Beaucoup, y compris Jean-Marc Richard, imaginaient qu’il pourrait remporter le prix, témoignant ainsi de l’enthousiasme qu'il a suscité parmi ses fans.
Au-delà de l’Eurovision, Jean-Marc Richard nous plonge dans ses premiers émois radiophoniques, témoignant d’un parcours riche. C’est au sein de radios libres qu’il fait ses premiers pas, mais c’est surtout en animant l’émission “Banane Rock” à Radio Acidule qu’il a véritablement débuté. Une émission qu'a animé le co-fondateur de la Dolce Vita, club de rock emblématique de Lausanne.
"Fréquence Banane", la radio de l’Université de Lausanne, est née dans le sillage de cette effervescence créative. Jean-Marc Richard se souvient avec nostalgie d’autres moments forts de ses débuts, comme cette émission audacieuse réalisée en direct des égouts lausannois avec Daniel Brélaz. Pourtant, c’est aux matinales de Radio Acidule qu’il garde son premier fait d'armes marquant.
Radio Acidule, en tant que radio associative, avait pour mission de donner la parole à ceux qui ne l’avaient pas. C'est ainsi que Jean-Marc Richard a eu l’opportunité de réaliser un portrait poignant d’une détenue atteinte du sida. Une interview qui a permis à la détenue d’obtenir sa libération et à l'homme de radio de recevoir le prestigieux prix Goretta en 1990.
En repensant à cette époque, Jean-Marc Richard évoque d'autres souvenirs de rencontres, d’échanges et de proximité. Une période où la radio n’était pas seulement un moyen de communication, mais un véritable espace de dialogue et de solidarité. Son parcours, guidé par la passion de la musique et l’engagement social, continuent de le guider aujourd’hui.
Jean-Marc Richard évoque un engagement profondément ancré dans son enfance, une période où l’Eglise de Chailly à Lausanne jouait un rôle central dans sa vie. C’est là qu’il se rendait pour assister au culte, baignant dans un univers empreint de valeurs sociales et d’un profond engagement communautaire. Certains de ses proches voyaient en lui un futur pasteur, tant son implication était palpable.
Sa sensibilité face aux injustices du monde l’a toujours poussé à réagir. Pour lui, l’injustice est une réalité insupportable, suscitant une révolte qui se traduit par une colère constructive, mais aussi par un engagement en faveur des plus démunis. Sa mère, elle-même une figure engagée, a été son modèle, lui transmettant des valeurs de solidarité et de compassion.
Bien que Jean-Marc Richard ait d’abord souhaité s’investir dans l’humanitaire plutôt que de se tourner vers les médias, son chemin l’a conduit à faire de la radio. Néanmoins sa rencontre avec Edmond Kaiser, le fondateur de l’association Terre des hommes, a marqué un tournant décisif dans son parcours qui lui permettra d'allier médias et humanitaire, en devenant, à la demande de Jean Martel, alors directeur, la voix de la Chaîne du bonheur.
Cependant, Jean-Marc Richard insiste sur le fait que l’argent n’a jamais guidé ses choix de vie. Jusqu’à l’âge de 32 ans, il gagnait à peine 800 francs, se débrouillant avec différents mandats, animant des jeux tels que la “roue de la chance” dans des magasins, et participant à des événements comme le Comptoir Suisse ou la Foire du Valais. Pour lui, la réussite ne se mesure pas en termes financiers, mais plutôt par l’impact qu’il peut avoir sur la vie des autres.
Conscient des dérives de la vie, vécus notamment durant la période “Lôzane Bouge”, Jean-Marc ayant vu certains de son entourage sombrer dans la toxicomanie, cela a renforcé son désir de rester ancré dans la réalité. Il ne veut pas que son existence soit résumée à une simple carrière, mais plutôt qu’elle soit définie par ses valeurs, ses engagements et son humanité.
Dans ce Double Face animé par Valérie Ogier, Jean-Marc Richard a évoqué également la fin imminente de sa collaboration avec la RTS, prévue pour la fin de l’année 2025, marquée par la dernière émission de "La ligne de cœur". Malgré cette séparation, l’animateur continuera de travailler avec la SSR, notamment pour les mandats du "Kiosque à musique", et maintiendra son engagement envers "La chaîne du bonheur".
Un épisode de "Double Face" qui s’est terminé, comme avec chacun de nos invités, avec la séquence de questions à la volée nommée :"Tac-au-tac". Jean-Marc Richard nous a ainsi partagé une anecdote amusante, se remémorant les moqueries qu’il a subies lorsqu’il était animateur pour la Loterie romande, à la TSR, où on l’avait qualifié de "singe hurleur". Plus profondément, le Vaudois a révélé, avec émotion, que sa famille est son bien le plus précieux, une attache solide qui lui permet de rester ancré dans la réalité. Il a exprimé le regret de ne pas avoir pu leur consacrer davantage de temps.
"Eurovision Song Contest, de 1956 à nos jours", de Jean-Marc Richard, Mary Clapasson et Nicolas Tanner, disponible aux Editions Favre.
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